Libre Cours Iii
Libre cours III
Séverine arrive vers midi et demi. Je lui dis de rentrer dans la salle. Elle enlève son long manteau, quelle pose sur le rebord dune chaise. Elle porte la tenue que javais choisie lors de notre dernier rendez-vous. Un tailleur vert clair. On aperçoit le soutien-gorge en dessous, gris et noir, la jupe arrive à mi-cuisses. Elle a mis des hauts talons et des bas bleus foncés comme son porte-jarretelles, quelle dévoile en sasseyant. Ses lèvres sont fortement maquillées et je constate que sa poitrine se soulève très rapidement, emportée par le stress de linstant. Jadore prendre le temps de la contempler dans tous les détails. Je sais que mon regard la transporte et lémoustille. Cette attente la met dans tous ses états, elle me sourit et la pointe de sa langue passe sur ses lèvres. Ses seins sont vraiment bien mis en valeur. Ils semblent prêts à jaillir de leur nid pour soffrir. Ses jambes croisées ont relevé le tissu de la jupe et je peux les admirer..
« - Jai peut-être trouvé quelquun » me dit-elle toute heureuse.
« - Cest très bien Séverine, jattends de voir si ton choix sera judicieux ».
« - Si cela se fait, tu ne seras pas déçu, jen suis certaine ».
« - Et ta voisine, tu las revue ? ».
« - Oui, plusieurs fois, elle me fait de grands sourires ».
« - Elle na pas lair mal ? ».
« - Jy ai pensé aussi, elle est charmante. Jaimerais bien le faire avec elle également ».
Je dégrafe les boutons de sa petite veste qui souvre pour laisser apparaître son opulente poitrine comprimée dans le sous-vêtement charmant. Sa respiration sest encore accélérée.
« - Tu tes caressée cette semaine ? »
« - Oh oui, même plusieurs fois par jour. Dès que Philippe part, je prends Lino et on se régale. Hier soir, je nen pouvais plus. Jai attendu quil sendorme et je suis descendue dans le salon pour me masturber ».
Je lembrasse langoureusement et ma main se faufile sous sa jupe pour se poser contre son string.
« - Sors tes seins du soutien-gorge et amuses-toi avec tes pointes, titilles les bouts, fais les durcir petite cochonne. Ta chatte perle, elle dégouline de cyprine ».
« - Ohhhh !!! »
Un doigt sintroduit dedans et joue avec son bouton. Il sactive puis ressort pour lapprocher de sa bouche qui lengloutit aussitôt. Sa langue tourne autour, elle laspire comme une petite verge tout en continuant à jouer avec ses tétons érigés. Jenlève sa veste, décroche le soutif et baisse le string sur ses chevilles. Son dernier vêtement remonté jusquà la taille ne cache en rien son minou rasé de prêt. Je me lève et lui ordonne de me suivre jupe troussée. On descend à la buanderie et je prends quelques pinces à linge. Ensuite, je me dirige vers la cuisine, Séverine toujours à mes côtés, ses miches à lair et son divin cul offert à mon regard salace et à mes mains avides de le pétrir. Une fois arrivés au bout du couloir, mon majeur pénètre son anus consentant. Elle tressaille de la croupe en poussant un petit cri de satisfaction. Je la guide ainsi jusquau plateau que javais déposé là. Il contient des bananes et deux concombres.
« - Tu vois, jai fait les courses en pensant à toi. Prends-le et regagnons le salon. Attends, tends bien tes fesses, que jen mette en deuxième. Voilà, parfait, allez avances cochonne et ne fais rien tomber ! ».
Bien évidemment, jentreprends de pistonner son fion tout en marchant et un fruit tombe sur le sol. Elle pose le plateau sur la petite table, je sors mes doigts et les lui donne à nettoyer.
« - Mets toi à quatre pattes et vas chercher la banane que tu as fait tomber, ramasses-là avec la bouche et ramènes-la moi. Ensuite tu seras punie pour ta maladresse ».
