Promenons Nous Dans Les Bois
Si il existe une saison des amours chiennes, il doit sagir de lété. Les hormones en ébullition, la libido grimpe en flèche, les fantasmes sont chauffés à blanc. Le soleil, les nuits douces, tout concourt pour faire ressortir mon tempérament de chienne. Et quand loccasion de baiser, enfin plutôt de me faire baiser se présente, je ne la loupe pas.
Cela sest passé en juin 2005. Ou plutôt cela a commencé en juin 2005. Tout a commencé un vendredi après midi. Ce jour là, javais pris ma R.T.T. et avait passé laprès midi avec des amis dans un café près du Château de Vincennes. Je rentrais seul chez moi en longeant le Bois de Vincennes.
Pris dune soudaine envie pressante, je quitte le trottoir et mengage dans le sous-bois pour me soulager. En déboutonnant mon jean jai entendu du bois craqué. Un animal me suis-je dis ou un jogger sur le chemin tout près. Mais pendant que je pissais, je remarque que je ne suis pas seul : un homme s'approche et sort sa queue pour la branler devant moi. Il est un peu plus membré que moi, plus grand aussi. Javais lu quelque part que le Bois de Vincennes était un lieu de rencontres pour hommes et quil sy passait certaines choses. Mais jétais loin de penser à ça quand je me suis aventuré dans ce sous bois. Lhomme se branlait en me regardant, sa queue prenant de plus en plus de volume. Après m'être soulagé, je reste avec mon sexe à la main, je mapproche de lui. Il avait la quarantaine et ressemblait à ce type dhomme la quarantaine marié, probablement insatisfait avec sa femme et qui aime à compenser avec un mec. Je mapproche donc de lui, et pose une main sur son sexe déjà raide. Il me sourit sans un mot, alors prenant son sourire pour un encouragement, je lui prends le sexe à pleine main et le branle un petit laps de temps. Il ne disait rien mais semblait apprécié mon initiative. Alors sans un mot, je magenouille, le fixe du regard avec un grand sourire et ne tarde pas à poser ma langue sur son gland tout en le regardant droit dans les yeux.
Je suis sortis du sous bois, satisfait de moi, me disant que peut être quun mec en me voyant se disait « encore une tapette qui vient de se faire sauter ! ». Mais je men moquais. Javais aimé ce plan en extérieur. Ce nétait la première fois que je suçais en extérieur, en pleine journée et cela mexcitait toujours autant.
Le vendredi suivant, jai repris une R.T.T. et à la même heure que la dernière fois, je me suis rendu dans le sous-bois. Avec cette fois une idée derrière la tête. Javais une véritable envie de sucer. Une envie de queue tout simplement. Le mec que javais pompé la semaine précédente, était là et me voyant arrivé, il a sortis sa queue directe. Je lai pompé une nouvelle fois. En se rhabillant, il me dit quil avait espéré me voir dans la semaine. Je lui ai laissé mon numéro de téléphone. Pendant un mois et demi, cet homme dont je ne connais pas le prénom, me fixait rendez-vous par sms en début de soirée. Pendant un mois et demi, je le rencontrerai 3 soirs par semaine pour lui tailler sa pipe. Puis, du jour au lendemain, plus de nouvelles, plus de sms. Un samedi après midi que je memmerdais, je me suis rendu au Bois, espérant le rencontrer par hasard.
En septembre, je passais par le Bois après le boulot. C'est devenu comme un passage obligé pour moi pendant quelques semaines. En rentrant du boulot, je m'y arrêtais donc, avec à chaque fois, lespoir de rencontrer une queue à pomper, un mec qui me prendrait le cul. Javais pris goût à ses plans extérieurs, surtout depuis que je me suis fais mater en train de faire enculer. Certains soirs, il ne passait rien, parfois, cest moi qui me faisait pomper. Au début, je partais la nuit tombée. Mais un soir où je navais rencontré personne, je suis resté plus longtemps. Il faut dire aussi que les jours raccourcissant, la nuit arrivait plus vite. Ce soir là donc, en déambulant dans le Bois, jai du pomper une dizaine de mecs. Je suis rentré vers deux heures chez mois. Quelques jours plus tard, jai remis ça. Alors que je déambulais sur un des chemins du Bois, il faisait encore clair, un mec me suivait, je l'entraîne dans un des sous bois et attends qu'il me rejoigne. Il rapidement derrière moi avec son sexe à la main, il est aussi grand que moi mais semble mieux équipé, sa bite fait facilement 20 cm x 5,je me dit que je vais me régaler.
- Cest ton cul de salope que je veux.
- Prends le
. Murmurais-je.
Il me place les mains contre un arbre en me faisant cambrer en arrière. Il me baisse le pantalon et mon slip. Je sens le vent frais sur mes fesses. Il mécarte les cuisses et les bloques avec mon pantalon à peine au dessus des mollets. Je suis dans une situation que jadore : je vais me faire sauter, par un mec que je ne connais pas. Jai donc le cul à lair et suis entrain de me faire caresser lanus par cet homme qui dirige les opérations. Je le laisse faire. Il se mets à me caresser l'anus et commence à me doigter. Quand il juge mon cul suffisamment prêt, je lentends mettre une capote. Il pointe sa bite face à l'entrée de mon cul, il donne alors une petite poussée et son gland mouvre lanus. Par des petites poussées successives et rapides, je sens sa queue senfoncer inéluctablement en moi. Quand sa queue arrive jusqu'au fond de mon cul, il m'encule sans se presser, comme s'il voulait prendre son temps. Ses coups sont lents mais francs. Je sens bien sa queue coulisser dans mes entrailles, dautant que mon pantalon mempêche de bien écarter les jambes. Quand il semble accélérer la cadence j'entends marcher devant moi. Je redresse la tête et vois un autre homme qui s'approche et me présente aussitôt sa grosse queue. La clarté de la lune est suffisante pour mapercevoir quil semble bander dur. Jai envie de lui dire « attends quil ai finis et ce sera ton tour ». Il demande à mon enculeur si je peux le sucer. Mon enculeur qui réponds "bien sûr ! ». Alors il arrête ses coups et tout en gardant sa queue dans mon cul me fait lâcher larbre et me penche en avant. Le deuxième mec matt par les cheveux et me fourra sa queue dans la bouche. Sa queue sent un mélange de foutre et de pisse.
Il ne sest pas gêné non plus pour proposer à un autre mec que je ne voyais pas de menculer. Celui-ci a accepter et je me suis retrouvé à quatre pattes en train de me faire enfiler par quelquun que je ne navais jamais vu. Il jouis assez vite et est repartis aussitôt. Je navais quasiment rien senti
. Linconnu, qui était toujours là, sest ressapé. Il sest approché de moi et après mavoir roulé une pelle, ma demandé mon numéro de téléphone.
- Une pute comme toi, il faut que je garde contacte avec elle.
- Je peux avoir le tien ?
- Cest moi qui te contact Chéri.
- Ok.
- Je rentre. Amuses toi.
Je suis rentré chez moi tard. Non sans mettre fait de nouveau enculer.
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