Ma Maîtresse Veut Éduquer Ma Femme 2
30 janvier 2007
Tout compte fait, le plan photos de Véronique a tourné court car plusieurs facteurs lont fait avorter.
Tout dabord, son ami Karim est parti, pendant 2 semaines, faire un reportage en Inde. Quand il est revenu, Véronique a organisé la séance photo, mais elle a eu un accident de voiture qui la immobilisée, dans un plâtre, pendant un bout de temps. Evidemment, Marie na absolument pas voulu y aller sans sa copine.
Ce qui fait que, lorsque Véronique est revenue à la civilisation, rechapée à neuf (avec quelques jolies cicatrices, en plus), elle était dune humeur de
chienne (le manque sans doute !). En plus, Marie était absente.
En effet, comme mon prêt immobilier avait été débloqué, javais annoncé à ma femme que jallais entreprendre de grands travaux de rénovation dans cette baraque qui nen avait pas vu, depuis fort longtemps (mes parents ayant laissé en létat, lhéritage familial). Depuis que javais investi les lieux, je navais pas trouvé le temps de faire quoique ce soit.
Comme cela faisait un bout de temps que Marie me bassinait pour que je fasse quelque chose, javais décidé de me lancer dans laventure : à commencer par le salon, notre chambre à coucher, sans oublier laménagement des combles et les extérieurs.
Mais il y avait tant de choses à faire que je lavais prévenu : pendant 1 mois, ce serait : soit Plâtre & Béton, soit lhôtel !
Enfin de compte, mon épouse avait choisi de sinstaller temporairement chez sa mère, pendant que moi, je marrangerai sur place. Je navais nullement lintention de laisser le champs libre aux intervenants (maçons, peintres, etc.). Je voulais que ce soit bien fait et vite fait
Un jour, tout en papotant, les 2 copines ont décidé dorganiser la soirée du 31 décembre, chez nous !
Lidée de faire la fête pendant les travaux ne memballait guère mais comme ma dit ma femme : au moins, aucune crainte de salir la moquette, tu vas la changer de toutes façons !.
Marie est donc revenue à temps de chez sa mère, pour organiser les festivités avec Véronique.
Malgré létat de la maison, la soirée sest superbement bien passée et jignore encore, combien de personnes ont dormi chez nous, après les libations!
Ils mont quand même ruiné pas mal de choses
Le lendemain, au petit déjeuner
vers 16h00
, Marie ma annoncé que, quand sa mère sera lassée de sa présence, Véronique pourra laccueillir chez elle, pendant quelques jours, en attendant la fin des travaux.
Bon, moi, de toutes manières, je navais pas lintention de quitter le chantier. Les choses allaient bon train, mais pour que cela dure, il me fallait être vigilant et surtout présent.
Le sous-sol était terminé, ainsi que la cuisine et les W.C au rez-de-chaussée. Il restait le salon, la salle à manger (peinture et tapisserie), au premier étage : les chambres, les cabinets de toilette, mon bureau, sans oublier les remises derrière notre chambre et lescalier y menant, dehors. Ensuite, ils sattaqueraient aux combles.
Mais comme javais décidé dy mettre les moyens (au risque de les voir se bousculer), cela devrait aller assez promptement.
Pour en revenir au réveillon du Jour de lAn, nous avons accueilli une trentaine de personnes. Jen connaissais la plupart, mais Véronique mavait demandé la permission dinviter quelques amis à elle, qui avait lhabitude de réveillonner ensemble. Quand il y en a pour 20
Je dois avouer quelle a eu une riche idée car, à cette occasion, jai fait la connaissance dune de ses amies. Enfin, pas tout à fait : cette nana était, plus précisément, la fille dune de ses amies. La mère nétant pas disponible, Véronique avait trouvé bon damener la fille qui navait rien de prévu pour le réveillon.
Ce qui ma intrigué, dès le moment où ma maîtresse me la présentée, cest son prénom : Sévane.
Pas commun sur nos terres ! En fait, je dois le dire, jai été radicalement sous le charme de cette fille et le hasard, faisant bien les choses, jai pu, au cours de la soirée, discuter tranquillement avec elle, pendant que les autres se démenaient.
Elle ma appris quelle était dorigine libano arménienne et que son prénom venait du nom dun lac dArménie.
Son père était libanais et sa mère arménienne ; de pures souches mais elle, était née en Belgique. Quand ses parents ont divorcé, elle a suivi sa mère qui est venue sinstaller en France, à cause de son travail. Comme cela est assez récent, elle sest retrouvée un peu esseulée car tous ses amis étaient en Belgique.
Néanmoins, comme sa mère nest apparemment pas du genre à rester cloîtrée chez elle, cela lui a permis de rencontrer des gens mais surtout, de dénicher une petite diaspora qui vit dans notre région.
Quand je lui ai demandé comment elle avait rencontré Véronique, elle ma expliqué que sa mère avait fait sa connaissance lors dun cocktail (Ah ! Véronique et les sauteries
!). Elles ont sympathisé et cest ainsi quelle a croisé ma maîtresse, grâce à sa mère.
Au fur et à mesure que je parlais avec elle, cette fille me fascinait.
Je narrivais pas à détacher mon regard de son visage. Je me suis trouvé tout con quand, à un moment, elle ma demandé si elle avait un vilain bouton sur le nez ! Bravo, pour ma discrétion
Mais je ne pouvais pas men empêcher.
Etait-ce de lattirance ? Je lignore, mais tout en elle, me charmait : sa conversation distinguée, ses cheveux longs légèrement ondulés, très épais, bruns presque noirs avec des reflets auburn. Un visage délicat et des yeux dun sombre profond. Si profond que parfois, javais limpression que son regard me transperçait quand elle prenait attention à ce que je disais.
Là aussi, une chose surprenante : elle avait un pouvoir découte qui me laissait croire que jétais devenu soudain intelligent !
Nous nous découvrîmes des goûts communs, comme la peinture ou la lecture. Elle riait même à mes plaisanteries !
Comme elle se plaignait de ne pas avoir damis, avec qui visiter les galeries ou les musées, je mavançais, grand Prince, à lui proposer, de laccompagner un jour.
Ce nest que lorsquelle séloigna de moi, quenfin je pris conscience quelle avait un corps.
Hé oui, je nai vu que son beau visage et son bel esprit ! Incroyable !
Quant à son corps, cétait lOrient. Elle respirait lexotisme. Enfin, lidée que je men faisais.
Cette Orientalité tout en courbes généreuses. Pas le look mannequin, mais plutôt celui dune femme, enfin plutôt jeune femme, épanouie avec tout ce quil fallait et tout ce quil ne faudrait pas laisser sinstaller au fil des ans
.
Je narrivais pas à lui donner un âge, mais elle devait être à peine plus âgée que mon épouse et encore
Décidément je dois être attiré par les jeunettes ! Pourtant, il se dégageait delle une telle incroyable maturité.
Jappris aussi, avec ravissement, que ma belle orientale, avait été charmée par notre conversation.
Je nai pas trop insisté sur ce sujet de peur de contrarier ma maîtresse. De plus, ma femme sétait montrée un peu trop curieuse à mon goût. Cela lavait très intriguée de me voir passer autant de temps avec cette parfaite inconnue.
Depuis lhistoire de lautre nana, cette Manu, elle devenait suspicieuse
surtout quand il y avait des cheveux bruns qui rôdaient autour de moi !
Bref, je garde du réveillon, un très bon souvenir. En plus, Marie semblait ravie de jouer les hôtesses de maison. Elle qui, en général, fuyait la foule, séclatait soudain dans ce nouveau rôle.
Décidément, Véronique avait de plus en plus dascendance sur mon épouse. Jamais je naurais cru voir cette évolution, se faire si rapidement. Où alors, cest moi qui avais été, depuis tout ce temps, très maladroit ou peu futé
Deux jours après, Marie repartait chez sa mère et moi, je supervisais les coups de marteau dans la maison.
Malgré sa curiosité, jinterdis à ma femme de revenir chez nous, tant que les travaux ne seraient pas terminés. Je voulais lui faire la surprise de découvrir son nouveau Home.
Plus les jours passaient, plus la maison se transformait.
