Chaud Anniversaire
Cette histoire est totalement fictive. Toute ressemblance avec des personnages, faits ou lieux réels est totalement fortuite.
CHAUD ANNIVERSAIRE
L'année dernière, mon meilleur ami Gilles, sa mère, Laura, et moi étions partis quelques jours en Auvergne afin de fêter les 39 ans de Laura. Voici notre histoire.
Le départ pour Aurillac était prévu pour 15h16 mais le train nous arriva une heure plus tard, bondé comme pas permis. Cette surpopulation entraîna un changement dans les places initialement prévues. Je me retrouva donc seul avec Laura, en compagnie de quelques autres voyageurs, des touristes japonais. C'était la première fois que je me retrouvais en tête à tête avec la dame. Depuis plusieurs temps déjà, j'avais commencé à lui trouver un certain charme : elle avait des traits fins et réguliers, de jolis yeux noisettes, des cheveux légèrement teints en noirs, une poitrine peu imposante mais qui avait son charme et un cul bien rebondi malgré son âge. Elle était de taille moyenne et plutôt mince, le tout sans chirurgie plastique. Elle avait mis une fine robe d'été et couvert ses épaules d'une petite veste en soie. Le tout la rendait sexy et accentuait sa taille mince.
Les premières minutes étaient assez gênées mais après un certain temps, une force inconnue faisait se rencontrer nos yeux que nous levions au même moment, comme si une affinité nous eût avertis. Nous nous sentions heureux l'un près de l'autre, peut-être parce que nous pensions l'un à l'autre. Le temps couvert jusqu'à maintenant s'éclaircit soudain et le soleil pénétra dans le wagon. Un rayon éclaira le beau visage de Laura ; elle était décidément vraiment jolie. De plus, ce beau temps nous rendit bavards et les choses les plus simples nous donnaient d'interminables gaietés. Le train arriva à bon port et nous retrouvâmes Gilles sur le quai. Il semblait surpris de voir sa mère et son meilleur ami parler et plaisanter comme s'ils se connaissaient et s'adoraient depuis longtemps.
Seul dans mon lit, je repensais à ce dernier regard et à son doux parfum de pomme. Soudain, je sentis mon sexe se dresser et l'envie de me masturber vint alors. Je me tourna vers Gilles qui dormait déjà profondément en me demandant s'il pourrait comprendre que son meilleur ami se branle en pensant à sa mère. Qu'importe. Je commençai à retirer mon boxer quand j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir. Dans la panique, j'avais seulement tirer la couette, sans remonter mon sous-vêtement. Je n'osais pas imaginer la bosse que ma bite devait former. Je sentis le bas de mon matelas s'enfoncer, en même temps qu'une odeur de pomme. ELLE était là. Sa présence renforça mon érection, au point que je dus faire appel à tout mon sang froid pour ne pas lui sauter dessus. Les minutes nous semblaient des heures, pour ma bite et moi. Après un gros quart d'heure, j'entendis un bruit d'étoffe suivit de petits gémissements. Troublé, j'entrouvris légèrement les yeux, suffisamment pour voir Laura en train de se masturber, là, au pied de mon lit. Je commençai à élaborer un « plan d'attaque » quand Gilles se tourna brusquement dans son lit, faisant fuir Laura comme une ombre.
Ni une ni deux, je saute de mon lit, enfile un jeanssss quelconque et me précipite dans le couloir jusqu'à sa chambre. Mais une fois arrivé devant sa porte, l'euphorie et l'excitation de tout à l'heure commencèrent à se dissiper et une impression d'être complètement fou me pénétra. Je frappai quand même, guidé par une entité invisible. Sa douce voix me dit d'entrer mais je restais planter devant la porte, paralysé.
Immédiatement, je rougis de ma présence et balbutia quelques paroles pouvant justifier ma visite mais elle me fit taire en posant son doigt sur mes lèvres. Elle regarda subrepticement dans le couloir avant de m'entraîner dans sa chambre en me murmurant à loreille « Je tattendais
». Cette parole raviva mon érection au moment où elle me projeta sur le lit. Mon attention fût brièvement attirée par la présence de nombreuses bougies avant de revenir sur le corps presque nu de Laura, à califourchon sur moi. Elle retira lentement sa nuisette, me faisant découvrir une belle chatte encore bien entretenue. Elle prit alors ma main et la fit glisser entre ses deux seins, descendant progressivement et en mettant mes nerfs à rude épreuve. Sa peau était douce et chaude. Elle me lâcha une fois arrivé au niveau des poils pubiens. Ahuri, je restais bouche bée, sans plus pouvoir contrôler mes gestes. Nullement perturbée, la belle ménagère commença alors à frotter sa chatte contre mon jean'ssss et contre mon sexe durcit avec un lent mouvement du bassin. Ladrénaline éprouvée alors me fit réagir bestialement : je pris un de ses petits seins dans une de mes mains tandis que joccupais lautre à caresser ses fesses. Je ne pus attendre plus longtemps avant de la retourner sur le lit. Nos regards senlaçaient à présent. On y voyait à la fois le désir et la culpabilité, sûrement dû au fait que presque vingt ans séparaient les deux êtres. Nous nous embrassâmes dans une étreinte passionnée qui mexcita davantage. Suite à ce baiser, jattaqua le cunnilingus, dun mouvement circulaire et sempiternel, rythmé par Laura qui me caressait tantôt les cheveux, tantôt le reste du visage. Sa mouille me faisait peu à peu tourner la tête, ce qui ne mempêchait pourtant pas de menivrer de son liquide. Les soupirs quelle poussait minsistaient à accélérer le mouvement de ma langue sur son clitoris dressé.
