Ashley - 29 La Maison Sur La Plage.
Cet après-midi, on déménage ! On na pas besoin d'un camion de déménagent étant donné quon na que quelques valises, cest tout. On file à Malibu... Jimagine les interviews :
Vous habitez où, Mademoiselle Ashley ?
Une maison sur la plage de Malibu !
Pas mal, pour une petite cul terreuse de Notasulga.
On arrive devant la maison. Summer sonne et la grille souvre aussitôt. Madame Stone nous attend entre deux rangées de servantes. Je les compte, il y en a 8 : 4 Blanches, 2 Noires, 2 Hispaniques. Elles sont en uniforme : robe noire avec des bords blancs autour du cou et des manches, petit tablier blanc et coiffure "au bol". Cest-à-dire rasée à partir du milieu des oreilles, pour former une belle touffe sur le haut de la tête. Ah oui, elles ont toutes des chaussures noires et plates et elles fixent toutes le bout de ces chaussures. Madame Stone vient à notre rencontre en disant :
Bienvenue Mesdemoiselles.
Je réponds ben oui, cest moi linvitée :
Bonjour Madame Stone.
On entre dans la maison et, sur notre passage, les servantes font une profonde révérence. Cest amusant... Madame Stone leur dit :
Rhume et Moucheron, allez chercher les bagages.
Les deux filles ny vont pas, elles y courent. Moucheron est une Blanche mince avec un joli cul. Rhume est une jolie Black. On va à létage et je dis à Summer :
On prend la grande chambre avec la terrasse.
Elle me répond :
"Je" prends la grande chambre et je vais choisir la tienne.
Cest tout Summer, ça, mais devant Madame Stone et les servantes, ça ne me plaît pas des masses. Madame Stone me regarde avec un petit sourire. Il ny a plus de doute, cest Summer qui porte la culotte ! Elle me dit :
Il y a une petite chambre à côté de celle des servantes, vous y serez bien.
Summer me dit :
Pleure pas, tu pourras venir dans ma chambre...
Elle ajoute :
Si tu es sage.
Madame Stone me montre lautre chambre, beaucoup plus petite.
Vous ne serez pas mal ici, Mademoiselle Ashley, si vous nêtes pas sage.
Mademoiselle Summer aime... plaisanter.
Je connais Mademoiselle Summer. Il ny a pas de problème pour moi.
Oui, bon... après tout, Madame Stone est mon employée et les esclaves sont... des esclaves. Et, moi, je suis la maîtresse de maison. Ce ne serait pas Summer, plutôt ?
Ça, cest cette petite saleté de voix intérieure qui me le dit... En théorie, Summer est aussi mon employée. Je déballe mes affaires dans la petite chambre en râlant, puis je descends et je vais dans le living-room. Jentends des rires provenant de la cuisine. Je vais voir. Summer est assise avec Madame Stone et elles boivent une bière. Elles ont vite fait copines, ces deux-là ! Les deux servantes qui sont là font une révérence quand jarrive, mais Madame Stone ne se lève pas pour moi. Elles parlent, sans faire attention à moi. Je vais sur la terrasse regarder la plage et la mer... Des esclaves sactivent dans la maison, jen appelle une. Elle vient devant moi en faisant une révérence. Je lui dis :
Apporte-moi un verre de vin blanc.
Oui Maîtresse.
Elle revient très vite avec un plateau et dépose sur la table une bouteille de cabernet et un verre quelle remplit. Je bois... Cest bon... Je mapprête à dire à la servante de me resservir... mais un regard a suffi, elle me ressert. Je mapprête à boire, quand Summer arrive avec Madame Stone. Elle me prend le verre des mains et elle jette le vin dans un buisson en disant :
Cest pas le moment de picoler, on sen va.
Ah non, là, elle exagère ! Je la regarde, on est les yeux dans les yeux et je suis bien décidée à... baisser les yeux. Elle me dit :
Toi, tu vas arrêter ces mômeries. Ou tu mobéis sans discuter et sans faire la tête ou je me tire. Décide et dis-le !
Je... je tobéis.
Plus de caprices ?
Non... Summer.
Elle sadresse à Madame Stone :
On ne mange pas ici ce soir, Rachel.
Daccord, bonne soirée.
À toi aussi.
On va manger à Venice... Tex nest pas là, malheureusement. Je bois un peu et jai enfin une crise de lucidité : si je veux garder Summer, faut que jaccepte ses manières. Je gagne de largent, je suis célèbre. Et, en plus, jai Summer.
On rentre tard et elle me laisse dormir dans "sa" chambre...
***
Le lendemain matin, je me réveille seule dans le lit. Summer doit faire son jogging du matin. Je mapprête à mhabiller et puis je change davis. Il fait déjà très chaud, je suis chez moi et il ny a que des esclaves et une employée, Madame Stone. Je sors nue de la chambre et je vais dans la cuisine. Madame Stone n'est pas encore là. Les servantes qui étaient assises se lèvent vite. Elles ont l'air terrorisées, les sottes.
