Karine Et Le Plaisir De La Soumission 3
CHAPITRE 3 : ma première avec Hugo (début)
Ce sont les vacances, jai fini deuxième de la classe, ma copine ma battue dun rien. Tout sest joué dans les dernières semaines. Avec mes frasques autour de la gare, je ne peux men prendre quà moi-même. Hugo passe me voir tous les jours. Il cherche à me tripoter les seins en continu. A la maison, je lui fais la guerre. Si mes parents le voient, ils vont le foutre dehors.
Avec lété, il ma demandé à plusieurs reprises de ne plus mettre de soutien-gorge, cest pas lenvie qui me manque, mais je tiens bon. Cette semaine, on sest donné rendez-vous pour aller pique-niquer dans la forêt derrière chez moi, je vais lui faire découvrir mon endroit secret. Jai envie lui faire ce plaisir. Mes parents sont partis faire les courses tôt ce matin avant quil y ait trop de monde, je suis seule alors jen profite. Je choisis une minijupe assez courte, sexy mais qui ne me parait pas trop excessive, un string en dentelle que je nai jamais osé porter avec une jupe courte, et un petit top qui sarrête entre mes seins et mon nombril, enfin juste sous mes seins. Comme il y a une bande stretch au niveau du ventre, jai décidé de faire plaisir à mon Hugo sans être aguicheuse : pas de soutif. Je me maquille, mais quand je vois le résultat, je me dis « Toi ma belle tu veux passer à la casserole ! » alors jenlève tout et je refais un maquillage plus sage.
Cinq minutes plus tard Hugo sonne à la porte. Il était temps ! Quand jouvre, le contraste est saisissant : moi super sexy bien habillée bien maquillée, et lui, short et polo de sport débraillé, même pas coiffé ! Mais tellement beau, mon Hugo quoi. Je lui saute au cou et lembrasse à pleine bouche. Quand je mécarte, il reste sur le pas de la porte les yeux écarquillés. Il a du mal à parler et bégaye presque, il me dit « et en plus tas pas mis de soutif ! Wāh ! Jadore » Ses yeux brillent, il est heureux. Jai réussi mon coup, mais heureusement que ma mère nest pas à la maison sinon je crois que je ne pourrai plus sortir pendant un mois.
Hugo prend le panier à pique-nique, et en route. Au bout dune trentaine de minutes on arrive au carrefour, on attend en sembrassant, et dès quon est seul, je lentraine à travers les buissons. Au bout de 10 minutes à lentendre raller que le chemin doit être nettoyé, je lui montre
mon petit Paradis. La petite clairière au bord de leau, le petit lac de 10 mètres par 20 environ. Leau est claire, on voit le fond sablonneux avec quelques rochers, la profondeur natteint pas les 2 mètres. Un véritable petit paradis.
- « Voilà, tu penses quoi de mon paradis, Monsieur le Grincheux ? et en plus on va pouvoir se baigner »
- « Cest vrai, cest pas mal
cest génial ! » dit-il avec enthousiasme.
- « Attention motus, tu ne dois en parler à personne, sinon on va être envahi, et plus question de bronzer en paix »
En 2 secondes, Hugo a retiré tennis et polo, il me regarde, il est prêt pour la baignade. Je deviens rouge comme une pivoine, je nai pas pensé en mettant mon string et pas de soutif, quil faudrait que je me change devant lui pour mettre mon bikini.
- « Hugo, il faut que tu te retournes et fermes yeux, je dois mettre mon maillot ».
- « Je suis ton petit ami depuis longtemps maintenant tu pourrais te changer devant moi »
- Jéclate de rire, « Bien tenté mon bonhomme, mais tu peux rêver. Tourne toi et ferme les yeux »
Il sexécute en rouspétant. Volontairement je ne vérifie pas sil essaie de regarder. Jespère quil essaiera de voir. Je fouille dans mon sac, mais impossible de trouver mon bikini. Je réfléchis rapidement, ma mère me la pris pour le rincer, (elle ne sait pas que je le mets jamais : puisque je reste nue en permanence) jessaie de me rappeler si je lai repris, mais je nai pas ce souvenir. Il doit toujours être sur le séchoir dans la lingerie.
Comble de malheur, pour faire plaisir à mon Hugo, string et pas de soutien-gorge. Je ne vais pouvoir que me tremper les pieds. Ma frustration est totale.
