Baise Brutale Dans Le Bureau De Mon Prof

Histoire vraie : une après-midi de folie avec mon prof de lettres.

C’était un mardi. Remise des copies « désastreuses » de littérature américaine. Note déterminante pour la validation du semestre. J’attends ma copie, j’ai une trouille bleue, les noms défilent. B.V, mon prof n’a plus de copie dans sa main !!!!!!!!!!!! Je lève alors le doigt et je lui lance
- « Monsieur, je n’ai pas eu ma copie »
Il me lance alors un regard, fait semblant de chercher dans ses dossiers et me répond qu’il l’a sans doute oubliée en haut et que je vais devoir monter avec lui la chercher.

Le cours terminé, je range mes affaires dans mon sac et je suis mon prof dans son bureau. Il cherche à nouveau ma copie, la trouve, je regarde la note…15/20 !!!!!!!!!!!!!!!!

Je me jette dans ses bras sans remarquer l’énorme bosse qu’il avait dans son pantalon. Je lui dis que je le remercie et que grâce à lui je n’aurai à bûcher encore sur ses horribles bouquins. Je lui demande comment le remercier…C’est alors qu’il me répond

- Suce moi la queue

Je lui réponds alors, en jouant la sainte nitouche, qu’il est mon professeur et que ce genre de relation n’est pas correct que je vais m’en aller. Il me répond alors qu’il est facile de transformer mon 15 en 5 !!!!!!!!!!

Il me tape alors un speech débile sur le plaisir et pendant qu’il était en train de philosopher, je lui saisis la queue et me mets à la sucer avec une telle force que je ne savais pas si ses râles étaient des cris de plaisir ou de douleur. Je m’attarde longuement sur son gland, rouge et si tendu que j’ai l’impression qu’il allait exploser. Après quelques rapides coups de langue sur le bout de sa queue, je gobe son engin entièrement en exercent une pression avec mes lèvres. Jamais je n’avais eu une aussi grosse queue dans ma bouche et il était assez difficile de la sucer !
Entre deux coups de bassin pour m’enfoncer sa queue jusqu’au fond de la gorge, j’entendais des « tu aimes ça, salope » et sa réaction ne se fait pas attendre.

Des giclées de sperme plein la bouche, il m’en a tellement donné que ça coulait. Je ne voulais pas en laisser une goutte alors je lui titiller encore le bout du gland. J’ai avalé son sperme en le regardant dans les yeux.

Ce jour là, je portais un pantalon blanc, et bien sûr, lorsque je me suis retourné pour rassembler mes affaires, il a vu que j’avais une grosse tâche…la pipe que je venais de lui faire m’avais fait mouiller comme jamais. Il me demande alors :

- Comment est ta chatte ?

Je lui réponds, d’une façon provocante

- Si serrée que tu auras l’impression de m’enculer !

Ni une, ni deux, il m’ordonne d’enlever mon pantalon et ma culotte, me saisis par les hanches, défais mon soutien-gorge, me caresse les seins, me retourne comme une crêpe et me fait un rentre-dedans brutal. Les seuls mots qui sortaient de ma bouche étaient « han » et « oui » ! Le bureau sur lequel il me défonçait était hyper froid et le bout de mes seins l’effleurait à chaque coup de butoir, ce qui m ‘excitait encore plus.
Je mouillais comme une malade, j’étais au bord de la jouissance. Je commençais à resserrer mes jambes autour de sa taille et je lui criais de me défoncer. Il s’arrête, me regarde. C’est alors que je sens un de ses doigts pénétrant mon anus. Il me demande si c’est la première fois qu’on me fait ça, je lui réponds que oui.

Je ne savais pas comment réagir sous cette caresse, en sentant mon anus se dilater sous ses doigts experts. Mon bassin commençait à onduler sous cette caresse. Il me demande alors si j’aimais avoir la chatte remplie, je lui crie que oui. En fait, je trouvais ça tellement bon, que je ne réfléchissais même pas, je répondais du tac au tac.

Un, deux, trois quatre…je me suis rapidement retrouvé avec une main dans la chatte et deux doigts dans l’anus. Il me criait de le regarder, il me disait qu’il avait envie de me voir jouir. Et après cette défonce à coups de poings, il a obtenu ce qu’il voulait. Son foutre s’était répandu partout sur le bureau et ma chatte ne ressemblait qu’à un énorme trou béant.

C’est alors que je vis la porte s’ouvrir…

Suite au prochain numéro !