Une Première Fois Pour Elle
A lépoque javais 24 ans et jétais célibataire. Javais une copine mariée, 2 s, que je rencontrais parfois, après le boulot, dans une chambre de bonne appartenant à son mari. Elle avait lhabitude de laisser la clé chez la concierge pour que je la récupère si jarrivais avant elle.
Un samedi, sachant que son mari était absent, je suis passé chez elle. Elle nétait pas seule, les s étaient là, ainsi quune jeune fille de 19 ans, d1 m 60 pour 45 kg, quelle ma présentée. Je lai raccompagné au métro et nous avons échangé nos N° de téléphone. Par la suite on sest rencontré le soir, après le boulot. Suivant lheure, on se raccompagnait en discutant ou on sinstallait à la terrasse dun café car nous habitions lun et lautre chez nos parents.
Il y avait quelques mois que ça durait et à chaque rencontre jétais de plus en plus tendu et nerveux.
Un jour je lui ai dit que javais envie delle. Je lui ai donné rendez-vous le samedi suivant, à 3 h, au métro Palais Royal. Franchement, javais tenté ma chance et ne croyais pas quelle viendrait. A tout hasard javais récupéré la clé chez la concierge avant de me rendre au métro. Je suis arrivé en avance. Elle mattendait. Javais dans lidée de lemmener dans la chambre de bonne non loin de là.
Jen avais parlé à ma copine et elle était daccord pour me la prêter, sans toutefois lui dire qui je comptais y emmener.
Bien que réticente au début, car je ne lui ai pas caché que javais de plus en plus envie delle, elle a accepté de maccompagner. Elle est montée devant moi, au 6 ème, sans ascenseur. Il ny avait là quun mobilier rudimentaire avec lavabo, table, chaise, armoire, un grand lit, toilettes à la Turque sur le palier. Je lai fait asseoir sur le lit pour souffler un peu, car, mêmes jeunes, 6 étages cest dur !
Nous avons parlé de choses et dautres. Elle ma demandé à qui appartenait la chambre. Je le lui ai dit et elle en a été étonnée. Mais je lui ai assuré que je navais pas dévoilé qui allait maccompagner là haut.
On sest embrassé tendrement, puis jai commencé à la déshabiller. Elle sest laissée faire. Après avoir enlevé sa culotte, je lai poussé sur le lit et jai essayé de glisser un doigt dans sa chatte, mais elle a serré les cuisses et ma dit « non pas ça » Une fois nue, elle sest allongée. Elle ma regardé me mettre à poil et, lorsque jai enlevé mon slip, elle a vu mon sexe en érection. Je me suis mis à côté delle. Je lai bécoté et caressé partout, mais elle gardait les jambes serrées, même si je lui broutais le gazon. Pourtant je sentais ses seins durcir sous la caresse et les mamelons sériger dans ma bouche. Je lai retourné, jai caressé ses fesses et essayé de passer mon doigt dans la raie, rien à faire, elle les resserrait. Je la sentais tendue, crispée. Elle ne soccupait pas de mon état et ne participait pas, passive, évitant de toucher mon sexe bandé à lextrême. Me mettant au-dessus delle, jai appuyé ma queue sur sa bouche, mais elle a tourné la tête en me repoussant.
Découragé, je me suis assis au bord du lit. Jai voulu savoir ce qui motivait son attitude.
Après bien des hésitations, la poussant dans ses derniers retranchements, elle ma avoué quelle était gênée parce quelle venait davoir ses règles, ne lavait jamais fait et quelle avait un peu peur. Elle avait vu mon engin lorsque je me suis déshabillé, le trouvait trop gros et ma dit quil ne pourrait jamais entrer en elle. (5 x 16 en érection, avec une tige moins grosse que le gland)
Que faire ? Je ne bandais plus, mais la vision de ce ventre nu, de cette chatte noire et touffue dissimulant la fente, de ses jolis petits seins, ma remis en forme. Je ne voulais pas la brusquer, cest pourquoi jai pris mon temps. Cétait dur dattendre son bon vouloir ! A genoux au-dessus delle, jai repris les caresses et les tendres baisers appliqués aux endroits sensibles.