Nous commençâmes alors la position dAndromaque, position facilitant les échanges érotiques. Jen profitai pour atteindre toutes les parties de son corps accessibles, mes caresses étant parfois ponctuées par dinterminables baisers, doux et sauvages, passionnés et distants. Les gémissements de Laura, de plus en plus forts, étaient accompagnés par mes râles, de plus en plus profonds tandis que les va-et-vient étaient de plus en plus rapides. Encore une fois, elle sarrêta juste avant mon éjaculation. Elle se mit alors devant moi, à quatre pattes. Je mis plusieurs secondes avant de comprendre quelle voulait que je la prenne en levrette. Cette nouvelle position me permettait toujours de caresser ses petits seins qui se balançaient au fil des va-et-vient. Nerveux, je dérapais fréquemment sur le clitoris, ce qui semblait lexciter davantage. Je renforçais parfois mes pénétrations en magrippant fermement à ses épaules. Comme je my attendais, elle se retira juste avant que je jouisse, et sallongea, sans un mot, les jambes écartées. Débuta alors une classique position du missionnaire, classique mais excitante. Mon regard était éperdument plongé dans le sien. Elle me caressait le cul tandis que nos deux langues senlaçaient passionnément. Comme à son habitude, elle nous fit changer de position au bon moment. Elle sallongea fesses en arrière, parée à la sodomie. Jenfonçai doucement ma bite, ayant peur de lui faire mal. Comme elle ne bronchait pas, jaccélérait peu à peu le mouvement, en prenant fermement en mains son joli cul. Son sixième sens lui dit une nouvelle fois de sarrêter. Elle se retourna, enleva la capote et me suça brièvement. Elle mincita ensuite à me lever et sagrippa à moi, empalant ma bite dans sa chatte. Cétait la première fois que je faisais lamour debout et cétait plus fatiguant que je ne laurais cru mais aussi plus intense. Plusieurs fois, elle avait poussé dassourdissants cris qui memmenèrent à la conclusion quelle avait eût au moins un orgasme. Soulagé, je lui murmura à loreille : « Je viens
». Aussitôt, elle sauta à terre, se mit à genoux et me suça vivement jusquà ce que, suite à plusieurs râles, je laspergeai de nombreux jets de sperme quelle avala en partie. Après lavoir directement regarder dans les yeux en essayant de faire passer le plus de gratitude possible, je pris mes affaires et me dirigeai vers la salle de bain, histoire de me rafraîchir. Suite à une dernière étreinte, je retournai dans ma chambre, le cur remplit de joie et avec lenvie de courir et de hurler tout et nimporte quoi dans lhôtel.
Mais arrivé dans la chambre, je vis Gilles, éveillé, devant lordinateur en train de déguster une appétissante tarte aux fraises. Il se tourna vers moi, étonné.
« - Putain mais où tétais ?! senquit mon meilleur ami
[Merde]
- Je
jétais au chiotte
Jdois avoir genre une vieille gastro
balbutiai-je
- Bah merde, jespère que ça ira mieux demain, faudrait pas que ça gâche le séjour
- Cest ça
- Bon, viens voir, jai trouver un vieux forum où des gars raconte leurs parties de baise
Putain ya dces trucs
Genre un mec qui dit avoir baisé la mère dson pote
.Non mais timagine
? Elle avait au moins 50 piges la meuf ! Ben quoi ? Tu fais une drôle de gueule
- Ouais, jai encore un peu mal au ventre
Ça ira mieux demain
- Jespère
En attendant repose-toi bien hein
- Merci, et toi vas-y molo sur la branlette
- Ça va pas
?! Jvais pas mbranler devant les vieux fantasmes de pervers psychopathes ! »
Je me glissai rapidement dans mes draps. A peine eus-je fermer les yeux que le bruit caractéristique dune masturbation séleva dans la chambre. Je ne pouvait cesser de repenser à tout ce qui cétait passé cette nuit. Mais le bruit faible et régulier fini par mendormir, mévitant ainsi dappréhender le lendemain, lorsque que je me retrouverai face à face avec Laura
fin
?
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