Le rez-de-chaussée était terminé, les 2 chambres damis à létage, la salle de bain aussi. Il ne restait que notre chambre (mais là, il y avait un mur à ouvrir), le cabinet de toilette attenant, mon bureau et les remises derrière notre chambre et mon bureau (Qui donc a bien pu concevoir une telle baraque aussi biscornue ?!).
Mais là, je suppose quil devait y avoir un sacré boulot à faire (sans compter lescalier qui y mène).
Il faut dire que javais laissé ces deux pièces à labandon.
La première fois que jai grimpé le vieil escalier en bois, jai failli passer à travers ! Mais cest lorsque jai ouvert la porte de lespèce de débarras dont le mur est mitoyen avec notre chambre, que jai été découragé. Un vrai capharnaüm là-dedans ; jai préféré refermer la porte et oublier cet endroit
Par contre pour les combles, les ouvriers les avaient maintenant aménagés pour de futures transformations.
Cest à cette période là que jai eu la surprise de recevoir sur mon téléphone portable, un message de la charmante libanaise, la belle Sévane.
Même si je me demandais comment elle avait fait pour avoir mes coordonnées, son message me faisait plaisir. En fait, elle se rappelait à mon bon souvenir et me remémorait ma promesse : à savoir, laccompagner à une exposition. Justement, il y avait un vernissage dans une galerie et comme elle avait deux invitations, elle avait pensé à moi.
En plus, cétait une chance, car la galerie se situait dans une grande ville, proche de notre région, à environ 100 Kms de mon patelin.
Jai du réfléchir avant de lui répondre car il me fallait trouver une bonne excuse pour Marie. Jétais tout de même supposé, suivre les travaux à la maison. Mais la tentation était forte
Jinventais donc (mais pourquoi après tout ?) une raison valable pour mabsenter.
Quand jai annoncé cela, par téléphone, à ma femme, elle na pas eu de réaction négative. Mais je pense que cest surtout parce quelle allait bientôt sinstaller chez sa copine (Qui se trouve être ma maîtresse
), le temps dattendre la fin des travaux.
Avoir Véronique comme room mate ne devait pas lui déplaire. De longues soirées de bavardages futiles, en perspective
Dieu merci, jétais seul à la maison, car quand je me suis préparé le matin, pour cette grande journée, jétais excité comme une puce ! A croire que cétait mon tout premier rendez-vous galant !
Javais convenu avec Sévane, de venir la chercher, non pas chez sa mère, mais dans la brasserie face à la gare.
Quand je suis entré dans létablissement, un sourire radieux maccueillit ! Cela fait toujours plaisir de se savoir attendu.
Tandis quelle massurait être ravie de me revoir, je recommençais ma vilaine manie : la dévorer des yeux !
Mais si la belle orientale sen est rendue compte, elle nen a rien laissé paraître. Et puis, cela ne devait pas lui être si désagréable, après tout.
Pendant tout le trajet, je ne pus mempêcher de la détailler en catimini.
Elle aussi, semblait avoir fait des efforts vestimentaires. Elle était élégante dans son tailleur pantalon et veste noir et avec sa chemise dhomme blanche. Cétait simple mais très chic. Jétais toujours aussi fasciné par sa longue et épaisse chevelure brune.
Même son trois-quarts en cuir, négligemment posé sur ses épaules, avait de la classe ! Tout était nickel, jusquà ses chaussures à petits talons !
Javais bien fait de soigner ma tenue, sinon je serais passé pour un blaireau !
Alors que je conduisais la voiture, je me sentais emprunté. Heureusement que cest elle qui a instauré le début de notre conversation, sinon, 100 Kms dans le silence
et bien cest long !
Bref, je nai pas vu le temps sécouler et nous somme arrivés vers 11 heures. Il était trop tôt pour aller déjeuner, alors nous sommes allés flâner dans le parc municipal.
Alors que nous nous promenions, cest Sévane qui a croché tout naturellement mon bras. Cette soudaine intimité me mettait mal à laise. Etrange impression inexplicable, car nous ne faisions rien de mal. Néanmoins, je jetais fréquemment des regards autour de moi, comme si je me sentais coupable dun méfait.
Elle, ne paraissait pas sen apercevoir et continuait à me parler de ses goûts, de sa vie. Je nai réussi à me débarrasser de cette drôle dimpression quau bout de 20 minutes. Evidemment, pendant ce temps-là, mon attention sest un peu dispersée et je nai pas tout suivi.
Ce nest quau moment du déjeuner que je me suis réellement senti à mon aise auprès delle. Il y avait quand même un idée sournoise mais néanmoins perfide qui me trottait en tête : que pouvait-elle bien trouver de plaisant en ma compagnie ?
Mon choix en matière de restauration avait apparemment fait tilt : elle adorait les plats de poissons. Quant à la boisson, sans être une pocharde (jen connaissais au moins deux
), elle semblait apprécier tout particulièrement le Chablis.
Nous nous sommes surpris à traîner à table mais le serveur nous a bien fait comprendre vers près de 14h45, que nous commencions à nous incruster un peu trop à son goût !
Nous nous sommes donc retrouvés à déambuler dans les rues et dans quelques magasins (il fallait quand même que je fasse montre de galanterie
), jusquà ce que la galerie ouvre ses portes.
Je dois dire que les peintures exposées, ont été plaisantes à regarder ; en particuliers, un jeune peintre qui avait un talent certain. Ma cavalière était emballée.
La journée sest passée si vite que cest avec regret que jai dû reconduire Sévane en fin de journée, à deux pas de chez sa mère.
Avant de me quitter, elle sengagea à me rendre lappareil en promettant de me faire découvrir la restauration libanaise. Un rapide bisou sur ma joue et elle disparût, telle un mirage.
Le chemin de retour me vit perplexe sur le déroulement de cette journée.
Aucune nouvelle pendant plusieurs jours. Les travaux avançaient et je lavais presque rangée dans un coin de ma mémoire quand, un matin, alors que jétais au bureau, je maperçus quelle mavait envoyé un SMS sur mon portable. Le message était simple : Midi. Devant la Poste. Déjeuner ensemble. Bise. Sévane. Précis, mais laconique !
Le cur, quelque peu battant dune manière désordonné, je me suis rendu à ce rendez-vous surprise.
Toujours autant de classe, mon Orientale !
Pas un mot dexplication sur son silence. Cétait comme si elle mavait quitté la veille
Je mabstenais de la questionner et je me surpris à réaliser quelle mavait manqué.
Notre conversation, le déjeuner, tout se passât trop rapidement à mon goût et elle senvola sans même un à bientôt !
Jen ressentis une certaine amertume et me promis que cétait la dernière fois. Sauf que 3 jours après, je me soumis à son même diktat. Elle me fit le coup encore une fois.
Alors que jétais en train de me jurer que cétait la der des der, elle mannonça, avant de me quitter quelle minvitait le vendredi suivant, à découvrir la cuisine libanaise, comme elle me lavait promis. Mais cette fois, cest elle qui minvitait à dîner.
Pendant 2 jours, je me suis creusé la tête pour inventer un prétexte. Même si Marie squattait toujours chez Véronique, je devais être prudent. Encore heureux que cette dernière ne me tournait pas autour, toute occupée à prendre soin de sa locataire !
Sévane mappela le vendredi matin et elle mindiqua ladresse du restaurant. Cest quand je le trouvais finalement que je me rendis compte que jamais, je ne laurais déniché seul. Caché à létage, au fond dune cour, ce minuscule restaurant libanais était, on ne peut plus confidentiel.
Dès la porte franchie, jai tout de suite eu limpression de me trouver dans un autre monde !
Quel dépaysement ! Le décors, les odeurs dépice, les clients en majorité masculins, mais surtout quelques filles, dont certaines étaient voilées et qui fumaient la pipe à eau !
Incroyable, cétait la première fois que je voyais des nanas fumer le narguilé. Heu, je devrais plutôt dire la Shîsha, comme me la précisé Sévane (Hé oui, en plus, je suis devenu savant !).
« Si tu veux, Marc, on fumera la Shîsha toute à lheure. Je te montrerai comment on sen sert ».
Après le dîner, nous nous sommes installés ou plutôt engloutis au milieu dun tas de poufs et de coussins richement brodés. Après quelques essais infructueux, jai quand même fini par tirer sur cette satanée pipe. Sévane ma choisi un mélange de tabac/miel à la pomme (la fraise ne me tentait pas) ; quant à elle, elle sest enfumée sous des volutes de menthe. Cette fille était vraiment surprenante.
