Ma Vraie Première Fois

Cela se passait dans les années 1950 , une autre époque , pas de pilules, pas de liberté sexuelle, une époque coincée comme on dirait aujoud'hui.
je venais d'avoir 18 ans, mon père verrier de métier ,m'avait trouvé un emploi dans la verrerie où il travallait.
je vais revenir un peu en arrière dans le temps, quand j'avais 12 13 ans ma sainte maman affolée s'était aperçu que mon pénis prenait des dimensions anormales pour un garçon de mon âge.
mon père porté sur la rigolade , disait " il l'a plus grosse que moi ", il en parlait même a ses copains, un plus averti lui conseilla de consulter un médecin pour examiner mon cas.
ce qui fut fait , le médecin diagnostiqua un cas rare de macrogénitosomie , voila un mot que j'apprennais et qui est resté dans ma mémoire toute ma vie.
a part ça j'étais un garcon normal , peut-ètre moins porté sur la gaudriole que mes camarades.
à 18 ans du sexe , je n'avais connus que des étreintes rapides chez les prostituées du coin., et cela pas tout seul , emmené au cours de fiesta par des copains plus ""dessalé ""que moi.
maintenant pour bien m'expliquer , je vais changer mon langage, il sera un peu plus cru.
c'est là également que l'on commença à s'extasier , le mot n'est pas trop fort sur ma "" belle bite"".
j'y gagnait le surnom de "forte-queue" qui m'est resté longtemps.
donc à l'usine où j'étais employé , au moment des douches que nous prenions en commun la aussi je fus remarqué et même je dois le dire envié.
nous habitions dans une cité ouvrière , où il y avait un grand voisinage, pas loin de chez nous il y avait une dame de 38 ans , mère de 4 s déja grands., son mari était un camarade de travail de moi, et de mon père.
je la connaissais bien pour la saluer souvent.
ma mère un jour me dit, madame Claire voudrait te confier un petit travail , toi qui es vaillant et qui veut se faire un peu d'argent de poche.
ma sainte mère ne se doutait pas du travail qu'on allait me demander.


, va chez madame Claire demain matin samedi , tu ne travailles pas , son mari est au poste à la verrerie et il ne pourras t'aider.
8 heure précise , je sonne a la porte de notre voisine, celle ci s'ouvre, madame Claire est la en peignoir entre -ouvert, je rentre estomaqué , je vois que sous son peignoir , je me répéte, elle est entièrement nue.
je dois dire que de la part d'une femme que je connaissais bien , l'effet fut , je ne saurais expliquer quoi , je ne trouve pas le mot pour le dire.
allons rentre me dit elle , tu n'as jamais rien vu.
je bafouillais , madame je suis venu pour faire un petit travail.
et bien tu vas le faire, elle me pris par le bras m'attira vers elle , et me dit , allons fait moi voir cette queue dont tout le monde parle.
a l'usine et aux douches , on parle de ça , mon mari me l'a dit et comme je suis curieuse me dit elle avec un sourire , je veux voir par moi même.
elle joignis le geste a la parole , se pressa contre moi et m'embrassa comme jamais je ne l'avvais été.
les prostituées n'embrassaient jamais leur clients.
elle passa de même sa main sur ma braguette , et s'employa à l'ouvrir, je ne savais quoi dire ,je restais la sidéré.
enfin elle réussi rapidement à sortir l'objet de ses pensées, et moi pantelant je laissais faire.
à c'est bien vrai quelle belle bite , je n'ais jamais vu rien de pareille ,me dit elle.
elle se mit a ma la caresser doucement , cela commencais à me faire de l'effet, et bientot je fut dans une belle érection.
elle s'assis sur une chaise , son peignoir largement entre-ouvert, sa chatte poilue a l'extreme, commenca à me troubler .
je vais te sucer, tu connais ça dit me dit elle, je ne répondit pas tellement la situation était insolite .
et elle commenca a me faire ce qu'on ne m'avais jamais fait, ses baisers , sa langue tout était nouveau pour moi, je fermais les yeux et je me laissais aller tout à mon plaisir.
viens maintenant ,on va baiser , mais tu fera attention, et elle m'entraina vers sa chambre voisine.