- « Quest quil y a encore ? Tu ne voulais pas que je me retourne ? cest ça ? »
- « Si bien sûr, tu es génial, mais ma mère a pris mon maillot pour le laver et je lai oublié. Je ne peux pas me baigner »
- « Tinquiètes pas, je retourne chez toi, dis-moi où es ton maillot je le prends et je te le ramène. Jen ai pour 40 minutes aller-retour en courant. » Je regarde ma montre ;
- « Trop tard, vue lheure, mes parents seront probablement revenus du supermarché et si tu demandes à ma mère mon bikini, elle va être folle. Elle ne sait pas quon a rendez-vous ici, et en plus si je rentre habillée comme ça alors quelle sait quon est là, je serai privée de sortie pendant la vie des rats »
Dubitatif, Hugo dit quau pire, on pourra se tremper les pieds. Puis après une petite grimace adorable qui signale quil vient davoir une idée bizarre, il me dit :
- « Tu me fais confiance ? non ? »
- « Bien sûr ! »
- « Alors on na pas besoin de maillot, il suffit que je me retourne le temps que tu ôtes tes vêtements et que tu rentres dans leau, après cest toi qui te tournes, je me déshabille et je rentre dans leau. On fera la même chose pour sortir. »
- « Tu te rends compte de ce que tu dis ? Je ne peux pas me baigner en sous vêtement
jen ai pas
enfin jai juste un string en dentelles qui sera transparent dès quil sera mouillé. »
- « Heu ! Je ne pensais pas quon se baignerait en sous vêtement ! »
- « Tu pensais quoi alors ? »
- « Heu ! Je pensais quon pourrait tout enlever, une fois dans leau on voit plus rien ! »
- « Tout nu ? » Cette idée maffole, je ladore mais jai peur.
- « Bin tu me fais confiance ! Non ? »
Je suis piégée. Jai ce que je voulais secrètement, mais jai peur de le vouloir, et encore plus peur de le décevoir si je lui dis non. Jai tellement envie de dire oui
- « Tu fermeras les yeux ? Tes sûr ? »
- « Si je te le dis, je taime tu sais je ne te mentirais pas ! » Jai envie de le croire ;
- « Hugo, je veux bien » hésitais-je, « mais je ne suis pas prête à faire lamour, cest trop tôt, tu comprends ? »
- « Tinquiètes pas, cest pas parce que tu seras toute nue que je vais te violer.
Je viens me blottir contre lui, je lembrasse et je lui demande « alors on se baigne tout nu ? Vraiment » Il me rend mon baiser avec passion, me regarde droit dans les yeux, et me dit avec tendresse « allez, à poil Mademoiselle, et au bain !! » Je le regarde, soufflée de son aplomb et de ses sentiments si apparents. Lui est explosé de rire davoir osé dire une connerie pareil.
Je le regarde troublée, puis ne lui demandant ni de se retourner ni de fermer les yeux, en deux temps, jenlève mes tennis, je dégrafe ma jupette, passe mon petit top par-dessus ma tête et au moment denlever mon string devant mon chéri, je comprends quil voit des vrais seins pour la première fois, il me regarde sans bouger. Je le regarde dans les yeux, et je retire lentement mon string pour me mettre nue devant Lui pour la première fois. Une boule dans mon ventre se fait sentir impérieuse, le plaisir de mexhiber nue me faisait frémir. Je sens mon vagin devenir humide. Je me demande si Hugo peut voir mon sexe être trempé de désir. Je nose pas bouger, je sais quil peut tout voir de moi, je ne cache rien, et je ne veux rien lui cacher de mon corps, je veux quil me désire comme jai envie de Lui.
Il recommence à bouger, il ne lui reste que son short de bain, la bosse qui le déforme est très révélatrice, embarrassé, il ne peut pas cacher son érection. Je lui souris quand je remarque son hésitation. Je me rapproche de lui en le regardant dans les yeux, je mets mes mains sur les siennes pour le rassurer. Puis je fais glisser mes mains sous les siennes pour atteindre la ceinture de son caleçon, je ne le quitte pas des yeux, je pose mes lèvres sur sa bouche, et je plie les genoux pour maccroupir en faisant descendre son caleçon jusquà ses chevilles et lui enlever. Quand je relève la tête, son sexe raide est à quelques centimètres de mon visage. Même en rêve je naurai pas imaginé une scène aussi parfaite ! Je relève les yeux vers son visage. Il attend ma réaction, ma volonté, mon désir.
