Pris En Flagrant Delit
Ceci cest passé il y a quelques années. Je travaillais dans une grande entreprise, et le midi je déjeunais avec les collègues dans le restaurant destiné au personnel.
Ensuite, avec eux, on allait prendre le café au bistrot du coin.
De temps en temps, une jeune femme dune trentaine dannées se joignait à nous. Elle travaillait non loin de là. Jai sympathisé avec elle, ce qui a provoqué les railleries de mes collègues. Cest pourquoi, un jour, en ayant marre, je lui ai proposé de la rencontrer dans un autre café 2 rues plus loin. Elle était daccord. Au moins, cette fois on a la paix. On sinstalle à une table, dans le fond, et on discute comme ça, tranquillement pendant plus dune demi-heure en sirotant notre café.
Nous sommes tous deux mariés. Jai des s, elle non. Ma femme reste à la maison pour les élever.
Son mari a été muté en province, part le dimanche soir et ne rentre que le vendredi soir vers 21 h.
Elle habite dans le quartier à 10 mn à pieds, et travaille dans un magasin pas très loin, cest pourquoi il lui reste du temps libre le midi. Elle ne reprend quà 15 h. Ca fait 3 ou 4 mois quon se rencontre le midi.
Or, un jour, sachant que je suis bricoleur, au lieu de prendre le café, elle me demande de laccompagner chez elle car, après avoir bougé son téléviseur, elle na plus dimage.
Nous prenons lascenseur, elle habite au 2ème.
Cest lété, il fait chaud. En entrant, elle prend ma veste et laccroche au porte manteau. Un couloir, à gauche la cuisine et la salle de bain, en face la chambre dont la porte est ouverte. Au fond le séjour.
Elle minvite à masseoir sur le canapé, allume la télé et part chercher des bières dans la cuisine. Jai tout de suite compris que lantenne était débranchée. Le problème a été vite résolu.
Elle a rempli les verres et sest assise sagement à côté de moi. On a discuté un peu, comme dhabitude. Nos verres étant vides, elle est sortie.
Après quelques minutes dabsence, elle est réapparue
. nue. Vraiment belle, 1 m 60, 45 kg, une toison noire bien fournie, des petits seins aux tétons arrogants ! En 10 ans de mariage je nai jamais trompé ma femme, modèle du même âge, un peu plus grande et aussi belle, me donnant entière satisfaction. Je crois que je me suis fait bêtement piéger. Je nai rien vu venir !! Pour moi ce nétait quune simple copine que j'allais dépanner.
Je sentais mon sexe gonfler à la vue de cette beauté. Elle est venue sasseoir près de moi, ma pris la bouche et a mis une main bien appuyée sur la bosse qui déformait mon pantalon. De mon côté je nai pas pu résister à la tentation de caresser ses seins. Je les sentais durcir et les tétons sériger dans ma bouche. Elle a dégrafé mon pantalon, puis ouvert ma braguette. Par louverture du boxer, elle fait jaillir et sempare de lobjet de son désir, déjà bien dur. Je passe la main entre ses cuisses et je maperçois quelle est trempée. Changeant de position, je madosse à laccoudoir et jallonge les jambes sur le canapé. Elle se met à genoux au-dessus de moi, mavale en entier. Elle se montre très gloutonne, pompant mon dard au maximum, excitant le gland du bout de la langue et caressant les couilles. Son action fait durcir et augmenter un peu plus la longueur de la tige et la dimension du gland. Il devient si gros quil lui comble la bouche. Pourtant elle louvre en grand mais a du mal à labsorber. Elle va tellement loin que par moment elle manque de s. Pendant ce temps, je titille son clito et introduit 2 doigts que je fais aller et venir dans son vagin plein de mouille dont, en écartant les lèvres velues, je peux admirer les chairs roses de lentrée. Sentant quà ce régime je ne pourrais pas tenir longtemps, je la repousse. Je ne veux pas jaillir dans sa bouche, car jai de plus en plus envie de la prendre.
Elle se retourne et se met à califourchon face à moi, au-dessus de mon pieu, le prend en main est sembroche doucement.
