Comment Retrouver De La Vigueur Sexuelle 2

Je vous avez dis que cet été avec Lauryn serai du pur plaisir. Rien que de penser à cet été et aux moment passé avec cette petite, me fait bander.
Durant cet été, j'étais confronté à une sorte de dilemme; la mère de Lauryn me l'avait confié, pour les deux mois de vacances pour du travail, mais voila, en réalité il se passait plus que ça.
Moi et elle nous étions de plus en plus rapproché aux fils du temps. Cette petite a un tel appétit sexuel que ça en est étonnant. Cette petite pour son age en savait beaucoup, sur les hommes, comment nous fonctionnons, quoi faire pour nous exciter etc... Elle faisait preuve d’une certaine maturité, mais en même temps elle restait tout de même ma petite poupée d'ébène, la petite fille que j'avais vu grandir...maintenant je profitais de son corps de petite femme.
Bien sur il a été établit entre moi et Lauryn une sorte de pacte: je ne disais rien à sa mère et je pouvais continuer à m'amuser avec elle comme je voulais.
Une nuit, je rentrais à la maison en compagnie de P mon ami. Lauryn était déjà au lit. Nous nous servîmes a boire et commençâmes à discuter, quand tout à coup nous entendîmes Lauryn descendre les marches de l'escalier.
Elle nous salua, alla à la cuisine pris un verre d'eau, et s'apprêtait à remonter. Je l'appelais et lui demandai de nous servir à boire. Elle s'exécuta. Elle portait un petit short court léger, et un petit haut laissant apparaître la marque des tétons sous le tissu.
Elle servi les verre, elle se pencha pour me servir, je voyais son cul, son joli petit cul de black. Je n'eus qu'une seule envie, c'était de les toucher, c'est ce que je fit.
Je lui caressais le cul, elle ne se retourna pas et me laissa faire.
Je lui dis de venir s'installer sur mes genoux. Ce qu'elle fit, telle une petite fille obéissante. Elle me faisait dos, moi, je passais la main sous son petit haut et commençait à lui titiller le bout des seins, à les étirer.

La petite respirait profondément.
P qui était assis en face me regardait faire, et regardait la jeune fille se faire toucher.
Ma bite sous mon pantalon se durcit. J'eus l'envie soudaine de la bourrer bien profond, mais je voulait faire durer le plaisir.
P se leva et s'approcha du canapé, il vient la peloter à son tour, il commença à lui bouffer les seins. La fille gémissait. Je l'embrassait de partout dans le dos, me disait qu'après ce petit moment de douceur et de plaisir, elle aurait droit à une baise violente.
Je lui dit de se lever, je sorti ma bite, toute rouge, je me massait en la regardant, elle compris que je voulais qu'elle me suce. Elle s'agenouilla devant le canapé et pris ma bite dans sa bouche. P, lui en profitait pour introduire un doigt ou deux dans son vagin en écartant le short de la petite. Au bout d'un moment il le lui enleva. Sa bite était raide, il décida d'investir sa chatte. Il se positionna et s'enfonça d'un coup. Tandis que la petite se faisait baiser par P elle me suçait, en même temps. Hum, un vrai plaisir. Elle aspirait légèrement ma bite, faisait des va et viens avec sa bouche pulpeuse et recommençais, elle me suçais avec frénésie, comme si elle voulais à tout pris mon jus dans sa gorge. Elle remontait le long de ma bite puis léchait le bout et soufflait dessus, sur le sillon, là ou c'est sensible. Pendant ce temps je l'entendais gémir sous les coups de reins que lui assenait P.
Je la traitais de salope, de putain. Elle appréciait de toute évidence, elle me regardait droit dans les yeux alors qu'elle me suçait et se faisait baiser.
Je lui dis de se lever, de se mettre à quatre pattes, elle s'exécuta docilement. P passa devant et introduit sa bite dans la bouche à Lauryn. Moi je me positionnais à l'entrée de son vagin. La petite sous l'excitation avait la chatte toute rose, luisante, elle ondulait le bassin comme pour demander de la baiser encore plus fort, je la faisais languir. Je sais qu'elle adore qu'on balade une bite sur sa chatte tout en titillant son clito. C'est ce que je fis. Mais ce fut comme une sorte d'invitation, vous savez lorsque les deux lèvres sont bien écarté et n'attendent qu'une bite bien ferme pour remplir l'espace. Je m’introduisis doucement en elle puis accéléra, je sortais de sa chatte pour m'introduire encore plus violement. P je le voyais, se vider dans sa bouche. Lauryn déjà cambré me procurait un plaisir fou, je lui tirai les cheveux et elle se cambra encore plus, je senti que ma bite était serrée et légèrement arché. Elle criait sous mes coups de reins.
Soudain j'eus l'envie de l'enculer. Je lui demandais si elle était d'accord, elle refusa. Je lui introduisis tout de même un doigt dans le cul, je lui étalais de la mouille sur sa rondelle pour la lubrifier. Je sorti ma bite et la positionna a l'entrée de son anus. Elle voulu se dégager mais je la retint fermement. P, lui regardait la scène, se branlait, sa bite de toute évidence avait repris de la vigueur.
Je m'enfonçais dans son cul, elle criait, mais au fur et à mesure se calma puis d'après ses gémissements je compris qu'elle prenait son pied. Je la mis sur le canapé, cul en l'air, je continuait à l'enculer, P passa dessous et avec sa main commença à lui titiller le clito avec sa main au bout d'un moment, je cru rêver : il introduisit sa main entière dans sa chatte. La petite hurlait de plaisir tout simplement.
Nous décidâmes de la prendre en double pénétration, P se positionna sur le canapé et s'introduisit dans sa chatte moi je me réintroduisit dans son cul. La fille haletait sont les coups de bite qu'elle prenait. Elle était coincé entre nous deux, n'ayant d'autre choix que de laisser son corps aller au plaisir que nous lui donnions. Elle criait, je lui susurrais des mots cru à l'oreille. Hum ma petite poupée à la peau d'ébène adorait se faire prendre de cette manière, elle ne voulais encore.
J'éjaculais dans son cul, et P dans sa chatte.
Son cul et sa chatte était souillé, de jus, elle étais là sur le canapé, allongée, les jambes écarté, se touchant la chatte. Elle goûtait le sperme, qu'il y avait en elle. Moi et P on se rhabilla et allâmes nous coucher laissant la jeune fille ainsi sur le fauteuil.
Dans le nuit je redescendait au salon... elle était toujours la sur le canapé, endormi je la réveillait...je vous laisse deviner la suite…