Je me relève, je le regarde droit dans les yeux, pour le mettre au défi de faire encore une blague idiote, jembrasse ses lèvres avec la même douceur que jai eu pour son sexe, et je lui dis avec un sourire moqueur afin cacher mon trouble « Allez, maintenant que tes à poil, Monsieur, au bain ! » et jéclate de rire. Il prend ma main, « Je taide à descendre dans leau, et ne me pousse pas je veux rentrer dedans en douceur elle doit être fraiche » En fait leau nest pas froide, on est rentré dedans en 2 secondes, et on commence à nager. On a pied presque partout cest agréable. On joue comme des ados, enfin presque, on est juste nu tous les deux. Nos mains ségarent régulièrement à des endroits interdits. Puis, jai glissé sur une des grosses pierres plates du fond, et pour éviter de tomber totalement, je me suis agrippé à Hugo, il maide à ne pas tomber. Je sens ses mains sur mon corps, lune delle est contre mon sein. Le hasard faisant bien les choses, quand jai retrouvé mon équilibre, jai la main agrippée à mon membre qui na pas une seconde perdu de sa rigidité. Je me rends compte de ce que je tiens fermement, je lève les yeux vers lui, je lembrasse violement en lui entrant ma langue dans la bouche avec volupté. Je continue de me cramponner à son membre et je commence à faire des allers-retours pour le masturber. Il se laisse faire sans bouger, alors je lui dis : « caresse-moi
caresse-moi la chatte, vas-y prends mon bouton, je ten prie caresse-moi jen ai trop envie »
Il me prend dans ses bras, impétueux, il essaye déjà de mécarter les cuisses pour permettre à son sexe daccéder à mon vagin. Jai tellement envie que jai du mal à lui dire « non je ten prie pas ça, ne me déflore pas, uniquement avec tes doigts et ta bouche, sil te plait, ne me baise pas, caresse-moi, fais-moi jouir ». Je crois quil ne me comprend pas
il me porte pour sortir de leau, mallonge sur la serviette que nous avions préparée pour le piquenique, il membrasse. Je sens son gland frotter le long de ma cuisse, je le laisse faire. Sil veut prendre ma virginité je ne lui refuserai plus. Il descend la tête pour membrasser et me téter les seins. Je sens mon plaisir arriver. Il reprend sa descente, jécarte naturellement les cuisses pour lui donner un accès total à mon intimité. Je sens sa langue passer sur toute la longueur de mon petit abricot. La pointe se glisse délicatement dans ma fente. Je tremble de plaisir en gémissant. Puis brutalement une vague de plaisir me submerge, jécarte encore plus mes cuisses pour mouvrir au maximum, je cambre les reins pour accueillir un nouvel orgasme, je mets ma main dans ma bouche pour quon ne mentende pas crier de plaisir et un orgasme encore plus violent me fait basculer mon bassin pour offrir mon sexe à la bouche qui me donne tant de plaisir. Hugo relève mes jambes et met mes chevilles de part et dautre de mon visage, jai honte dexposer mon intimité de cette façon, il me dit, autoritaire, « tient tes jambes ouvertes » je mexécute sans volonté, il me soulève le bassin en me tenant par les hanches et recommence à me lécher la fente. Il me mord le bouton régulièrement de plus en plus fort et moi je hurle mon plaisir, reçu tant par ses caresses que par la douleur des morsures. Jai peur quon mentende mais je nai plus la force de mettre ma main sur ma bouche pour diminuer mes cris de bonheur. Je suis totalement perdue, je ne sais plus si je jouis ou si jai mal. Cest si bon.