Mais avant, jai eu le droit à un défilé de plats divers et
surprenants : baba ganouche, sambousseks, makaneks et des kellèges. Un régal !
Je dois dire que ma belle ma scotché, même pour le choix du vin : un Kefraya. Un vin des plus vieux vignobles libanais de la plaine de la Bekaa.
Et pour me scotcher sur le vin : il men faut
Affalé sur mes coussins, le ventre plein et le vin aidant, je suçotais béatement lembout de ma pipe en lorgnant discrètement les cuisses de ma voisine. Sévane sen doutait-elle ? Je lignore, en tous cas, à aucun moment, elle na rabattu sa jupe.
Pourtant, rien ne sest passé entre nous. Mais, si elle mavait fait des avances, je crois bien que je me serais laissé aller
Et bien non ! Non seulement, nous nous sommes quittés sur un chaste baiser.
Pendant le chemin du retour, après lavoir déposée, mon euphorie est retombée et jai commencé à me raisonner. Je me disais que je devais absolument mettre de lespace entre cette fille et moi.
Sinon, ma tranquillité allait en prendre un sérieux coup et la situation deviendrait non seulement ingérable mais vite intenable entre ma femme, ma maîtresse et elle. Deux, ce nétait déjà pas facile, mais 3 !!!!
Hélas, les bonnes résolutions, cest comme la pluie, cela ne dure guère
Jai fait une rechute ! Rechute qui ne ma pas porté chance.
Quand Sévane, après mavoir relancé 2 fois, a fini par me décider daller prendre un port avec elle, je suis tombé nez à nez sur ma femme en sortant de la brasserie, en compagnie de la fille. Heureusement que celle-ci a été réactive en disant à Marie que nous nous étions rencontrés fortuitement !
Cette fois, cela passait, mais pas la suivante !
Car 2 jours après, alors que jallais chez Véronique, les rejoindre pour dîner, mon épouse ma accueilli froidement (cest un euphémisme
.). Je me suis fait vertement engueuler car elle mavait vu le midi même, en train de déjeuner en ville avec Sévane (décidément !). Et comme jétais supposé être resté au bureau pour finir un dossier, cela ne cadrait pas avec ce quelle avait surpris. En plus, dans mon malheur, Marie était accompagnée de Véronique !
Dire que le dîner fût des plus joyeux
Non seulement, Marie me faisait sa tête dampoule, mais en plus je dus subir les regards torves de ma maîtresse ! Un comble, moi qui navais même pas péché !!!
Aussi, quand le surlendemain, à midi, jai vu débouler dans mon bureau, ma femme et ma maîtresse, qui passaient là par hasard, je ne fus pas surpris. Je fis profil bas
Traîné de force dans le restaurant du coin de la rue par mes deux furies, Véronique mannonce quun rendez-vous a été convenu avec le photographe, ce Karim.
Comme par hasard
Ca sentait le plan fourbe ou je ne my connaissais pas !
Quavait bien pu dire Véronique, lautre jour, après mon départ, pour convaincre Marie qui
semblait pourtant avoir oublié cette histoire de séance photos ?
Même si je me souviens de notre soirée passée chez ce Karim, cela me paraît loin maintenant.
Javais fini par douter quelle réussisse à convaincre ma femme de se faire photographier par le Black.
Avant cette annonce surprise, je le regrettais un peu car lidée davoir des photos, disons un peu coquine, de Marie, ne me déplaisait pas.
Jen avais voulu à Véronique de mavoir mis cette idée dans la tête.
Quant à mon épouse, son histoire de massage avortée avec le photographe Back, avait-elle laissé quelques traces.
Alors que jy repense, assis face à elles dans ce restaurant, je ne peux pas mempêcher de revoir la tête de ce Karim, quand ma femme, surprise par cet intrus ouvrant brusquement la porte de la chambre, lavait envoyé valdinguer sur le lit.
Ce nest pas charitable de ma part, mais je me marre encore (intérieurement, bien sûr
).
Ouais, en tous cas, ma pauvre Marie mavait paru bien pensive à cette époque. Heureusement que Véronique lavait occupée, en courant les magasins de fringues (notre compte bancaire avait commencé à flamber !). Mais pendant ce temps-là, moi je restais comme un couillon. Il sagissait que ma maîtresse veille un peu moins sur mon épouse et un peu plus sur moi. Cétait quand même un monde !
Par contre, question vestimentaire, lévolution est frappante : elle est devenue très coquette.
Quand je regarde nos anciennes photos de vacances et que je compare à ce que Marie porte maintenant, cest le jour et la nuit. Disparus, les vieux pulls difformes et les Jeans délavés : ils ont été remplacés par des ensembles jupes courtes ou pantalons moulants. Même ses sous-vêtements sont devenus plus sexy.
Je suis en train de mhabi à tout ceci, un peu inquiet ; mais ma maîtresse narrête pas de me dire quil était temps que ma femme évolue.
Alors que je suis plongé dans mes pensées, Véronique men sort en me précisant que son ami met à sa disposition latelier photo qui se trouve chez lui. Par contre, ce sera le vendredi après-midi, car Karim nest pas libre le week-end
Véronique a vraiment des idées de oufs ! Jaurais très bien pu déjeuner avec elles ce midi. Au lieu de cela, jai dû me pastiller un vieux sandwich caoutchouteux, en attendant quelles arrivent.
Véronique ma dit que je ne devrai arriver que quand elle me téléphonera sur mon portable. Allez savoir pourquoi.
Enfin, elle vient de mappeler. Je dois me présenter à la porte du studio qui est attenant à la maison de Karim.
Cest lui qui vient mouvrir et me guide jusquà son bureau. Il a lair enchanté de me revoir ??!
Marie est bien sûr là, en compagnie du Véronique.
En regardant Karim., je maperçois que je lavais vu plus clair de peau, lors de sa soirée : origine africaine et non antillaise, comme je le supposais.
Assise à côté de ma maîtresse, Marie semble empruntée.
- « Tu prends un verre avec nous ? On a déjà commencé sans toi » : Me propose Véronique.
Puis, elle me fait signe de la suivre pour que je laide. Dans la cuisine du mec, elle mexplique quelle a dû avoir la main lourde avec le Rouge lors du déjeuner, parce que, au dernier moment, Marie semblait hésiter à venir se faire photographier.
Pourtant, elles avaient choisi ensemble la tenue quelle devait porter pour cette séance. Lalcool aidant, mon épouse avait fini par se laisser traîner ici mais ce nétait pas gagné. Aussi, un verre ou deux de plus, ne seraient pas de trop.
Dans ma petite tête, je me dis que ma maîtresse allait finir par transformer ma femme en une vraie pocharde !
Je verse les Scotchs pour Karim et moi, quant à Véronique, elle prépare 2 cocktails à base de Rhum blanc. Je note au passage quelle tasse celui de Marie.
Sitôt servis, les verres sont rapidement vidés, même si mon épouse paraît avoir du mal à avaler le sien, tant il est corsé.
Je regarde autour de moi : le bureau du gars est très cossu. Une porte ouverte permet dentrevoir un petit studio de photographe.
Il nous fait entrer dans latelier et pendant que je mintéresse aux différents appareils quil utilise pour faire ses clichés, Karim explique à ma femme comment va se dérouler la séance photos.
Tout en écoutant dune oreille le Black, je jette des regards en direction de ma femme qui est assise dans un coin. On dirait quelle est plutôt nerveuse car elle se tortille sur une chaise en rajustant ses vêtements. Karim tente de lapaiser en lui assurant quil sera très patient. De plus, il lui rappelle quil lui a promis de lui remettre les photos et les négatifs dans le cas où elle naimerait pas les clichés. Elle pourra ainsi les détruire.
Alors que le Black parle, il sinterrompt soudain et, sadressant à ma maîtresse, il sexclame : « Je devrais faire du bon boulot, regarde comme elle est belle, la Princesse !».
Cest vrai quelle est superbe dans son ensemble noir à rayures. Sa veste croisée laissait à peine deviner un haut en dentelle noir lui aussi, quant à sa jupe longue, je déplore quelle lui cache les jambes.
