Elle Prête Ma Queue À Sa Copine.
Marc et Sophie sont des amis de longue date. Nous nous voyons souvent et avons plusieurs activités en commun, nous parlons quelquefois sexe mais jamais nous navons franchi la barrière.
Et puis un jour
Marc eu cet accident horrible. Hospitalisation, rééducation,
Marc est resté paraplégique.
Nous les avons aidés et soutenus dans cette épreuve, ce qui nous a encore rapproché.
Un jour Marie me dit : « Sophie ma dit que Marc était devenu impuissant. Ca doit être terrible. Je ne sais pas comment je ferais si ça tarrivait. Jai trop besoin de ta queue ! »
Et moi, en pensant être malin je rajoute : « Je peux lui prêter ma queue si tu veux ! »
Réponse outrée de Marie : « Ta queue mappartient et je suis trop jalouse pour la partager, jamais je ne supporterai quune autre femme te fasse jouir ! » .
Ce jour-là nous en sommes resté là.
Quelque temps plus tard , alors que je prenais une bière avec Marc, il sépancha et me parla de ses problèmes dimpuissance : « Tu comprends, moi cest pas grave, de toute façon je nai plus de besoin, mais pour Sophie cest terrible. Je la fais jouir avec ma langue et mes doigts (et là je pense que je suis devenu expert ! ) mais je sens quune queue lui manque. Jai peur quun jour elle me trompe car elle aime trop la vie (et le vit). Lidéal ça serait que je lui trouve quelquun et que ça reste uniquement sexuel
». Je ne savais pas quoi lui répondre.
Je rapportai notre conversation à Marie qui resta songeuse
Un mois plus tard, Marc et Sophie nous invitèrent pour un apéritif.
Avant de nous rendre chez eux, Marie sest approchée de moi, ma descendu le pantalon et ma taillé une pipe dont elle a le secret jusquà éjaculation. Je fus agréablement surpris mais je lui fis remarquer quelle naurait pas le temps de se satisfaire. En effet quand elle me vide rapidement les couilles je sais que cest parcequelle veut longuement profiter de ma queue.
Elle me répondit : « Cest pour mieux être en manque, jattendrai notre retour et là jen profiterai ».
Agréable fin de soirée en perspective.
Nous nous rendîmes donc chez nos copains. Marie et moi nous installames dans le canapé en face deux. Sophie était vêtue de façon plûtot sexy et se trémoussai dans son fauteuil. De plus, ses rires étaient nerveux.
Après quelques verres, Sophie et Marie sabsentèrent dans la cuisine un moment. Quand elle revinrent Sophie prit la parole après avoir ingurgité un autre verre : « Nous avons des choses importantes à vous dire. Si un de vous deux nest pas daccord, il le dit, on oublie tout et surtout on reste copains. Ok ? »
Moi interloqué : « ok »
Marc : « ok, promis »
Sophie reprit la parole : « Depuis ton accident, je vois bien que Sophie est en manque. Nous en avons longuement discuté et avons décidé de réagir. Donc, si vous êtes daccord, jai décidé de prêter la queue de mon mari à ma meilleure copine mais uniquement la queue car je suis très jalouse. Jai expliqué les règles du jeu à Sophie : Elle peut utiliser la queue de mon homme uniquement dans son sexe et se faire du bien avec aussi longtemps quelle le souhaite. Mais comme je suis jalouse, je ne veux pas que mon mari en profite trop. Il se mettra donc sur le dos sans bouger et laissera Sophie se débrouiller toute seule. De plus Sophie ma dit que Marc avait un bon coup de langue, peut-être vais-je en profiter, on verra
A tout moment, un de nous quatre peut interrompre la partie. Pour nous le plus important est que lamitié reste intacte. Nous nous eclipsons quelques minutes le temps que vous en parliez »
Et elle quittèrent la pièce les joues en feu.
Nous étions estomaqués et un peu gênés.
Marc me regarda et dit en me proposant un autre verre : « Eh bé ! les copines quand elles prennent les choses en main
»
Je commençai à comprendre le pourquoi de la pipe impromptue.
Marc me dit : « Après tout, pourquoi pas, je préfère la voir profiter de ta queue que de savoir quelle me trompe. Et en plus, je pense que je ne resterais pas indifférent à sa jouissance, cest quelque chose que japprécie de voir le plaisir monter sur son visage. Je comprends pourquoi elle a insisté pour que je la lèche avant que vous narriviez. Cétait pour se mettre en forme. Donc pour moi cest ok.»
