Le Grand Écart De Jeanne
Jeanne que vous commencez à connaître, fait de la gym et de la danse pour conserver ce corps de rêve qui me fait bander comme un âne, surtout dans les situations insolites et non préméditées.
Ce soir là j'étais passé la chercher à son cours de danse, et comme j'étais en avance, je m'installais sans bruit au fond de la salle observant avec gourmandise tous ces corps moulés dans des maillots multicolores et très moulants, que les poses prises ne faisait que révéler soit des seins aux tétons fiers soit une fente dans laquelle le maillot pénétrait légèrement.
Ayant passé une journée plutôt triste et sans intérêt, cet épisode provoquait chez moi une belle érection que je cachais avec mes bras posés sur mes genoux.
Le cours terminé sur l'ordre du prof, qui était assisté de son épouse, les élèves applaudirent puis partir vers les douches.
Jeanne m'embrassa en passant et me demanda si le spectacle m'avait plu, je lui fis voir la bosse qui déformait mon jean et elle se passa la langue sur les lèvres.
Les deux profs qui étaient restés à discuter des progrès des élèves vinrent me saluer, en me disant que Jeanne avait fait beaucoup de progrès et qu'elle parvenait maintenant à faire le grand écart.
Je leur répondis que j'étais fier de mon épouse mais qu'elle ne m'avait pas encore montré cet exercice.
La femme une petite brune de 40 à 45 ans, bien roulée, (la danse) avec des seins qui semblait défier l'apesanteur me dit avec des yeux brillants que Jeanne pourrait nous montrer ses talents.
Cette phrase qui semblait banale, dite par cette femme et de la façon dont elle fut dite laissait augurer que Jeanne ne prenait pas que des cours de danse dans ce cours.
Je n'étais pas étonné car Jeanne m'avait laissé entendre que parfois lorsque mon travail me retenait elle finissait la soirée avec le couple qui lui apprenait d'autres positions que celles d'un corps de ballet.
Les élèves sortaient une à une des douches et après nous avoir salué quittait la salle.
Au bout d'un moment, ne voyant pas Jeanne sortir, j'interrogeais ses profs qui me dirent avec un sourire malicieux d'aller voir dans les douches.
J'entrais donc dans la salle embuée et entendis des rires des soupirs et le jet puissant d'une douche.
Je quittais mes chaussures, mon veston et m'approchais de ces gloussements sans équivoque.
Jeanne était a genoux dans le bac et bouffait goulûment la chatte d'une jeune fille d'une vingtaine d'année, laquelle entièrement épilée lui appuyait sur la tête pour que la langue vicieuse de mon épouse la pénètre au plus profond comme une bite.
Jeanne jeta un regard de coté et continuant son ouvrage me fit signe de me joindre à elles.
Je déposais donc mes vêtements sur un banc et entrais sous la douche me saisissant des seins de la jeune fille qui me chopa la queue et se mit à me branler avec force.
Je glissais ma queue entre ses jambes par derrière et Jeanne en profita pour me sucer le gland qui jaillissait entre les lèvres gonflées de la jeune salope qu'elle gouinait.
Dans le feu de l'action, je n'avais pas remarqué les deux profs qui s'étaient mis a poil
et nous faisaient signe de venir les rejoindre dans une petite salle réserve à la gym et dans laquelle des tapis de mousse couvraient le sol.
Le mari s'allongea sur le dos et invita Jeanne à me montrer comment elle faisait le grand écart.
Jeanne, la jeune, le couple et moi étions nus, le mari avait un sexe pas très long mais trapu, parcouru de veines bleues et saillantes avec un gland violacé proéminent qui promettait à Jeanne une pénétration difficile mais jouissive comme elle les aime.
Jeanne fit deux trois mouvement d'assouplissement, puis pris le sexe de l'homme dans sa bouche ce qu'elle fit avec difficultés vu la grosseur mais elle l'avala entièrement le baignant de salive.
Elle se positionna ensuite au dessus de cette belle verge et descendit son grand écart jusqu'à être profondément baisée, l'homme commença alors de lents mouvements ramonant la chatte gourmande de ma chienne de femme qui commençait à gémir.
Pendant ce temps les deux femmes ne restèrent pas inactives, la jeune gobant mon sexe et la prof me léchant les couilles par en dessous, remontant parfois sur mon anus en y enfonçant la langue qu'elle vrillait dans mon fondement.
Les gémissements des uns se mêlant à ceux des autres, le ballet des corps mêlés, enchevêtrés, échangés, sucés, léchés, puis arrosés de la cyprine des femmes ou du sperme des hommes formaient un spectacle qu'un chorégraphe génial et diaboliquement invisible semblait mettre en scène.
Au bout de deux heures notre débauche amoureuse prit fin, pour se poursuivre dans une boite spéciale, mais cela fera l'objet d'un autre récit.
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