Initie En Foret
Je ne peux résister au plaisir de vous narrer une histoire véridique qui vient juste de marriver. Tout dabord, je me présente. Je mappelle Philippe, jai 36 ans et, doté dun physique avantageux, ai eu de nombreuses conquêtes féminines malgré le fait que je sois marié.
Néanmoins, cela faisait quelques temps quun fantasme me travaillait lesprit : celui davoir une relation avec un homme, actif de préférence. Grand adepte de VTT (4 à 5000 km par an), jai repéré il y a quelques semaines un endroit situé en forêt de Saint-germain (entre Maisons-Laffitte et Achères), où traînent de nombreux hommes seuls en quête de relations furtives. Pendant un mois, je my suis rendu tous les week-ends. De voir les appels explicites de certains hommes lorsque je les croisais me mettait dans un état dexcitation terrible sans que je nose toutefois franchir le pas
jusquà dimanche dernier. Ce jour-là, comme tous les dimanches, je sillonnais la forêt en VTT lorsquune crevaison mobligea à marrêter au milieu dun petit sentier. En pestant, je commençai à démonter la roue lorsquune voix derrière moi me demanda si javais besoin daide. Je me retournai et aperçu un homme dune cinquantaine dannée bien tassée, que javais vu à deux ou trois reprises roder dans ce secteur. Je lui répondis que cela devrait aller mais il insista en me disant quil fallait toujours sentraider en sapprochant de moi. A genoux, je commençai à retirer la chambre à air percée lorsque lhomme me demanda si « jallais le faire à la main ou à la bouche ».
Interloqué, je levai les yeux vers linconnu qui était désormais à un mètre de moi pour mapercevoir quil se massait vigoureusement lentrejambe ne laissant aucune ambiguïté quand aux raisons pour lesquels il était en ses lieux. Mon sang ne fit quun tour. Fasciné, mon regard sattarda sur la bosse qui se dessinait sous le pantalon de jogging que portait lhomme qui me regardait dun air lubrique. Il me reposa la question en lécourtant « alors, avec la main ou avec la bouche ? ».
« Me voila donc dans la peau dune pute qui va michetonner dans les bois » pensais-je alors. Loin de froisser ma fierté, cette pensée accentua lérection qui venait de me gagner. Poussant mon vélo, jobéis et empruntai le petit sentier. Lhomme était légèrement plus grand que moi, mais surtout plus massif. Ses lunettes aux verres épais lui donnaient un air sérieux qui contrastait avec lactivité à laquelle il se livrait dune main décidée. Alors que je le précédai, mon inconnu se mit à me malaxer les fesses par-dessus mon cuissard. Je me retournai pour mapercevoir quil avait extrait sa bite de son pantalon pour la branler plus librement. Cette vision et le contact de cette main sur mon cul accentuèrent mon érection. Tout en continuant à marcher, de ma main libre, jentrepris dimiter lhomme en extirpant ma queue raide pour la branler sans complexe. Alors que nous arrivions dans une petite clairière bien abritée, lhomme me demanda de stopper. Je posai alors mon vélo et me retournai vers lui. Mon regard descendit immédiatement vers sa queue qui me fascinait. Celle-ci, bien que de dimension modeste, était bien raide et le gland cramoisi bien gonflé. Alors que nous nous faisions face, lhomme saisit la nuque pour attirer mon visage vers lui dans lintention déchanger un baiser.