Elle ne porte aucun bijou, pas même sa montre. Ses longs cheveux noirs (nouvelle teinte ?) se confond avec la couleur de son ensemble et fait ressortir le bleu de ses yeux.
Jai beau avoir une relation coupable avec Véronique, je trouve ma femme vraiment belle et je laime.
Marie aurait dû fièrement rejeter ses épaules en arrière pour se mettre en valeur mais elle semble si empruntée.
Son sourire est crispé.
- « Sers lui un petit remontant !» : conseille Karim à Véronique. « Elle en a besoin, je pense ».
Alors que les deux filles séclipsent, il me détaille les autres accessoires photos, qui sont disposés dans le studio. Je remarque deux matelas mis lun sur lautre, face aux objectifs.
Quand il surprend mon regard, il me précise quil a reçu des copains mais quil na pas eu le temps de faire du rangement.
A linvitation de Karim, nous laissons le champ libre afin que ma femme se retrouve seule devant lobjectif, fixé sur un trépied.
Suivant ses instructions, elle adopte une série de positions : debout, penchée, de trois-quarts.
Il la mitraille sous tous les angles. Je pouffe de la voir, manifestement, très nerveuse.
Karim soupire et dit : « Elle est très belle, mais elle est trop crispée pour permettre une réussite à 100%. Que dois-je faire ? ».
Véronique sapproche soudain de ma femme et elles parlent à voix basse. Elle revient bientôt vers moi et me dit que ma présence rend Marie nerveuse et lempêche dêtre naturelle. Il faut la comprendre, elle ma vu sourire et elle a peur que je me moque delle.
- « Tu devrais peut être aller faire un tour en attendant que ce soit terminé ? » : Me conseille ma maîtresse.
Ah, bah ça cest trop fort !!!
Devant mon air interrogateur, Marie me confirme de la tête, me faisant comprendre que cest ce quelle souhaite apparemment.
OK, je lui dis que de toutes façons, jai du travail qui mattend au bureau (mais je suis vexé).
Bon, je lui téléphonerai quand jaurai fini, avant de venir la rechercher. Quelle mattende ici avec Véronique, chez Karim.
Elle accepte, comme soulagée déliminer un spectateur qui risque de la ridiculiser, ce qui nest pas mon genre. Et puis, comme Véronique reste, elle se sent rassurée.
- « Bon, je te raccompagne, suis-moi » : Me dit cette dernière.
Je fais une bise à mon épouse et salue le Black, avant de quitter le studio.
Arrivée à la porte dentrée, Véronique ricane en me regardant.
- « Tas pas peur de la laisser avec ce Black ? Tu sais pourtant ce qui sest passé avec lui, la dernière fois ».
Non, je nai pas peur car le type sest mangé un râteau !
- « Et bien, tu as tort, je suis sûre que, te sachant parti, il va essayer de la baiser ».
Je lui rétorque que non, pas devant elle.
- « Moi ? Oh, non ! Jai des choses à faire ».
Par bravade, je balance à Véronique que, même si on laisse Marie seule, je nai pas de crainte. Dailleurs, je lui conseille quil serait souhaitable pour elle, quelle arrête de fantasmer !
Piquée au vif, ma maîtresse me jette un: « Daccord, mon vieux. Si Karim baise ta femme, ici, cette après-midi, tu me donnes 300 Euros. Cash ! Si rien ne se passe, cest moi qui te les refile. Tu tiens le pari ? »
Trop facile pour elle, je ne serai pas là pour vérifier. Elle pourra me raconter des conneries, histoire de se faire facilement 300 Euros.
- « Ok ! Cest logique. La preuve, tu vas lavoir ! Mais attention, interdiction dintervenir ou alors, je raconte à ta femme que cest toi qui a tout manigancé. Tu tentes le coup, mon petit père ou tas peur de perdre 300 Euros ? ».
Pris à mon propre piège, je hoche la tête en silence, de peur quelle ne me vanne encore (Et puis, je suis tellement sûr de moi).
Elle me dit de la suivre.
Nous sortons et contournons la maison. Arrivés derrière latelier, elle ouvre une petite porte et me fait entrer dans une espèce de petite débarras où est entreposé un tas de bric-à-brac.
Elle referme la porte et me pousse doucement. Lobscurité est totale. Quand enfin elle satténue, japerçois, en face de moi, une toute petite ouverture.
Véronique me prend la main et me guide vers celle-ci.
« Tiens, ne fais pas de bruit et approche-toi de la vitre » : me murmure-t-elle.
Cest ce que je fais. Dès que mon visage se trouve face à la petite lucarne, je réalise quelle donne directement sur le studio.
Je suis même surpris dentendre Karim qui est en train de parler à Marie.
Devant mon air interrogateur, Véronique me montre une petite bouche de ventilation à gauche de ma tête.
Voilà donc doù viennent les sons.
- « Bon, je te quitte. Tu ne bouges pas, promis ?! » : Murmura-t-elle.
Je nai même pas le temps de réagir que déjà, la porte se referme, me laissant seul !
Karim parle très doucement à ma femme qui, un verre à la main (encore !) semble se décrisper.
Une fois vide, Il recommence à la photographier jusquà ce que Véronique apparaisse dans mon champ de vision.
Ma femme paraît soulagée de la voir entrer.
- «Alors, ça se passe bien ? ».
- « Pas vraiment, Véro. Ta copine nous fait un blocage » : répond-il.
- « Bon, vous allez faire quelques photos ensemble. Je pense que cela ira mieux ensuite ».
Véronique sapproche et il leurs fait prendre des poses différentes.
Jai limpression que cest un peu mieux mais pourtant, je me rends compte que Marie nest pas tout à fait à son aise devant lobjectif.
- « Bon, on fait une pause ! Ouf, il fait chaud ici ! Tiens, Véro, prépare-nous quelque chose à boire ».
Ma maîtresse disparaît de la pièce et revient quelques secondes plus tard avec 3 grands verres. Pendant quils boivent, ma femme fait remarquer à Véronique que son cocktail est trop fort ; néanmoins, elle lavale quand même.
- « Bon, moi, je vous laisse, je dois passer au bureau. Je reviens tout à lheure. Allez, à plus ! ».
Je vois que mon épouse fait un peu la gueule parce que sa copine part.
Véronique sortie, Karim installe 3 projecteurs, quil allume et place deux espèces de grands parapluies blancs ouverts.
Il sapproche de ma femme et lui arrange les cheveux dune main, tout en lui posant lautre, en bas des reins pour quelle les cambre.
- « Bon, on ny arrivera pas comme ça. Dabord, on va tattacher les cheveux ! ».
Il att une espèce de chouchou qui traîne là, enroule les longs cheveux de Marie en les remontant et les fixent avec le lien.
« Voilà, on voit bien ta nuque ! ».
Coiffée ainsi, cela donne à ma femme un air plus sévère.
Karim tire vers elle, un des projecteurs et fait de nouveaux clichés.
Au bout de cinq minutes, Marie commence à se plaindre de la chaleur.
« Bah, évidemment, avec ce que tu as sur le dos ! ».
Tout en prononçant cela, il enlève, dun geste anodin, la veste de Marie et la jette sur la chaise.
Passive, mon épouse nesquisse pas un mouvement.
Je maperçois aussitôt quelle a mis en dessous de sa veste, une espèce de caraco ou plutôt de nuisette décolletée, en satin noir, maintenue sur les épaules, par deux fines bretelles.
A demie transparente, il est facile de remarquer tout de suite quelle ne porte pas de soutien gorge en dessous. Labsence de bretelles de soutif, ne fait que le confirmer (Véronique a encore frapper !).
Dès que le Black lui a ôté sa veste, Marie sest instinctivement cambrée en arrière pour compenser la lourdeur de ses seins. Cest un geste qui me fait souvent rire mais qui magace en même temps ; à chaque fois, je lui dis que sa poitrine na pas besoin de cela, vu quelle tient toute seule.
Il prend ensuite quelques photos, mais à voir son visage, je sens quil nest pas satisfait.
- « « Allez, on fait un petit break ! Ok ? Assieds-toi là, ma Belle jarrive ! » : Dit-il en lui montrant le tas de matelas.
Il revient bientôt avec 2 nouveaux verres de jus de fruit. Vu la grimace de Marie, quand elle commence à boire le sien avec avidité, je suppose quil a dû encore le noyer avec une forte dose dalcool (elle va finir par être complètement bourrée à ce train-là !).
