Libre Cours
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Pendant six ans, on a travaillé ensemble, elle comme secrétaire et moi comme nouveau responsable de lantenne. Lambiance était plutôt sympa et les relations simples. Jappréciais Séverine pour son travail et nous sommes devenus amis. Elle aimait bien jouer sur le statut du chef et samusait à me faire du charme, des petits massages dépaules, des illades. Elle mappelait pour plaisanter« son petit boss à elle », « mon boss damour ». Quand elle prenait sa voix chaude au téléphone, je sentais le désir maiguillonner. Mais, nous navons jamais dépassé les limites. Nous vivons respectivement en couple, avec nos s. Jai quitté la boîte, mais nous continuons à nous voir régulièrement. Il marrive assez fréquemment de dîner chez eux, en présence de son compagnon. Parfois, le vendredi, je reste un peu avec elle, quand elle ne travaille pas, divin privilège de la réduction du temps de travail.
Ce jour-là, nous étions un mardi. Je suis arrivé un peu en retard. On a pris lapéritif, puis on a mangé quelques trucs froids. Philippe nous a quitté et elle a préparé un café tout en rangeant la vaisselle. Jétais assis et je la regardais sactiver. Sa jupe était bien gonflée par ses formes appétissantes. Cest une femme plantureuse, bien en chair, mais qui dégage une sacrée sensualité. Elle arbore très souvent des décolletés très suggestifs. Jaimais quand elle se penchait au dessus de mon bureau. Mes yeux dérivaient et lorgnaient à chaque fois entre ses deux beaux gros seins, sur ce sillon magnifique séparant ces deux globes magistraux. Je la soupçonnais de multiplier les occasions, juste pour me permettre de me rincer lil.
Tout en bavardant, elle nettoie sa plaque électrique. Elle se penche en avant pour bien frotter et sa croupe inonde ma vue. Pour un cul, cest un cul. Je la regarde se tortiller, descend le long de ses jambes jusquà ses chevilles et ses chaussures à talons. Jai une érection que je ne cherche même pas à dissimuler.
« - Enfin » jai dit, « depuis le temps que jai envie de les toucher »
« - Ils sont à toi mon boss adoré, tout à toi. Mais, on na pas beaucoup de temps, je reprends à 14heures ».
Mes doigts ont sorti les deux roberts sans détacher le sous-vêtements et se sont mis à titiller ses tétons déjà tout durs. Je les ai léché, tout en caressant ses cuisses, puis lintérieur, flirtant avec le contour de ses lèvres. Je mamusais à dessiner les bords humides. Parfois un doigt passait entre, frôlant le calice sans loffenser, malgré ses demandes répétées et insistantes
Finalement, ma paume est venue contre son string. Elle était trempée. Jai glissé un doigt, tout en aspirant goulûment le bout de ses miches. Jai descendu sa culotte, soulevé sa jupe et je lai retourné contre lévier. Jai descendu mon pantalon, mon caleçon et je lai prise comme cela, accroché à ses hanches, mon sexe cognant dans sa fente humide. Elle couinait.
« - Oh, vas-y, cest bon, bourres moi bien
».
Je fus un peu surpris par son langage vulgaire mais ses mots décuplèrent mon plaisir. Je la fourrais encore plus fort en lui mettant des tapes sur son beau gros cul. Elle hurlait de plaisir et jai joui en elle en serrant ses hanches charnues.
« - Bon sang, cétait trop bon. Dommage que je doive y aller. Tu crois quon doit le refaire ? ».
« - On a quarante ans, on sait que cest juste pour le plaisir, non ? ».
« - Oui, jaimerais quon se laisse aller. Je voudrais être ta dévouée secrétaire prête à tout pour satisfaire son patron adoré ».
« - Je peux être exigeant tu sais et très imaginatif ».
« - Hum ! Je suis entièrement à ta disposition, mon boss damour. Vendredi après-midi, je ne travaille pas. On peut se voir si tu veux? ».
« - Viens à la maison. Mais téléphones moi jeudi, on en parlera ? Je veux être sûr que tu es bien daccord pour continuer ce jeu. Il peut aller loin et il ne mintéresse que si tu te soumets totalement, ok ? »
Le jeudi, elle ma appelé du boulot, isolée dans un bureau.
