Les Exploits De Ma Copine (Suite 2 )
La dernière fois je vous ais raconté mes premiers émois dadolescente. Maintenant je vais vous faire le récit de ceux de ma meilleure amie.
Ma copine a un ami à peine plus âgé quelle. Au cinoche, elle nhésite pas à baiser à côté de nous. A les voir, ça nous excite terrible, mais je minterdis, pour le moment de faire comme elle. Jen ai pourtant envie, ça me démange. Il nous faut trouver lendroit et loccasion.
Lorsque nous étions en seconde, (on avait 16 ans ) elle ma raconté comment elle sest fait déflorer.
Avant de connaître mon petit ami me dit-elle, je madonnais à des plaisirs solitaires. Il est en terminale. Avec lui, jai commencé à avoir dautres émois. On sembrasse, on se caresse, on se promène enlacés. On recherche des endroits isolés, à labri des regards. Au début, il se contente de me peloter les seins, de passer une main entre mes jambes. Je maperçois que je mouille ma culotte. Moi, jen profite pour frotter et presser son sexe à travers son pantalon. Même dans les salles obscures, on ne fait rien dautre. Pourtant, un jour, il ouvre mon jean, passe sa main dedans, écarte ma culotte et glisse son doigt sur mon clito, le fait tourner. Ne voulant pas être en reste, jouvre son pantalon, saisi sa bite et les couilles dans son slip. Il bande et moi je mouille. Mais on en reste là, jai peur quon se fasse prendre. Je ne lai pas encore ramené à la maison. On ne se voit quaprès les cours, pas très longtemps, car je dois être chez moi avant larrivée de mes parents. Le week- end, tu me sers quelque fois dalibi, je dis à mes parents que je vais chez toi. Et ça marche ! Jattends les prochaines vacances avec impatience, mais pour linstant, lorsque je suis avec lui, on se contente de simples attouchements quelque fois très risqués. Mais un jour, dans le noir, il sort sa queue, passe sa main dans ma culotte, essaye de mintroduire un doigt dans la fente, de le glisser jusquà lentrée du vagin. Je mouille, ressers les cuisses, retire sa main, referme mon jean, mécontente.
Enfin les vacances de Noël arrivent. Il fait froid, on recherche les endroits chauffés pour sadonner à des moments de tendresse. On est en semaine, mes parents sont au boulot et ne rentre que vers 18 h. Je linvite chez moi un après midi. On sinstalle sur le canapé dans le séjour, et on commence à se bécoter, à se caresser. Il enlève mon polo, mon soutien gorge, jai la poitrine à lair. Cest la première fois que je lui montre mes seins. Il sen empare, les malaxe, les suce, tire sur les mamelons, les mordille. Je sens que je mouille ma culotte. Jai sorti sa queue, la regarde pour la première fois au grand jour, décalotte le gland, soupèse les couilles. Elle est raide, pas très longue ni très grosse. Je le branle doucement pendant quil me roule un patin. Il bande de plus en plus, sa bite grandit, le gland grossit, devient rouge. Il se lève, tire sur mon jean, essaye de me mette à poil. Je résiste, il sénerve. Cest trop tôt, je nen ai pas envie, pas aujourdhui, je suis presque en période rouge, sens interdits. Il est debout, je suis assise, il me prend la nuque, me tire vers lui et me maintient fermement, présente son gland sur ma bouche, appuie. Je ne veux pas, le repousse, tourne la tête. Il la prend, la retourne face à lui, la tient des deux mains, me force à ouvrir la bouche, à engloutir sa bite, fait des va et vient. Par moment jétouffe car il maintient sa queue enfoncée dans ma bouche jusquaux couilles. Il la ressort pour me laisser respirer puis, alors quil est au fond de ma gorge, explose. Jen ai plein la bouche, avale, jai un haut le cur, il lâche ma tête, sort sa bite, je recrache, jaime pas le goût. Il continu à gicler sur mon visage, mon cou, mes seins. Ca me dégouline au bord des lèvres et sur le menton. Je me lève, att sous- tif et tee-shirt, courre dans la salle de bain me rincer la bouche, prendre une douche.
