Decouvertes D'Adolescence
Je rêvassais ce matin là, regardant dans la rue par la fenêtre du bureau quand je vis un petit bout de femme passer accompagnée de deux s... je lai reconnue de suite
cétait elle
Sabrina
Sabrina, cest mon amour de jeunesse
nous avions 16 et 17 ans quand nous nous somme connus. On vivait dans la même petite ville. Je la croisais régulièrement, me disant quelle était mignonne, ceci depuis plusieurs années mais je la laissais, semble til, indifférente. Elle navait rien dun canon de beauté : petite, un peu boulotte, cheveux noirs coupés assez cours. Javais dit a mes potes quelle me plaisait bien. Ceux ci avaient ricané en me disant que cétait un boudin et quelle devait être bien coincée
ils avaient peut être raison
Jusqu'à ce que cette boite mobile vienne ce samedi soir dans notre petite ville. Il y a vingt ans, cétait lévènement de lannée pour les quelques jeunes de la ville. Il faut dire quon se fait royalement chier, a la campagne. Cétait LA sortie.
Jy suis allé avec ma bande de copains et, évidemment, Sabrina y était avec sa bande de copines
Le truc classique, jai attendu la vague de slows, elle a accepté mon invitation et nous sommes sortis ensembles. Sabrina nétait pas plus coincée que les autres. Jai pu lui caresser les fesses a travers son jean pendant les slows, passer mes mains sous son tee-shirt pour lui toucher la poitrine, par contre, pas question de passer sous le pantalon, elle me lavait fait comprendre en me repoussant lorsque je tentais de le faire. Ce nétait pas une surprise, dans les années 80, à la campagne, la majorité des filles étaient, en majorité, encore vieux jeu. Je le savais, javais tenté, pour voir
bon, ce nétait pas grave, jétais bien avec elle. Je voyais les copains, a la buvette, me regarder avec un air désolé, ne comprenant toujours pas pourquoi je métais attiché de cette fille, à leurs yeux, plus que moyenne. Je men foutais, je la trouvais belle, Sabrina
la boite a fermé vers 4 heures du matin, évidemment, jai raccompagné Sabrina jusque devant chez elle.
Le lendemain, elle était déjà la lorsque je suis arrivé, elle était assise seule a une table en train de siroter un coca. Je me suis assis en face delle, trop heureux quelle ne mai pas posé de lapin. On a discuté puis on est allé faire un tour
disons quon est allé sisoler dans un vieux lavoir abandonné pour sembrasser, se toucher. Jai été surpris quelle me caresse lentrejambe a travers mon jean tandis que je lui prenais les seins a travers son petit pull. Cétait chaud, plus je lui massais la poitrine, plus sa caresse se faisait insistante. Elle allait me faire gicler rien quen me caressant. Jai passe mes mains sur ses fesses que jai pétries a travers létoffe de son caleçon long. Jadore ce style de caleçon qui mettent en valeur les formes féminines, dont létoffe est assez fine
dommage que cela soit passé de mode
je sentais nettement sa petite culotte a travers le tissus. Je passais mes doigts dans la raie de ses fesses. Sabrina respirait de plus en plus fort. Ny tenant plus, jai voulu lui baisser son caleçon. Elle men a dissuadé, mexpliquant quelle ne prenait pas la pilule, quelle avait peur que ses parents, très a cheval sur les principes, ne saperçoivent quelle avait fauté. Je nai rien dit, très frustré. Je bandais comme un âne dans mon jean, je nen pouvais plus.
« Regardes dans quel état je suis » lui ai je dit. « Tu mas chauffé a mort ».Sabrina a remis sa main sur la bosse qui déformait mon jean. Elle a juste dit « attend.. ». Elle sest mise a genoux devant moi et ma dégrafé mon jean. Je lai aidée en extrayant de mon caleçon, mon sexe en érection, le gland violacé, comme sil allait éclater. Je nosais pas y croire, jallais avoir droit a ma première pipe. Il nen fut rien. Jai vite compris que cétait une première pour Sabrina qui, toute rougissante regardait mon sexe bandé, se redressant par a coups sous la pression .
