Un Inconnu Dans Les Toilettes
Cétait il y a deux semaines. Je marchais dans un centre commercial en faisant du lèche-vitrine. Je me suis arrêtée devant la vitrine dun magasin de sous-vêtements : des porte-jarretelles noires mettaient joliment en valeur les longues cuisses du mannequin, assortis à un string en dentelle rouge et noire, et à un soutien-gorge très sexy, mettant en avant les lobes sans les recouvrir dun tissus quelconque, mais les soulignant de dentelles du même genre que celle du string. La vision de cet ensemble me donnait des idées, je mimaginais les portant en train de danser devant un homme, peu importe qui il soit, me frottant contre lui, lui tournant le dos pour lui montrer mes fesses, puis me re-penchant vers lui pour toucher son visage avec le bout de mes seins.
Jen était là, et même bien plus loin, allant jusquà limaginer en train de massoire sur ses genoux et de me caresser de partout, quand jai surpris le regard dun homme derrière moi en train de regarder la vitrine, ou moi peut-être. Il était assez grand, dans les 1m80, un peu bedonnant, il avait le visage caché par une barbe, des cheveux coiffés vers larrière un peu foncés, mais trop gominés pour que jen devine vraiment la couleur. Je regardais son reflet dans la glace, toujours en train de me demander si cétait moi quil regardait ou bien le mannequin. Jai fini par croiser son regard, avide. Jai baissé les yeux, un peu effrayée au fond par cet homme, car jétais sur quà la vue du mannequin des idées proches des miennes lui passaient dans la tête.
Je me suis mise à imaginer que cétait lui qui était assis en face de moi pendant que je dansais dans cette tenue décadente. Il mattirait à lui, masseyant de force sur ces genoux pour me caresser les seins avec brusquerie, mécarter les cuisses, écarter mon string pour caresser mon clitoris. Je sentais que je commençais à avoir chaud, et sans que je le veule réellement, mon excitation augmentait. Quand jai relevé les yeux vers le mannequin, jai à nouveau croisé son regard.
Jai recommencé à marcher pour aller devant la boutique suivante et my attarder un instant, pensant remettre un peu dordre dans mes idées et me calmer. Mais en regardant la vitrine je me suis rendu compte que lhomme mavait suivi, et quune fois de plus nos regards se croisaient par le jeu des reflets. Jai continué alors à avancer jusquaux vitrines suivantes, sans vraiment oser me retourner, juste en contrôlant quil me suivait. Sans que ce soit vraiment prémédité, je me suis retrouvé face au petit couloir qui menait aux toilettes du centre commercial. Je me suis donc dirigé vers ceux-ci, pensant y trouver un refuge. Et puis une fois à lintérieur, au moment de mettre le verrou, jai éteint la lumière et laisser la porte ouverte. La folle idée que lhomme puisse me suivre ici mavait traversée.
Jétais là depuis sans doute peu de temps, les yeux fixés sur la poigné, quand je lai vu tourné. Mattendant à devoir mexpliquer face à une femme très étonnée de me voir dans les toilettes toute habillée et dans le noir, je sentis la confusion me gagner. Quand je me rendis compte que cétait lhomme qui entrait, jai ressenti la même vague dexcitation intense que devant la vitrine. Il a refermé la porte derrière lui, et jai entendu quil fermait le verrou. Puis jai senti ses mains sur moi, comme dans le fantasme, il ma mit dos à lui et à commencer à me caresser les seins en membrassant dans le cou. Cétait très tendre en fait. Javais posé mes mains sur ses hanches et un peu sans men rendre compte, javais commencé à onduler contre lui. Ses mains se sont faites plus avides et on commencé à malaxer mes seins avec plus de vigueur.
Je sentais le plaisir qui montait en moi, et jétais incapable de réfléchir à quoi que ce soit. Je pensais simplement à mon envie de le lavoir à moi.
Il lâcha mes seins que je commençais à caresser toute seule, trop exciter pour men empêcher, et descendit son pantalon, pour venir coller contre mes fesses chaudes son sexe dressé. Je me retournais alors et commençait à le branler. Je lembrassais en même temps, mêlant ma langue à la sienne, la léchant, léchant ses lèvres. Il caressait mes seins pendant que je continuais à faire grossir sa queue dans ma main. Avec mon autre main, je commençais à caresser ses couilles. Et au fur et à mesure que sa queue gonflait, que son excitation montait, je sentais ses mains plus brusques encore sur mes seins. Il pinçait mes tétons entre ses doigts puis les léchait comme pour se faire pardonner de mavoir fait mal. Cétait une délicieuse.
Il vint me caresser la joue, passant un doigt sur mes lèvres entrouvertes. Je ne pus mempêcher de lécher ce doigt, alors il me le mis dans la bouche en laissant échapper un son rauque, et je commençais alors à sucer ce doigt, tout en continuant à branler sa queue. Je marrêtais quelque fois pour caresser du bout du doigt son gland. Son doigt toujours dans ma bouche il fit descendre sa main, jusquà ce que je sois obligé de me pencher, et il finit par mettre mon visage tout près de sa queue. Jabandonnais alors son doigt pour prendre sa queue dans ma bouche. Je léchais son gland, puis enfonçait ma tête sur son dard, puis recommençait. Javais envie de cette queue au plus profond de ma gorge, et tout en continuant à le branler je la faisait glisser entre mes lèvres.