« - Jai trop envie dêtre à demain. Jy ai pensé tous les jours tu sais
».
« - Tu tes caressée en pensant à moi ? ».
« - Oui, plusieurs fois ».
« - Pour demain et pour la suite de nos rencontres, jaimerais fixer quelques conditions, ok ? Jaimerais que tu ne portes que des jupes ou des robes, daccord ? ».
« - Oui, quoi dautres ? ».
« - Pas de collants. Des bas, avec porte-jarretelles ou non. ».
Elle a acquiescé, sa voix était troublée, mais elle ma dit accepter les règles.
« - Quand tu viendras chez moi demain, tu tarrêteras à mi-chemin, tu sais sur le parking devant le bois ? »
« - Celui où il y a les prostitués ? »
« - Oui. Tu seras côté hommes. Tu enlèveras ta culotte. Frottes la contre ton minou, mets la dans ta poche et en arrivant tu me la remettras ».
« - Tout ce que tu veux mon petit boss damour ».
« - Tu sais, je peux être très exigeant. Es-tu sûre de vouloir te lancer sur cette voie ? ».
« - Oui, je veux être tout à toi, que tu disposes de moi à ta guise. Je veux être ta secrétaire particulière, complètement disponible, comme quand on rigolait aux bureaux. Ca mexcitait déjà, tu sais, mais là, je veux vraiment le faire ».
« - Après avoir raccroché, tu iras aux toilettes te caresser. Je veux que tu jouisses en pensant à demain.
Séverine est arrivée vers treize heures. Elle a sonné, je lai fait rentrer dans le couloir, on sest embrassé goulûment.
« - Viens, suis moi ». Nous sommes rentrés dans la salle à manger. Je lai fixé, elle a baissé les yeux.
« - Donnes ». Jai tendu ma main et elle ma donné son string qui reposait dans la poche de son long manteau noir. Je lai reniflé.
« - Il sent bon ta mouille de petite cochonne. Tu es déjà toute humide, non ? ».
« - Oui. Jai eu peur quon me voit lenlever, il y a toujours du monde là-bas. Tout le trajet, je pensais à la dernière fois, ça me rendait folle ».
« - Enlèves ton manteau, que je vois si tu as respecté le contrat ».
Elle portait en dessous, une jupe noire qui arrivait aux genoux et un corsage crème qui laissait apparaître tout le haut de son dos et la partie supérieure de ses seins. Ils étaient vraiment bien mis en valeurs.
« - Trousses ta jupe ! ».
Séverine a pris les bords et a remonté lentement le tissu.
« - Plus haut et écartes un peu les cuisses. Restes comme cela, que je tadmire un peu. Pas mal
»
Je la regardais sans rien dire. Elle avait mis des bas noirs qui montaient de ses jolis escarpins de la même couleur, puis étaient fixés par un porte-jarretelles violet et gris. Je lui ai fait signe de tourner sur elle-même et elle sest empressée dexécuter ma requête.
« - Atts le dossier de la chaise et cambres toi bien. Tends ton cul en arrière, je veux admirer ta croupe. Allez, obéis petite salope ! ».
Javais sous les yeux ses fesses rebondies. Elle creusait ses reins pour me les offrir davantage.
« - Cest bien, tu te présentes bien, cest très important pour une pouliche de savoir le faire ».
Je me suis approché et jai laissé ma main caresser son séant plantureux. Jallais dun globe à lautre, passant sur sa raie, descendant un peu vers son petit trésor. Elle frissonnait. Sa moule souvrait et perlait déjà.
« - Ce nest pas bien cela, petite garce. Tu as donc été une méchante petite traînée et tu mérites un gage et une punition pour cela ».
« - Oui, je sais. Je nai pas pu men empêcher ».
« - Je vais te donner une fessée, mais avant enfiles ta culotte sur ta tête ».
Ses joues se sont empourprées, mais elle a obéi servilement. Jai passé plusieurs fois la tranche de ma main sur sa fente, elle était gluante. Ensuite, je lui ai tendu et elle a léché son jus, puis jai commencé à lui claquer le cul, lentement. Cinq coups pour chaque fesse. Elles rougissaient un peu, je la cinglais avec vigueur. Elle a crié un peu en se cambrant encore plus. De la même manière, jai réétudié la température de son con. Il bouillonnait.