Tout absorbé à la limer, soudain, je sens comme une présence. Je lève les yeux et vois un mec dans lencadrement de la porte. Je suppose que cest le mari (ou lamant, va savoir ?). Normalement il naurait pas dû être là. Il est moins grand mais beaucoup plus costaud que moi (je mesure 1 m 80 pour 70 kg).Tout à notre plaisir, on ne la pas entendu arriver, je ne sais pas depuis combien de temps il nous observe. Il ne bouge pas et regarde sa femme en train de baiser. Il a ouvert son pantalon et astique son braquemart en érection (un sacré morceau) puis, se rendant compte que je lai vu, savance vers nous lengin en main. Elle continue ses va et vient, elle ne se doute de rien, tournant le dos à la porte et savourant son plaisir, yeux fermés. Arrivé sans bruit derrière elle, dune main il appuie sur son cou pour laplatir sur moi et limmobiliser. Surprise elle essaye de se dégager, mais elle est emmanchée sur ma bite, et en bougeant offre son cul à la pine qui se présente en face de son petit trou. Sans ménagement il écarte les fesses, force lentrée, lempale dun seul coup, senfonce jusquaux couilles, la faisant crier. Puis, la tenant fermement par les hanches et lécrasant sur moi, il commence ses va et vient sans tenir compte de ses protestations. Elle crie » non arrête, tu me fais mal, arrête aïe- aïe arrête «. A chaque coup de butoir il dit « tiens garce prends ça » et la burine de plus en plus fort. Elle crie, pleure, le supplie darrêter, le traite de salaud, mais rien ny fait, il a décidé daller jusquau bout.
Elle est aplatie sur moi, à genoux, jambes écartées au maximum. Je suis toujours dans son sexe, je ne bouge plus. Pas la peine, il sactive pour moi.
Puis tout saccélère. Il sort sa queue du cul de sa femme, la bascule et la fait tomber sur le sol au pied du canapé. Elle est en larmes, recroquevillée par terre. Lui est furieux et la traite de putain. Elle lui répond « salaud, tu mas enculée ». Je me lève précipitamment. Je tiens mon pantalon pour quil ne tombe pas à mes pieds. Il est devant moi, la bite toujours dressée, ne dit rien, matt par la chemise. A voir sa tronche, je mattends à prendre son poing dans la gueule. Penaud, mal à laise, je le regarde droit dans les yeux, la bite et les couilles toujours à lair. Il me toise de la tête aux pieds et, sans ménagement, me pousse dans le couloir, prend ma veste, ouvre la porte, et dun coup de pied dans le bas du dos mexpédie sur le palier en y jetant ma veste. Heureusement quil ny avait personne à ce moment là ! Pas fier, jai remis en place lobjet du délit revenu au repos, fermé le pantalon, enfilé la veste, mis un peu dordre dans ma tenue. Jai redescendu les escaliers quatre à quatre pour évacuer la pression. Je lavais échappé belle ! Je suis rentré au bureau. Jai quitté la veste puis je me suis rendu aux toilettes, pris du papier essuie main au dévidoir. Jen ai mouillé un et je lai enduit de savon liquide.
Le soir, peut être parce que je me sentais coupable de mêtre laissé entraîner dans cette aventure, mais surtout parce que jen avais très envie, jai fait lamour à ma femme comme au début de notre rencontre. Nous avons joui en même temps, cétait sublime.
Finalement, ça a été une journée mémorable, mais que ce serait-il passé si on en était venu aux mains. Comment expliquer une tête au carré en rentrant à la maison ? Je me sentais vraiment fautif, nayant pas su résister à la tentation. Je nai pas réagi quand il ma attrapé pour me flanquer dehors. La situation était plutôt compromettante, je reconnais avoir manqué de courage. Je nétais pas fier, jétais chez lui, surpris en train de baiser sa femme... Mais que faire quand on a la bite à lair et le pantalon qui risque de tomber sur les chaussures ? Je ne suis pas un ange, je ne suis pas comme eux, je nai pas dailes mais jai un sexe
.moi ! Et je tiens à le conserver en bon état. Cest une baise qui a failli me coûter cher ! Heureusement que le mec nétait pas trop vindicatif. Il avait peut-être trouvé loccasion dassouvir un fantasme ? Par contre je ne connais pas sa réaction après mon départ. Il y a sûrement eu une explication mouvementée.
La semaine suivante je suis retourné au bistro. Elle nest pas venue. Je ne lai jamais revue
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