Pour la première fois de mon existence, je touchai une autre queue que la mienne. La douceur et la tiédeur de celle-ci me ravirent. Alors quil me rendait la politesse, nous nous branlâmes ainsi plusieurs minutes. Rapidement, je parvins à un état proche de lorgasme et prévenais lhomme de cesser : « Arrête ou je vais jouir ». Il sexécuta immédiatement. Alors que je continuai à le masturber, il pressa sur mon épaule en me disant : « Passons maintenant aux choses sérieuses. Suce-moi ». Je me retrouvai à genoux devant cette bite fièrement dressée devant moi. Comme je métais toujours promis de ne rien faire avec un homme sans préservatif, je lui demandai de mettre une capote. Il me dit : « Tinquiète pas, je suis sain ». Comme jinsistai, il me répondit brutalement : « Arrête de faire ta chochotte et suce-moi avant que je ne débande ». Il saisit alors ma nuque dune main puissante pour précipiter ma bouche vers sa queue quil tenait de lautre main. « Tu vas me sucer salope ? ». Ne pouvant plus reculer, je laissai sa bite investir ma bouche tandis quun râle de plaisir me renseigna sur la satisfaction de mon quinquagénaire. La légère odeur de cette pine me transporta dans un état second. Lhomme me tenait toujours la nuque pour plonger son sexe jusquà son pubis couvert de poils gris dans ma bouche qui se fit ronde autour de lintrus. Adorant être sucé par les femmes, je connais linconfort que peut procurer le contact des dents sur une bite et mappliquai donc à ne me servir que des lèvres et de la langue.
Jétais sans un autre monde. Je vous assure quil sagit dun plaisir que je ne soupçonnais pas avant cette expérience. Chaque coup de rein de lhomme déclenchait un gémissement de ma part.
Lhomme me fit relever et môta entièrement le cuissard avant de me retourner dos à lui. Il me demanda ensuite de me mettre à quatre pattes, ce que je fis de bon gré. Dans lattente de la suite, mon anus se mit à palpiter dimpatience. Lhomme sagenouilla derrière moi et se mit à me caresser la raie. Je sentais le contact de sa queue quil masturbait toujours contre ma cuisse. Il mordonna alors décarter les fesses, ce que je fis des deux mains. Je sentis un souffle chaud devant mon anus puis une langue humide faire des cercles de plus en plus rapprochés autour de celui-ci.
Au bout de quelques minutes, il me retourna face à lui en me demandant de lever les jambes. Il se positionna sur moi et me saisit larrière des cuisses de toutes ses forces. Je me retrouvai donc la rondelle face à sa bite. De tout son poids, il se laissa tomber sur moi. Je vis sa queue disparaître dans mon rectum et ne pus réprimer un cri de douleur. Mon enculeur se retira entièrement et réinvestit mon anus en ahanant comme un bûcheron. Son visage grimaçant de plaisir faisait face au mien mais il ne regardait que sa pine qui perforait mon cul. Bizarrement, alors que le plaisir que je ressentais était absolu, je bandais mou désormais. Brutalement, lhomme se retira de mon cul, retira sa capote et sassit à califourchon sur mon torse. Il se branla frénétiquement quelques secondes avant, dans un cri dextase, dexpulser en trois ou quatre jets crémeux sa semence sur mon visage. Lodeur enivrante de son sperme menivrât. Jen avais dans les yeux et sur les lèvres. Il tapota ensuite sa queue repue sur mon visage avant de me demander de la nettoyer. Jouvrais la bouche pour avaler la bite déjà à moitié molle de mon initiateur. De longues minutes, je tétais cette bite avec lespoir malheureusement vain de la faire durcir de nouveau (et oui, encore une fois, cette histoire est véridique !).
Enfin, sans un mot, lhomme, peut-être aussi désappointé que moi, se releva pour se rhabiller. De mon côté, je navais toujours pas joui. Je lui dis « et moi ? » Dun air agacé, il me répondit « quoi et toi ? Tu nas quà te branler ». Bien décidé de ne pas sortir frustré de cette aventure, je mexécutai en empoignant ma queue qui rendurcit aussitôt. En quelques secondes, alors que mon enculeur quittait les lieux sur un « salut » on ne peut plus bref après ce que nous avions vécu, avec laide dun doigt que je plongeais au fond de mon cul si bien honoré, je libérais en de longs jets interminables toute la tension accumulée dans mes reins. Lhonnêteté mimpose de vous dire que la honte me submergea presque aussitôt, mais, quelques heures plus tard, le désir renaissant, je savais déjà que ce nétait que la première aventure dune longue série. Cest décidé, dès dimanche prochain, jy retourne !
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