« Restes comme cela, jai un coup de fil à donner ».
Je me suis assis sur le canapé, jai allumé une cigarette et jai passé mon appel. Javais une vue imprenable sur son postérieur et sur ses trésors quil ne dissimulait plus vraiment. Tout en téléphonant, jai pris une bougie et je lui ai mis dans la bouche pour quelle lhumidifie, puis je lui ai introduit dans son vagin. Elle soffrait au maximum, soumise à mes envies. Jai ressorti le cylindre de cire, je lui ai fait sucer puis je lui ai remis. Je lenfonçais bien à fond, tout en parlant avec mon correspondant. Ma queue comprimée dans mon slip me faisait un peu mal. Jai tapé sur lintérieur de ses cuisses pour quelle souvre plus. Sa tête reposait maintenant sur lassise de la chaise, elle creusait bien ses reins en écartant bien ses jambes, la bougie rouge de plantée dans sa moule baveuse. Jai saisi une seconde bougie, quelle a engloutie en salivant pour bien lhumidifier. Pendant cette préparation, jai sucé un de mes doigts et tout en répondant à Lionel je lui ai introduit progressivement dans lanus. Elle se tortillait pour soffrir davantage et que mes phalanges avancent bien dans son conduit. Ensuite, jai remplacé mon doigt par le cylindre rouge. Je suis allé me rasseoir sur le canapé et je la regardais, le cul offert et les deux bougies de planter dans chacun de ses orifices. Après avoir raccroché, je nai eu quà remuer quelques fois les deux ustensiles pour quelle se mette à bramer puis à jouir. Je lai fait venir plusieurs fois, en lui donnant les bougies à sucer, puis en la fourrant de nouveau avec. Je me suis déshabillé. Mon braquemart pointait son gland rouge. Je lai poussé un peu et je me suis assis sur la chaise, au bord, en écartant bien les jambes.
« - Viens me sucer cochonne, allez montres-moi tes compétences dans ce domaine Séverine ».
Elle sest approchée, sa langue à titiller ma bitte, remontant de haut en bas. Sa main, un peu froide a joué avec mes bourses, provoquant des frissons sur mon corps. Elle a commencé à me gober doucement, ses cheveux frottaient contre mon ventre. Parfois, elle levait son visage et me regardait avec ses beaux yeux noisette. Elle souriait, puis se remettait à laction. Quand je sentais la jouissance arriver, je la freinais. Elle a fini par descendre pour me lecher les couilles. Elle se débrouillait vraiment bien. Sa langue est descendue jusquà mon petit trou, quelle a chatouillé. Ensuite, elle est revenue sur ma queue, mais jai senti un doigt titiller mon orifice. Il est rentré lentement sans que son ongle ne me fasse mal. Je lui ai attrapé sa tignasse et jai déchargé sur son visage. Pendant quelques secondes, je me suis retrouvé dans un brouillard cotonneux tellement la jouissance avait été forte. Quand jai repris mes esprits, je me suis aperçu que la bougie quelle avait dans le cul était tombée. Elle a suivi mon regard et sest aussitôt mise en position, devant moi, la croupe bien cambrée pour recevoir sa fessée. Huit claques sur chaque fesse. Après, je lui enlevé le string du dessus de sa tête et jai retiré la ceinture de mon pantalon, puis je lai entourée autour de son cou, laissant une bride pour la conduire. Sans réticence, elle a commencé à avancer à quatre pattes docilement. Elle avançait sur le parquet, puis sur le carrelage du couloir, jusquà la moquette du bureau. Jai fait rouler le fauteuil devant elle.
« - Mets ta chatte contre laccoudoir et baises toi avec. Vas-y, poses la bien contre, je veux la voir sétaler. Allez, bouges bien ton bassin, fous toi bien avec, frottes toi dessus comme une chienne en chaleur. Tas intérêt à bien mouiller le tissu garce ! ».