Hugo me retourne brutalement, « mets-toi à 4 pattes, salope que je te baise ! » Je suis époustouflée des mots crus quil vient dutiliser, cest juste ce que je voulais entendre, mais jamais je naurai pu lui demander. Il a raison je suis sa salope et il peut me baiser comme une salope. Quest-ce que je dis, je suis sa petite amie pas une s
Hugo matt alors et me soulève de terre. Il est debout, jai les cuisses ouvertes de part et dautre de sa tête. Il recommence à me bouffer le minou de plus belle. Je suis pendue la tête en bas contre son ventre, son sexe à hauteur de ma bouche. Je comprends alors ce quil souhaite. Je me penche en avant et prend son sexe en bouche. Son gland est entièrement dans ma bouche, ma langue remue comme une folle et explore les recoins cachés. Sentant les mouvements de ma bouche et de ma langue, Hugo me fait légèrement descendre et son sexe pénètre dans ma bouche. Je ne veux pas ! Pas une vraie fellation, juste son gland. Mais je ne peux plus parler jessaie en vain de ressortir son membre de ma bouche... Hugo sent ma tentative et me fait remonter un peu et quand, soulagée, je reprends son gland, il me refait descendre. Son sexe senfonce profondément dans ma bouche. Il vient toucher ma glotte par instant. Jai limpression d mais jadore sentir son sexe buter au fond de ma bouche. Il recommence 5 ou 6 fois ce mouvement humiliant : nue, la tête en bas, la bouche empalée sur son membre et sa bouche qui me lèche et me mord le bouton. Le plaisir est amplifié par cette honte dimaginer la position perverse et vulgaire que je prends pour avoir mon plaisir : jaimerai que des dizaines de personnes soient là à me voir empalée dune façon si vulgaire. Quils disent « Cest une pute
une chienne en chaleur ». Avec les cris que jai poussés, si des gens passaient sur le sentier à ce moment-là, ils doivent sêtre approchés pour contempler le spectacle lubrique que je leur donne. Soudain je me bloque sur le fait quil doit y avoir des voyeurs qui me matent en train de me faire baiser par mon chéri. La honte provoque des orgasmes terribles qui se succèdent en rafale presque sans interruption. Au moment où Hugo veux me remonter une fois de plus, il est surpris par son propre orgasme, il se crispe et éjacule dans ma gorge et ma bouche. Javale par réflexe les premiers jets de spermes pour ne pas m, puis quand il arrive enfin à me remonter les jets suivants arrivent sur mon palais et les derniers sur mon visage puis sur mes seins. Quand son sexe est sorti de ma bouche, jai avalé tout le contenu de ma bouche sans réfléchir : cétait le sperme de mon amant. Je me rends compte
mais avec le goût de son sperme dans ma bouche, je comprends que je viens de faire ma première vraie fellation. Je suis fier que ce soit pour mon Hugo
Le chauffeur du train est oublié, puis brutalement je me tortille dans tous les sens pour voir si quelquun regarde. Je ne vois personne. Hugo me repose au sol et me dit darrêter de gesticuler comme cela, quil a failli me lâcher.
Je lui confis alors que jai eu peur des voyeurs à cause de mes cris pendant lamour. Sa réponse me rassure autant quelle me terrifie : « ils étaient une dizaine mais ils nont pas trouvé lentrée, et il y en a un qui a dit :
- « je ne sais pas ce quil lui fait mais elle est plutôt chaude cette salope, une vraie chienne. Sils savaient que tu es encore pucelle ils en tomberaient sur le cul » Je ne sais pas comment prendre sa phrase. Cest à la fois humiliant et gentil.
- « Merci de ne pas mavoir pris le sexe, je taurai laissé me dépuceler tu sais, mais je préfère comme ça. Cétait très bon, jai adoré. On recommence quand tu veux. »
- « Je ne pensais pas que tu me sucerais, je lespérais mais ne pensais pas que tu le ferais »
- « Et oui comme le mec la dit je suis une salope plutôt chaude. » Je plastronne
- « En plus tas avalé tout mon sperme. Pour une première, tu ne fais pas les choses à moitié. »
- « Tu ne mas pas vraiment laissé le choix, tu sais ! Tu étais tellement enfoncé dans ma bouche que tu as probablement giclé directement au fond de ma gorge. Je nai eu que 2 giclées dans ma bouche. Je nai réussi à fermer ma bouche que quand tu as sorti ta bite. Jai senti sur ma langue et mes dents le gout de ton sperme. Je ne savais pas quoi faire, dans les films porno les filles avalent, alors jai avalé. Je my suis mis à plusieurs fois, jen avais sur la langue sur le palais. Jai encore le gout dans ma bouche. »
- « Tu aimes ? »
- « Si je dis oui tu vas me demander de recommencer et si je dis non tu vas croire que je suis coincée. Alors oui, jaime. De tout façon, avec les cris de plaisir que jai poussés, je ne peux pas dire que je nai pas aimé. Je ne pensais pas quon pouvait avoir autant de plaisir
Bon
jai faim maintenant. »
On se met à manger notre pique-nique. Je sens le sperme pendant tout le repas : je nai pas pensé à essuyer la giclée que javais reçue sur le visage, et javais volontairement laissé celle sur mes seins. Hugo regarde les traces sur moi, mais nose rien dire. A la fin du repas, on sallonge dans lherbe après avoir rangé les restes du repas : au programme petite sieste et bronzage. On se regarde dans les yeux sans rien dire, main dans la main, repensant à ce que nous avions fait sans vraiment le préméditer. Au bout dun moment de rêverie sexuelle inavouée, je me redresse, et je me rallonge dans lautre sens. Ma bouche va directement chercher la verge molle de mon Hugo.