-vas y, touche le
»
Elle a empoigné ma bite pour la branler maladroitement. Le top ! Cétait la première fois quune fille me touchait. Tout de suite, jai senti mon plaisir monter, je nai pas eu le temps de la prévenir. Mon sperme a giclé en longues saccades. La premier giclée est allée atterrir dans les cheveux de jai de mon amoureuse qui, surprise a juste eu le temps de détourner la tête pour éviter de se prendre le deuxième jet en plein visage. Cest dans sa nuque et sur son épaule que ma semence a atterrit. Je navais jamais tant éjaculé, javais limpression que ça nallait pas sarrêter. Sabrina, tête baissée, le visage de coté, attendait que cette pluie épaisse cesse, sa main toujours serrée autour de mon sexe qui se cabrait a chaque salve. Javais les jambes en coton quand ma jouissance sest apaisée. Toujours agenouillée, Sabrina se regardait, constatant le désastre
elle avait des coulures de foutre sur son pull grenat, ses cheveux
»Ho putain
jen ai partout de ton jus
»
Elle sest essuyée avec des kleenex que javais sur moi. Elle a retiré son pull pour le mettre a lenvers et lattacher autour de sa taille. « Je le planquerai dans ma chambre et je le laverai en douce parce que jimagine le scandale si ma mère découvre du sperme sur mes fringues
ben dis donc, je tai fait de leffet
jen ai mouillé ma petite culotte de te voir gicler comme ça ». On sest embrassé, jai voulu lui rendre la pareille en passant ma main dans son caleçon. Sabrina ma laissé le caresser a travers sa petite culotte trempée. Agrippée a moi, elle a laissé le plaisir monter en elle, jusqu'à la jouissance qui la faite gémir. Jai du la retenir pour quelle ne tombe pas par terre
Jétais de plus en plus amoureux delle et, apparemment, cétait réciproque. Nous passions notre temps ensemble et dés que lon pouvait, on trouvait un endroit discret pour se soulager.
Ses parents étaient au courant désormais, quelle avait un petit ami. Dabords réticents, ils avaient fini par accepter la chose, javais même été invité a prendre un café chez eux un dimanche après midi. Son père, un chauffeur routier immense nous avait mis en garde « pas de cochonneries ! « Avait il lâché alors que nous sortions faire un tour. Un quart dheure après, sur un banc isolé, Sabrina couinait de plaisir sous la caresse de mes doigts alors que mon sperme se liquéfiait sur le tapis de feuilles mortes qui jonchaient le sol.
Cest le mercredi daprès que ma douce et tendre a innové. Nous étions dans ce lavoir, témoins de nos premiers émois. Il faisait froid en ce début dhiver. On se caressait depuis un moment et comme a son habitude, ma petite branleuse (cest le surnom que je lui donnait pour la faire rager) sest agenouillée devant moi. Jai baissé mon jogging. Sabrina ne sest pas mise de coté cette fois, elle sest même rapprochée de moi. Elle a commencé à me masturber tout doucement avant de samuser a passer mon sexe partout sur son visage. Sur les joues, dans le cou, dans les cheveux. Cétait très excitant. Elle ma regardé dans les yeux en reprenant sa masturbation. Elle avait un drôle de sourire. Je me suis douté, sans vouloir vraiment y croire, de ce quil allait se passer. Ce sourire, cet air de défi dans le regard
ben oui
elle a subitement gobé mon pénis
jai juste fait « hoooooooooo
» Un délice
jai encore la sensation de la chaleur de sa bouche qui contrastait avec la fraîcheur de lair ambiant
jentends encore cette sorte de ronronnement quelle a émis lorsque mon sexe a dépucelé sa bouche. Jai compris quelle avait, depuis un moment, très envie de ça, très envie de me sentir dur contre son palais.
Le lendemain, on remettait ça, dans sa chambre (ses parents étaient absents). Elle ma pris dans sa bouche alors que nous étions allongés sur son lit. La encore, je me suis abandonné en elle. Elle a réussi a avaler toute ma jouissance
cest ce jour ou, assise au bord de son lit, les jambes écartées, elle a découvert le plaisir du cunnilingus. Jai encore limpression davoir son goût dans ma bouche, de sentir ses mains me caresser les cheveux. Heureusement que nous étions seuls au vu des cris quelle a poussé lorsque la jouissance la envahie
Au fil du temps, ils nous est vite devenu évident quil fallait aller plus loin encore. Même si elle en avait envie, Sabrina était très réticente, nayant aucune confiance en les préservatifs et nosant pas aller consulter le médecin pour se faire prescrire la pilule
moi, je nen pouvait plus dattendre, je voulais pénétrer ce corps, ce sexe ce ventre qui me semblait si doux
Cest Sabrina qui a pris les choses en main, si je peux me permettre
nous étions au mois de février. Ses parents étaient partis, avec son petit frère, une semaine aux sports dhiver. Prétextant des révisions pour des examens, Sabrina avait réussi a les persuader de la laisser seule pour la semaine. Méfiant, son père nous avait relancé « pas de cochonneries !!! » (A chaque fois quil disait ça, je ne pouvais mempêcher de penser à la gueule quil ferait sil découvrait que sa fille était devenue une e du sperme).