Je suis allé chercher une serviette quelle ma aidée à glisser sous elle. Je sentais sa poitrine durcir dans ma main, ses tétons sériger dans ma bouche, son corps frissonner sous ma langue. En la forçant un peu, jai réussi à passer mes doigts entre ses cuisses, à dégager et titiller son petit bouton. Sortant de sa passivité sous leffet de cette caresse très précise, elle sest mise à tressaillir et à remuer le bas ventre. Allant plus loin, jai écarté ses lèvres et fait tourner un doigt sur lentrée du vagin. Je me suis rendu compte quelle mouillait abondamment. Cest alors quelle sest ouverte comme une fleur dans la rosée du matin, a enfin écarté largement les jambes, sa respiration sest accélérée. Cétait le moment. Je me suis mis sur elle. Pour la première fois, elle a pris mon sexe derrière le gland et la placé devant son orifice. Jai poussé doucement pour le dilater. A un certain moment jai vu que je lui faisais mal mais je ne pouvais plus attendre, jai accentué la pression. Elle a eu un faible »Aie aie «, des larmes sont apparues sur ses joues quand elle a perdu son petit capital et que mon gland est entré en elle. Je me suis arrêté dans lentrée, sans bouger, attendant quelle se calme. Elle avait mis ses mains sur ma poitrine comme pour me repousser. Alors jai caressé ses seins et embrassé ses tétons pour la détendre. Puis, sentant quelle remontait le bassin, prenant appui sur ses épaules, jai fini de la pénétrer dun seul coup, la faisant gémir. Elle a relevé les jambes et ma accompagné, se cambrant et se relâchant au même rythme que moi. Passant mes avants bras sous ses cuisses, sans la quitter, je lui ai ramené les genoux au niveau des épaules pour mieux la combler. Je lai limée dabord lentement, ensuite un peu plus vite, allant de plus en plus loin en elle. Ma verge a réussi à entrer jusquaux couilles, lesquelles battaient contre son cul. Chaque coup de queue la faisait gémir de plus en plus fort, presque crier.
Cette fois elle sest levée, du sperme coulait le long de ses cuisses. Elle est allée au lavabo, sest lavée et rhabillée. Jai fait de même. Jai remis de lordre dans la chambre, mis la serviette tachée de sang et de foutre sur le dossier de la chaise. Je voyais à son air que quelque chose nallait pas, il me semblait quelle avait envie de pleurer. Ca faisait plus de 3 h que nous étions dans la chambre. Nous sommes redescendus et, en passant devant la loge, jai rendu la clé à la concierge, laquelle na pas vu qui était avec moi. Je lai raccompagné jusquau métro. On sest installé à la terrasse dun café pour discuter un peu. Elle ma demandé si elle mavait déçu. Je lui ai répondu que pour une première fois elle avait bien réagi. Est ce quelle avait eu mal ? Elle ma dit : au début, oui, quand tu mas déchiré la douleur a été vive, ça ma un peu bloqué. Ensuite ça allait, cétait quand même un peu douloureux mais de plus en plus agréable, jai bien aimé avoir ta grosse pine en moi. Elle me comblait. Jai aimé sentir ton sperme gicler au fond de moi mais, contrairement à toi, je nai pas joui. Je lui ai assuré que cétait normal la première fois, que ça viendrait plus tard. Mais en me quittant, elle ma dit quelle ne voulait plus me revoir. Je lui ai demandé pourquoi ? Cest comme ça, ma- t- elle répondu. Vraiment, là, je nai rien compris. Pourquoi sest elle donnée à moi ? Je crois avoir fait ce quelle voulait, devenir femme.
Et ça na pas été facile pour moi. Allez donc rendre service !
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