Il sinstalle à côté de Marie, sur les matelas à même le sol. Il lui parle doucement. Elle semble sapprivoiser de plus en plus et, légèrement grisée par les verres dalcool, elle se met à rire après une plaisanterie assez leste du type au sujet de la tenue des nanas des magazines.
Assis à quelques pas de moi, je vois Karim qui essaie de décontracter ma femme. Il passe maintenant sa main, très lentement, tout au long de son dos, en insistant à hauteur des reins (comment sait-il quelle adore cette caresse ?).
- « Bon, au boulot, ma chérie, ce nétait quun début. Tu es trop belle et jenragerais de ne pas prendre de photos dignes de toi. A en faire rougir, les pétasses des magazines pour hommes ! Marie, je te veux plus sexy ! » : Dit-il, au bout dun moment, en la faisant se lever des matelas.
- « Cest vrai quil fait chaud ici ! » : sexclama-t-il soudain.
Le plus naturellement du monde, il retire sa chemise quil jette négligemment par terre.
Je note tout de suite, avec un peu dangoisse, le regard intéressé de Marie sur le torse de Karim.
Il virevolte autour de ma femme tout en prenant des prises. Il lencourage : « Plus sexy ! Encore ! Voilà, cest presque ça ! ».
Docilement, elle le laisse disposer de son corps à sa guise. Seins saillants, jambes écartées, offerte à lappareil.
Jai limpression quelle se pique à ce petit exercice. Ses joues se sont empourprées et un drôle de sourire est venu éclairer son visage. Les poses quelle prend maintenant, sont un brin plus chaudes.
Tout en la photographiant, Karim tend à mon épouse son propre verre quelle finit dune seule traite !
Les joues empourprées par lalcool et la chaleur, elle se laisse guider maintenant sans aucune crainte.
- « Fais-moi disparaître cette affreuse jupe qui cache de si belles jambes. Allez, vas-y ! ».
Un drôle de sourire crispé aux lèvres, sans un mot, Marie baisse la fermeture Eclair de sa jupe et lenjambe.
Quest-elle en train de penser alors quelle est en train de se mettre presque nue devant ce type ?
Lui ne fait aucun commentaire, se contentant de prendre quelques clichés.
- « Tourne-toi ! Baisse la bretelle gauche ! Voilà, découvre ton épaule ! ».
Marie obéit sagement, sans un mot. Je trouve son attitude passive, très étrange.
Comment peut-elle accepter de se monter ainsi devant lui, dans cette nuisette qui lui arrive à peine en haut des cuisses et avec un string qui lui couvre tout juste le sexe ! Elle serait à poil, sous ses yeux, que cela serait la même chose !
Karim, sans cesser de la mitrailler de son objectif, lui dicte des ordres de plus en plus directifs, quelle exécute aussitôt sans discuter : « Fais-moi face, jambes écartées ! Bien ! Les mains derrière la tête. Super ! Allez Marie, bombe ton torse, fais-moi ressortir tes seins ! Génial !... ».
Chaque injonction de sa part est suivie à la lettre. Incroyable !
- « Vas-y, ma Belle, un peu plus sexe encore! ».
Le black papillonne autour de Marie, lui faisant adopter des poses plus suggestives à chaque fois. Adroitement, il entraîne ma femme dans un étrange jeu de rôles.
La voici maintenant en train de se presser les seins par dessus sa nuisette. Ce traitement a pour effet de durcir ses tétons. Comme ils sont naturellement gros, je les vois qui pointent sous le satin.
Cuisses ouvertes, croupe offerte, je me dis quon est loin des photos gentiment sexy qui devaient être normalement prises dans ce studio ; surtout quand je vois Marie, suivant les conseils du Black, faire semblant de se caresser la chatte.
Cela dure depuis presque une demi heure !
- « On se fait une pause ? ». Ma femme hoche la tête.
- « Allez, une petite cigarette et après on remet cela. Vas tasseoir, pendant que jen prépare une » : Lui dit-il en indiquant les matelas.
Karim sort quelques instants. Quand il réapparaît, il est en train de terminer la confection dune cigarette. Je ne suis pas un spécialiste mais sa clope a une drôle de tronche
Il lallume, tire un peu dessus et la tend à Marie. Je suis surpris de la voir tendre le bras, elle qui ne fume que très rarement.
- « Tire un bon coup dessus et inspire profondément » : Lui conseille-t-il. « Voilà, encore une fois » ;
La deuxième bouffée fait quelque peu tousser ma femme. Lui, cela le fait rire, lidiot !
- «Faut que je te montre ce que jai déjà fait. Jaimerais bien y arriver avec toi ».
Pendant quil se dirige vers une commode, Marie continue de tirer machinalement sur la cigarette.
Karim fouille dans un tiroir et revient avec une grosse enveloppe Kraft.
- « Tiens, regarde un peu ça ».
A peine ma femme se lève-t-elle et fait un pas dans sa direction, quelle perd léquilibre.
- « Oh, jai la tête qui tourne ! ».
Le Black a juste le temps de la rattr avant quelle ne saffale par terre.
- « Houla ! La petite dame a un coup de chaleur, on dirait ! Il faut quelle sétende un peu. Voilà ! »: Dit Karim, en installant mon épouse sur les matelas.
Marie ne sest même pas aperçue, quen sasseyant, sa nuisette lui est remontée au-dessus des cuisses, découvrant ainsi son ventre. Japerçois son string noir. Cest celui quelle sest achetée dernièrement, en compagnie de Véronique. Un Tanga qui se noue de chaque côté avec une rosette.
-« Tiens, jette un coup dil pendant que je vais me verser un verre deau à la cuisine ».
Alors que ma chérie ouvre lenveloppe et en sort des photos, on entend soudain un merde ! tonitruant, jaillir de la cuisine.
Marie lève la tête et aussitôt la replonge vers les photos. Je regarde machinalement vers la porte et totalement ahuri, je vois entrer Karim, torse nu musclé et en caleçon !
Je me rends compte quil est imposant. Tout comme la bosse qui déforme son sous-vêtement !
Il sapproche, presque sur la pointe des pieds, vers le tas de matelas. Arrivé près de Marie et devant son air étonné, il lui raconte quil vient de renverser son verre deau sur son pantalon.
Ma femme se contente de hocher la tête tant son attention est portée vers les photos.
Il sinstalle près delle et se met à lui détailler les photos une à une.
Jai beau me pencher, je narrive pas à les voir en détails. La seule chose dont je suis sûr, cest que les filles qui posent, ne seront jamais bonnes surs !
Tout en lui demandant comment elle les trouve, il passe adroitement son bras autour de la taille de Marie.
- « Juste un petit coucou et je me sauve. Jai oublié un dossier ici ».
Merde, javais oublié Véronique. Mais où était-elle passée ?
- « Tout va bien, Marie ? ».
Assis côte à côte, Karim enlace toujours mon épouse par la taille. Je maperçois quelle a posé sa tête contre lépaule du Black.
- « Bon, jen ai pour une petite heure et je reviens te chercher. Daccord ? ».
Marie acquiesce mollement et, à sa façon de rester collée contre le type, je me demande si elle a réellement compris sa copine.
Véronique sort de latelier, non sans avoir adressé un petit sourire à Karim.
Sitôt ma maîtresse sortie, il complimente ma femme sur son travail, déjà réalisé, il lui assure quelle peut en faire autant, si ce nest mieux que ces nanas.
Elle se contente de ricaner nerveusement alors quil dépose sur sa joue, un chaste baiser.
- « Si ! Si ! Jen suis persuadé, ma Belle ! » : Assure-t-il. Mais pour cela, il faut te détendre, tu es toute nouée !
Il se penche en arrière et, avec des gestes très doux, il se met à masser le cou de Marie. Les doigts du type parcourent maintenant son dos. Mon épouse ferme les yeux.
En silence, les mains remontent et se posent sur le haut des épaules, puis alors quelles redescendent le long des avant-bras, elles font adroitement glisser les fines bretelles de la nuisette de Marie.
Karim se penche et embrassa doucement ma femme dans le cou. Je la vois tressaillir !
La scène navait rien de hard, mais il sen dégage une sensualité incroyable.
