Nadia
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nadia se promenait dans le centre commercial en scrutant, régulièrement, les regards des passants.
En effet, sa tenue ne pouvait passer inaperçue.
Vêtue de cuir, les jambes moulées dans ses cuissardes, elle attirait les regards émoustillés des hommes tout autant que les sourires sarcastiques des filles.
Elle aimait cela plus que tout mais redoutait, néanmoins, les rencontres (moins sympathiques) des ados, toujours prompts à laborder, voire chercher à la moquer en public.
Cela ne tarda pas. Elle repéra (mais trop tard pour se défiler), un groupe de 5 à 6 filles blacks qui, dès quelles laperçurent, se mirent, immédiatement, à rire stupidement à sa vue.
Nadia fit mine de les ignorer et accéléra le pas mais ses talons ne lui permettaient pas de courir.
Sen rendant compte, les « blacks » firent mine de se rapprocher avec lintention affirmée de lencadrer.
Les sifflets ne tardèrent pas. Nadia, instinctivement, porta les mains sur ses fesses. Elle sentait, par expérience, que les harceleuses se préparaient à lui mettre une claque bien sonore sur le cuir de sa minijupe. Ce geste de protection accentua les ricanements des filles.
Au même moment, la fille la plus vigoureuse la ceintura et la souleva de terre. Simultanément, deux autres filles se saisirent de ses cuissardes et samusèrent à lui écarter les jambes.
Elle ne pouvait cacher davantage son string (bien visible car en vinyle rouge) et la vue de ce sous vêtement firent sesclaffer les persécutrices.
« Maman, non, non, lâchez moi, merde.. »
Elle disait nimporte quoi, la honte liée à la situation la mettait hors delle.
Elle comprenait avec terreur que les filles avaient la claire intention de lui faire traverser lallée la plus longue et la plus fréquentée du centre commercial, la jupe relevée.
Cela lui état déjà arrivé, par le passé et la « parade » avait duré une éternité.
Pire encore, elle sentit quelle urinait et quun filet de pisse ruisselait tandis quon la promenait tel un trophée de chasse.
Loin de lui venir en aide, les passants riaient bruyamment, encourageant par leurs sarcasmes les filles dans leur comportement.
Ses seins furent rapidement mis à lair et cest dans cette tenue humiliante que Nadia se voyait exhibée à la vue de tous.
Bien évidemment son string ne résista pas davantage à ses bourreaux. La jolie brune se retrouvait le sexe et les seins à lair, à la vue du public qui samusait de plus en plus à la vue dune fille en cuir quon sacharnait à ridiculiser.
Son cur semballa encore davantage, lorsquelle comprit que les « blacks » lentrainaient vers lextérieur, en direction des bacs à ordure situés à lextérieur.
« Fessée cul nu !», hurla la meneuse.
Nadia, entendant ce cri, hurla, pissa à nouveau mais ses protestations ne firent quexciter davantage les filles.
Elles la plaquèrent contre un conteneur, et la première claque, assénée avec vigueur, lui arracha un hurlement.
La honte ne lui permettait même pas de sentir la douleur.
Les filles sétaient mises en tête de lui donner chacune une claque, tout en ménageant un temps de pause entre chaque coup.
Ne contrôlant plus rien, la malheureuse lâcha un pet sonore, au moment précis où la punition sinterrompait.
Dautres pets suivirent. Les filles étaient tellement hilares quelles en oubliaient de la châtier.
Les smartphones étaient tous braqués sur son visage. Nadia en larmes, écarlate, et suant de tous ses pores offrait un spectacle de choix.
Les filles, du reste, regardaient le show sur leurs Samsung et se repassaient le passage sonore du pet parfaitement audible.
Elle était trop en stress pour réaliser que des dizaines de smartphones filmaient la scène
Loin de lui venir en aide, les badauds se réjouissaient du spectacle offert gratuitement à leurs yeux.
Le cauchemar ne finissait pas.
Soudain, elle se sentit prise à la gorge. Un collier de chien venait de lui être attaché. Une laisse fut attachée et la jolie maghrébine comprit quon allait la trainer à travers la cour.
La « parade » allait continuer ! On la tracta, tel un animal, afin de prouver que la « captive », le joujou des filles, leur appartenait entièrement.
Soudain, des agents de sécurité apparurent.
Nadia hurla, croyant naïvement, que sa libération était imminente.
