Mes Beaux-Parents Sont Des Coquins (2)

Je suis assis depuis presque une heure dans le canapé, encadré par mon beau-père et ma belle-mère qui est maintenant au courant de tout, y compris des frasques de sa fille, et nous en sommes à notre quatrième verre d’un cocktail « maison » très agréable, mais fort.
Dans chacun des deux fauteuils qui nous font face, se trouvent la jeune et jolie black assise sur les genoux du jeune homme, et la femme rousse assise sur les genoux de l’homme blond. Tous se sont tenus fort correctement jusqu’alors, mais le temps et les effets du cocktail semblent leur redonner quelques chaleurs.
L’homme blond a fait glisser le peignoir de sa femme et lui caresse la poitrine, alors qu’elle a empoigné son sexe et commence à le masturber.
La jolie black est elle aussi complètement nue, tout comme son mari qui la pelote, et mon beau-père, déjà en érection, s’est rapproché du couple pour participer.

Francesca me dit alors :
-« Tu ne vas pas rester habillé toute la soirée ? Suis-moi, je vais te donner un peignoir ! »
Elle se lève, peignoir grand ouvert, me prend par la main et se dirige vers la salle de bains.
Là, me fixant droit dans les yeux avec un sourire provocateur, elle ajoute :
-« A poil mon gendre ! Fais moi voir de quoi profite ma fille ! »
Et joignant le geste à la parole, elle entreprend de me déshabiller.
Lorsqu’elle en arrive au slip, j’ai un mouvement de pudeur et me retire de quelques pas.
Elle éclate de rire, et me dit :
-« allons, pas de chichis, regarde, moi je n’en fais pas ! » Et son peignoir tombe à ses pieds, la laissant complètement nue. Je suis tout à la fois tétanisé et très excité par cette nudité affolante, et mon érection forme une grosse bosse sous mon slip.
Elle s’approche, saisit le sous-vêtement, et le tire vers le bas. Accroupie pour le retirer de mes jambes, elle dévoile mon sexe tendu à tout rompre et s’exclame :
-« Oh ! Le bel engin, ma fille doit se régaler non ? Laisse moi y goûter ! »
Et dans la même seconde, elle se relève et se plaque contre moi, demandant un baiser.

Sa main droite saisit mon sexe, sa main gauche guide ma tête vers la sienne, et nous échangeons un baiser brûlant. Je ressens sa langue agile qui s’agite contre la mienne, ses tétons qui se durcissent contre mon torse, son ventre plat qui se colle au mien, et le désir sexuel l’emporte sur ce qui me restait de pudeur et de gêne. Ma main droite glisse le long de son dos pour atteindre ses fesses rebondies, et j’en parcoure lentement la raie d’un doigt inquisiteur. Elle se cabre et sa respiration devient haletante lorsque avec ma main gauche je saisis son sein pour en faire rouler le téton entre deux doigts. Me repoussant légèrement pour desserrer mon étreinte, elle s’accroupit devant moi, me regarde avec un sourire coquin en ouvrant la bouche et agitant sa langue rose, puis elle engloutit mon sexe jusqu’à la garde. Cette femme possède un art consommé de la fellation, après quelques succions, sa langue parcoure mon sexe de bas en haut et de haut en bas par petites touches successives, puis elle s’occupe du gland en le titillant, en en faisant le tour plusieurs fois, avant de s’occuper du frein de la même façon, puis elle reprend ses succions en aspirant fortement. Je sens bien que je vais jouir, elle s’en aperçoit aussi et arrête son manège.
-« Viens, rejoignons nos amis » me dit-elle
Je m’y oppose car je veux aboutir, mais elle insiste et m’entraîne fermement vers le salon.


Nous nous asseyons dans le profond canapé. Ma belle-mère se blottit contre moi, prend mon sexe en main et me masturbe lentement. J’ai passé mon bras gauche autour de ses épaules et ma main lui caresse un sein, pendant que de ma main droite je m’occupe de l’autre.
-« regarde-les, ils s’amusent bien n’est-ce pas ? » me dit-elle en désignant les autres.
En effet, ils avaient l’air de bien s’amuser.
La femme rousse est à genoux devant mon beau-père et lui pratique une fellation pendant que la jolie black, à genoux elle aussi, lui caresse les seins d’une main, et le sexe de l’autre.
L’homme le plus jeune, et le blond s’occupent de la rousse en double pénétration.
-« on va les rejoindre ? » me demande Francesca dans un éclat de rire
-« non ! restons tous les deux ! »
-« c’est charmant de ta part, mais il faut bien que tu profites aussi, laisse moi faire ! »
Elle m’abandonne, se lève et va échanger quelques mots avec le groupe. Puis elle vient me rejoindre en ondulant des hanches d’une façon très provocante, s’agenouille devant moi qui suis toujours en érection. Elle engloutit mon sexe dans sa bouche en me saisissant les testicules et les malaxant doucement, tout en me fixant droit dans les yeux avec un regard rieur. La douceur et la chaleur de sa bouche et l’agilité de sa langue me plongent dans l’extase. Je ferme les yeux et appuie ma tête sur le dossier du canapé, dans l’attente de la jouissance, laissant toute initiative à ma belle-mère.

Je ressens soudain une autre présence, et ouvrant les yeux je découvre que les deux autres femmes sont à nos côtés. La jolie black s’est emparé de mon sexe à pleine bouche, la rousse m’embrasse goulûment, et Francesca enroule sa langue autour d’un de mes tétons pendant qu’elle titille l’autre de sa main. Complètement en transes, mes mains parcourent ces corps brûlants, passant de l’un à l’autre sans aucune retenue. Je n’en peu pas supporter d’avantage et je vais jouir. Le pressentant, ma belle-mère repousse la black, me tire du canapé sur la moquette sur laquelle elle s’allonge, écarte ses cuisses et me dit :
-« prends-moi maintenant ! »
Je la pénètre brutalement, et quelques coups de bassin suffisent à me faire exploser, quasiment avec elle, dans des gémissements bruyants.

La suite de ce récit, presque vrai, n’a plus d’intérêts. Dans ma voiture, sur le chemin du retour, et toutes réflexions faites, j’en ai conclu que mes beaux-parents savaient bien vieillir, et que leur fille, donc ma femme, avait reçu quelques-uns de leurs gènes en héritage. Je me suis donc fait la promesse de bien les exploiter.