Elle penchait son cul en arrière puis venait se répandre contre laccoudoir. Ensuite Séverine la bien bloqué et elle sest activée. Elle y allait à fond en gémissant, puis en criant. Son amant de tissu et de métal semblait bien lui convenir. Elle me livrait une image elle totalement soumise, offerte, ouverte. Après plusieurs minutes de baise torride, je lui ai fait lécher sa mouille. Sa langue sappliquait sur le tissu râpeux. Je lai serré contre moi. On sest embrassé fougueusement et je lui ai retiré le cuir autour de son cou. Je la caressais partout, puis nous sommes tombé sur le lit dappoint. Je lai prise comme cela, soulevant ses fesses, les comprimant entre mes mains, ma verge allant et venant profondément en elle. Je mordais et suçais ses tétons, pétrissait son cul tout en la bourrant de plus en plus fort. Elle me griffait le dos et eut plusieurs orgasmes avant que je me libère dans sa moule béante et gluante. On est resté comme cela, puis côte à côte, sa tête sur mon épaule. Séverine était toute pantelante et je caressais ses cheveux.
« - Oh, quest-ce que cétait bon. Je nai jamais joui comme cela. Tu es mon boss adoré. Tu laimes ta secrétaire particulière ? ».
« - Cétait très bien Séverine, mais tu sais, cest sur le long terme que lon voit les bonnes travailleuses ».
« - Je ferais toujours de mon mieux pour te servir et quand tu ne seras pas satisfait tu me corrigeras. Japprendrais à être encore plus soumise à tous tes désirs. Tu verras, la semaine prochaine, si tu le veux bien, je serais encore plus offerte ».
Je lai fixé et jai tiré le drap pour la découvrir totalement.
« - Pourquoi attendre la semaine prochaine ? ».
Mes mots ont fait leffet dun coup de cravache. Elle a frissonné et jai senti son corps se raidir. Imperceptiblement, elle a écarté un peu ses cuisses. Je contemplais sa chatte et je sentais que ce regard la troublait au plus haut point.
« - Pour commencer, je veux tu te rases le minou pour notre prochain rendez-vous ».
« - Philippe va trouver ça bizarre, non ? ».
« -Tu lui diras que cest une nouvelle lubie, que tu en avais envie. Tu vas voir, si ça se trouve, il va retrouver de la vigueur ».
« - Ce ne sera jamais aussi bon
».
« - Cest autre chose Séverine, on samuse juste à explorer nos fantasmes. Est-ce que Philippe tencule ? ».
« - Non, il naime pas ça. Mais je lai fait avec Vincent quelques fois Il était jeune. Cétait un bon coup, fougueux, mais il manquait dexpérience ».
« - Ton petit trou sest bien offert tout à lheure pourtant. On aurait même dit, quil réclamait plus, non ? ».
On a continué à discuter comme cela. Jutilisais volontairement des mots très crus et je la sentais brûler de partout. Ses tétons pointaient. Elle avait la voix légèrement enrouée et ce trouble saccentuait devant lobservation attentive que je faisais de ses trésors intimes. Je savais quelle avait constaté que je bandais, la bosse déformait le drap. Sa langue gourmande glissait sur ses lèvres maquillées sans quelle maîtrise véritablement geste.
« - Tu as envie que je te fourre ? »
« Oh oui, je veux encore et encore. Je dégouline ».
Je lui ai montré ma bitte.
« - Viens tasseoir dessus. Tournes toi, je veux voir ton cul sempaler sur ma queue. Allez, débrouilles toi toute seule, comme une belle pute que tu es ».
Elle sest mise au dessus de mon vit, puis a baissé lentement ses hanches. Elle écartait bien les cuisses et ses fesses ont avalé mon dard. Elle a commencé à faire des va et vient et je lui ai fessé un peu la croupe. Elle tressautait de plus belle. Jai posé mes mains sur ses globes et mon pouce à pénétrer son anus un peu brutalement. Séverine a hurlé, accélérant le rythme. Elle débordait, on entendait le bruit de ma verge dans sa mouille. On est venu en chur.
Après, je me suis essuyé et Séverine a voulu prendre un mouchoir en papier pour faire de même.
« - Mets ton string et rentres comme cela. Dans ta voiture tu sentiras ton jus et mon sperme mélangés. Vendredi prochain, je viendrais chez toi, ok ? ».
« Philippe ne sera pas là, tu peux venir à partir de 12h30 ».
Ses yeux brillaient à lévocation de ce futur rendez-vous. Le jeu commençait à peine.
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