A plusieurs reprises, il effectue innocemment ces mouvements sur les bras de ma femme, si bien quà un moment, le satin, fluide, se met à glisser tout seul, centimètre par centimètre,
Un dernier passage sur les avant-bras et je vois, atterré, les seins de ma femme qui se dévoilent peu à peu !
Mais cest en découvrant ses deux mamelons érigés comme des tétines que je sens monter en moi une belle érection.
Quand il colle son corps contre le sien, elle ne réagit même pas !
Voir ma chérie, dans cette position, la poitrine exposée à la vue de ce type mexcite au plus haut point. Jentends le sang battre contre mes tempes.
Mais quest-ce quil me prend ! Je devrais me comporter autrement. Comme la dernière fois, lors de la séance de massage avortée avec ce Karim, mes sentiments sont contradictoires : un soupçon dincrédulité, un gros rien de jalousie mêlés à cette étrange sensation de plaisir ( ?) dépier ma femme avec ce type, sans quelle le sache.
Nous sommes tout de même bizarrement foutus, nous les hommes
Il continue à la caresser doucement, lair de rien. Il sapplique, plus particulièrement, à passer sa main droite entre le cou et la naissance de la poitrine de Marie ; de gauche à droite, puis de droite à gauche. A chaque lent passage, je me rends compte que sa main glisse peu à peu, jusquà ce que lun de ses doigts effleure, comme par hasard, un des mamelons qui se met à se durcir un peu plus. Je vois Marie frissonner quand lautre recommence le même frottement lent.
« Recule-toi un peu » : Lui dit-il en lattirant vers lui alors quil sadosse contre le mur.
Merde ! Je suis obligé de me tordre le cou pour mieux voir.
Ah ! Quand il trouve enfin la bonne position, je peux me redresser. Ils sont presque à côté de moi. Seul un mur nous sépare.
Il a réussi à passer son bras gauche autour de la taille de Marie. Elle sest laissée aller tout contre lui, la tête posée contre son épaule.
Est-ce le fruit du hasard si sa main droite est posée sur ce sein dénudé ?
Cette main qui soudain se met à remuer lentement sur la chair nue. Marie se cambre sous la caresse et quand Karim se penche vers elle, sa bouche souvre docilement sous les lèvres du Black.
Baiser passionné, juste sous mon nez !
Tout en embrassant ma femme, la main gauche du gars sanime discrètement.
Le salaud ! Il est en train de dénouer adroitement, la rosette qui maintient le string de Marie.
Voilà, cest fait, les cordons pendent sur le matelas !
Sa bouche abandonne les lèvres de mon épouse et vient se plaquer sur un mamelon. Pendant que Marie frissonne, lautre sagite. Je comprends son petit manège quand je vois disparaître son bras entre leurs deux corps.
Je suis sûr quil est en train de retirer lautre cordon !
Alors quil bougeait, la main de ma femme sest retrouvée sur la cuisse du gars.
Jentends un bruit de succion et à en croire les gémissements de Marie, ce ne doit pas être désagréable. Dailleurs, il me suffit de constater que ma chère et fidèle épouse, effleure maintenant la jambe de son voisin.
Il se relève brusquement et aplatit sa bouche sur celle de sa conquête. Dans le même temps, je le surprends qui att la main posée sur sa cuisse et la pose dautorité sur sa braguette gonflée, sans aucun doute, par le désir.
Le baiser fougueux doit émoustiller ma chérie car, après quelques caresses hésitantes, sa main senhardie.
Cest ce que devait attendre le Black car il vient de porter la sienne vers son caleçon. Il le déboutonne et en extirpe une queue raide, de très belle dimension. Directif, il saisie la main de Marie et la plaque sur sa bite.
La vache, jai bien failli crever de trouille quand une main est venue se poser sur mon épaule.
Je ne lai même pas entendue entrer !
- « Merde, Véronique, tu mas fait une de ces peurs ! ».
- « Chut, ils vont nous entendre ! » : murmure-t-elle. « Alors, ça te plaît ? ».
Pourquoi elle me demande cela, la salope !
Mes yeux sont scotchés sur la main de son copain qui glisse maintenant vers le string noir de ma femme. Comme il a déjà dénoué les attaches, il na aucun mal à repousser le tissu.
Fasciné, je regarde les doigts du type disparaître entre les cuisses de ma femme.
Marie se met à gémir et sa main se crispe sur la queue quelle a empoignée.
Soudain, étrangement, Marie essaie de se dérober et soffusque : « Arrêtez de faire ça, cest pas bien. Je suis mariée ! ».
Ca, nous le savons tous ici...
Ses protestations me semblent un peu tardives
De toutes façons, lautre sen fout royalement !
Pendant que je vois sa main sagiter entre les cuisses de ma femme, il lui distille : « Laisse-toi faire, ma belle, je vais te faire jouir. Tu vas aimer ! ».
Les gesticulations de Marie vont en diminuant au fur et à mesure que le bras du Noir sagite de plus en plus vite.
Peu à peu, je remarque que les jambes de mon épouse sentrouvrent imperceptiblement. Quand ses protestations font bientôt place à de profonds gémissements, ses cuisses sécartent franchement.
Je nai aucun mal à découvrir deux doigts de Karim qui vont et viennent lentement dans la chatte de Marie.
- « Regarde bien ! Maintenant, tu vas voir comment on gagne un pari ! ».
Me prenant la tête, Véronique la presse contre la lucarne.
Le type vient de faire basculer ma femme sur le tas de matelas. Puis, sallongeant sur elle, il saisit ses jambes et les passe autour de son cou.
- « Regarde ! » : me murmure une nouvelle fois ma maîtresse, dune voix excitée.
Pour voir, je vois !
Oh oui, je vois ce salaud empoigner sa grosse bite noire et la diriger entre les cuisses ouvertes. Un coup de reins et il enfile son gros gourdin dans la chatte offerte.
Dès quil remue en elle, Marie émet comme un son rauque. Ses gémissements se font de plus en plus fort au fur et à mesure que lhomme accélère la cadence.
Je ne sais plus comment je mappelle !
Collée derrière moi, je sens le souffle chaud de Véronique et, pendant que le Black pilonne ma femme, tel un métronome, jentends une voix rauque qui me susurre vicieusement à loreille :
- « Regarde, comme il baise bien ta femme, ce négro. Elle va prendre son pied, ta petite salope ! Jte parie quaprès, elle ne pourra plus sen passer ».
Ma tête bourdonne.
Perverse, elle insiste : « Jte jure, après y avoir goûté, elle sera accro ! Elle ne pensera plus quà une chose : se faire enfiler par de grosses bites noires ».
Incrédule, je tourne ma tête vers Véronique. Mais quest-ce quelle raconte ?!
Avec un rictus un rien pervers, elle enfonce le clou :
- « Ca tétonne ? Mais je la connais bien, ta Marie, Marc. Tes aveugle, au quoi ? Ta femme ? Mais ce nest qu une petite salope qui ne veut pas se lavouer. Fallait pas lisoler chez toi ! Maintenant quelle est en train dy goûter, tauras du mal à la faire revenir en arrière ».
Je ny comprends rien. Je ne lai jamais enfermée, cest elle qui ne voulait pas sortir !
Devant mon air ébahi, Véronique se méprend sur mes interrogations ; elle en rajoute, pensant que jabonde dans son sens: «Ca se passe comme on le voulait, non ? Dailleurs, je vais marranger pour quelle ose me parler de sa petite histoire de cul, tu peux en être sûr ! Et puis, je vais tout faire pour ! Et tu sais ? Et bien moi, fais-moi confiance, je vais laider, en bonne copine ! Tu verras
Tu me connais, elle finira même par me supplier pour que je lui trouve de belles grosses queues de blacks».
Jai la tête en feu. Ses paroles entrent dans mon cerveau comme autant de fers rouges.
Mais quest-ce quelle me dit ?
Tout en murmurant, ses doigts tripotent ma braguette et en extirpent adroitement ma queue. Elle se met à jouer avec mon gland presque douloureux.
Jai les jambes en coton. Elle doit sen apercevoir car, elle ajoute perfidement : «
Mais quest-ce que tu crois ? Cest moi qui ai tout arrangé. On va en parler toutes les deux et je vais lencourager. Je vais même lui dire que tu aimerais bien la voir se faire draguer».