Hélas, les 3 armoires à glace se contentèrent de profiter du spectacle et, pire encore, le plus entreprenant se proposa afin de réaliser un selfie avec la malheureuse.
Prise par le coup, Nadia dut subir lhumiliation suprême : Violemment agrippée, la brute la serra contre lui et, collant son visage contre sa joue, la pelotant tel un objet sexuel, entreprit des attouchements qui la firent hurler.
Les fesses offertes, il lui introduisit son index dans la partie la plus intime de son arrière train.
Cest donc, tractée comme une chienne, que la jolie brunette, se vit repartir, en sens inverse, pénétrée par un doigt dont elle ne pouvait se débarrasser.
Ne sachant que faire, la pauvre fille essayait de cacher son sexe à la vue du public.
Une deuxième parade commençait
Nadia comprenait que ce « tour dhonneur » ne finirait jamais ou, pire, encore, quun viol collectif pourrait en être la conclusion.
Une gifle brutale mit fin à ses doutes. Une robuste matrone, profitant de la situation, venait de lui asséner un coup brutal qui la fit tomber au sol.
Se retrouvant au sol, les fesses dressées, les filles en profitèrent pour la fesser, tandis que, sans défense, Nadia subissait une énième fessée en bonne et due forme.
Nadia ne put se tenir de vomir, tant le stress était violent.
Elle ne pouvait plus supporter un tel supplice et, bien involontairement, le ridicule de lhumiliation la submergeait.
Une dernière claque mit fin au supplice.
Elle se retrouva, agenouillée, les fesses cramoisies, le visage couvert de larmes et de vomi, on lui cracha dessus et linvita à « dégager ».
Oubliant de cacher ses seins, ne pensant quà remettre sa jupe tant bien que mal, Nadia, se redressa et, essaya, tant bien que mal, de partir au plus vite.
Accompagnée par des applaudissements mêlés de sifflets, la superbe fille courait aussi vite que lui permettait ses bottes au longs talons de courir vers la sortie.
Son supplice allait prendre fin mais elle ne sétait pas débarrassée du collier et la laisse qui y était attachée fut saisie par un quidam qui, la tirant vers lui, lattira et la saisi par la taille.
Collée à lhomme, elle réalisa, avec horreur, que sa jupe était, une fois de plus, relevée et quune bouche se collait à la sienne.
Malgré les protestations de la jeune femme, lhomme ne la lâchait nullement. Elle sentait son érection avec dautant plus dintensité quelle était fesses nues.
Clairement, Nadia était victime dun viol en public.
Soudainement, une femme (elle-même intégralement vêtue de cuir) surgit et, bousculant les « mateurs », se précipita vers Nadia.
Karima (cétait son nom) tenta, immédiatement, darracher son amie, des bras de lhomme.
« Karima, Karima, au secours, aide moi », hurla Nadia.
Au moment où Karima sagrippait à son amie, afin de lextraire de son étreinte, deux bras vigoureux la saisirent par la taille et lui firent lâcher prise.
Les deux filles se retrouvèrent, simultanément, prisonnières de leurs tourmenteurs.
Karima, plus chargée dadrénaline que sa consur, affaiblie par le tourment interminable, réagit avec violence.
« Encul.., lâchez moi, salops.. » hurla-t-elle.
Elle se débattait avec une énergie incroyable.
Le spectacle était un véritable bonheur pour le public, de plus en plus excité, au fur et à mesure que le calvaire séternisait.
Cétait maintenant le tour de Karima.
Brune et maghrébine, telle sa sur, Karima était aussi sexy que Nadia, avec laquelle, elle partageait la même passion pour les tenues de cuir.
Ce jour-là, Karima nétait pas en jupe, telle son amie.
Ses fesses étaient moulées dans un pantalon de cuir, un blouson complétait sa tenue.
Telle Nadia, des cuissardes montant très haut lui donnait un look de nature à chauffer la gent masculine.
Karima, solidement tenue par la taille était dans lincapacité de se libérer. Elle était juste en face de son amie et leurs regards se croisèrent.
On les rapprocha jusquà ce que les deux filles soient collées lune à lautre. Karima embrassa
Nadia, ne se souciant guère, de la sueur qui coulait sur son visage. Nadia sanglotait, Karima lui hurla :
« On les emmerde, ils le paieront, serre les fesses, serre les, ils veulent nous doigter.. » (Karima craignait plus que tout, cette pénétration. La fessée ne la préoccupait guère)
Deux filles collées lune à lautre, deux costaux les serrant par derrière : Ils jouaient avec elles et sen amusaient grassement.