- « Quest-ce que tu fais petite cochonne ? »
- « Hum Hum
»
- « Je ne comprends pas. »
Après avoir ressorti le sexe raidi de ma bouche, je répondis :
- « Je mennuie, laisse-moi moccuper comme je peux, et sache que je ne parle pas la bouche pleine, cest pas poli ! »
Je me suis lancé dans une fellation intense en essayant de me rappeler les techniques que javais vue dans les quelques films porno que javais regardés en secret. Hugo se met à gémir doucement. Je continue à mactiver sur son membre. Ma langue lèche son sexe, ses boules, son trou du cul jaime moins - et je reviens sur le gland. Je lenfonce dans ma bouche mais moins loin que la première fois. Je bave mais jadore. Je regarde régulièrement à droite et à gauche au cas où il y aurait des voyeurs. Je suis nue, à 4 pattes, cambrée au maximum, exposant mon anatomie. Je me tourne régulièrement pour mexposer dans toutes les directions. Jespère secrètement un voyeur, mais je nen vois pas.
Hugo ne va pas tarder à jouir dans ma bouche quand jentends un petit bruit. Discrètement je tourne les yeux, et je frémis. Japerçois un mec caché dans un buisson près de laccès à la zone. Jai peur. Je change légèrement de position, je me cambre, les genoux bien écartés. Ca y est, cest fait, il a une vue directe sur mon vagin béant trempé de désir. Je passe ma main entre mes cuisses, et avec les doigts jécarte les lèvres de mon sexe et lui montre lintérieur de ma chatte. Avec un autre doigt je caresse mon bouton. Je commence à bouger mon bassin en rythme. Hugo comprend que je me masturbe en le suçant. Il veut maider.
- « Bouge pas mon amour. Je me débrouille parfaitement. Et notre voyeur nen perd pas une miette. Il me reluque depuis un bon moment. »
Stupéfait, Hugo comprend mon manège et se laisse faire, mais rapidement il explose dans ma bouche. Comme la première fois, javale avec délice. Les jets arrivent jusquau fond de ma bouche, je ne peux quavaler ou vomir, mon choix est vite fait, un délice. Je mets ma langue sur le gland pour que les jets suivants tapissent ma langue. Jai la bouche pleine. Jen ai partout dans la bouche. Quand jessaye de montrer son contenu à Hugo, jai peur de louvrir totalement. Je lui montre tout ce quil y a et javale, aux anges.
On va se baigner, et quand on revient on sallonge de façon à encore exposer mon sexe au voyeur. Hugo joue le jeu, il recommence à me lécher et à me tripoter. Jai orgasme sur orgasme. Il me caresse dans des positions improbables pour mieux exposer mon anatomie à notre voyeur. A 16h, le soleil commence à baisser, notre voyeur est toujours là : presque 2 heures à se branler, cest de la constance ! Je décide daller le voir de près pour lui faire comprendre quil avait été vu et que cela suffit, aussi pour quil puisse voir mon anatomie en gros plan. Je le trouve le pantalon sur les chevilles, ridicule, essayant précipitamment de remonter son slip mais au lieu dêtre cool il choisit dêtre agressif. Je lui dis, allumeuse
- « Alors mon cochon, le spectacle vous a plu ? » il répond, pas aimable et vulgaire
- « Cest de votre faute aussi, vous gueuliez tellement fort quand vous vous faisiez bouffer la moule que vous aviez envie davoir des spectateurs. Et bien jétais là. » ma colère monte
- « Ce nest quand même pas de ma faute si je suis avec un mec qui sait se servir de sa langue et de ses doigts. »
- « Vous auriez pu être plus discrète, pas besoin de simuler si fort. » la rage memporte
- « Pauvre con impuissant ! Cétait la première fois que je faisais lamour et je ne savais pas que cétait si bon. Je nai rien simulé. Jai même essayé de mordre ma main pour faire moins de bruit mais cétait trop bon
Allez dégagez et ne revenez plus sinon jappelle mon oncle qui est policier et je lui dis quil y a un exhibitionniste qui se branle dans les fourrés le long de la rivière. »
Le voyeur file sans demander son reste, je suis outrée. Après lui avoir exhibée mon anatomie dans toutes les positions, au lieu de me remercier il choisit lagression verbale. Hugo me demande :
- « Ton oncle est flic ? Je le croyais boucher »
- « Il est bien boucher, cest pour lui faire peur. Je ne veux pas quil rode ici si on veut se refaire une petite partie tranquille. »
- « Cest une bonne idée, mais avant que je te ramène chez toi, je pense que tu as besoin dune bonne correction pour avoir osé texhiber devant un voyeur comme tu las fait. Tu nas pas honte ? »
- « Si jai honte, mais cétait tellement bon de lapercevoir en train de se branler en regardant mon cul. »
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