Quoi, draguer ???
- « Chéri, cest pour nous ! Il faut quelle se sente bien coupable et quelle nous foute la paix. Je vais si bien léduquer ta femme, que je vais en faire une vraie petite pute ! Et tu vas aimer ça, crois-moi ! Oh oui, tu vas bander comme maintenant, quand tu la regarderas se faire baiser par toutes ces grosses queues ! ».
Je dois avoir lair con à la fixer ainsi, avec des yeux de veau.
Elle poursuit comme pour enfoncer le clou : « Puis, je suis même sûre quelle aimerait se faire enculer ! »
Je suis paumé mais je dois ladmettre, excité aussi, alors que Véronique me branle la queue de plus en plus vite.
Véronique me conseille de bien profiter du spectacle, après tout je vais payer pour cela !
Elle sagenouille devant moi et avale ma bite. Pendant quelle me suce, je colle mon visage, la tête vide, contre la lucarne.
Le type continue à baiser Marie, comme un fou. Jentends ses gémissements ininterrompus. Soudain, elle jette un grand cri et son corps est secoué par de violents de spasmes.
Karim sécroule sur elle, toujours enfoncé dans son ventre.
Ils restent ainsi un long moment.
Peu à peu, les pieds de mon épouse recommencent à sagiter dans le dos de son amant.
En veut-elle encore ?
Sans doute, car il la besogne à nouveau, très énergiquement.
Je ne reconnais plus ma femme, elle est déchaînée !
Même ici, derrière ce mur, je peux entendre le corps de Karim qui claque contre le ventre de Marie. Je vois maintenant le bassin du Black qui se soulève et retombe violemment. A chaque coup de butoir, il pousse un braillement sourd.
Soudain, elle se mit à hurler des obscénités au milieu de ses cris de plaisir.
Jamais je ne lai vu ni entendu comme cela !!!
Une décharge électrique me parcourt léchine et je ne peux mempêcher de décharger dans la bouche de Véronique.
Pendant que je suis secoué par des contractions, ma vicieuse maîtresse se lève et tout en sessuyant la bouche, avec un large sourire, me balance :
- « Maintenant, la touche finale ! ».
Elle sort aussitôt, me plantant là avec mon pantalon tirebouchonné sur les chevilles !
Je porte mon regard vers latelier, à travers la lucarne.
Ma femme gît sur les matelas, les yeux fermés.
De dos, le black est en train de boire de leau à même la bouteille. Quand il se retourne, je note que son sexe sest tout juste ramolli. Mais même sans érection, jenvie ce salaud davoir une queue pareille.
Un peu moins de la moitié de la mienne, quand je bande et dune épaisseur étonnante. Je comprends mieux pourquoi ma chérie hurlait toute à lheure
Karim sapproche de Marie et lui ordonne de se lever. Ma femme obéit docilement. Elle semble si fragile à côté de lui.
Il se place derrière elle et enlace son buste. Ses grosses mains partent envelopper la poitrine dénudée.
Dès quil se met à lui pétrir rudement les seins, en étirant parfois les tétons, Marie se met à gesticuler sur place en poussant des petits cris.
Il tourne la tête de Marie vers lui et lembrasse à pleine bouche, pendant quune de ses mains se plaque sur la chatte exposée.
A peine étonné, je constate que ma Belle écarte delle-même les jambes. Il en profite pour insinuer sa main entre ses cuisses.
Jai un brusque mouvement de surprise quand il retourne mon épouse dans ma direction.
Non, ils ne peuvent pas me voir ! Pourtant, ils sont à moins de 2 mètres de moi.
Il lui fait poser un pied sur le tas de matelas. Les jambes ainsi écartées, ses doigts viennent crocheter le sexe ouvert dans lequel il en introduisit deux. Tout de suite, il commença à les remuer lentement.
Les mouvements de va-et-vient se font plus nerveux et ma femme desserre encore plus ses cuisses. Il accélère la cadence de ses doigts dans le ventre de Marie.
Très vite, elle rejette sa tête contre le torse du Noir et se met à feuler comme une bête.
La scène est incroyable et je sens soudain, que je bande à nouveau !
Le contraste est saisissant entre cette tête blanche sur le corps noir du type.
Bizarrement, une nouvelle vague de jalousie menvahit. Pourtant, je me traite de con car jai laissé faire cela.
Je dois mhabi à admettre que je ne suis quun sale petit voyeur qui prend son pied à mater sa femme se faire baiser par un autre. Véronique avait raison, jy prends goût !
- « A genoux, ma petite pute ! ».
Comment ma femme peut-elle accepter de se faire insulter ainsi ?!
Pourtant, elle obtempère docilement. Agenouillée, elle saisit la trique face à elle et elle se met à lui donner des petits coups de langue en insistant sur le gland violacé du type.
Elle gobe la grosse bite quand il lui commande de le faire.
Sa bouche a des difficultés à avaler entièrement la queue du Black, tant elle est dimensionnée.
Sans quil lui ordonne, elle se met à jouer avec ses grosses couilles allant jusquà les lécher !
Si ses yeux sont fermés, cest certainement plus à cause du plaisir quelle ressent que par honte.
Je ne la savais pas aussi salope que ça ! Encore une découverte !
Au bout dun moment, satisfait sans doute, il lui dit brusquement de sallonger. Soumise, elle va vers le tas de matelas. Il la rejoint et sallonge sur le dos. Son sexe fait quasiment un angle droit !
Jen ai presque des complexes et je ne peux mempêcher de regarder le mien tristement ; je ne pourrai jamais lutter !
Il lui dit quelque chose mais je ne saisis pas ses paroles jusquà ce que je voie Marie lenjamber.
A genoux sur son ventre, face à lui, les cuisses largement écartées, elle se relève légèrement pendant quil empoigne sa bite.
Putain, la vache ! Il est vraiment monté comme un âne, le salaud !
Il positionne son gland épais devant le sexe de mon épouse et soulève son bassin. Dès quil est emmanché, il saisit les hanches de ma femme et lattire lentement vers lui.
Marie se cabre en poussant un râle et je vois distinctement chaque centimètre de sa hampe, senfoncer dans la chatte.
Comment une petite bonne femme, comme elle, peut engloutir un gourdin aussi gros ?!
Karim la tient solidement par la taille et, patiemment, lui fait prendre le rythme du coït.
Chaque fois quelle rabaisse ses fesses, Marie souffle de tous ses poumons.
Quand il entreprend dappuyer vigoureusement ses premiers coups de reins, elle na déjà plus la force de crier.
Echevelée, le regard absent, sa bouche grande ouverte német aucun son ; ce nest que lorsquil senfonce complètement et que sa queue disparaît totalement quelle pousse alors un cri rauque qui est salué dun han de bûcheron.
Cest la première fois que je vois ma femme se perdre ainsi.
Elle nest plus quune femelle pantelante et infiniment désirable !
Ce Black est en train de me faire découvrir une autre Marie que je navais jamais soupçonné durant nos ébats (Jignore encore combien de temps, il la baisa ainsi, mais cela me sembla, à ce moment là, une éternité).
Cest juste au moment quand je lentends hurler son orgasme, la tête rejetée en arrière, que jai la surprise de découvrir Véronique entrant dans latelier.
Marie ne peut pas remarquer sa présence puisque, toujours empalée sur le Black, elle est de dos.
Mais quand sa copine balance un : - « Oh, désolée ! Pardon, je ne voulais pas ! ».
Cest à ce moment précis que ma chère et tendre épouse fait un bond de cabri, comme si un serpent venait de la mordre!
Livide, les yeux hagards et les cheveux trempée par la sueur, elle fixe, muette de saisissement, sa meilleure amie qui vient de la surprendre, nue et assise à califourchon sur un mec.
Les Beuuuu
Heuuu.. quelle réussit à émettre lamentablement, ne sont guère convaincants.
Faut dire que la scène est suffisamment explicite !
Véronique prend son temps avant de sortir de latelier, non sans avoir lancé à ma femme un drôle de regard.
Il faut tout de même quelques minutes avant que Marie ne retrouve tous ses esprits et se rhabille précipitamment.
Ce nest que lorsque Karim quitte la pièce que ma maîtresse réapparaît.
