Mon Epouse S'Offre (2)
Vous avez certainement lu ma première expérience d « épouse offerte » que nous avions voulu vivre mon mari et moi.
Depuis ce jour, je me suis littéralement transformée en cette image de « vraie salope » quen fait nous avions toujours voulu tous les deux sans avoir osé le réaliser.
Les expériences se sont multipliées avec sa participation ou même sans quil ne soit présent. Une des règles étant que je lui fasse un compte-rendu détaillé de mes agissements ou même que je revienne a la maison le plus vite possible pour lui donner des preuves vivantes de la semence masculine coulant hors de mes orifices.
Une de mes dernières aventures se passait au mois de Septembre dernier. Javais décidé de rendre visite à une amie habitant la Grèce. Etant fort pris par son travail, mon mari avait décidé de ne pas maccompagner. Nos dernières discussions sur loreiller avaient alimentés nos fantasmes communs et nous étions bien daccord que je ne pouvais laisser passer aucune opportunité daventure exotique si loccasion se présentait. Me connaissant, il était clair que je nallais pas rester plus de 10 jours sans sexe et mon mari se réjouissait déjà de mentendre lui raconter par le détail tous mes agissements durant mon séjour.
Tout commença dans lavion memmenant vers Athènes. Je portais une robe dété très légère, très courte et dont le décolleté baillait sur la naissance de mes seins. Etant très fatiguée, je métais endormie des le décollage. Je fus réveillée par un bruit de déclenchement dappareil photo. Jentrouvris les paupières pour réaliser que mon voisin de siège était en train de me photographier sous toutes les coutures. Je navais pas réalisé que le bas de ma jupe sétait relevé et quil avait une vue imprenable sur mon petit abricot gonfle. Faisant semblant de dormir, je commençai à bouger mes jambes pour que ma jupe remonte le plus possible. Je laissais également bailler mon décolleté afin quil puisse deviner les aréoles.
Vous vous imaginez bien ma frustration en débarquant dans laéroport. Mais, rassurez-vous la suite de mon voyage allait répondre a toutes mes attentes.
Apres une première soirée avec ma copine à visiter certains endroits plus ou moins glauques, je décide de me promener en ville. Je suis habillée en mini jupe et en chemisier blanc simplement noué qui met en valeur un décolleté impressionnant. Vous savez déjà que jai raye toute forme de culotte, slip ou string de mon vocabulaire.
Il fait étouffant, jai soif et jai mal aux pieds à force de marcher sur ses talons. Malin de mêtre habille comme ça aussi !
Je suis à peine installée que deux mecs commencent à me regarder avec insistance et engagent la conversation. Ils sont grecs mais nous parvenons à nous comprendre en mélangeant langlais et le Français, ce qui nous procure des fou rires qui détendent pas mal latmosphère. Il faut dire quils reluquent a tour de rôle sur mes jambes et mes seins et vu la bosse qui déforme leur pantalon, cela na pas lair de leur déplaire.
Ils mexpliquent enfin quà cette heure-ci, vu la chaleur, personne ne se promène dehors et quil nest dailleurs pas très prudent de le faire.
Une grande salle pleine de canapés en cuir, un bar gigantesque et dénormes tabourets très bizarres en forme de T renversé. Cela ressemble plus a une table de gynécologie qua un siège ! Je me dis que cela doit être chouette dessayer !
Il fait plutôt sombre et je ne parviens pas trop à distinguer les autres tables mais il y a lair dy avoir du monde.
Mon bellâtre Grec et son copain minvitent donc à masseoir dans un des canapés du milieu de la salle. Mes yeux shabituant à la pénombre, je commence à réaliser que je suis la seule femme du club. Même les serveurs sont des hommes. Lun dentre eux vint nous servir des cocktails à base de je ne sais quoi qui se buvaient comme de leau, qui avaient la couleur de leau mais qui me plongeaient dans une douce euphorie et me faisait éclater de rire à chaque question de mes deux nouveaux amis. Un des deux se leva alors et minvita sur une piste de danse centrale que je navais pas remarqué. La piste séclaira et nous nous sommes enlaces pour un slow langoureux. Il me tenait par la taille et je sentais quelque chose de dur pousser sur mon bas ventre. Il commença à me parler tout bas à loreille et me demanda si jaimais ce que je sentais, et si je réalisais dans quel état je le mettais. Je lui répondis que je réalisais, mais que jétais une femme mariée, que je ne le connaissais pas depuis assez longtemps et que je nétais pas là pour ça.
Sa réaction fut déclater de rire et de me dire :
- Arrêtes tes conneries. Ne me dis pas quune femme qui se promène seule, à moitie à poil, sassied à une terrasse, se laisse aborder par deux mecs et se laisse entraîner dans un club sattend seulement à déguster du thé et des gâteaux ?
De toutes façons, nas-tu pas remarque quil ny a que des hommes, ici ? Cest un club privé ou les membres amènent une femme qui va se donner a tous les hommes présents.
Je suis certain que tu nas pas froid aux yeux et que tu es prête à accepter.
Ses paroles et la pression de son sexe conjuguées à leffet de lalcool étaient en train de faire tomber mes dernières réticences. Une douce humidité sinstallait entre mes cuisses et mes tétons durcissaient au fur et à mesure de ses déhanchements. Au lieu dune douce ballade printanière, me voila nommée actrice principale de gang bang sous forme dorgie grecque ! Voila sûrement un sujet quallait adorer mon petit mari ce soir au téléphone.