Bien évidemment, des quils sont partis, jai rappliqué chez eux (mes parents me laissant assez libre, ce nétait pas un problème). On a commencé fort, par une longue séance de fellation dans le salon, puis un cunnilingus pour Sabrina, assise au bord du bureau de son père. A la fin de la première journée, elle mavait fait jouir trois fois dans sa bouche et moi, plusieurs fois, je lavais amenée à la jouissance avec ma langue. On était rincé, les yeux creusés quand on sest couchés lun contre lautre vers 23 heures
on sest réveillés assez tard le lendemain
on a déjeuné tranquille dans la cuisine
Sabrina était juste vêtue de son petit pull marron hyper moulant et dune culotte de coton blanc
je la trouvait terriblement excitante habillée ainsi. Je lui ai fait part de mon trouble et lui ai montré que mon sexe était encore au garde a vous. Elle ma dit de masseoir et elle est venue sagenouiller devant moi. Elle ma longuement sucé
je nen pouvais plus, je lui ai dit que javais trop envie delle
elle a arrêté de me sucer et ma dit « tu sais bien que cela nest pas possible, moi aussi jen crève de te sentir en moi mais imagine que je tombe enceinte. Si ça arrive, mon père me tue, jen suis persuadée
elle est venue sasseoir a califourchon sur les genoux, face a moi, les jambes de part et dautre des miennes, emprisonnant mon sexe entre son pubis et le mien cette bite, j »aimerai tant la sentir dans mon ventre, sentir la chaleur de ton sperme couler loin en moi.
-arrêtes, ça mexcite là.
-moi aussi ça mexcite
»
Elle sest mise a frotter son entrejambe tout le long de ma queue. Létoffe humide de sa culotte mirritait le gland. Jai eu cette image un peu folle de cette culotte que je forçais, se déchirait pour permettre a mon sexe de pénétrer lorifice interdit. Elle avait les yeux clos, la bouche entrouverte. Cétait un supplice, un divin supplice. Sabrina sest soulevée, elle sest amusée a pointer mon sexe entre ses jambes, lentrée de son sexe nétait séparée du miens que par la mince étoffe de coton.
Elle a gémit. : « hooooo, mon amour, jaimerai tant que tu mécartes, que tu me perces avec ton gros dard
je dois te dire un truc
un truc qui me trottes dans le crâne depuis un bon moment « sa tête posée sur mon épaule, mon sexe passé derrière ses fesses, elle ajouta : « mais je nose pas te demander ça
-quoi ?
-non
rien
laisse tomber
-mais quoi ?
- tu vas me prendre pour une dingue mais
- mais quoi ?
- je nose pas
jai trop honte
quand jy pense, je me dis que je suis une perverse, une folle du sexe
- mais enfin ! Quoi ?
- jure moi que tu ne me jugera pas
- tu sais bien que je taime
- lautre jour, tes doigts sont venus me caresser le petit trou
ça ma fait de drôles de frissons
sur le coup, je ny ai pas pris garde mais, en y repensant après, je me suis dit que je tenait peut être la solution a notre problème »
Là, je commençais a soupçonner linsoupçonnable. Je ne disais rien, de peur de me tromper, de la brusquer.
Mon silence lencouragea a continuer : « je me suis dit que dans les fesses
que tu me la mettes par là nous permettrait de nous unir, de ne faire quun
- dans les fesses ? Tu es sure ? il paraît que cela est très douloureux
- oui, je sais, figure toi que je croyais ça, moi aussi
figure toi que je me suis renseignée auprès de ma cousine de Paris, tu sais celle qui se tape pleins de mecs ?
- oui
- quand je lui ai dit que javais peur que cela fasse mal, elle a dabord rigolé puis, comme elle voyait que ça ne me faisait pas trop marré, elle ma rassuré. Elle ma dit que, oui, au début, ça faisait vachement mal mais que si lenvie était là, le désir dêtre enculée, ce sont ses termes, était le plus fort, cela pouvait être divin. En fait, cela dépend des personnes
- et cette envie, tu las ?
