Mon Beau-Père Fait Mon Éducation Sexuelle. 19 Ma Belle-Mère, Dernière Vengeance.
Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. 19
Ma belle-mère, dernière vengeance.
Jean la force à le sucer pour la faire taire. Au bout de quelques minutes, il pousse un cri de jouissance car les violents coups de reins de Claude propulsent la bouche de sa femme toujours plus loin sur sa lance qui ne demande plus quà se vider, forçant Léonie à avaler son sperme, une première pour lui, et pour elle...
Léonie est en sueur et nen peut plus, la chatte en feu, mais Jean lui explique:
-Alors ? Ça te plait ? Mais tu nes quau début dun formidable trip. Le petit coup vite fait avant de faire dodo, cest pas au programme !
Suite :
Elle le regarde dun air implorant, son corps ne lui appartient plus, sursautant à chaque pénétration trop profonde de ce jeune bouc infatigable, gémissant, feulant aux orgasmes multiples quelle ne peut réfréner, arrivant à lextase. Elle ne se plaint même pas des claques violentes qui tombent sur ses fesses.
Claude sest retiré après une longue chevauchée, il se branle dune main et la fiste de lautre. Elle ressent dans ses entrailles plusieurs doigts qui recherchent son point G, la faisant délirer de plaisir.
Claude est arrivé au point de rupture et zèbre le dos de Léonie de longues trainées blanchâtres.
Une semence épaisse sétend de la fente de ses fesses jusque dans son abondante chevelure.
Léonie laisse retomber sa tête sur le lit, croyant que son supplice est fini. Elle sent les doigts de Claude racler son dos pour récupérer du foutre, puis en graisser sa chatte et son anus. Affolée, elle sent un, puis deux doigts forcer ce trou quelle a toujours interdit à son Mari.
Voyant les fesses offertes, lanus préparé par ses mains, Claude se positionne et jette un regard à Jean pour son approbation qui anone de la tête. Claude saisit sa verge qui a perdu un peu de sa raideur, colle son gland sur la rondelle fripée et force cette porte étroite.
Léonie hurle de douleur mais le gland a déjà franchi le gué. Je lui conseille dun air goguenard :
-Laisse-toi faire si tu ne veux pas déguster... Et toi Claude, prends-la par-là, donne-lui du plaisir par le cul, explose lui la rondelle !
-Nooonnn ! Oh putain ! Oh putain ! Arrête ! Tu me casses le cul ! Hurle effrayée Léonie.
Mais Claude nen a cure. Son défonce-cul, broyé par le sphincter de Léonie, reprend soudain du gourdin. Il peut lâcher la bête sauvage qui na plus besoin de collier. Il pose ses mains sur les reins de Léonie et donne un monstrueux coup de reins, senfonçant jusquà la garde dans le fion de Léonie.
Elle hurle comme jamais. Autant il a été doux avec moi, autant il ne prend pas de gant avec elle, comme je le lui avais demandé, je tiens ma vengeance.
Claude attend quand même un moment que la douleur sapaise et que le cul de Léonie prenne la pleine mesure de lintrus avant de continuer.
Il ressort son engin et recommence, ce coup-ci, avec une extrême lenteur, le membre imposant disparaissant peu à peu, en dilatant le fion à lextrème, pénétrant doucement entre les fesses dune Léonie, qui pousse des gémissements en sentant entrer un tel pal, complètement sous le choc dune telle défloration anale.
Il la taraude un long moment puis, comme tout à lheure, lentraine avec lui pour que ça soit lui qui se retrouve en dessous. Il la lâche, espérant quelle ne séjecte pas de son pieu.
Il a encore gagné car elle replie ses jambes et pose ses mains sur les cuisses de Claude pour avoir des points dappuis et commence une lascive danse sur cet axe dairain bien au chaud dans son cul.
Pendant de longues minutes, il fait varier les positions, passant dune chatte poilue au trou du cul resté entrouvert tellement il a été alésé.
Claude se redresse soudain et approche sa verge de la bouche de Léonie qui comprend où il veut en venir. La sainte-nitouche qui refusait il ny a pas si longtemps de sucer son mari ne rechigne même pas à engloutir dans sa bouche cette colonne de chair qui sent la merde.
Petit instant de pose
Claude en profite pour aller se rafraîchir dans la salle de bain attenante et me fait signe de le suivre.
-Alors ? Que penses-tu de la prestation ? Si tu veux, je peux aller encore plus loin en mettant un cockring.
-Que veux-tu dire par là ? Je lui demande.
-Il est vrai que je ne suis pas allé si loin avec toi. Cest un anneau en caoutchouc de 45mm de diamètre que je mets à la base de ma queue quand elle est au repos, puis quand je bande, la pression exercée par le cockring fait que ma verge est encore plus grosse et plus dure, si raide que rien ne la ferait plier.
-Mais comment fais-tu pour enfiler ce joint « spy » derrière tes bourses, ça ne passera jamais.
-Je passe une burne, puis lautre dans lanneau, et ensuite la peau du prépuce pour faire passer le gland, le reste suit. Le seul problème, cest quil faut après que je redébande complètement pour pouvoir retirer lanneau. Tu veux me le passer ?
-Oh oui ! Ça me fera une expérience de plus dans mon initiation !
Je me mets donc à la tâche, suivant ses indications. Une burne, puis lautre en tenant le sac de peau. Jai déjà des difficultés pour réussir à faire passer sa verge dans lanneau déjà bien plein par ses couilles, je tire sur la peau du prépuce pour faire passer le gland, puis la hampe. Je pousse enfin lanneau avec difficulté le plus près de son pubis et je sens aussitôt dans ma main grossir sa pine qui devient à une vitesse folle un incroyable obélisque.
Sa queue qui a déjà au naturel des proportions hors du commun est devenue un véritable gourdin**.
Mes mains sont autour dune véritable massue si ferme que mes doigts serrés au maximum narrivent même pas à en diminuer le diamètre. Un vrai bout de bois si lourd quil ne peut pas se dresser plus haut que lhorizontal.
Il revient dans la chambre et force Léonie à se mettre en levrette, lui cachant son bas-ventre où pointe un véritable barreau. Il joue beaucoup avec le cul de Léonie que ses doigts pénètrent sans difficulté. On dirait quelle aime ça.
Il me présente sa queue à sucer pendant quil lui élargit la rondelle avec ses doigts. Quand son défonce-cul est bien lubrifié de ma salive, sa teub quitte ma bouche. Il la présente devant lanus et la promène le long du sillon des fesses plusieurs fois puis Claude commence à la pénétrer doucement. Lorsque le gland réussit à forcer le passage et que son sexe lembroche, elle pousse un cri, ne sattendant pas à ressentir à nouveau une telle douleur.
-Aaarrrgghhh ! Mais quest ce que tu menfiles dans le fion ? Comment ta queue peut-elle être encore plus grosse et plus dure ? Oh bordel
Que ça fait mal ! Tu vas me blesser ! Nooonnn !
A suivre
Ps : A la fin du quatrième épisode de cette nouvelle histoire, vous aurez le choix entre continuer de fantasmer sur mes textes ou alors de voir sur quoi je me base pour écrire mes textes.
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