Elle se déplace, cul bien en lair, puis me ramène le présent. Je lui mets dans son orifice buccal et lui ordonne de se mettre à genoux devant moi. Je tapote ses seins en accentuant progressivement les claques. Je les lui donne, soit en plein sur ses lourdes miches ou en cinglant juste les pointes. Une fois sa poitrine rougie, je prends une pince et je laccroche à un téton. La morsure du plastique provoque un cri étouffé par le fruit toujours dans sa bouche. Je fixe la deuxième sur lautre et je vois une petite larme filer sur sa joue. Jenlève la banane et constate quelle est bien lubrifiée de sa salive et je la félicite. Même si Séverine semble shabi à sa douleur, je mapprête à lui enlever les pinces, quand son portable sonne. Elle me dit que cest Fanny, une collègue de bureau.
« - Réponds, ça tapprendra à ne pas le couper. Mets ta tête sur le coussin du canapé et cambres toi bien ».
Elle a lair un peu affolée, mais sexécute malgré tout. Alors quelle dit bonjour à son interlocuteur, je me place derrière elle. Je frôle ses fesses avec la banane, puis je lintroduis dans sa chatte. Elle rentre presque toute seule, pendant quelle continue sa conversation avec Fanny. Je la vois se mordre la peau des joues pour ne pas gémir. Sa croupe se tortille sous les allers et retours du fruit oblong qui farcit sa moule. Elle finit par dire à Fanny que sa batterie de téléphone est vide. Elle raccroche, le jette sur le canapé, puis enfonce ses ongles dans les coussins en hurlant de plaisir. Je cesse de la pilonner et je pose la banane sur son dos. Je prends un concombre. Son diamètre est plus important, mais il rentre relativement facilement, grâce à laide enthousiaste de Séverine, qui se démène comme une belle garce pour pouvoir se faire fourrer en plein. Ses désirs sont doublement comblés, quand je lui ai enfile la banane dans son anus chauffé à blanc. La double pénétration lamène à effec un concert de gémissements, de soupirs et de hurlements chauds, passant des aigues aux graves.
Un peu plus tard, je lui dit de memmener aux toilettes. Elle saisit ma queue dans sa main et me guide jusquaux WC. Elle dirige le jet, puis secoue ma bitte et essuie avec sa bouche mon méat. Elle sassit pour sa miction et je la regarde faire. A peine levée, je la retourne, la penche vers la cuvette en écartant bien ses cuisses et je la lime comme cela, bien sauvagement, en penchant son visage au travers de la lunette ouverte. Elle halète sous les coups de boutoir et essaye de résister à ma pression. Quand je décharge, je la maintiens dans cette position tout en tirant la chasse. Son visage est tout éclaboussé et Séverine se relève en toussant. Je lui montre la brosse et son manche, long et rond. Elle sen empare, prépare le bout, fait demi-tour et semmanche le cul. Séverine comprend de plus en plus rapidement mes indications. Elle se dilate bien le fion et tourne son visage quand elle entend le bruit de lappareil photo.
« - Continues salope, je vais faire clichés pour mon usage personnel. Regardes-moi bien. Sors ta langue, passes-là sur tes lèvres, mouilles les ! Cambres-toi plus encore, creuses tes reins ! Je veux voir ta croupe de catin soffrir à mon objectif ! Tu aimes te montrer comme cela, hein ? »
« - Oh oui, jadore mexhiber devant toi.
« - Viens par là ! Mets-toi à quatre pattes, allez montes doucement ».
Je lui ai fait gravir lescalier avec le manche de la brosse dans le cul, tout en la photographiant. Elle ondule son séant et le spectacle quelle moffre est graveleux à souhaits. Une fois à létage, je passe devant Séverine, la guide jusquà la salle de bains. Elle me suit docilement. Je lui retire la brosse et dilate bien son cul. Il souvre de mieux en mieux. Japproche ma queue et je lui mets un bon coup de rein. Elle la pénètre bien, puis je cesse de bouger. Séverine agite sa croupe en me demandant de la baiser. Je la fesse un peu, tout en accédant à sa requête. Puis, je me retire et alors quelle me regarde, surprise, je lui mets ma bitte dans la chatte. Elle se pâme. Ensuite, je mamuse à alterner la pénétration pour le plus grand plaisir de Séverine. Ses seins frottent sur le sol et je maccroche à ses fesses pour la bourrer à fond. Sentant la jouissance arriver, je défouraille, lui att les cheveux, la retourne et je lui gicle sur le visage. Ma semence dégouline sur ses paupières, passe le long de son nez et sa langue habile la recueille avec délectation.
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