- hoooo, mon amour, jen crève
je te jure, au debout je me refusais dy penser mais javais beau me refuser a cette idée, de me dire que je nétais quune dingue, lidée, lenvie revenait a un tel point que
- que quoi ?
- non
rien
- allez, tu en as trop dit
- ben, la semaine dernière, un soir, jai essayé
- QUOI ? Avec qui
- Mais non idiot
je lai fait toute seule, pour voir
- Toute seule ? je ne comprends pas
- Je me suis enfoncé un truc dans les fesses. »
Je nen croyais pas mes oreilles, elle me racontait quelle sétait enfilée un objet dans les fesses. Rien que de limaginer faire ça, jai cru que jallais éjaculer. Elle a passé sa main derrière elle et a plaque mon sexe contre ses fesses. Elle sest un peu redressée et sest mise a se frotter dessus. Dune drôle de voix, elle a continué : « jai utilisé ma pompe a vélo, je me suis allongée sur le dos en travers de mon lit, jai bien relevé mes jambes et jai appuyé le bout contre mon trou du cul «
Moi, si elle continuait, jallais tout lâcher
Ça voulait pas rentrer alors jai mis de la crème pour les mains et cest rentré
jai pas eu mal, jy suis allée doucement
je lai enfoncée loin, tu sais
cétait bizarre comme sensation
ce truc dur dans les fesses
je suis restée un moment sans bouger avant de commencer a remuer la pompe
cest vite devenu agréable
jai fermé les yeux et jai pensé très fort a toi, penser a ton sexe en moi
ça a eu un effet dingue
comme si je mouvrais encore plus
cest quand je me suis caressée le petit bouton que jai vraiment ressenti du plaisir
je suis partie au quart de tour
je te jure
trop bon
»
Je lécoutais, au bord de léjaculation. Je croyais quelle allait arrêter son récit là mais, on aurait dit que ça lexcitait de me raconter (elle mavouera par la suite avoir été, en effet, tés excitée de me raconter ça).
« Après, je me suis tapée la honte de ma vie, je me suis vue dans le miroir de mon armoire avec la pompe dans les fesses
jai eu honte de moi. Je lai retirée et rangée au-dessus de larmoire.
Je peux te dire que jai eu du mal a trouver le sommeil
je me trouvais tarée davoir fait ça et je me suis promise de ne jamais recommencer »
Là, jai penser quen fin de compte, elle sétait résignée a abandonner lidée.
« mais le lendemain, je suis allée en cours et des le milieu de la matinée, je nai pensé qua ça, quau plaisir que javais pu ressentir
en milieu daprès midi, je ne pensais qua réessayer. En descendant du car, a 18 heures, je suis rentrée a la maison presque en courant
il ny avait personne, le frangin était au foot. Alors jai ressorti la pompe et là, je me suis dit quil fallait que ce soit plus réaliste, que lobjet devait avoir a peu prés le même diamètre que ta queue, pour être sure que ça le fasse tous les deux »
Je ne disais rien, je lécoutais
« dans le garage, il y avait le gros marteau de mon père, celui avec le manche ergonomique
beaucoup de crème et
jai cru mourir quand cest rentré
jai même crié
jai crié ton prénom, mon amour quand, agenouillée, le marteau calé entre les pieds, le manche contre lanus, jai pesé dessus
hummmm
je ne pensais qua toi, a ton sexe
quand çest passé que je me suis empalée dessus, jai crié ton prénom, jai crié je taiiiime mon amour.javais mal mais en même temps, cétait toi, tu étais la, cétait ton sexe qui me perforait
oui, perforée
cétait comme si tu me perçais le cul
que cette barre dure dans mon ventre était ton sexe. Jai joui de suite mon amour
je te parlais, comme si tu étais la, je te disais quelle était grosse ta bite, quelle me réjouissait bien les fesses, que je voulais que tu mencules comme je le méritais, que jétais ta salpe, ta chose
jai complètement pété les plombs
je me suis emmanché sur le manche jusqu'à ça me fasse mal
il en restait plus beaucoup en dehors
je racontais nimporte quoi
-ma chérie, viens, donne moi tes fesses, fais moi voir
»
Sabrina sest levée, elle sest débarrassée de sa culotte, je lai vue plonger ses doigts dans le pot de margarine et se les essuyer au niveau de lanus. Il était clair que ces aveux étaient préparés a lavance, quelle savait que nous en arriverions la. Jallais me lever pour aller dans la chambre mais elle ma dit de rester assis. Elle est revenue sasseoir a califourchon au-dessus de moi, en me tournant le dos, cette fois. Je tenais mon sexe bien droit. Comme dans un rêve, elle a posé ses fesses contre mon gland, accoudée à la table. Elle a calé son anus contre mon gland et elle a pesée dessus