Il finit par se retirer de ma bouche, et sassit à ma place sur les toilettes. Jétais debout devant lui, il mattira tout près et commença à me caresser les clitoris. Jécartais les jambes autour des siennes, lui laissant par la même occasion, la possibilité de promener son doigt plus près de mon vagin. Il arrêta ses douces caresses le temps de remplacer son doigt sur mon clitoris par sa langue et ses lèvres, alors que son doigt commençait à pénétrer mon vagin. Il glissait si facilement que bientôt il ajouta des doigts à son mouvement de va et vient en moi. Jessayais de ne pas trop gémir, consciente que jétais là dans les toilettes publiques dun centre commerciale, mais néanmoins incapable de marrêter tout à fait. Ses doigts allaient de plus en plus vite et sa bouche me suçait, me léchait, maspirait mon clitoris en feu.
Il arrêta pour me mettre à genoux devant lui. Le carrelage du sol était froid et mouillé par endroit, mais jétais incapable de réfléchir à ça. Je mis sa queue bien raide entre mes seins et commençait à le branler comme ça. De temps en temps, jarrivais à lécher le bout de son gland quand il émergeait dentre mes deux lobes. Il finit par me ré appuyer sur la tête pour que je recommence à le sucer, ce que je fis avec plaisir, retrouvant le contact lisse de la peau de sa bite contre mes lèvres. Jétais à quatre pattes par terre pour mieux aller et venir là. Je lui caressais les couilles et le branlais avec mes mains, en même temps que je lengloutissais dans ma bouche.
Je me redressais alors pour venir mempaler sur sa queue encore toute humide de ma salive. Il me tenait par les hanches pour me faire aller et venir sur son énorme queue que je sentais avec délice glisser dans ma chatte. Je finis par me lever pour quil vienne se placer derrière moi. Je mettais un pied sur les toilettes pour avoir les jambes bien écarter. Sa queue bien en mains il senfonça par petits à coup délicieux dans ma chatte. Puis il me repris par les hanches et commença à aller et venir contre moi. Le rythme saccélérait et je sentais mes seins rebondir à chaque coup de reins. Je glissais un doigt entre mes jambes, me caressant le clitoris puis allant jusqu'à caresser ses couilles. Il accéléra alors encore le rythme, ses couilles venant claquer contre mes cuisses à chaque coup de reins. Il me remit alors un doigt dans le cul, ce qui me fit gémir plus fort, et finalement je jouis.
Il sortit alors sa queue bien lubrifiée de ma chatte toute mouillée pour commencer à la faire glisser entre mes fesses. Elle vint se loger toute seule dans mon anus. Comme jétais encore un peu étroite, il ne put dabord rentrer que le gland. Puis il commença lentement à rentrer en moi, de plus en plus profond. Jaimais ça, cétait bon de le sentir là. Jécartais mes fesses avec mes mains pour laider à senfoncer mieux. Voyant que jaimais ça, il donna des coups de reins pour rentrer plus profondément en moi. Javais un peu mal, mais je sentais au-delà de la douleur un plaisir énorme. Il continua et quand il fut bien au fond, commença à donner de violents coups de reins, qui faisaient claquer ses couilles contre mes fesses. Je mappuyais au mur pour ne pas tomber et je gémissais plus par plaisir que par douleur.
Je lai alors entendu me demander si jaimais ça en ralentissant un peu le rythme. Incapable de mentir, je répondais que oui. Il continua alors à me parler, me traitant de salope, me disant que javais le cul dune chienne. Et moi, jétais excitée par ses insultes. Il me demanda de parler aussi, je répétais ce quil me disait, lui demandant de me défoncer comme une pute, de menculer plus profond. Le rythme saccéléra encore, et je ne répétais même plus, jétais la salope et je voulais quil me défonce comme ça. Jaimais ça, cétait vraiment bon.
Je finis par jouir. Alors il se retira, et me demanda de le sucer comme la pute que jétais. Alors je me suis remise à genoux devant lui assis sur les toilettes et recommençais à le sucer. Javais envie de son sperme, javais envie den sentir le goût. Je sentis sa queue frémir, alors je suçais plus fort. Il me tira la tête en arrière en me tenant par les cheveux, puis il alluma la lumière, disant quil voulait voir mon visage plein de son sperme. Il se branla tout près de ma figure, je léchais le bout de son gland quand il passait à proximité de mes lèvres, et jouvrais la bouche en attente de son sperme. Quand il éjacula enfin, je tournais la tête pour en avoir à la fois sur les lèvres et sur les joues. Je sentais le liquide chaud coulé sur mon menton, il me remit sa bite dans la bouche pour le dernier jet, me disant davaler comme une salope que jétais. Javais beau essayer de mappliquer je sentais un peu de foutre me couler le long du menton pour atterrir sur mes seins. Quand ce fut terminé je lui léchais la queue pour la nettoyer et récupérait le sperme sur mes joues et mes seins pour me lécher les doigts. Je finis par me relever, les jambes un peu tremblantes de mon dernier orgasme.
Il remit son pantalon, vérifia dans le miroir quil avait un air acceptable puis sortit. Je me précipitais pour fermer derrière lui, pour être sure que personne ne rentrerait. Je me regardais dans la glace, javais les yeux brillants. Je ne pus mempêcher de glisser ma main entre mes cuisses. Sentant lexcitation revenir, je massis sur les toilettes et commençait à me caresser. Lorgasme vint très rapidement, en repensant à lui, et en entendant sa voix résonner dans ma tête et me disant que jétais une vraie salope. Je finis par me rhabiller, vérifiant moi aussi que javais un air correct dans la glace, et je ressortais des toilettes comme si de rien nétait, mais gardant dans ma tête le souvenir brûlant de cet épisode.
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