Cécilia, Une Esclave Soumise

Le lendemain j’attendis avec impatience son coup de fil…Qui ne vint pas. J’étais malade de peur qu’elle m’est oubliée. A un tel point que je n’en dormais plus la nuit. Mais le jour suivant ce que j’avais espéré arriva. L’inconnue appela et je faillis m’évanouir, toute la tension accumulée depuis des jours retomba d’un seul coup j’en pleurais de joie.
- Oh maîtresse ! C’est vous ! Je croyais que vous m’aviez oubliée ! Je suis si contente de vous entendre a nouveau ! Je ferais tout ce que vous voudrez, n’importe quoi pour vous, tout.
Elle me demanda de me rendre à une adresse située dans le cartier bourgeois de la ville à en fin d’après midi sans en dire plus. J’ai bien essayé de la questionner mais elle me répondit qu’une esclave me devait pas se poser de question et obéir. Après notre conversation j’étais tellement existée que je dus me masturber pour me calmer. Je me rendis donc au rendez vous une demie heure en avance. J’avais si peur d’arriver en retard ! J’attendis un peu dans la voiture puis, n’y tenant plus je sonnait au portail de la maison. C’était une grande bâtisse, presque un manoir, au delà duquel se trouvait un grand parc. Ce fut ma maîtresse qui vint m’ouvrir la porte.
- Entre petite chienne, je t’en prie. Je voudrais te présenter quelques personnes.
J’entrais dans la maison un peu gênée. Elle me conduisit dans le séjour où se trouvaient quatre personnes puis elle fit les présentations :
- Cécilia voici Cristy et sa soumise Lucie et sur ta droite c’est Julie et sa soumise Sophie. On passer le week-end ensemble.
-Mais maîtresse ! Je n’ai amené aucunes affaires de rechange !
-Tu ne vas pas avoir besoin de vêtements pendant cette période ma petite chérie, puisque tu seras entièrement nue.

-Déshabille toi ! M’ordonna t’elle
J’hésitais à lui obéir car je n’avais jamais exhibée de cette façon. Ma maîtresse le comprit et m’aida à accélérer le mouvement à l’aide d’une gifle.

Mais il fallait avouer que être exhibée et traitée de cette façon commençait a m’exister drôlement, je ressentit une agréable chaleur au niveau du bas-ventre. Une fois entièrement nue, je cachait mon sexe et mes seins avec mes bras honteuse et humiliée.
- Lève les mains bien haut ! Que tout le monde puisse voir.
Une fois son ordre exécuté, Cristy émit un sifflement admiratif :
Oh ! Quelle jolie esclave as-tu trouvé là Karine ! Ses petits seins ronds et sa tignasse rousse m’existent. J’ai bien envie de fouetter son petit cul. Tu me la prêteras, dis !
Je sentis une sueur froide me couler dans le bas du dos quand Karine répondit par l’affirmatif. Quel traitement allais t elle me réserver ?
Julie prit la parole : On commence a l’initier tout de suite ?
-Oui pourquoi pas ?
Karine leurs répondis qu’ils faudrait d’abord me raser la chatte car elle n’aimait pas les poils.
Je me ferais une joie de le faire ! dit Cristy qui ordonna aux deux esclaves d’apporter le matériel.
Karine se tourna vers moi et me demandas de m’asseoir sur le fauteuil situé prés du radiateur. Cristy s’approcha de moi pour me menotter mais je me débattis.
- Laisses toi faire sinon tu seras punie ! Cria Karine
- Non, je vous en supplie pas les menottes ! Implores-je.
Bon puisque c’est comme ça… 30 coups de cravache pour non obéissance !
Je reçut donc 30 coups partout sur le corps plus je criait, plus elle riaient.
-Hum elle aime ça la cochonne ! Tu en veux encore ?
-Non, je ferrais tout ce que vous voudrez !
- C’est bon attache lui les bras et tien lui les jambes écartées que je l’attache au fauteuil.
Je me laissais faire comme une esclave docile. J’étais maintenant à leur merci bras attachés et jambes écartées. Le fait d’être réduite à l’impuissance produisait chez moi une étrange sensation. J’avais très peur bien sur mais j’étais aussi très existée. Ma chatte ouverte de cette façon, elles purent facilement remarquer que je mouillais.

- Mais regardez, elle mouille cette petite pute !
Karine introduisit ses doigts sans ménagement dans mon vagin.
-C’est vrais ! Sophie va chercher le gode vert dépêches toi !
Sophie posa le rasoir et sortit de mon champ de vision. Cristy s’avança et commença à me pétrir les seins. Karine me doigtait rapidement la chatte à l’aide de tous ses doigts. Je poussais de petits gémissements, mes cuisses ouvertes réclamaient toujours plus de caresses.
-Elle est bien lubrifiée, tu peux essayer de lui rentrer le gode. Mais je ne te promets rien, elle est si étroite !
J’aperçut le gode. Il était énorme. Si énorme !! Une peur panique me prit. Je me débattis mais j’était solidement attachée et a leur merci.
- Non mais regardez la !! Elle tremble comme une feuille !
Ce fut Cristy qui prit la place entre mes jambes et empoigna le gode vert. Je ne tremblais plus. J’étais tétanisée par la peur ! De grosses larmes coulaient sur mes joues. Karine me les léchas puis me souffla a l’oreille :
-Tout sera bientôt fini. Si tu restes sage tu auras un joli cadeau.
Elle ne me laissa pas le temps de parler et me posa délicatement un baîllon sur la bouche. L’instant d’après le gode me pénétra, déchira mes chairs. Je poussais un hurlement étouffé par le bâillon. Chaque vas et viens du gode était pour moi une . Cet instant sembla durer une éternité. Et, quant enfin ce fut terminé j’entendis la douce voix de Karine à mes oreilles :
-Tu as été très courageuse ma petite chienne, tu mérite une récompense.
L’instant d’après je sentis sa langue pénétrer mes chairs devenues sensibles. Mais elle faisait preuve d’une grande douceur. Mon plaisir s’accentua peu a peu et je ne tardais pas à jouir sous ses coups de langues. Mais la sensation de plénitude provoquée par cet orgasme laissa vite place à une fatigue intense.
- oh ! Ma chérie tu as l’air épuisée !
Elle me débarrassa de mes liens. Je tentais de me relever mais je m’écroulais sur le sol car la circulation dans mais jambes était coupé.
Karine me les massa pour la réactiver, et me soutenant a demi, me mena jusqu’une chambre un bout d’un long couloir.
- Couches- toi. Ordonna Karine.
Je ne me le fis pas dire deux fois. En un instant, j’était sous la couette et fermais déjà les yeux.
- Bonne nuit petite chienne ! On ne t’a pas encore rasée mais on s’en occupera demain.
Je n’eu même pas la force de lui répondre car déjà le sommeil m’emportait…


A suivre….

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