« ok pour moi aussi, après tout si je prends mon pied il ny a pas de raison que Marie nen profite pas ! Et je lui expliquai que Marie mavait un peu préparé physiquement. »
Nous rappelames donc nos femmes qui entrèrent dans la pièce en se demandant si elles navaient pas gaffé.
« ok, on est daccord » dis-je.
La gêne sinstalla car la théorie cest bien joli mais la pratique
Nous décidâmes donc de déguster un autre verre histoire de détendre latmosphère.
Et bien sûr, encore une fois ce fut nos femmes qui prirent les choses en main !
Sophie sapprocha de son mari et lui dit : « Merci de si bien me comprendre, je taime » Et elle lembrassa fougueusement.
Pendant ce temps Marie sapprocha de moi et mota uniquement le pantalon et le slip et mallongea sur le divan en me disant : « Pour ce dont elle a besoin, il nest pas nécessaire denlever le reste ! »
Là-dessus, elle me suça jusquà ce que ma bite soit au top niveau et dit à sa copine : « Allez, viens en profiter, tu verras, je lui ai déjà vidé les couilles tout à lheure donc tu vas pouvoir tamuser pendant pas mal de temps. »
Sophie sapprocha de moi et se positionna au dessus de ma queue sans se déshabiller. Quand je lui dit quelle serait plus à laise toute nue, elle me dit quelle préférait rester habillée mais quelle avait quand même oté sa culotte. Elle semblait avoir honte mais avait tellement envie dune bite quelle descendit sur ma bite très doucement. Elle était trempée et neut aucun mal à sempaler.
« Ouuuh, que ça fait du bien » dit-elle.
Nous étions 3 spectateurs très intéressés par la suite des évènements mais elle nous dit de ne pas trop la regarder et proposa à sa copine de profiter de la langue de son homme. A mon étonnement Marie ne se fit pas prier. Marc sallongea sur lautre canapé et Marie vint positionner sa chatte au dessus de sa langue.
Pendant ce temps Sophie se mit à monter et descendre très lentement sur mon mandrin. Elle avait fermé les yeux et était tout à la recherche de son plaisir.
De voir ces deux femmes profiter de la vie me fit bander encore un peu plus.
« Cest moi ou ta femme qui te fait cet effet ? » me demanda Sophie.
Je lui répondis que jaimais regarder les femmes soccuper toutes seules de leur plaisir et quil me semblait quelle avait l air de SE faire du bien. Elle ne me répondit pas mais continua ses va-et-vient sur ma queue. Son plaisir montait et visiblement elle cherchait à en profiter au maximum. Il est vrai que depuis le temps quelle navait pas été remplie
Je jetais un coup dil sur ma femme et je vis que chez elle aussi le plaisir était au rendez-vous. Cette constatation, au lieu de me rendre jaloux, me plut énormément.
Je me rendis compte que son plaisir était plus important que le mien. La voir profiter de la vie ma toujours plu.
Sophie montait et descendait toujours aussi lentement et semblait mutiliser comme un gode !
Elle finit par jouir en poussant de petits cris et se réfugia dans les bras de son mari mi-honteuse, mi satisfaite. Marc l embrassa et la complimenta.
Quelques minutes plus tard, alors que je commençai à débander, Sophie remercia Marie de lui avoir « prêté » son mari et lui dit : « Je suis un peu frustrée car je ne lai pas fait jouir. »
Marie lui répondit : « Ce nest pas mon mari que je te prête, cest sa queue ! Je ne veux pas que tu le fasses jouir mais je tai dit que tu pouvais en profiter jusquà plus soif».
Mais auparavant, je vais le remettre en forme.
Elle vint donc vers moi et me lécha la queue jusquà ce que je reprenne forme.
Marc et Sophie admiraient le spectacle.
Sophie semblait dévorer des yeux ma queue.
Une fois ma queue en état et bien luisante, Marie dit à Sophie : « Allez, fais toi du bien à nouveau, profite-en ! »
Marc demanda à sa femme de se déshabiller car il voulait profiter du spectacle.
Il lui dit : « jaimerais te voir à poil pour profiter un max de ta jouissance, tu sais bien que jaime te mater quand tu jouis, alors fais-moi ce plaisir et après tout tu peux aussi en faire profiter Paul ! ».
Marie rajouta : « Marc a raison, offre-lui ta jouissance. »
Sophie hésita un moment mais son envie de se faire du bien étant trop forte, elle se déshabilla et nous dit : « ok, je vous laisse me mater mais jai lintention de bien ME baiser et de profiter à fond de ce «gode» ! Si Marie est toujours daccord, je voudrais mener le jeu afin den profiter à fond.»