Karima se vit débarrassée de son jean en cuir.
A la différence de Nadia, aucun sous vêtement napparut : (Elle adorait être nue sous son jean en cuir.)
Découvrant avec joie que la jeune femme présentait ses fesses sans pudeur, limbécile qui la serrait, la colla encore davantage.
Soulevée de terre, Karima, hurlait de plus bel.
On la saisit, et larracha des bras de sa copine .Soulevée de terre, on lattirait vers
les toilettes.
Elle comprit, à ce moment, que le viol, tant redouté, était inéluctable.
Les deux filles, fesses nues (on navait pas encore pensé à ouvrir le blouson de Karima, un oubli, sans doute.) se virent emmenées de force vers les sanitaires, parcourant la distance interminable dans une position grotesquement obscène.
On les mit à quatre pattes et, tout en les maintenant fermement, une nouvelle correction leur fut assénée.
Karima ne pensait quau viol. Elle ne sentait pas les coups, tant elle sefforçait de serrer les fesses autant quelle le pouvait.
Que faire de ces deux filles exhibées ? Les idées manquaient.
On commençait à se lasser de les fesser, il fallait trouver autre chose.
On les tripotait, leur tirait les cheveux, leur pinçait les oreilles, mais limagination leur faisait défaut.
Soudain, une idée géniale surgit.
« On leur met la gueule dans les chiottes !!! »
Un viva salua cette géniale proposition émise par une des filles.
Aussitôt dit, les filles se sentirent soulevées, trainées, vers une destination
peu souhaitée.
Karima fut la première. Pourquoi ? Probablement que son comportement plus « courageux » exigeait un surplus dhumiliation.
Elle tenta de résister lorsque son visage se retrouva au-dessus de la cuvette. Difficile de lentrainer vers le fond. On la positionna le corps à lenvers, puis on entreprit de la faire descendre jusquà ce que son visage frôle le fond rempli deau.
A ce moment on tira la chasse et Karima se sentit éclaboussée, elle suffoquait, ne parvenant plus à respirer, elle haletait et ne se sentit pas uriner.
« Elle pisse, elle pisse, hurla un vigile. »
« Tiens on va te faire lécher sa pisse, suggéra une fille, (elle parlait de Nadia, on sen doute)
Nadia, mais oui, bien sûr, on lavait oubliée !
Trainée jusquà ce que son visage soit collé à lanus de son amie, la malheureuse ne respirait plus tant ils la pressaient contre le fessier de sa partenaire.
On la libéra en la tirant par les cheveux, elle hoquetait et balbutiait « maman, maman, entre deux sanglots ».
Karima avait été extraite de la cuvette. Son visage était trempé. On lui saisit et la relevant, la tournant sur elle-même, on présenta sa face à la vue de tous.
« Allez, on les laisse, elles ont leur compte ! »
(Cétait lun des vigiles)
Les deux filles se relevèrent péniblement. Karima remonta, immédiatement son jean en cuir. Entrainant Nadia par le bras, elle courut vers la sortie.
Nadia avait toujours la jupe relevée. Karima, fraternellement, lui rabaissa, tant pis pour le string, il fallait aller vite.
Dès quelles se retrouvèrent à lextérieur, elles eurent à se frayer un chemin périlleux au milieu des badauds qui sétaient amassés devant les toilettes, désireux de ne pas louper le spectacle de la sortie des « cuirettes ».
« Ferme ton blouson » ordonna Karima. (Nadia avait négligé de cacher ses seins.)
Instinctivement, les deux filles se protégeaient mutuellement les fesses, chacune couvrait le postérieur de lautre. Une claque était encore à craindre, car la foule les suivait de près.
Elles avaient raison car quelques lascars la collaient de très près et samusaient de leur peur manifeste.
Détail cruel, Nadia avait toujours son collier de chien mais Nadia pris le temps den retirer la laisse quelle garda prudemment avec elle.
Arrivées à grand peine à lextérieur, elles réalisèrent que repartir en RER était une nouvelle épreuve à venir.
Une voiture sarrêta miraculeusement à leur hauteur.
« Montez, montez », cria la fille au volant.
Sans réfléchir, Karima entraina Nadia et se précipita dans la voiture.
Deux filles étaient assises à lavant. Elles leur expliquèrent, quelles voulaient les mettre à labri au plus vite.
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