La Patronne

.Cette histoire vraie s’est déroule en Afrique, en Cote d'Ivoire. Elle ne quitte plus ma mémoire depuis, et mon bas ventre bouillonne à chaque fois que je pense a ma patronne. C'était une femme mure, la quarantaine, une belle blanche comme on en voit dans les séries télévisées, avec en sus une paire de fesses à faire bander un eunuque. Moi, j'étais le chauffeur au patron. Pourtant de temps en temps, il me donnait de conduire madame faire des courses. Et je passais tout le trajet à la reluquer dans mes rétroviseurs, à suivre ses déhanchements quant elle marchait devant moi. Souvent, je me pressais de lui ouvrir la portière en espérant entrevoir son dessous au moment de descendre, écartant ses belles cuisses. Puis, vint un jour, ou je remarquai qu'elle aussi jetais de temps en temps un coup d’oeil dans le rétro pour me zieuter, en écartant un peu les jambes. Je compris alors que ma patronne pouvait vouloir la même chose que moi dans mon phantasme préfère.Un jeudi, alors que son mari bavardait a lui reprocher je ne sais quoi, elle me fit appel et m'ordonna de la conduire au centre ville. En route elle s'excusa pour son attitude et se mit à me parler.Elle était dans une robe noire en soie très ouverte par le cote. En causant elle fit tomber sa boucle. Etant à un feu je lâchais le volant pour la chercher et la lui remettre. Surprise ! Abaissé, je tombai sur des cuisses légèrement ouvertes et la blancheur d'un slip en dentelle. Mes yeux se figèrent à cette image. Comme pour me laisser l'espace pour trouver plus rapidement ce que je cherchais, madame souleva une jambe, écartant ainsi une cuisse. Je vis le slip se détendre pour laisser voir à travers la dentelle des lèvres un peu couvertes d'un sombre manteau de poils bien tailles. Une bonne odeur féminine vint inonder mes narines. Mais il me revint que j'étais en face de ma patronne, une dame de quarante deux ans, et moi je n'en avais que vingt quatre. Je me relevais soudainement et lui remis sa boucle.

Le feu passa au vert et nous avancions. Sur le coup je senti mon sexe remplir mon pantalon, et je croisai presque mes jambes pour cacher ma grosse bosse. Elle me regardait dans le rétro avec un sourire et passa sa langue sur ses lèvres : « salope je te baiserai un jour, je te foutrai ma grosse pine dans ton gros vagin>> que je me répétais pendant tout le trajet. Ce jour je fit l'amour à ma copine comme jamais en pensant au slip blanc et la vulve de ma patronne. Le lendemain, je la vis dans le hall se dirigeant vers moi. Je me remis à bander comme un fou. La présence de son mari à coté d'elle dans la voiture n'y fit rien.Soudain elle proposa a son mari d'aller s'acheter une robe.Ce dernier prétendit une réunion pour échapper a cette corvée, qui n'en sera pas une pour moi…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!