Libre Cours 2
Pour notre second rendez-vous, le jeudi matin suivant, Séverine mappela du bureau. Elle voulait savoir si javais dautres exigences, que les consignes fixées au départ et le rasage de son minou.
« - As-tu un gode ? »
« - Oui, Vincent men avait acheté un ».
« - Décidément, un vrai petit cochon celui-là ! ».
Séverine me raconta quelle avait très mal pris ce cadeau et quil avait donné lieu à une sévère engueulade. Ensuite leur histoire avait progressivement dégénérée.
« - Tu ne la jamais utilisé ? ».
« - Si, si, après ma séparation avec lui justement et là depuis que je le fais avec toi. Dès que jy pense, je suis excitée comme une folle. Le midi, dès que Philippe est parti, je me caresse et souvent, je vais le chercher. Je me masturbe bien et puis je mapplique pour mélargir le petit trou avec aussi, pour que tu puisses bien me prendre ».
« - Très bonne initiative Séverine, je te félicite. Demain, tu poseras le gode sur la table du salon, bien en évidence. Tu es habillée comment là ? ».
« - Jai une robe grise et noire, tu sais celle que tu aimes bien, échancrée sur le devant ».
« - Hum ! Oui je vois, continues ».
« - Jai des dessous noirs, soutien-gorge et string et puis des bas qui tiennent tout seuls ».
« - Enlèves ta culotte, tu vas travailler la foune à lair aujourdhui. Ca y est ? Ok, vas fermer la porte à clés. Bien. Prends un stylo, le plus gros que tu as. Un marqueur ? Très bien. Promènes-le le long de ta fente, sur les bords. Touches un peu ton bouton avec, puis repart sur les contours. Ouvres bien ta moule. ».
Je lentendais soupirer à lautre bout. Je lui ai demandé de le rentrer dans sa chatte et de faire des va-et-vient avec.
« - Hum ! Je mouille comme une folle. Mon clito est tout gonflé, je sens que je vais venir »..
« - Attends, tu as ton téléphone portable ? ».
« - Oui, pourquoi ? ».
« - Mets le à la place du stylo, tu vas te branler avec, compris salope ! ».
« - Oui, oui, je le prends. Je le frotte sur mon minou tout lisse. Je le passe autour. Maintenant, je commence à lintroduire. Hum ! Ma moule a faim, elle le veut. Ohhhhh! ».
Je lai écouté se donner du plaisir et jouir en hoquetant et en se retenant de crier.
« - Passes une bonne journée cul nu et à demain ».
Je suis arrivé chez elle vers 13heures. Elle mouvrit en souriant. Mon retard avait dû la mettre dans tous ses états. Je lui ai demandé de me préparer un café et je me suis assis devant la table de la cuisine. Avant quelle ne saffaire, jai claqué des doigts et lui ai fait signe dapprocher.
« - Avant toute chose, nous allons vérifier si tu as bien rasé ton petit abricot. Soulèves ta jupe ».
Je descendis son string rouge sur le haut de ses cuisses et je contemplai le spectacle pendant quelques minutes.
« - Tu peux y aller, mais ne remontes pas ta culotte, gardes là comme ça ».
Jappréciai fortement sa démarche entravée tandis quelle sagitait. Son fessier était un véritable appel au rut. Elle le bougeait bien et cherchait à me chauffer. Je décidai de prendre mon temps.
« - Jai une lettre à te faire taper, on va à côté ok ? ».
Je la suivis en lorgnant sa croupe et son déhanchement exagéré pour empêcher que le string ne tombe. Je repérai le gode blanc à sa place. Cétait un objet simple, mais de bonne taille.
Nous avons commencé à travailler. Ses pointes tendaient le chemisier très échancré, qui souvrait avec une petite fermeture éclair, quelle avait déjà quelque peu descendu. Je me mis derrière elle et je pris ses miches dans mes mains, tout en continuant à lui dire ce quelle devait écrire.. Je les ai soupesé, malaxé, puis jai descendu le zip pour lui enlever son vêtement. Le soutien gorge pigeonnant avait beaucoup de mal à contenir ses beaux seins lourds dont on apercevait les auréoles violacées de ses tétons. Je lai laissé comme ça. Après quelques minutes, je revins à ses côtés et je troussai sa jupe.
« - Très bien Séverine, mais nous ne sommes pas le 23, mais le 24 ».
Ses joues sempourprèrent. Je lui fis signe de se lever.
« - Vires ton soutien-gorge et ta jupe ».
Jallais jusquà mon sac, pris la petite cravache noire et la rejoignis à nouveau. Elle fixa lobjet.
« - Voici, ta nouvelle amie. On va lappeler Linette. Là-bas, sur la table ce sera Lino. Embrasses ta copine Séverine ».
