Délires 2
Maïa ondule sur moi, seul mouvement quelle est capable deffec avec les liens qui nous unissent. Mon excitation est telle que je suis bandé à lextrême. Mon sexe est totalement englouti dans celui de Maïa qui sagite sur moi. Son sexe est étroit et comprime le mien
ses muscles internes frémissent, se contractent sur ma verge agissant comme une main qui me masturberait de lintérieur de son vagin. Nos visages se sont unis, sa bouche est colée à la mienne, sa langue me pénètre cherchant la mienne. Je la sens à bout, prête à jouir, ses mouvement saccélèrent je sens aussi que je ne pourrai pas me retenir longtemps.
Une voiture entre dans le parking, nous éclaire et sarrête. Cela amplifie encore notre excitation et lon est à bout tous les deux
Maïa à toujours sa bouche sur la mienne, dans la mienne
elle me suce, me dévore la langue en me regardant dans les yeux.
Un appel de phares, la voiture sarrête à quelques mètres de nous
nous sommes éclairés de plein fouet comme sur une scène de théâtre
mais nous sommes arrivés au point de non-retour et cela nous excite encore plus, nous devons achever, là en pleine lumière, on sen moque ! Maïa gémit, ses yeux se révulsent, je la sens partir en plein délire, elle tente malgré nos liens, de sécarteler encore plus pour me pénètre encore plus profondément. En sécartelant ainsi elle moblige en raison de nos liens, à mouvrir encore plus
Mais je suis à bout, je sens que je vais exploser ! Je gémis aussi et si Maïa navait pas sa bouche plaquée, vissée sur la mienne, je crois bien que nous serions en train de crier tous les deux !
Quelquun sort de la voiture et vient vers nous. A cause de léclairage, je suis totalement ébloui et ne vois quune forme, mais on dirait une femme
et puis je men moque maintenant, je suis en plein délire
je suis si excité de me montrer ainsi que même sil y avait 100 personnes je nen serai que plus excité !
Cest une femme
cest Créssy
elle ne dit rien, se positionne derrière Maïa, se baisse un peu et me saisit les testicules dune main et lautre se glisse entre nos corps, saisit un sein de Maïa et commence un doux malaxage
Cette nouvelle sensation provoque mon explosion ! Maïa maccompagne ! Cest inhumain, elle lâche ma bouche et nos cris surgissent en même temps ! Cressy me masse, me serre les testicules, les pressant pour en extraire tout leur contenu
je me déverse en Maïa, dun flot ininterrompu.
La main de Cressy poursuit son malaxage jusquau bout. Puis son étau se dé serre, devient caresse. Maïa atterrit, halète moins fort, une larme coule sur sa joue, elle membrasse à nouveau fougueusement, amoureusement
Je sens une partie de mon sperme couler sur nos jambes
Cressy se redresse :
- Eh bien vous deux !!! On ne peu pas vous laisser sans surveillance 2 minutes sans que vous ne fassiez des bêtises, dit-elle en riant !
Elle nous détache, sort une boîte de Kleenex de la voiture et nous propose de nous essuyer et de monter dans lauto. Je suis toujours nu et frisonne maintenant que Maïa ne me réchauffe plus de son corps. Je messuie également avec des lingettes humides que Cressy a mis à disposition et retrouve Maïa qui en fait de même sur son sexe et ses jambes. Nous montons vite à larrière de la voiture et Maïa se love contre moi, vient de blottir dans mes bras, me réchauffant de sa chaleur et partageant labri offert par son poncho. Nos mains se rejoignent sous la fourrure, nos lèvres se retrouvent, puis nos corps
Cressy après avoir chargé la chaise dans le coffre, nous voyant ainsi enlacés a un mouvement de jalousie puis se penche vers nous, nous caressent à tour de rôle, nous embrasse, nous cajole
- Vous vous aimez bien, dirait-on ? Cela vous a plu ?
Nos yeux seuls répondent, mais jattire Cressy vers nous et lembrasse à son tour.
- Je noublierai jamais tout ce qui arrive cette nuit, lui dis-je. Vous êtes les deux merveilleuses !
- Alors on continue ! Répond Cressy qui sinstalle au volant et manuvre la voiture pour sortir du parking.
Il est environ trois heures du matin, et nous ne croisons que de rares voitures. Les rues sont heureusement désertes car le spectacle que nous offrons doit être très pittoresque
Maïa sest débarrassée de son poncho pour nous recouvrir avec ; mais elle sempresse tellement sur moi que nous sommes à nouveau enlacés et la fourrure ne cache guère nos ébats
Cressy a mis un CD dans le lecteur de la radio et une musique très douce rempli la voiture en plus de nos gémissements.
