Une Journée Bien Remplie

En cette matinée, nous sommes tous deux biens emmitouflés dans de chaudes et douillettes couvertures. Il y a dehors une fine neige qui tombe sous forme de légers flocons. La journée s’annonce calme, du moins, en apparences...
Tu ouvres doucement les yeux. Etant allongées l’une face de l’autre, tu affiches un doux petit sourire en voyant ma tète accotée tout prés de la tienne. Tes yeux deviennent un peu plus grands et tu constates que je suis encore profondément endormi. Sans bouger, tu profites de cette occasion pour m’observer. En me regardant, tu essaies de t’imaginer ce a quoi je suis en train de rêver. Toi même tu rêvasses un peu, n’ayant pas tout à fait encore franchie le pas dans le plein éveil. Tu as envie de me toucher, de bien sentir que je ne suis pas un rêve. Tu soulèves ta tète et tu viens fondre tes lèvres momentanément, le temps d’une friction, sur le bout de mon nez. Aucune réaction de ma pars. Tu récidives, dans l’espoir de voir mes yeux s’ouvrir, ne serais-ce que légèrement, pour que tu puisses, du regard, m’exprimer toute la plénitude de ton amour pour moi. Toujours pas de réponse. Intriguée par mon absence totale, tu décides d’en profiter pour t’amuser un peu. Tu faufiles ta main hors des couvertures et tu emprisonnes le bout de mon nez entre ton index et ton pouce. Cette fois il y a une réponse, mais pas exactement celle auxquelles tu t’attendais. Brusquement, je change de cap et en moins d’un mouvement, je me retrouve dos à toi. Surprise, mais en même temps amusée, tu viens te coller en passant ton bras autour de moi. Délicatement, tu me glisses à l’oreille : « Bonjour mon amour... ». Complètement inconscient, je baragouine quelques syllabes obscures et inaudibles. Cela t’amuse de plus en plus, mais tu tiens quand même à trouver un moyen efficace de me réveiller tendrement. C’est alors que, ayant déjà ton bras autour de moi, tu fais glisser langoureusement ta main a travers les poils de mon torse, puis de mon ventre, pour enfin l’infiltrer subtilement, et surtout habilement, sous mes boxers d’un noir étincelant et particulièrement moulants.

Tu fais rouler tes doigts au niveau de mes testicules et, plus rapidement que tu ne l’aurais espérée, tu sens par la paume de ta main que mon membre commence à se gonfler. A ce moment, tu relances l’appel tout prés de mon oreille : « Bonjour mon bébé... ». Je me tourne alors vers toi et, tranquillement, j’ouvre les yeux. Plus ma vision se débrouille, plus je suis en mesure de contempler ta généreuse et tout simplement délicieuse beauté. Je tends mes lèvres en forme de cœur signifiant ma nette intention de t’embrasser. Tu t’approches aussitôt et, fessait complètement abstraction de ce que l’on appelle communément l’haleine du matin, nous nous embrassons chaudement, doucement, et passionnément. Sans dire un mot, et ayant toujours nos lèvres imprimées l’une dans l’autre, l’intensité de ce premier baiser de la journée prend des proportions dangereuses. Affamées, nos langues se déploient en un instant et voila que ce petit baiser matinal, au début très paisible, est en train de se transformer en véritable démonstration d’amour sincère et profond. Au moment où j’entends ton premier petit « Mmmm... », je t’enroule dans mes bras et, en m’allongeant sur le dos, je t’installe par-dessus moi. Toujours en étant profondément investit a apprécier la saveur du baiser que tu m’offres, je me laisse aussi tenter par ton incroyable et majestueux corps de déesse. Je pose bien fermement mes mains sur chacune de tes jolies petites fesses et je presse le tout avec une tendreté toute particulière. C’est à ce moment précis que tu commets ta première gaffe, lorsque tu pousses un « Amah » sensuel et terriblement « Darty ». Je place alors mes agiles doigts sur le rebord de ta petite culotte turquoise et je fais descendre le tout. Avant même de les avoirs retirer complètement, ma main gauche s’est logée sur ta fesse droite de façon a l’écarter vers l’extérieur et les doigts de ma main droite de sont rapidement infiltrer entre tes fesses. Utilisant le doigt le plus long, je suis en mesure d’atteindre sans aucune contrainte ta chaude et visqueuse petite chatte.