J'en choisis une et je lui dis :
Toi, c'est quoi ton nom ?
Je mappelle Rhume et je suis à votre service Maîtresse.
Rhume, cest marrant ! Je lui dis :
Viens avec moi.
Oui Maîtresse.
On va dans la salle de bain. Je massieds sur les w.c. et je fais ce quon fait le matin. Enfin, moi, cest le matin. Cest excitant de faire une chose aussi intime devant quelquun. Quand jai fini, jhésite puis, je me retourne, pose les mains sur la planche des w.c. et je lui dis :
Lèche-moi.
Oui Maîtresse.
Elle se met à genoux, derrière moi et bientôt la petite langue de Rhume me lèche soigneusement. Jadore ! Au bout dun moment, je lui dis :
Cest bon, arrête. Je me redresse et je me retourne, tandis quelle reste à genoux, pratiquement le nez dans ma chatte. Je lui dis :
Ça na pas lair de te plaire de faire ça. Je devrais peut-être en parler à Madame Stone...
Là, elle panique ! Elle joint les mains en disant :
Jai adoré, Maîtresse, je vous jure.
Aucune fierté, ces esclaves ! Quelques coups de fouet nont jamais fait de mal à personne !
Je vais sur la terrasse, Rhume sur mes talons.
Va dire à Madame Stone que je voudrais la voir
Oui, Maîtresse.
Je minstalle en dessous de la toile. Quel plaisir dêtre nue... Deux servantes arrivent très vite. Après une profonde révérence, elles se mettent "aux ordres", des deux côtés de mon fauteuil. Madame Stone arrive aussi, sans se presser ! Elle me dit :
Bonjour Mademoiselle Ashley, que voulez-vous pour déjeuner ?
Bonjour Madame Stone. Disons... un peu de tout avec du café noir.
Très bien...
Je regarde mes messages sur ma tablette, rien dintéressant. Par contre, sur le site de Sandra Mae, il y a plusieurs photos de moi quand je saute à lélastique. Putain, je suis belle et je nai presque pas lair davoir la trouille. Les photos sont de Sandra Mae et Johnny... Des servantes arrivent et installent autour de moi des ufs au bacon, des viennoiseries, de la confiture, des crêpes... Je nai pas peur de salir mes vêtements, alors je mange salement. Je renverse de la confiture sur un nichon. Je dis à une servante :
Lèche.
Oui Maîtresse.
Cool... non ? Quand jai fini, les servantes débarrassent. Madame Stone arrive et me dit :
Tous les matins, je fouette la servante qui a le plus démérité la veille. Je fais ça à 9 h, mais Mademoiselle Summer ma demandé dattendre que vous soyez levée...
Pour une fois, une attention de Summer. Madame Stone poursuit :
Elle vous en parlera. Aujourdhui, on va le faire maintenant, mais pas les jours suivants. Il faudra vous lever plus tôt si vous voulez y assister.
Eh ! Elle me fait un reproche, là ? Je vais la remettre à sa place vite fait... ou plus tard, cest mieux. Madame Stone sort un sifflet et siffle trois fois. Aussitôt, toutes les servantes accourent. Elles se mettent sur deux rangées de quatre, face à face. Madame Stone me dit :
Je donne des mauvais points aux filles, celle qui en a le plus est fouettée.
Elle prend un petit carnet et lit :
Poussière 2, Banane 4, Sueur 5, Crevette 6, Rate 3, Rhume 4, Cafard 2 et enfin Moucheron 10.
Moucheron gémit :
Je vais être fouettée, Madame.
Eh oui ! Je vais encore devoir moccuper de tes grosses fesses, comme si je navais que ça à faire...
Et là Madame Stone change de ton et sa voix claque quand elle dit :
En position !!
Moucheron est une jolie Hispanique... Elle se met à 4 pattes entre les rangées de servantes, puis pose son front sur ses mains posées sur le sol. Madame Stone se met derrière elle et avec des gestes délicats, elle remonte la jupe de luniforme jusquaux reins et baisse la culotte blanche jusquà la pliure des genoux. La position fait ressortir son derrière rebondi. Elle prend le fouet des esclaves qui comporte 3 lanières plates et le promène sur le derrière de Moucheron qui frémit. Ensuite, elle fait siffler le fouet dans les airs. À chaque fois, Moucheron fait un petit bond. Enfin, elle frappe la cible et Moucheron crie :
Aïe ! Un, merci Madame.
Madame Stone la frappe à nouveau.
Aïe ! Deux, merci Madame.
Ces deux-là, cest pourquoi ?
Pour être paresseuse, Madame.
Le fouet siffle.
Aïe ! Trois, merci Madame.
Aïe ! Quatre, merci Madame.
Ces deux-là, pourquoi ?
Rhume gémis :
Pour avoir été insolente, Madame.
À suivre.
Si vous me cherchez, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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