Le Grand Ecart De Jeanne (Suite)

Les 2 profs de danse que nous appellerons Claude et Flo, nous emmenèrent dans une boite qu'ils qualifièrent de spéciale, et le mot était faible.
La jeune élève (22 ans) qui nous accompagnait nous dit qu'elle aimait cette boite car elle pouvait y satisfaire tous ses fantasmes et surtout son penchant maso.
Je regardais Jeanne et l'interrogeais du regard, elle me dit " je suis bouillante ce soir après mon grand écart sur la bite de Claude, et j'ai encore envie de me faire bourrer tous les trous."
Que pouvais je ajouter après cela ?
Nous arrivâmes donc dans un coin de banlieue que je ne connaissais pas , un grand portail en fer forgé s'ouvrait sur une allée menant vers une villa bourgeoise entièrement illuminée, devant laquelle étaient garées des voitures pour qui cotoyer une "2 cv" serait d'un vulgaire !!!!!!!!!
Claude et Flo possédaient une grosse M........s qui ne risquait donc pas de depareiller dans le décors.
Nous fumes accueillis par un maître d'hôtel très style anglais, froid comme la glace et révérencieux à l'extrême. Cet homme d'une cinquantaine d'années bien portées semblait bien connaître nos trois amis.
Il ne fut point question d'argent, et je compris plus tard que la monnaie d'échange était Jeanne et notre jeune salope en chaleur que nous appellerons Syl.
Suivant notre guide nous entrâmes dans une grande pièce ou régnait une pénombre subtile, permettant de voir, mais aussi de garder un certain anonymat.
Plusieurs couples ou trios buvaient et parlaient d'une façon qui ne laissait en rien augurer de ce qui allait suivre.
Nous nous assîmes à une table déjà occupée par un couple qui nous salua. Je remarquais immédiatement que la femme avait une attitude soumise envers son compagnon, répondant à ses questions par des oui maître, merci maître.
Au bout de quelques instants, un homme de 60 ans environ, ce plaça au centre de la salle et annonça dans un micro que le temps des plaisirs étaient venus et que comme chaque soir de fête une reine de la soirée allait être désignée, à charge pour elle de donner du plaisir à tous les participants.

J'eus peur de comprendre lorsqu'il se dirigea vers notre table et s'inclina devant Jeanne en lui tendant la main.
Elle se leva et le suivi au centre de la salle.
Il appela ensuite Syl et lui dit, :" je sais que tu te gouines avec cette salope, je te charge donc de nous la préparer pour que nous puissions user d'elle à notre guise."
Il y avait une dizaines de personnes présentes.
Le maître de cérémonie demanda tout d'abord à Jeanne si elle acceptait d'être la chienne servile et soumise de la soirée, et ceci sans aucune réticence ni restriction;
qu'elle serait baise, éculée, gouinée, sucée, tripotée, que chaque homme présent usera de sa bouche comme de son sexe ou son anus, et qu'a la fin de chaque saillie elle devra sucer et nettoyer la queue qui l'aura honoré. Que Syl sera sa servante, lui épongeant le sexe ou le cul lorsque celui-ci débordera de foutre, et qu'elle devra ensuite absorber cette bonne liqueur que Syl lui reversera dans la bouche.
Le rôle des autres femmes présentes sera de redonner de la vigueur aux sexes défaillants de la bouche ou de la main uniquement.
Jeanne fut également prévenue que pour lui chauffer les sens, chaque participant lui administrera sur les fesses, les seins et la chatte une claque qui ne devra en aucun cas la blesser mais seulement lui montrer qu'elle était ce soir la reine des salopes à la disposition de chacun.
On me signala, que je serais spectateur, de l'avilissement de mon épouse, mais aussi de son plaisir. Que seule Flo aurait le droit de me donner du plaisir de la façon qui lui plaira.
Jeanne fut donc placée sur une table basse mais assez haute pour être offerte aux sexes et aux bouches et mains de ses tortionnaires. Elle fut attachée jambes ouvertes ce qui révélait sa superbe chatte épilée de près ainsi que son anus car on avait placé un gros coussin sous ses reins.
Ses bras furents ensuite attachés lui interdisant toute révolte ou recule.
Nous trouvant en galante compagnie, ce furent les cinq femmes qui commencèrent la mise en condition de Jeanne, lui claquant soit les seins, soit le sexe du plat de la main, Jeanne commença alors a faire des grimaces marquant sa douleur, mais aussi poussa des gémissements trahissant son plaisir, on voyait sourdre entre ses cuisses béantes une liqueur qui nimbait ses petites lèvres. La 4ème femme ne put résister à cette invite et se jeta sur la fente de ma femme afin de goûter à ce divin nectar.
Elle fut aussitôt saisie par trois serveurs qui étaient nus sous la taille et dont le sexe surdimensionné par la grosseur et la longueur la mirent à quatre pattes et l'enculèrent à sec pour la punir de son audace. Elle du ensuite les sucer pour leur nettoyer la queue. Elle fut ensuite attachée sur une chaise et du lécher l'anus de chacun des participants. Il lui fut ensuite notifié que la soirée était fini pour elle. Que son maître pourrait à sa guise continuer la punition ou alors la suspendre. Ce dernier un homme à la stature imposante pris un martinet et lui en donna 5 coups sur chaque sein, faisant bander les tétons, mais laissant des traces sur les deux globes fermes et laiteux.
Pour Jeanne la ronde continua autour d'elle, elle fut ensuite retourné sur le ventre pour offrir ses fesses qui furent sévèrement claquées, par les femmes et les hommes.
Libérée de ses liens, un épais matelas fut étalé sur la table, et elle du se mettre en levrette pour honorer les hôtes.
Chacun usa de ses orifices de la façon qui lui plaisait, et entre chaque saillie Syl venait récupérer la liqueur dans le trou qui venait d'être abandonné, elle en abreuvait ensuite Jeanne entre deux fellations.
Cela dura pendant plus d'une heure, puis les hommes étant fatigués ce furent les femmes sauf la punie qui vinrent s'occuper de Jeanne, certaines harnachées de Gode ceinture, d'autres se faisant bouffer la chatte.
Jeanne commençait a montrer des signes de fatigue, on la réconfortait de temps à autre avec une coupe de champagne.
Enfin les trois serveurs purent se présenter devant chaque orifice de Jeanne, cette dernière s'étant empalée sur le sexe de l'un d'eux qui s'était allongé sur la table, le second se présenta devant sa bouche et le troisième se prépara à l'enculer, ce qu'il fit sans problème, l'orifice ayant été largement préparé par ceux qui avaient précédé.
Jeanne fut alors comblée au propre comme au figuré, léchant, suçant cette énorme queue qui lui labourait la bouche, car chaque fois que son enculer s'enfonçait il précipitait Jeanne sur la bite qu'elle suçait. Au bout de dix minutes environ, les trois hommes se vidèrent dans et sur Jeanne qui cria son plaisir à l'unisson.
Syl eut une dernière fois pour mission de faire la toilette intime de jeanne, mais du cette fois avaler ce qu'elle avait récupéré.
Pendant ce temps, Flo m'avait sucé comme une reine me faisant jouir au fond de sa gorge à deux reprises.
Nous quittâmes la soirée avec nos amis, Jeanne du s'allonger sur la banquette arrière ne pouvant rester assise.
Elle m'avoua plus tard qu'elle n'avait jamais eu aussi mal; mais qu'elle n'avait jamais aussi autant joui.