je n'avais pas compris le sens du mot faire attention, nous étions en 1950 pas de pilules.
elle se jeta sur le lit avec son peignoir , enlève ton pantalon , tu seras mieux à l'aise me dit elle ,ce que fit rapidement.
allez vient ,elle me pris par la bite et les couilles, elle me fit presque mal en me tirant.
j'étais sur elle , sa chatte noire , déja luisante de mouille et de désir, elle se l'introduit , et elle me dit , va doucement , je ne veut pas que tu me défonce, et elle me répéta pour la deuxième fois, on va faire attention.
ce que je commençai a comprendre mais qui ne m'enchantait guère , mes prostituées, ne me demandait jamais ca.
je m'introduisit doucement en elle ,25 centimètres et grosseur en proportion, je l'appris par la suite dans ma vie d'homme ca peut-ètre un handicap dans certaines occasions.
mais madame mère déja ancienne de 4 s , avait le vagin assez large pour me supporter.
la pénétration fut aisé ' et cet instant ou je fut complètement en elle , je ne l'ais jamais oublié ,moi aujourdh'ui septuagénaire..
elle même commença le va et vient langoureux de l'amour, je l'accompgnais de mon mieux.
vous voyez la situation , je la baisais debout sur un lit assez haut ca aussi c'était une première fois, et c'était pas mal , je voyait tout le travail se faire , et je doit dire quec'était excitant au possible.
au bout de 15 à 20 seconde elle commenca à "prendre son pied "ca aussi je l'ai appris par la suite.
je me trouvais dans uns situation entièrement nouvelle , elle n'araitait pas de me parler, de m'injurier légèrement de temps en temps, vieux salaud ,t'est content , ca te fait du bien , vieux cochon , je pense j'en suis même certain que c'était une habitude chez elle , ca devait la conforter.
d'un coup la situation changea , je la senti différente , ses soubresauts devinrent saccadé et elle me dit , allez on fait plus attention , vas y enfile moi bien , vas y , elle hurlait que j'en était gèné, je lui déchargeait mon venin a plein flot dans sa chatte.

la situation était sensationnelle , nouvelle pour moi.
elle s'apaisa et elle me dit ,reste avec moi , laisse la dedans, pour quelqun qui auparavant me demandait de faire attention, la situation était étrange,mais je ne demandais que ca.
j'en profitait pour lui caresser ses seins , ses boutons , je les sentis se durcir et un autre sensations me parvins sa chatte se mis a faires des petites secousses et à m'ensserrer ma queue a me la contracter , si bien que je me remis à bander.
elle le sentis bien sur ,et elle se l'enfonca jusqu'a la garde, et je l'entendis me dire , vas y vieux salaud , rebaise moi , tu vas me faire un gosse , mais tant pis c'est trop bon.
je ne fis pas prier , ma queue était plus grosse que jamais, je la soulevais et je pénétrait sauvagement , alors ses hurlements , le mot n'est pas trop fort , se fire également d'une sauvagerie inouies.
je lui dechargeait pour la seconde fois dans sa chatte , qui me semblait il s'était agrandie.
quelle bonheur ,pour moi c'était la première fois que je possédait un femme pour moi , mon apparence , rien de vénal , comme avec mes braves prostituées, qui je les en remercie m'on mis le pied à l'étrier.
ce jour la je suis devenu un homme , je n'était plus comme avant , je n'avais plus honte de ma grosses bite , car je voyais que cela plaisait.
je remercie madame Claire à qui je n'ai pas fait un gosse, mais qui m'a vraiment dépucelé moralement ce jour là.

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