Marie lui répondit quelle était toujours daccord pour quelle profite du «gode» mais uniquement du «gode».
La-dessus Sophie me demanda de mallonger sur la moquette et de placer un coussin sous mes fesses. Cette position faisait ressortir ma queue tel un étendard.
Sophie se mit à califourchon sur moi en me tournant le dos, puis elle frotta son clito contre mon gland pendant quelques instants et descendit lentement par des petits mouvements de va-et-vient sur mon chibre.
Le spectacle était chaud, TRES CHAUD
Javais de plus en plus de mal à résister à la tentation de lui donner quelques coups de queue. Pour calmer mon envie de la caresser, je décidais de mettre mes mains derrière ma tête.
Par moments, elle senfonçait entièrement le «gode» vivant dans le vagin et roulait des hanches, puis reprenait ses mouvements de haut en bas. A dautres moments, elle se dressait fièrement au dessus de ma queue puis se penchai en avant. Je pus constater qu elle connaissait très bien son vagin et quelle savait LE faire jouir.
Elle me demanda ensuite de masseoir au bord du canapé et de bien écarter les jambes. Elle se mit entre mes jambes le dos tourné et les bras en appui sur la table basse puis sempala de nouveau sur ma bite. Elle se laissait glisser sur ma bite en pliant les jambes et remontait en les dépliant. Parfois elle se dressait sur ses mains tout en continuant ses mouvements puis elle saccoudait pour que ma bite masse tous les recoins de son vagin.
Pendant ce temps Marc se rapprocha delle et se mit à la caresser en la complimentant de nouveau, en lui disant quil la trouvait très belle, quil était fier davoir une femme qui savait SE faire jouir et montrer sa jouissance.
Je ne voyais pas la tête de Sophie, mais je lentendis jouir plusieurs fois et je profitai de la superbe vue sur ses fesses.
Après que Sophie eu son content de jouissance, Marie, que ce spectacle avait émoustillé, lui dit quelle aimerait bien elle aussi profiter du « gode » et SE faire jouir. Sophie lui laissa la place et se réfugia amoureusement dans les bras de son mari.
Marie se déshabilla rapidement et menfourcha tournée vers moi en me disant quelle commençait à être sérieusement chaude ! Effectivement, elle dégoulinait et sempala sans attendre sur son « gode ». Elle entama quelques va-et-vient et me pris les mains quelle appliqua sur ses seins.
Je les enlevai en lui disant quelle aussi devait SE baiser toute seule et que je voulais uniquement profiter de la vue. Elle me répondit quelle ne savait pas si elle y arriverait toute seule.
Marc lencouragea en lui disant que beaucoup dhommes aiment voir leur femme se masturber et que là ça ressemblait beaucoup à de la masturbation. Je confirmai ses dires et lui demandait quelle moffre sa jouissance comme Sophie avait offert la sienne à son mari.
Marie reprit donc ses va-et-vient et me regarda droit dans les yeux. Après quelques minutes à ce rythme, elle jouit une première fois.
Je lui dis que je ne tiendrai plus longtemps et que jallais bientôt jouir.
Elle sactiva violemment sur ma queue et je lachais toute ma semence en elle dans un râle libérateur.
Depuis ce jour, nous organisons des « soirée gode » régulièrement quand ça démange trop fort Sophie. Nous avons interrompu nos séances uniquement quand ils ont voulu avoir un . Dès que Sophie a été enceinte sa libido sest developpée et nos séances « gode » ont été encore plus chaude !
Cette relation nous satisfait tous les 4 depuis de nombreuses années et nous pensons que la meilleure façon pour que nos relations amicales ne se déteriorent pas cest justement de considérer que cest uniquement sexuel dune part et que le plaisir de Sophie est le plus important. Marie considère pour sa part que le « prêter ma queue nest pas tromper » à condition que je ne me serve pas des autres parties de mon corps et que je ne baise pas Sophie. En contre-partie du plaisir visuel (
et plus) que ça mapporte et pour permettre à Sophie de ne pas culpabiliser elle sautorise une partie de lèche. Marc est satisfait de voir que sa femme a une vie sexuelle très satisfaisante. De plus le spectacle de sa femme SE baisant le comble visuellement. Marie profite aussi de la situation en se faisant habilement lècher par Marc. Quant à moi, je crois que jaurais tort de me plaindre. Le spectacle de ma femme jouissant sous les coups de langue de Marc et de Sophie se branlant sur son « gode » cest TORRIDE !!!
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