Marie, assise, sur les matelas, sanglote. La peur des conséquences, sans doute
Non sans un tes vraiment une belle salope !, Véronique tente de la rassurer. Elle lui promet de ne rien dire de ce quelle vient de découvrir, surtout à moi.
Après tout, entre amies intimes, cest tout à fait normal.
Avec la maîtrise dun Machiavel en jupons, elle met toute sa science à lembobiner.
Elle lui explique quelle la comprend. Après tout, elle est jeune et cest normal. Et puis, je suis souvent absent.
- « Enfin, à partir du moment où ton mari lignore, cela ne peut pas lui faire du mal » : confie-t-elle à sa copine. « Après tout, il fait peut être la même chose de son côté : la preuve, tu las déjà surpris avec deux nanas ».
La salope ! Elle me fait quoi comme plan ?!
- « Et puis, ce sera notre petit secret. Après tout, je suis discrète et je taime beaucoup. Dailleurs on ne sait jamais, je peux taider en cas de besoin. Je connais beaucoup de mecs qui seraient ravis de faire ta connaissance. On est complice ou pas ? ».
Marie acquiesce de la tête.
Cela a à lair de fonctionner car, je maperçois que, non seulement ma chère femme ne pleure plus mais qui plus est, écoute avec un certain intérêt, ce que lui dit son amie.
- «Après tout, entre filles, il faut sentraider. Mais avant, dis-moi, honnêtement : tas pris ton pied ? Il ta bien baisé ? ».
Mon épouse baisse la tête, mais hoche timidement la tête.
- « Bah alors, pourquoi ten priver, ma fille ? Tu sais que ton mec est en relation daffaires avec moi et que je connais personnellement son patron ? ».
Nouveau hochement de tête.
Véronique poursuit : - «Ok ! Et bien, je peux très bien marranger pour que parfois, il doive partir en tournée ; quitte à ce que jen organise moi-même et que je loccupe. Ta maison est tellement isolée dans la campagne que tu peux facilement et sans risque, recevoir qui tu veux en toute discrétion. Et puis, en cas de problème, je te préviens. Cest mieux que de traîner en ville et de te faire surprendre, comme ton mec que tu as choppé la dernière fois, non ?».
Nous y voilà
Elle est quand même trop forte !!!
Jignore ce que peut penser Marie de ce que lui propose sa copine, mais elle lécoute avec beaucoup trop dattention à mon goût.
- « Tu sais, ma chérie, si tu veux être tranquille, tu dois faire toi aussi quelques efforts, non ? ».
Devant les sourcils en points dinterrogation de mon épouse, Véronique poursuit :
- « Bah oui, si tu veux avoir un peu de liberté et un petit jardin secret, il faut que tu occupes ton mec. Donnes-lui un peu de ce dont il a envie. Il doit bien avoir des fantasmes ? ».
Comme ma femme na pas lair de comprendre, elle précise sa pensée :
- « Jai cru comprendre quil souhaitait que tu sois moins écolo et maintenant, tu commences à être canon. Cest bien même sil reste encore des changements à faire ( ?). Maintenant, il faut que tu sois sexy en diable. Je ne veux pas dire que tu dois thabiller comme une pute, quoique les mecs aiment ça ; mais fringues-toi encore plus sexe. Mets des trucs hyper décolletés, hyper courts, des fringues transparents. Si tu fais bander les mecs, rien quen te regardant, le tien sera super fier. En plus, tu mas dit quil nétait pas maladivement jaloux, nest-ce pas ?» ;
Marie lui confirme ce fait.
- « Ah, tu vois ! Et bien, la semaine prochaine, je temmène avec moi dans une boutique spécialisée. Tu es daccord ? ».
Marie fait un hochement de tête affirmatif.
- « Et puisquon en est aux confidences, je vais te dire un petit secret. Ne vas pas lui rapporter ce que je vais te dire, hein ? » - (Signe de dénégation de ma femme) « Lors de la soirée chez Karim, il ta vu danser étroitement collé à lui. Et tu sais, ce quil ma confié, ton mari, après ? Et bien, ça la fait bander de te voir ainsi. Il nen revenait pas. Mais te mater en train de te faire draguer, ça lui a plus. Mais il pense que cest parce que tu avais picolé. Il est persuadé quautrement, en temps normal, tu es trop coincée. Tu vois, je suis sûre quil aimerait bien que tu sois un peu plus salope, enfin coquine, je veux dire
».
- « Non, tes folle !!? ». Mon épouse nen revient pas.
- « Fais-moi confiance. Je suis ta meilleure amie, non ?! Dailleurs, après ce que je viens de voir, je nai plus dhésitation, je vais te faire rencontrer certains de mes amis. Tu vas voir, je vais te sortir, moi !! ».
Ma maîtresse termine ainsi son long déballage commercial.
- « Mais attention, pour linstant, sois prudente car, si ton mec prend son pied à te voir te faire draguer, il nest sans doute pas encore disposé à ce que tu te fasses baiser devant lui. Les mecs ne sont pas jaloux, tant quils pensent pouvoir maîtriser la situation. Tu comprends ? ».
Marie semble enregistrer ce que Véronique lui explique.
Cette dernière continue :- «Te faire draguer, oui, puisquil semble aimer cela ; te faire culbuter devant lui, non ! Pas encore tout de suite, en tous cas ! Mais si tu te débrouilles bien et que tu lui mets la pression, peut-être quun jour, tu pourras te faire baiser sans avoir à te cacher
».
Je suis sur le cul : pas une fois, Marie na protesté ni refusé !
- « Oui, mais je ne veux pas quil saute des pétasses, moi ! » : Proteste mon épouse.
- « Mais Marie, tas rien compris ! Cest toi qui dois lamener à réaliser ce que tu veux ! Tu dois lui faire croire que cela vient de lui mais que tu nes pas prête à accepter quil te trompe. Tinquiète, ma chérie, je taiderai ».
Mais où donc va-t-elle chercher tout cela...
- « Bon, refais-toi une beauté. Je vais téléphoner à Marc pour lui dire que je te raccompagne chez toi. Cela vaut mieux, nest-ce pas !? »: Sesclaffe Véronique.
Juste avant de les voir sortir de latelier, jentends ma maîtresse dire à mon épouse : «Et noublies pas ce que je viens de te confier. Si tu veux garder ton mari et tenvoyer en lair tranquillement, fais le bander ! Mais ne racontes pas tes petites histoires, ça cest uniquement entre toi et moi!».
Putain, comme cette nana est redoutable ! Ma femme semble avoir été emberlificotée de première !...
Vite fait, je suis sortie de la remise sans me faire voir.
Je leurs ai laissé assez de temps avant de rentrer à la maison. Lorsque je suis arrivé, elles étaient toutes les deux en train de prendre un café. Aucun commentaire sur la séance photos et je nen ai pas parlé non plus.
Seule, Véronique ma annoncée que la journée sétait bien passée.
Il me semble avoir vu Marie rougir
Sa tête était défaite !
Prétextant la fatigue, mon épouse est allée se coucher, juste après le départ de ma maîtresse. Une fois au lit, elle a dû sendormir comme une bûche !
Quand, le matin, je suis parti de la maison sans faire de bruit, Marie dormait encore !
Pas étonnant
Depuis 3 jours, jessaie de joindre Véronique, mais impossible car elle est en déplacement et son portable ne répond pas.
Jattends la suite.
Je suis à la fois inquiet et impatient de voir comment les choses vont se dérouler.
Depuis 3 jours, Marie, tout en étant tendue, se montre adorable avec moi. Dailleurs, avant quand nous sortions hier, elle ma demandé de laider à choisir ses fringues.
Je ne sais pas ce qui ma pris mais je lui ai fait remarquer quelle pourrait sacheter des choses un peu plus sexy.
- « Ah, tu crois ? Mais cela ne te fait rien si les mecs me matent? ».
Je lai assuré que je serai très fier de les voir baver sur un bijou quils ne pourront jamais soffrir
- « Ah bon, je nosais pas car je pensais que tu serais jaloux. Bon, daccord, si cest pour te faire plaisir, je vais demander à Véronique de venir faire les magasins avec moi. A moins que tu veuilles quon les fasse ensemble ?».
Là, elle est trop forte car elle sait que je naime pas faire du shopping. Elle apprend vite, ma coquine
Bon, jai hâte que Véronique revienne. Jai quelques mots à lui dire
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