Apres quelques rotations aléatoires et exploratrices je tombe, par une chance inespérée, sur ta petite bille déjà bien durcie. Je la saisi promptement et je l’agite avec une cadance particulièrement intense. Pour les besoins des choses je t’invite, non pas sans un certain regret, a quitter mes lèvres et a te surélever. Cela aura pour effet une plus grande précision et un meilleur rendement au niveau du doigtée. Cette montée aura même un autre avantage ; ta somptueuse poitrine se retrouvera a proximité de ma bouche. En continuant donc mon activité initiale, je la complète en couvrant de baisers la douce et crémeuse peau que tu mets sous mes lèvres. Par la suite, dans un geste quasi instantané, tu te laisses tomber sur le cote et finis le travail que j’avais préalablement commencée, soit de retirer ta petite culotte. Avant de te réinstaller sur moi, tu prends le temps de me dégarnir de mes boxers. En te repositionnant sur moi, tu empoignes mon membre dur à point et tu le diriges entre tes fesses. Tu le fais pénétrer doucement en toi, tout en ne perdant pas de temps. Energiquement, tu fais rouler ton bassin sur mon pénis parfaitement érige et particulièrement raide. Je place ma main droite sur le haut de tes fesses pour accompagner ton mouvement et la gauche contre ton dos, de façon à t’incliner vers moi pour que nous puissions faire usage d’une bouche commune. Suite a ce chaleureux et surtout savoureux baiser, tu te redresses en prenant appui vers l’arrière, en posant tes mains sur mes cuisses. Tu sautilles alors généreusement sur moi. Pour ma pars, devant un festin aussi monumental qu’est ton corps, je ne peux résister bien longtemps a la tentation. Je pose fermement mes pattes sur tes seins et je les masses judicieusement en faisant rouler mes doigts successivement. Je canalise ensuite mon action vers tes jolis petits mamelons et, bien logées entre mon pouce et mon index, je les presses gentiment. Lorsque je sens que le rythme de tes sauts commence à décliner, ce qui est tout a fait compréhensible en raison de l’ardeur et de l’énergie que tu y mets, je prends tes bras dans mes mains et je te tire vers moi.
Une fois que tu es de nouveau allongée sur mon corps, je cramponne chacune de mes mains sur tes fesses et je mets en marche le bas de mon corps. Comme nous sommes tout deux adéquatement réchauffées, je peux me permettre un rythme aux limites du brutal afin de te pénétrer intensément. La cadence de cet exercice est cruellement excitante et exigeante. Au bout de quelques séances, la sueur du plaisir s’empare de nos corps. Ce mouvement est si soutenu et intensif que pour ne pas exploser prématurément, je dois modérer le tout. Tu te désancre alors de sur moi et tu allonges ton torride corps prés du miens. On s’enlace l’un dans les bras de l’autre et, non pas pour refroidir l’atmosphère mais pour la maintenir dans sa zone de confort, nous nous embrassons sexuellement et nous laissons voguer aléatoirement nos mains sur nos corps. Suite a ces échanges minutieux et heureux, ou plutôt, dans un esprit de transition, je bascule graduellement mon corps sur le tiens. Avant de replonger profondément mon membre en toi, je profite de cette posture pour déguster ta plantureuse poitrine. Tout en les massant affectueusement, j’ouvre grande la bouche et j’y insert tes mamelons, sans surprise, bien durcis. Apres les avoirs enrobés de mes lèvres, je sors les dents et je viens les croquer finement. Naturellement, ce doux et attentionne traitement sera appliquer a chacun de tes seins. Une fois mon festin terminée, je monte sur toi pour me rapprocher de ton magnifique visage. Je monte sur toi, mais par la même occasion, je monte aussi en toi. Lorsque tu sens que mon gland cherche la porte d’entrée, tu ouvres gentiment tes jambes et tu m’offres l’espace voulu et nécessaire pour recommencer à travailler ardemment. Dans un rythme plutôt modère, j’avance et recule en toi pour bien sentir la chaleur et la tendresse de l’action. Cependant, cette mesure adoptée changera vite de nature. Les coups de bassin que je donne deviennent nettement plus fréquents, et surtout, plus percutants. Devant cette augmentation appréciée et agréable, tu glisses agilement ta main entre tes jambes pour y stimuler une partie bien précise.
Une fois que tes doigts effectuent de vives rotations sur ton clitoris, tu fermes les yeux et tu gémis de plus en plus ouvertement de plaisir. Plus j’entends ta satisfaction, plus cela m’excite et m’incite à en donner davantage. Sans me retirer de ta chaude et moelleuse petite chatte, je me redresse et m’écrase sur mes genoux. Je pose mes mains sur tes hanches et toi, tu ne fais que refermer tes jambes autour de toi. Installée de la sorte, je te dirige plus efficacement, plus rapidement et plus fortement sur mon membre. Me fiant à tes gémissements, qui ressemblent maintenant à des cris, je garde le tempo et je te pénètre ainsi encore plusieurs minutes. Lorsque tu ouvres les yeux et que tu me fais un immense sourire, je te signifie mon intention de ne plus pouvoir me retenir encore longtemps. Tu me suggères et m’invites alors à venir en toi. Tu te soulèves et, en me retardement amoureusement dans les yeux et en te mouillant les lèvres avec la langue, « Aller bébé, viens en moi.Aller...oudi !! ». Je pousse alors un immense soulagement et plaisir et j’expédie le tout en toi. Tu sens le chaud liquide se propager à l’intérieur. Tu enroules ensuite tes bras autour de mon cou et tu me tire vers toi, pour que nos langues puissent se fondre l’une dans l’autre. « Je t’aime baby girl », te dis-je doucement a l’oreille. Nous demeurons encore quelques minutes dans le lit, passivement, en discutant de nos plans de la journée et de l’amour que nous avons l’un pour l’autre.