Après une vingtaine de minutes de trajet sans encombres, Cressy gare la voiture en bord de route, devant un ensemble de petites maisons dhabitations. Lendroit est calme, on se croirait à la campagne. Je dois avouer que trop occupé avec Maïa, je nai absolument pas fait attention à la route et jignore totalement où nous pouvons être
Cressy, nous propose de sortir de la voiture et de la suivre. Nous nous recouvrons le mieux possible avec le poncho et en courrant presque, nous arrivons devant la porte de limmeuble. Celle-ci est fermée par un dispositif de télécommande. Cressy appuie sur lun des boutons des sonnettes disposées à lextérieur et une voix féminine, sensuelle, résonne dans le haut-parleur. :
- Oui ? Cest vous ? Je vous ai vu arriver
Montez vite !
Le verrou se débloque, nous poussons la porte et entrons. La lumière se fait dans le hall grâce à un système de détecteurs. Il ny a pas dascenseurs, ici. Nous empruntons un escalier large. Cressy me retiens par le bras, me retourne vers elle et membrasse en pleine bouche tout en me libérant de la couverture offerte par le poncho de Maïa. Cette dernière sen recouvre de suite me laissant à nouveau nu entre les 2 femmes. Cressy menlace, membrasse à m, me caresse mon sexe dune main. Maïa nest pas en reste, se plaque contre mon dos et me malaxe les fesses
- Maintenant tu dois retrouver la forme, dit Cressy de sa voix suave.
Elle se baisse, me prends les testicules de ses 2 mains et enfourne mon sexe dans sa bouche. Bien quépuisé par tout ce qui est déjà arrivé, je réagis vite à ces appels
je me sens durcir à nouveau. Cressy se relève, et me tirant par le sexe, mentraîne en haut de lescalier. Arrivés au second étage, une porte souvre devant nous. Cressy me tirant toujours par le sexe, entre sans hésiter. Devant nous une femme denviron 35 ans, blonde, pas très grande, assez ronde mais sans excès, un très beau visage encore poupin, de belles lèvres charnues.
Nous ne sommes plus seuls dans la salle de bain. Cressy est revenue avec le caméscope, ainsi que Dévy qui voudrait bien faire ma connaissance. Alors nous sortons de la douche, à demi enlacés, nous nous séchons sous les gentils quolibets de notre hôtesse et sa copine.
- Ils font un beau couple, tu ne trouves pas ? demande Dévy
- Oui, mais maintenant ils ne se quittent plus, Armand nen a plus que pour elle, je suis jalouse, cest quand même moi qui lai rencontré !
- Attend, on va arranger tout çà, mais tu devras aussi men laisser un morceau répond Dévy en venant se frotter contre moi.
Elle entoure mes épaules avec un peignoir en soie jaune vif, très beau, très court qui marrive juste au bas des cuisses, dévoilant mon sexe à nouveau en érection et qui pointe largement dans léchancrure du peignoir.
- Regarde, ce que on peut aussi faire avec un chouchou
Elle se saisit de mes testicules, les enserre du chouchou avec lequel elle fait deux tours. Le chouchou menserre ainsi le bas de mon sexe, augmentant la compression à lintérieur, augmentant le volume de mon pénis en même temps.
- Tu aimes, demande telle ?
- Cest trop bon, jai envie de toi aussi !
Elle ne répond pas, mais reprend le slow interrompu, multipliant alors ses caresses sur moi. Puis elle glisse mon sexe entre ses jambes, remontant sa robe courte par la même occasion. Je la sens totalement nue, disponible sous sa robe. Je fais un geste pour la déshabiller mais elle marrête :
- Attends, pas encore
profite de cette danse
Cressy et Maïa se sont approchées de nous, nous frôlant, puis elles cessent leur danse et collent contre nous commençant alors de lentes caresses sur nos corps pour y attiser un nouveau feu denfer. Maïa soccupe de moi, elle me masturbe après avoir passé sa main entre mes jambes et me caressant sous la robe de Dévy, qui elle est devenue la proie de Cressy qui lui a entouré ses seins de ses mains et les pétris tout en me regardant dans les yeux :
-Elle te plaît aussi ? Tu as envie delle aussi ? Tu narrêtes plus, cette nuit ! Je te lavais dit !
Avant de pouvoir répondre, la bouche de Dévy sest emparée de la mienne et me happe, me suce, me mange la langue avec passion, presque folie. Son bassin ondule de plaisir, et tout à coup je sens une main qui saisit mon sexe, celle de Maïa, menfourner dun coup dans la chatte de Dévy qui gémit, saccroche à mon cou et sempale totalement sur moi !