-Et bien, voila une curieuse manière de me faire visiter la ville ! Mais jaccepte le challenge. Il me serra dans ses bras et membrassa dans le cou en me disant :
-Tu vas voir, tu ne pourras plus te passer des bites grecques. Maintenant, laisses toi aller et prends ton pied.
Sans arrêter de danser, il défit le noeud de mon chemisier et commença à me titiller les seins dont les tétons avaient déjà doublé de volume. Il glissa alors une main sous ma jupe et réalisa que je ne portais pas de slip.
Salope, jen étais sur !
Il enfonça immédiatement deux doigts entre mes lèvres et je dus me retenir pour ne pas crier. Il se retourna et dit quelque chose en Grec. Ce devait être le signal de départ car immédiatement je sentis des mains me caresser les fesses et dautres doigts prenaient possession de mon intimité. Toujours tenue par mon bellâtre, je sentis derrière moi un sexe long et dur se frotter sur mes fesses. Jeus un moment de recul mais mon cavalier me dit :
- Ne tinquiètes pas, cest mon copain, il est très timide mais il sait y faire.
- Si mettre son sexe entre les fesses dune inconnue représente pour vous une forme de timidité, je vais devoir revoir mes standards, répondis-je.
Il neut pas loccasion de tester sa timidité très longtemps car vu mon excitation, il neut pas à chercher longtemps lentrée de mon vagin. Il sy enfonça dune seule poussée et jeus limpression quil allait mouvrir en deux tellement il était long et dur.
Ne tenant plus sur mes jambes après cette première jouissance, je sentis plusieurs bras me transporter près du bar, me déshabiller et minstaller sur un de ces fameux sièges dont je vous ai déjà parlé. Il était impossible de sy asseoir sans écarter les cuisses au maximum et je me retrouvai donc installée comme chez le gynéco. Il y avait devant moi au moins une douzaine de queues plus droites et dures les unes que les autres.
Un premier (sans doute moins timide) sest immédiatement installe entre mes cuisses pour membrocher sur son sexe énorme. Le siège était parfaitement étudié pour que chacun trouve une place appropriée. Deux types sont venus sinstaller de chaque cote de mon visage et mont introduit leur sexe en bouche. Mes deux mains emprisonnèrent deux autres queues alors que le restant de la troupe se branlait sur mes seins sans oublier de les pincer tant et plus. Un autre sétait couche en dessous du siège et sévertuait à enfoncer un, voire deux doigts dans mon anus. Un dernier me triturait le clitoris avec vigueur.
Ils étaient bien organisés et effectuaient une rotation savante chaque fois que lun déchargeait son sperme dans ou sur mon corps.
Je ne sais plus combien mont prise mais je pense quils étaient tous bien satisfaits lorsquils mont enfin laissé respirer. Je nai également plus compte le nombre dorgasmes quils mont procure, mais je peux vous dire que je navais jamais cru être capable den avoir autant ni de me sentir couverte ainsi de sperme. Jen avais absolument partout, du bout des orteils a la racine des cheveux. Et je ne vous parle évidemment pas de mon vagin ou de mon anus que je ne sentais absolument plus.
Le club étant pourvu de douches, jai pu retrouver une image plus sage et suis revenue dans le bar. Tous les hommes étaient rhabillés et rien ne laissait penser ce qui cétait passe.
Je pris congé de ce beau monde et filai immédiatement profiter dune bonne nuit réparatrice. Pensez-vous ! Plus de six heures de baise, ça marque !
La suite de mes vacances a été plutôt tranquille, a part une soirée ou je me suis retrouvée a nouveau au centre dune sauterie organisée sur la plage par mes deux acolytes et ou ils avaient convie deux autres copains.
Cest donc avec quelques courbatures, mais pleinement satisfaite que jai repris lavion du retour.
Quelle ne fut pas ma surprise de retrouver à cote de moi, le type du voyage aller qui mavait pris en photo sous toutes les coutures durant mon sommeil. Il avait un drôle de petit sourire en me voyant.
Il engagea la conversation des le décollage :
- Alors, comment furent ces vacances ?
- Très bonnes lui répondis-je
- Sea sex and sun ?
- Ca vous regarde ?
- Un peu oui.
- Ah bon ? Je ne pense pas quavoir passe une heure ensemble dans un avion vous permet de me questionner sur ma vie sexuelle.
- Mais ma chère, nous avons passé ensemble plus de temps que vous le pensez !
Il plaça alors son PC portable devant moi et y introduit un dvd. Je reconnus immédiatement un film tourne a Athènes.
Il me dit : - Voyez-vous, je vous suis depuis notre départ. Apres votre petite exhibition du voyage aller, je nai eu de cesse que de vous suivre et de voir jusquou vous pourriez aller. Jai donc recrute les deux grecs qui vous ont entraîné dans ce club et jai filme tous vos ébats.
Sur lécran, les images étaient très claires. Une belle salope se faisait tringler par plus de 20 males en chaleur et en redemandait. Il ne fallait même pas être physionomiste pour se rendre compte que la salope était bien moi.
Une telle cassette circulant dans ma famille ou au boulot et sen était fini de moi et de ma réputation.
- Que voulez-vous ?
- Je ne compte pas vous faire chanter, ne vous inquiétez pas. Cest simplement une assurance que vous serez bien gentille et disponible dans lavenir. Je vous contacterai très bientôt pour vous expliquer les règles du nouveau jeu que nous allons vivre ensemble. De plus, vous ne ferez croire à personne que vous nêtes pas demandeuse !
Cette vidéo plus les photos de ma chatte dans lavion ! Jétais bien coincée. Rouge de honte, je dus admettre quil me tenait et je réalisai que ma vie de salope ne faisait que commencer.
Je vous raconterai prochainement la suite
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