Je N'Avais Jamais Vécu Quelque Chose D'Aussi Intense...

Johanna et moi nous connaissons depuis peu de temps. On s’est rencontrées sur internet, par hasard sur un site de musiques électroniques. Il s’est avéré que nous nous entendions bien et nous avons cherché à plus nous connaître. Johanna m’a alors confié qu’elle était lesbienne et qu’elle était en couple depuis bientôt 4 ans. Nous parlions énormément, nos discussions étaient profondément intéressantes et j’adorais discuter avec elle. Nous nous sommes vues par hasard, ensuite à une soirée, où venaient mixer des DJs que nous affectionnions toutes les deux particulièrement. Elle était avec sa copine, apparemment jalouse, alors nous nous sommes juste saluées et avons passé le début de la soirée chacune de notre côté. Elle avec sa copine et ses amis, et moi avec ma bande de potes. Je la dévorais des yeux malgré tout, elle était grande et brune, des cheveux longs et un regard hallucinant. Elle souriait en écoutant mixer les DJs, et semblait totalement stone face à cette musique envoûtante. Je détournais mes yeux d’elle au maximum pour ne pas attirer l’attention de sa copine ou même le sien…
Quelques verres d’alcool plus tard, je suis partie aux toilettes et à la sortie, elle était là en face de moi. J’ai arrêté d’avancer, n’ai pas dit un mot… Je la regardais me fixer en souriant, toujours ce même sourire, et ce regard de dingue… Elle a fini par avancer sans changer d’expression sur son visage, elle me regardait dans les yeux, s’est plantée devant moi quelques secondes, puis m’a contourné pour entrer dans les toilettes. Elle allait fermer la porte à clé, quand j’ai poussé la porte et suis rentrée derrière elle. J’ai fermé à double tour sans réfléchir à ce que j’étais en train de faire. Je faisais la maligne car j’avais l’impression de maîtriser totalement la situation. Et j’étais très fière de moi. Mais en une demi seconde, tout a basculé, elle a sourit et s’est mordue la lèvre, m’a plaqué violemment contre le mur des minuscules toilettes et m’a embrassé avec une telle force et une telle conviction, que même si je n’avais pas eu envie d’elle, j’aurais été tétanisée.

Ses mains retenaient les miennes contre le mur au dessus de ma tête, je ne pouvais que me laisser faire et c’était d’ailleurs bien ce que je comptais faire. L’idée de ne pas pouvoir bouger me rendait à la fois folle de rage car je ne supporte pas ne pas maîtriser les situations, mais à la fois, j’étais dingue d’excitation, cette nana me faisait un effet hallucinant. Elle continuait à m’embrasser fougueusement et pendant ce temps, nos mains se sont bien trouvées et si j’avais le malheur de vouloir baisser les bras, elle arrêtait de m’embrasser en me regardant dans les yeux tout en tenant fermement mes mains contre le mur. Puis elle s’est mise à tenir mes deux bras avec une seule main pendant que l’autre descendait le long de mon corps, passant sur mes seins, mon ventre et mes hanches, elle lâcha alors tout pour me caresser les seins d’une main et me prendre le visage de l’autre. J’ai pu alors la sentir contre moi, je sentais ses fesses, rondes et fermes, je la serrais contre moi, je l’embrassais dans le cou, c’était intense et puissant… Quelque chose que je n’avais jamais vécu. Elle me léchait l’oreille, passant sa langue sur mon lobe, le mordillant… Je sentais son souffle qui commençait à se faire irrégulier, elle s’arrêta alors quelques secondes dans mon cou et j’entendis sa voix sombre et sensuelle dans le creux de mon oreille : « Camille j’ai envie de toi. ». Je me mordais les lèvres de désir, derrière la porte près des lavabos, des nanas en furie s’agitait pour se remaquiller, pour s’engueuler ou se raconter les potins de la soirée et ça m’excitait encore plus d’imaginer tout ce peuple derrière.
Johanna était sûre d’elle, elle m’attrapait avec force et conviction, ses mains se promenait le long de mes seins, qu’elle attrapait en les embrassant par-dessus mon débardeur. Elle se mordait la lèvre toutes les 2 minutes, ce qui témoignait de son désir et qui m’excitait encore plus, elle descendait, embrassant mon décolleté, une main sous mon tee-shirt et tenant mes hanches.
Sa main remonta sur mon sein et sur mon soutien-gorge. Puis elle enleva mon tee-shirt en me regardant dans les yeux, un regard plus que communicatif.. Je n’avais jamais senti quelqu’un me désirer autant. Elle m’embrassa dans le cou longuement, me léchait, puis descendit sur mes seins, mon ventre et se retrouva à genou à hauteur de ma taille. Elle commença à défaire le bouton de mon jean, puis remonta en se serrant contre moi. Elle me regardait sans bouger, sans rien dire, puis passa sa main dans mon pantalon… Elle sentait à quel point j’étais mouillée, j’avais tellement envie d’elle, j’en pouvais plus de son regard. Elle commença à me caresser, puis passa la main dans mon shorty, se mordait la lèvre, toujours… puis enfonça directement deux doigts ce qui m’a rendu complètement dingue d’excitation, je me mordais la lèvre à mon tour pour ne pas gémir, mais impossible de me retenir. Elle fit des vas-et-viens, de plus en plus rapide, sa tête se perdait dans son cou pendant que la mienne se perdait en arrière contre le mur. Je passais ma main dans sa nuque et dans ses cheveux et elle allait de plus en plus vite… Elle m’enfonça un troisième doigt, tellement profond que je n’ai pas pu me retenir de gémir fort, ce qui a du éveiller quelques soupçons de l’autre côté de la porte.. Mais on s’en foutait.
Son autre main me caressait le sein droit, toujours à travers mon soutien-gorge. Je commençais à ne plus tenir sur mes jambes et elle le sentait bien. Pour faire durer le moment encore et encore, elle allait plus doucement, me caressait le clito, puis reprenait avec trois doigts… Je ne me fis pas attendre pour atteindre un orgasme monstrueux, elle était toute essoufflée, j’étais exténuée aussi. Mes bras pendaient, j’essayais de reprendre mes esprits, elle me regardait alors avec un petit sourire satisfait, et toujours ce regard dévastateur… J’ai souri à mon tour comme pour la remercier. Elle m’a pris la main et m’a tiré hors des toilettes, m’a dit de rejoindre la salle et mes potes.
Elle a passé le reste de la soirée avec sa copine, et quand nos regards se croisaient, nos yeux brillaient.
Depuis on se revoit de temps en temps, et il ne s’est jamais rien passé depuis. Ceci dit nous évitons de rester trop longtemps dans la même pièce, car un simple regard et nos corps s’enflamment. Il y a un feeling incroyable et inexplicable entre nous, qui va bien au-delà du plan cul, on se respecte et on s’admire mutuellement et j’attends patiemment de prendre ma petite revanche de cette soirée :)

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