Je lui tendis le bout et elle lui donna quelques bises, puis sa langue vint tournoyer dessus. Elle joua avec dune façon très suggestive, la suçant, la mordillant, la titillant. Je descendis sur ses seins, dont les pointes sérigeaient fièrement, puis je les tapotai un peu. Ils étaient si durs, quelle lançait des plaintes quand le cuir les touchait un peu sèchement. La cravache frotta son ventre, son nombril, ses cuisses, lintérieur, puis se posa contre son mont de vénus. Elle prit appui sur sa culotte toujours baissée et remonta chatouiller son minou de plus en plus humide et ouvert. Séverine se mordait la joue, mais ne pu se retenir de jouir quand le bout joua avec son clitoris tendu. Je lui donnai quelques coups sur les cuisses et les fesses pour lemmener jusquau canapé. Je massis juste en face du godemiché et je dis à Séverine de sapprocher.
« - Lino a lair en forme, tu ne trouves pas ? Regardes-le, il est déjà tout dur ! ».
Jai baladé lengin sur son corps, puis je lai utilisé pour descendre son string.
« - Mets-toi sur la table du salon en écartant bien les jambes. Sois très cochonne, ouvres-toi au maximum. Je veux pouvoir mater ta chatte de petite salope ».
Docilement, Séverine sexécuta trop contente de me faire découvrir ses trésors. Elle sallongea sur le dos, ses cuisses bien écartées et sa moule béante qui suintait son jus.
« - Ouvres-toi salope, allez donnes-toi bien que Lino te sodomise bien à fond. Après, je tenculerai comme une belle cochonne que tu es. Tu en veux encore dis-moi ? ».
« - Oh, oui ! Sil te plait, narrêtes pas, enfonces le bien, fourres moi, je suis tout à toi, ta pute, ta salope, tout, je tappartiens ».
« - Gardes le gode dans le cul et vient toccuper de ma queue, garces ! ».
Elle vint menlever mon jean, mon caleçon et engouffra ma bitte tendue dans sa bouche avide. Je voyais Lino qui dépassait de son trou, pendant quelle se régalait avec mes couilles, mon gland, ma verge. Jai sentis le désir arriver et je lai poussé pour quelle cesse de me gober le vit.
« - Suces-le pendant que je tencule gouffre à bitte ».
Jai mis mon intention à exécution et mon gland a pris ses points de repères. Quelques tapes lont encouragées à bien laccueillir et jai fini par lemmancher, tranquillement, sans forcer, délicatement jusquà la garde. Séverine secouait sa chevelure à chaque coup de butoir. Elle ahanait en demandant encore plus. Elle nétait plus que désir et ma verge officiait en elle comme un tison. Je lui serrais la peau des fesses pour la prendre mieux encore. Jai finis par gicler dans son popotin qui tressaillait sous mes derniers assauts.
En haut, Séverine ma lavé la bitte. Elle la prenait avec délicatesse, comme un trésor et la nettoyait avec délectation. Ensuite, nous sommes allés dans sa chambre choisir la tenue pour notre prochain rendez-vous. Jappréciai fortement de la voir se déplacer complètement nue. Ses seins ballottaient, son cul tressautait et son sourire illuminait sa silhouette. Je choisis quelque chose de très suggestif qui nous promettait un moment dune grande intensité. Ensuite, on sallongea sur son lit pour discuter un peu. Je pris sa main et la mis sur mon pénis.
« - Caresses la doucement pendant que nous bavardons »
Elle se mit à soupeser mes couilles, à les tenir entre ses doigts et à me toucher la queue délicatement.
« - Jaimerais bien le faire à trois, avec une autre femme. Ca te dirait ? Tu las déjà fait ? ».
« - Non, mais pour toi je suis prête à tout, tu le sais bien. Je vais chercher ».
« - Moi aussi. Tu as déjà eu des expériences avec dautres filles ? ».
« - Non. Je me suis déjà fait draguer, par des nanas. Cétait agréable, mais je nai pas osé aller plus loin ».
« - Tu peux te toucher en même temps ».
Elle nattendait que cela. Sa main gauche me caressait et avec lautre, elle commença à se reluire le minou. Elle ronronnait déjà. On prit notre plaisir comme cela, côte à côte, en même temps. Mon sperme sest répandu sur mon ventre en remplissant mon nombril. Séverine a tout léché consciencieusement, en se délectant de mon nectar, comme elle aimait dire. Une fois lopération accomplie, elle me lava à nouveau, allongé sur ses draps. Puis, on descendit dans la salle et elle, toujours nue, me rhabilla.
« - Je vais partir. Regardes-moi à la fenêtre dans cette tenue. Je veux voir tes miches den bas et touches toi en même temps. Non, mieux, fourre ta moule avec Lino. Je veux que tu prennes ton pied en me disant au revoir. On sembrassa longuement et je vérifiai ce que je soupçonnai fortement. Séverine mouillait déjà comme une garce en chaleur.
« - Ca me rend dingue. Avec toi, je suis une bouillotte, un volcan en éruption. Plus tu mavilies, plus jaime et jai envie de combler tes moindres désirs. Tout mon corps est un appel au sexe. Jai limpression que je pourrais baiser toute la journée. Avec un mot, tu me réveilles tous les sens ».
Elle moffrit un délicieux spectacle qui me donna une érection. La voisine, du petit bâtiment, juste en face eut lair dapprécier également.
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