Collection Zone Rouge. Curé De Campagne (2/2)
Susy, je vois que tu as trouvé notre pièce du châtiment pour nos pensées impures.
Cest ce que jentends dans mon dos alors que je viens de découvrir une partie du secret de notre prête.
Cest ici que je me repens chaque fois quune salope lors des rares confessions que nous faisons depuis la réforme de léglise me chauffe les sens.
On dirait que dans nos villages, ceux ou nous sommes ou celui dans le centre de la France ou jétais avant, aie un malin plaisir à venir étaler leurs frasques devant nous.
Le secret de la confession moblige à me taire sur leur turpitude, surtout dans notre village où tu connais tout le monde.
Surtout comme infirmière, jai vu tous les culs de ces messieurs et de ces dames.
Si tu me parles du grain de beauté de lune ou de lautre, à coup sûr, je pourrais te dire qui baises avec qui.
Il y a longtemps que tu te flagelles !
Depuis le séminaire, lévêque qui ma nommé dans notre village était le confesseur des élèves avant quil soit nommé à notre évêché.
Un jour, je lui ai demandé comment il faisait pour rester chaste.
Cétait sa méthode, je lai essayée et jai réussi à trouver la paix de lâme dans la douleur.
Cest toi qui as installé cette pièce, pour te repentir si besoin ?
Non, cest labbé Bonnot.
Quand je suis arrivée, jai très vite remarqué cette porte dans la salle dont on avait oublié de me parler.
Intrigué, jai essayé de louvrir, mais elle était fermée à clef.
Je me suis souvenu que la veille au soir au moment de ranger mon bréviaire, javais vu une clef dans la table de nuit de la chambre.
Jai ouvert et comme toi, jai découvert cette pièce.
Labbé était adepte de la flagellation comme moi.
Jai amélioré deux choses, les bougies et lencens.
Jai aussi changé le chat à neuf queues, avant, jen avais un sans boules de buis, le curé avait celui dont je me sers maintenant.
Cest bien plus efficace.
Quand ten ais-tu servi pour la dernière fois !
Tout à lheure avant ta venue, je savais lamour que javais pour toi et je me suis puni de ces pensées puisque tu étais mariée.
Je lai appris au café du village, marié à un Norvégien parti il y a deux jours pour quatre mois sur une plateforme dans son pays.
Je venais de finir de remettre mon costume de prête quand tu as frappé.
Regarde, la clef est sur la porte à lintérieur, je menferme quand je me punis si par le plus grand des hasards quelquun entrait.
Je suis venu touvrir laissant la porte ouverte.
Je men suis aperçu pendant notre repas et il était trop tard pour la bloquer.
Car, je suis une petite curieuse.
Montre-moi comment tu fais, je vois à ton regard dans mon décolleté pendant tout le temps où nous mangions que tu avais envie de mes seins.
Il enlève sa veste, ouvert sa chemise, ôte son plastron blanc qui forme un col lui aussi blanc et cest dévêtu gardant son slip quil att son engin de .
Il éteint la lumière, allume les bougies et les bâtons dencens et sagenouille avant de se frapper le dos, une fois à droite, une fois à gauche.
La lumière des bougies me montre les marques de sa dernière flagellation.
Je le vois serrer les dents, certainement sous la douleur.
Aucun son sortant de sa bouche, le temps de sa punition.
La seule chose que je remarque, cest son regard fixé sur la croix me rendant jalouse.
Lorsquil arrête, lenvie de le faire souffrir, moi aussi me taraude.
Je me saisis de la bougie la plus proche et je verse la cire liquide sur ses épaules coulant jusquà ses marques brunes.
Alors quil tourne son regard vers moi, un son de souffrance sort de sa bouche.
Jai gagné en rapport de celui quil semblait prier quelques secondes avant.
Je voudrais essayer.
Laisse-moi reprendre pied sur terre, la cire sur mes épaules et mon dos, cétait une idée magnifique.
Tu mas puni plus sévèrement que moi je pouvais le faire simplement en me flagellant.
Je reviens.
Je lentends aller vers sa chambre et en revenir avec un autre chat à neuf ou dix queues peu importe, je veux gouter à cette souffrance qui a semblé irradier son regard.
Cest celui dont je me servais avant de découvrir cette pièce et le fouet de mon prédécesseur avec ses boules de buis.
Enlève ta robe et tient toi à laccoudoir dune main et frappe-toi de lautre.
Non, je vais tenir laccoudoir et cest toi qui vas me flageller.
Moi aussi jai eu des pensées impures en te voyant te punir par amour pour moi ou de vielles cochonnes venues te provoquer avec leurs histoires de cul et de cocufiage.
Je magenouille, une pensée me vient, me montrant que moi aussi je peux avoir ce genre de pensée.
Si le curé Bonnot était son amant, que ma grand-mère venait régulièrement ici, combien de fois lui avait-elle fait subir ce supplice ?
Avec quel martinet, celui sans buis ou avec un autre comme celui de Julien.
Tu es sûr, je commence.