Tu te diriges vers la douche, alors que je traine quelques minutes au lit. Au moment où tu termines, je me lève et je viens te rejoindre à la salle de bain. Tu es devant le miroir, en train d’effec le petit soin matinal typiquement féminin. Je franchie la porte et avant même que tu aies eu le temps de te retourner pour m’accueillir, je me suis blotti derrière toi. Je place mes bras autour de ta fine taille et je te serre amoureusement dans mes bras. Comme tu sembles plus préoccupe par tes soins que les miens, j’approche mes lèvres de ton cou et sensuellement, je le couvre de petits baisers. J’observe ta réaction dans le miroir, et je perçois un léger sourire, sans toutefois n’obtenir aucun signe de participation. Pour de meilleurs résultats, je décide de glisser ma main à travers la serviette que tu avais enroulée autour de ton corps. Lorsque je parviens à la loger entre tes cuisses, tu me dis : « Bébé, je dois me préparer… ». Je te réponds alors : « Mm…j’espère en effet que tu es prête ». Suite à cette réponse, je me mets à genoux derrière toi. Sans hésitation et sans permission, je soulève la serviette de façon à découvrir entièrement ton joli petit cul. « Bébé, je dois vraiment me préparer », me dis-tu. Tranquillement, j’approche ma bouche de tes fesses et je les inonde chaleureusement de petits baisers. Conjointement, je pose mes mains sur elles et je les masse généreusement. A l’instant même ou tu prends ta respiration pour me dire à nouveau de laisser tomber mon entreprise, j’écarte bien grande tes fesses avec mes doigts et je fais glisser dans l’ouverture ma chaude et humide langue de bas en haut. Comme tu as retenue ton refus, je répète le mouvement encore quelques coups. A ce moment, tu déposes tes instruments de maquillage et tu ancres tes mains sur le comptoir. Tu te courbes vers l’avant et tu projettes ton petit cul vers le haut. Je pose alors bien fermement mes mains sur tes fesses et je t’administre des coups de langues rapidement et fréquemment. Apres quelques instants de cet heureux traitement, je retire ma bouche, question de respirer un peu. Pour ne pas te laisser latente, j’infiltre en toi mon majeur et j’applique un mouvement de vas et viens particulièrement intense. Tu resserres alors plus fermement le comptoir et tu te déhanches doucement. Assoiffé du chaud liquide qui s’échappe de ta petite chatte, je retire mon doigt et replonge immédiatement ma langue. Je fais virevolter ma langue dans tous les sens. Apres plusieurs minutes, je décide de me relever. Toutefois, en me relevant, j’ai pris soin de laisser quelque chose au sol ; mes boxers. Je t’invite à conserver la position et à l’ instant où je suis sur pieds, je prends mon pénis bien fermement érige et je le dirige sans détours en toi. Comme tu es déjà très humide, il se glisse sans problème et je peux déjà commencer à balancer mon bassin devant et derrière. Je me cramponne sur tes hanches et je te pénètre solidement. Je regarde l’expression de ton visage dans le miroir et plus tu montres des signes d’appréciations, plus la cadence et l’impact augmentent. Comme j’étais passablement excite d’avance, je dois ralentir un peu pour ne pas trop écourter la chose. Je pose alors une main sur ton ventre et l’autre sur tes seins. Je soulève ton corps et je m’approche de toi pour que nous puissions nous embrasser, quoique qu’étant donnée la position, un peu maladroitement. Suite à ce délicieux baiser, je reprends la position initialement adoptée, avec un rythme toujours aussi intense. Tes fesses claquent contre mes cuisses de plus en plus fortes. Ce bruit est toutefois diminué par tes cris, de plus en plus passionnées et prononcées. Dans ce même élan, tu sacrifies un appui sur le comptoir pour littéralement « gavroche » ta main sur ton clitoris. N’étant plus capable de supporter la pression, je me retire et j’éjacule mon chaud sperme sur tes fesses et ton dos. Tu te retournes vers moi et, en enroulant tes bars autour de mon cou, tu viens tendrement joindre tes lèvres aux miennes.
Il va falloir retourner à la douche…

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