Partouze A La Cantine Part 1

Tout commença quand j ai vu la fille aux taches de rousseurs manger à la cantine. Tout de suite je suis allé acheter un ticket pour la cantine. Je voulais me la faire depuis que j’ai vu que ça l’excitait de voir un film porno dans la permanence. Je voyais bien qu’elle était en manque d affections, de plus elle ne portait pas de petite culotte ! Arrivé à la file d attente, je lui filais au train comme un vampire assoiffé de sang ! Soudain, elle se retourna et me vit entrain de lui reluquer le cul avec un air de vieux sadique. Prenant mes responsabilités, je la regarda droit dans les yeux en me caressent la queue de manière virile comme dans les films de porno de la téloche ! Ce jour au déjeuner il y avait une salade de courgette. Elle demanda une courgette entière et bien fraîche au cuistot. J’étais assis à une table plus loin en face d elle. Soudain elle prit la courgette et commença à la lécher en liaison pivot glissant (liaison étudié en cour de mécanique) pour l’humidifier, puis elle écarta les cuisses pour se caresser la chatte avec. Je me levais de ma table immédiatement pour aller la voir. Je lui jetais un regard digne d’un acteur de porno américain. Elle avait comprit immédiatement ce que je voulais. Elle retira la courgette entre ses jambes et la posa sur la table. Le légume était recouvert d’une sorte de gélatine visqueuse. Je pris place à sa table. Brusquement, elle se glissa sous la table et commença à me tailler une pipe de luxe. Sa bouche était très expérimenté ça se voyait qu’elle s entraînait souvent. Tout le monde dans la cantine avaient les yeux sur nous mais je m’en battais les couilles car j’étais au septième ciel ! Cette meuf avais un sacré coup de langue ! Je lui éjaculais sans prévenir en pleine bouche mais elle n’était pas du tout surprise et elle avala toute la sève d un coup. Je la sort de sous la table et je la prend dans la position du slave, je faisais un coup devant, un coup derrière et vice versa. Tout à coup je jette un oeil autour de moi et je vis tout le monde a poil, on se croyait dans un club échangiste ! Ça baisé dans tous les sens, même les cuistots se tapait les jeunes cuisinières en stage.

Les portes et les fenêtres étaient fermées, on était dans un aquarium version x. A lieu d’avoir une odeur de cuisine, il y avait une odeur de chattes en chaleur qui se propageait dans la salle. Pour la fermeture des festivités tous les hommes formèrent un grand cercle avec les filles au milieu et on a balancé toute la sauce. On avait le ventre bien plein mais la bite bien vide !