- Couches-toi par terre ! Commande telle entre 2 soupirs
La portant tant bien que mal, aidé et soutenu par Maïa, je métends sur 2 magnifiques peaux de mouton que Cressy a rapidement disposées au sol. Cressy écarte mes jambes en me tenant par les chevilles alors que Maïa me retiens les par les poignets quelle a joints derrière ma tête. Je suis totalement offert aux caprices de Dévy qui empalée sur moi, sest redressée, sagite, danse embrochée sur mon sexe
Elle est encore parée de sa robe, roulée sur ses hanches, elle se caresse frénétiquement les seins pardessus sa robe. Le chouchou qui comprime mon sexe, caresse aussi le sien et elle sagite encore plus pour profiter de cette caresse supplémentaire. Maïa, se retourne toujours en retenant mes mains au-dessus de ma tête, se place au-dessus de ma bouche et se baisse lentement jusquà ce que son sexe frôle mes lèvres
Je commence à la lécher doucement, avec amour, avec tendresse. Mais je suis tellement occupé par les sensations que me donne Dévy que je ne fais que peu cas de Maïa et je peine à me concentrer sur mon travail. Elle commence alors à onduler sur moi, se masturbant elle-même sur ma langue offerte. Cressy elle aussi encore habillé de sa robe, se caresse tout en maintenant mes jambes écartées. Il y a avait la position 88 qui est celle par laquelle 2 femme soffrent du plaisir sur un homme, mais 3 femmes, je ne connais pas !
Le rythme de Dévy accélère, le mien aussi
La danse accentue les mouvements des 3 femmes et des miens
je suis submergé par de nouvelles sensations de bonheur, denvie, de désir, mon sexe tendu à lextrême, comprimé par le chouchou me fait presque mal, mais cela augmente encore mes pulsions, mes envies. Cressy à demi empalée sur mes orteils, se baisse et me saisit les bourses au-dessous de Dévy, me malaxe à nouveau conne elle avait fait toute à lheure alors que Maïa était sur moi. Elle sait maintenant la sensation que ce geste me procure, encore accentué par la présence du lien qui me serre étroitement. Je ne vais pas tenir longtemps à ce régime
Cressy avec son autre main, me caresse lanus, y pénètre doucement un doigt et commence un doux va et vient. La sensation cumulée à celle procurée par le doux fourreau du vagin de Dévy, est délicieuse, sublime ! Je suis à nouveau au paradis, je plane complètement dans un océan de plaisir, de sensations extrêmes, jen veux encore
encore !
Maïa se retourne, cherchant en même temps à garder le contact de son sexe sur ma langue. Elle fait ainsi face à Dévy, la prend dans ses bras, lembrasse goulûment
Dévy commence à gémir, de plus en plus fort. Maïa laccompagne bientôt dans ses gémissements et moi je nen peux plus
je les suis dans ce concert de cris, halètements, dextase
Et soudain je sens samplifier en moi toutes ces sensations, naître une petite douleur tout au fond de ma prostate et un flot de sperme remonter dans mes testicules dans un bouillonnement orgasmique. Je perds quasiment conscience, tant je suis submergé par ce flot tempétueux qui saisit tout mon sexe, sétend à tout mon bas ventre. Cest inouï ! Ce flot émerge brutalement, est propulsé tout au fond de Dévy qui crie en même temps que moi sous cette avalanche qui se déverse en elle !
Le temps sest arrêté
Dévy est affaissée contre Maïa, puis les deux roulent au sol, se blotissent contre moi, me recouvrant presque totalement de leur corps. Cressy se relève, contemple la scène avec bonheur, avec envie aussi :
- Venez dans la chambre, vous serez mieux pour vous remettre de vos exploits.
Ceci dit, elle se dirige vers une porte au fond de la pièce, allume une petite lampe et je lentends qui se soulage de sa robe, un drap qui se froisse
Maïa et Dévy me libèrent et mattirent avec elles vers la chambre. Nous navons plus la force de nous laver...
Le lit est grand, tout blanc comme le reste. Nous arrivons à tous nous allonger, les uns serrés contre les autres, unis par les mêmes envies, par tout ce qui sest produit cette nuit. Je suis allongé entre Cressy et Dévy . Les 2 se lovent contre moi, Dévy la main sur mon sexe.
- Merci pour ce que tu mas si bien fait, me chuchote telle à loreille avant de fermer les yeux et sendormir.
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