jaurais bien voulu voir son visage lorsque mon sexe pesait contre sa petite porte. Javais dans lidée que cela rentrerait facilement. Ce ne fut pas le cas. Mon sexe dérapait entre ses fesses. Elle se recalait en grognant. Enfin, jai senti que ses fesses sécartaient. Doucement, tout doucement. Ça nallait pas être facile
je lai entendue dire, en geignant « huuuu
cest gros, la
ouch
attends
attends
ça
attends
att
ha ! aiiie ! ». Jai senti mon gland passer comme une sorte de frontière, subitement décomprimé. Ça y était
ça rentrait progressivement
Sabrina soufflait fort
elle continuait cependant a se laisser descendre. Je la tenais par les hanches en regardant mon sexe disparaître entre ses fesses. Fesses qui bientôt touchèrent mon pubis. On est restés un moment immobiles. Le souffle de Sabrina sest apaisé. Elle sest redressé pour poser son dos contre mon torse
elle a murmuré « mon amour
je taime
je me donne a toi
tu es en moi, je te sens loin qui palpite ». Elle sest mise a onduler lascivement du bassin. A chaque mouvement javais limpression que mon sexe senfonçait plus loin encore dans son rectum. Elle se caressait le ventre a travers son pull, les seins. Sa tête, rejetée en arrière reposait sur mon épaule. Ses yeux étaient fermés, sa bouche entrouverte. Elle remuait de plus en plus vite et sest mise a dire des trucs salaces « hummmmm, ta grosse bite me déchire le fion, là
tu mencules, mon salaud
il est bon mon cul ? Hein ?
-oh, oui, il est bon ! Je taime ! je suis bien dans tes petites fesses !
-elles sont faites pour toi mes fesses, rien que pour toi..tu vas tout me donner dans les fesses, hein ? tu vas bien me remplir avec ton jus
ton sperme va se répandre en moi, se mélanger a mes entrailles
on va être unis
huuummmm »
en prenant appui sur mes jambes, elle sest mise a monter et descendre le long de ma queue. Elle perdait complètement les pédales
»haaaaaa
cest bon dans le cul ! elle est bonne ta queue, elle me fait trop du bien làààà
je la sens dans mon ventre
mon petit ventre que tu désirait tant
haaaaa, salauuud
tu ma bien éclatée du cul laaaaa
tu vas me faire jouir par les fesses
lâche ton jus ! Sauce moi bien ! »
Une vraie furie
elle était déchaînée, transformée
cétait excitant de lentendre parler ainsi, ce nétait pas son genre. Lanneau de ses fesses était de plus en plus élastique. Nos peau claquaient a chaque aller retour. Elle se défonçait littéralement sur ma queue. Javais du mal a nous maintenir sur la chaise. Jai couiné quand jai joui en elle, un cri grotesque
ça a eu raison de Sabrina qui sest cambrée et sest mise a hululer « haaaaaaaa
.ton jus ! Ton jus ! Je le sens ! Je le sens ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ». Elle a eu comme des convulsions avant de retomber toute molle sur moi
On est restés un moment, essoufflés, étourdis
Sabrina ma dit, les larmes aux yeux, quelle maimait
elle sest soulevée pour libérer mon sexe et sest levée pour aller se doucher. Moi, jétais abasourdi
les traces brunes qui souillaient mon sexe me certifiaient toutefois que je navais pas rêvé. Mon amour mavait offert ses fesses
jai sodomisé Sabrina dans laprès midi, a quatre pattes sur le lit avec autant de plaisir que le matin
enfin nous étions unis, en effet
la semaine qui a suivit a été plus que torride
je ne pourrais dire le nombre de fois ou mon sexe sest inséré dans son cul, ni le nombre exact de positions testées. Elle ma même fait une reconstitution de sa sodomie au marteau
impressionnant.
Le samedi, jétais en train de la sodomiser assise sur moi dans le salon quand la porte dentrée cest ouverte
retour inopiné des parents
scandale
cris
pleurs.
Mes parents appelés qui viennent me chercher
la honte
Sabrina envoyée je ne sais ou en pension
fin de la belle histoire
Et là, dans la rue, elle vient de passer
je sors, je cours
elle me voit, me reconnaît
un sourire, une larme au coin de lil
» Non
ne dis rien
ne dis rien
»
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