Quand je le croise, je lévite. Je veux lui faire payer le viol de ma bouche. La semaine suivante on reprend les cours. Je le rencontre dans la cour du lycée, il matt par le bras. Je mets les choses au point. Il ma obligé à sucer sa bite, je nen avais pas envie, je ne veux plus le voir, cest terminé.
Jai maintenant un autre copain. Avec lui je flirt, ne vais pas plus loin . Mon expérience précédente ma servi de leçon. On se promène bras dessus, bras dessous dans des endroits chauffés, car il fait froid dehors. On se comporte comme des amoureux. Il vient chez moi un après midi. Je mets le magnétoscope en route et, enlacés, on regarde un film. Il ne fait rien, je suis en confiance. Il me quitte et le lendemain, comme il fait beau, presque froid, nous sortons. On se bécote, on recherche des endroits tranquilles dans le centre commercial, quelques fois on va au cinéma mais on est pas riches. Il vient me chercher à la maison, je le fais entrer discrètement. Il ne faudrait pas que mes parents lapprennent.
Peu avant la fin des vacances de printemps, en début daprès midi, il vient me chercher. Nous sortons, je nai quun tee-shirt et un jean sur moi. Il fait frais malgré le temps ensoleillé. Nous revenons à lappartement, jai lintention de changer pour un pull, plus chaud. Je vais dans ma chambre, quitte mon tee-shirt, le lance sur le lit, ouvre larmoire. Il est derrière moi, se colle à moi, pour la première fois prend mes seins dans le soutien-gorge, les libère, agace mes tétons, membrasse dans le cou.
Je suis nue, il se déshabille. Je le regarde pour la première fois, sa bite est au garde à vous, le gland est rouge, gonflé, décalotté. Jai peur de ce qui va se passer. Il se met à côté de moi, suce mes tétons, glisse un doigt dans ma fente dissimulée par les poils, cherche le clito, le dégage, le fait rouler entre deux doigts, lagasse, il durcit. Un flot de mouille envahit mon sexe. Je me lève, courre chercher un drap de bain, le met sur le lit. Je mallonge dessus, il mécarte les cuisses, se met entre elles, remonte mes jambes. Mon sexe, trempé, est à sa merci. Il louvre avec ses doigts, place sa queue dans la fente, la glisse jusquà lentrée du vagin, sarrête. Il appuie, pousse, mouvre, me déchire, aïe, jai mal, le gland est passé. Il donne un coup de rein, sa queue glisse dans mon fourreau étroit, le dilate. Il est au fond de moi, mon cur bat la chamade, jai chaud. Je remonte les fesses. Il commence à me pilonner dabord lentement, puis plus vite. Il va de plus en plus loin dans mon ventre. Je le sens en moi, il me comble, jai moins mal, je mouille beaucoup, la verge coulisse facilement. Il ressort, rentre de nouveau, je pousse un cri, il senfonce jusquaux couilles. Je les sens toucher mon cul. Jai encore un peu mal, je laccompagne, aïe, cest bon, il me défonce encore et encore, me fait perdre la tête. Soudain il sarrête, donne des coups brefs, grimace, décharge.
Il y a et du sperme sur le drap de bain. Je le mets directement dans la machine à laver, prépare et mets en route une lessive. Ma mère va être contente, pour une fois que je me rends utile ! Je lui dirais que je navais plus de culottes ! On sembrasse, il sen va. Je reste là, bien sage, à regarder la télévision. Je pense à ce qui vient de se passer, à la dimension de sa bite, à la façon quil a eue de lintroduire en moi
jusquà la garde. Jai limpression de lavoir encore à lintérieur, lentrée de mon vagin est sensible, ça me picote. Je suis prête à recommencer, mais pas tout de suite.
Voilà comment jai perdu mon opercule de garantie.
Lire la suite la prochaine fois
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