Premier coup ressemblant à une caresse.
Plus fort !
Tu vas y prendre goût, tu verras la douleur et le plaisir vont finir par se mêler.
Il frappe plus fort, là jai mal et mes ongles entrent dans le velours de laccoudoir.
La douleur est si forte que pour éviter de crier, je lâche laccoudoir pour le repousser.
Ma main rencontre sa queue, il bande.
Je tire son slip dénudant cette verge, bien plus massive que celle et de Jules et dHal.
Les coups sarrêtent et comme je le tiens par sa queue, il est obligé de venir jusquà ma bouche.
Une nouvelle fois je me sens à la place de ma grand-mère.
Je suçais Jules, je suce Hal, ma bouche est si grande que sans aucune difficulté, ses couilles viennent jusquà mon nez.
Je le pompe jusquà la limite de son éjaculation où il méchappe.
Viens.
À ce simple mot, je menvole vers cette chambre faisant de moi comme ma grand-mère la maîtresse du curé du village.
Il me jète sur son lit, mon dos au contact de la couverture là encore la douleur se réveille.
Je me retourne, il écarte, mes jambes, sa bouche vient aspirer ma petite culotte que jai gardée.
Frêle rempart au cocufiage de mon Norvégien de mari qui se morfond depuis quil a rejoint sa plateforme de forage.
Jarrête là ces pensées impures, car je serais obligée de retourner me flageller.
Cest moi qui sans quil me le demande relève mes fesses pour me mettre en levrette.
Ses mains me brûlant autant que la cire coulant sur son dos me prenne par les hanches.
Son gland écartant mon voile devenu inutile, me pénètre.
Ce qui est aussi inutile, cest de me taire sous les coups de boutoir de cette verge me pilonnant dans une grande envolée.
Les deux hommes de ma vie à ce jour mont fait jouir, mais dune jouissance cérébrale alors que là cest mon corps qui se donne.
Je sens la panique dans la verge au fond de ma chatte quand en même temps quun orgasme, il lâche de long jets de sperme venant frapper mon utérus.
Avec Hal, dès quil a éjaculé, il se lève et va fumer une cigarette.
Jai horreur de cette odeur dans sa bouche aussi au fil des mois, je préfère lui sucer la verge que de lembrasser.
Là, il se glisse sur son dos et mattirant à lui, il mempale.
As-tu encore envie de moi ?
Jusquà la nuit des temps.
Jai mal pour lui, le dos frottant sur la couverture en mauvaise laine.
Le plaisir stoppé quelques secondes redémarre et je suis exténuée après des heures, damour débridé et ses couilles vidées.
Nous nous endormons dans les bras lun de lautre, mais la vie mappelle, il faut que jaille lever ma première patiente du jour.
Il est vingt heures lorsque je reviens.
Pardonnez-moi mon père parce que jai pêché.
Pardonnez-moi mon père parce que jai pêché.
Pardonnez-moi mon père parce que jai pêché.
Pardonnez-moi mon père parce que jai pêché.
Parce que jai pêché, quatre fois, je viens le confesser, lobligeant à se flageller.
Quatre fois, mais en semaine venant tous les soirs après mon travail.
Vingt-huit fois, je suis fouettée pour mes pensées impures.
Ce dimanche soir, pour la première fois, cest ma chatte qui reçoit des coups de martinet avec ses neuf queues et ses billes de buis.
Ce dimanche soir, mon amant fini par me faire couler de la cire sur les grandes lèvres de mon vagin.
Je suis son amante, sa soumise et plus encore, mais ça je lignore encore.
Ton mari doit revenir dans un mois Susy, cétait la dernière fois que je tai fouetté si tu veux lui cacher nos jeux et que les traces sur ton corps disparaissent.
Il a raison, mais dès le lendemain, je viens réclamer ma dose de plaisir souffrance.
Mon amour regarde ce test de grossesse.
Deux barres, comment vas-tu faire, pardon, comment allons nous faire.
Je croyais que tu avais une chance sur x millions davoir un .
Tu as été cette chance, cest pour cela que je taime.
Regarde ce Mail que je viens de recevoir.
« Jai eu un accident et jai été transporté jusquà lhôpital.
Jai rencontré une infirmière de mon pays et je vais lépouser après notre divorce.
Un avocat va venir faire le nécessaire.
Adieu.
Haldor. »
Le saligaud te quitté par Mail, je vais quitter la prêtrise pour tépouser.
Cétait bien quil me le propose, mais jaime trop la salle de nos châtiments et un autre curé aurait découvert son existence.
De nouveau seule, dans le village, linfirmière a de nombreux prétendants après la naissance de sa fille.
Mais je suis amoureuse de mon abbé amant.
Le portillon entre nos jardins, comme pour sa grand-mère joue parfaitement son rôle, cachant notre amour et nos plaisirs.
Ma fille, cest ce salaud de Norvégien qui men a fait cadeau avant de me larguer.
Dire qu, tout le village disait que je ressemblais à ma grand-mère.
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