Echangiste Version 2
Nous attendions ce week-end depuis un mois, pour notre deuxième expérience avec un couple damis. Nous avons pris le train le matin pour les rejoindre à Paris dans leur superbe appartement à la décoration raffinée.
La journée fut loccasion de flâner dans la capitale, jouant les touristes avec eux, échangeant des regards chargés de désirs
De retour chez eux, après le repas, nous nous sommes préparés
Sylvie a revêtu un body résille qui encadrait sa chatte rasée de la veille, elle sallongea sur le canapé et je mapprochais delle pour la palper
notre ami rentra, élégamment habillé, mais à la vue de mon épouse et à notre demande il se mit immédiatement nu.
Sans préambule, mais avec douceur, il enfonça sa langue dans la bouche de ma femme, elle létreignait, je regardais leur main explorer leur corps respectif, ségarant dans les entrejambes.
Jétais, moi aussi, nu, debout à côté deux, leur présentant mon sexe dressé.
Sylvie lempoigna et commença à me masturber, puis dirigea la main de Philippe qui continua le mouvement tout en poursuivant ses baisers.
Je voyais le regard de Sylvie briller en contemplant lamant masturbant le mari
javais moi aussi besoin de sentir leur corps , mes mains se mirent à les parcourir indistinctement
Jinvitais Philippe à se redresser et lui empoigna à mon tour le sexe, Sylvie regardait notre masturbation réciproque, puis alternait les coups de langues sur chacun de nos membres.
Cest à ce moment que Marie arriva, elle sourit en découvrant le spectacle
.je ne tardais pas à la déshabiller, je déposais des baisers ça et là sur son corps, mattardant sur ces seins que jadore manipuler, parcourant le sillon des ses fesses.
Elle soffrait à moi, allant au-devant de mes caresses, puis se pencha et me fit une magnifique fellation.
Nos épouses avaient décidé de mieux se connaître, elle senlacèrent debout pour unir leur langue tout en doigtant leur sexe offert.
Nous les voyons sembrasser comme un couple amoureux, suffocantes presque sous lardeur de leurs baisers, pourtant aucune delle auparavant naurait imaginé ce genre de plaisir « coupable », aujourdhui elles nattendent que de recommencer !
Elles sallongèrent sur le sol pour poursuivre leur étreinte, lécher leurs seins, décalotter leur clito de la pointe de la langue
pendant ce temps Philippe embrassait leurs fesses.
A mon tour, je mapprochais deux, Sylvie se redressa à moitié, la tête de Marie toujours entre ses cuisses, et se mit à me sucer, puis elle prit le visage de Philippe et le dirigea vers ma queue
la bouche de lamant et de lépouse se réunissant pour offrir une divine fellation au mari
quel paradis !
Nos femmes désiraient maintenant être prises, nous le fîmes de bon cur, Marie souvrit largement et sa jolie chatte lisse absorba mon désir
ses genoux remontés en arrière de son corps, jinvestissais complètement son vagin
il était doux, chaud, accueillant. Nos langues décrivaient des arabesques compliquées sur nos lèvres et à quelques centimètres de nous, jentendais Sylvie gémir.
Nos femmes soffraient à leurs amants sous le regard de leur mari et y prenait un plaisir libératoire.
Nous allions maintenant explorer dautres combinaisons
Marie sallongea sur le lit, à genoux sur le sol, son époux la léchait, Sylvie se glissa sous lui pour le sucer et quand à moi, je la pénétrais.
Je voyais sa langue parcourir les couilles de Philippe, allant parfois jusquà son anus, puis revenant lemboucher goulûment
cette vision faisait exploser ma libido, je la martelais de mes va et vient, fini par empoigner les hanches de Philippe pour menfoncer encore plus profond en elle
.parfois je caressais la base de sa queue, ses fesses rondes, effleurais de ma main les lèvres de mon épouse vissées à son gland.
Le corps de Marie ondulait sur le lit et jeus envie à nouveau delle.
Je sortis de Sylvie pour menfoncer dans ma maîtresse après avoir écarté la bouche de son légitime époux, celui-ci en profita pour lhonorer en remplacement de ma queue.
Après un instant de répit, Sylvie sallongea sur le lit face à Philippe, elle me présentait ses fesses, ma queue parcourue son sillon et força lanneau.
Je la sodomisai, doucement, Philippe lembrassait, cueillant ses gémissements sur sa bouche.
Japprochais mes lèvres deux, sans cesser mes mouvements dans son anus et mélangeais nos langues
Marie à son tour vint derrière Philippe, un objet à la main et nous offrit sa bouche, nos lèvres se posaient à la volée sur le visage de celui ou celle qui soffrait.
Je maperçus que Sylvie masturbait la queue de Philippe, je lui flattais les bourses aussi et en descendant plus bas je découvrais que lobjet de Marie était un plug quelle lui avait mis dans son anus.
Il devait être comblé, je lenviais, mais nosais pas jouer avec laccessoire
la fois prochaine sans doute
Notre tableau se sépara pour aller chercher dautres ustensiles nécessaires à la vigueur masculine.
Philippe se mit à quatre pattes, présenta ses fesses, joffris à chacune un fouet.
En cadence elles lui rougirent les fesses
pour le consoler, je lui branlais la queue en dessous, en la tirant bien en arrière
malgré la douleur, je veillais à ce quil conserve une belle érection
puis je glissais ma bouche et le pompai sans ménagement, les dames sarrêtèrent pour regarder
il se retourna, je ne lâchais pas sa queue, mais elle virent unir leur bouche à la mienne
Nous étions épuisés, on avait tous besoins de quelques heures de sommeil pour récupérer !
Le lendemain, après le petit déjeuner, Sylvie portait son peignoir transparent, je lembrassais dune manière provocante devant Philippe, face à la fenêtre
nos silhouettes se détachaient dans le soleil
je dénudais une épaule, un sein
il nous rejoint pour un baiser à trois et nos lèvres se mélangèrent à nouveau, très vite Sylvie fut nue entre nous.
Sur nos doigts sa mouille coulait
nos mains parcourait ses hanches, ses fesses, elle ondulait, se cabrait.
Nous avions envie delle, tout de suite.
Il lemmena dans la chambre matrimoniale, elle soffrit sur le dos, releva ses cuisses, et il la prit
je les contemplais, admirant les jolis pieds de ma douce, aux ongles vernis de rouges et à la cheville ornée dune chaîne en or, sagitant sous les aller retour de lamant.
Je posais mes lèvres sur chacune de ses chevilles, parcourant la plante de ma langue, embrassant ses petits orteils, pendant que de lautre main, je vérifiais si le membre était bien calé dans sa matrice.
Le soleil jouait sur leur corps, des éclairs dorés reflétaient ses bijoux, je prenais du recul pour apprécier le spectacle.
A présent Sylvie avait entouré les hanches de son amant de ses cuisses, elle voulait quil senfonce encore plus
un bruit mouillé accompagnait leurs ébats.
Je demandais à Philippe de se mettre en dessous, Sylvie compris et une fois sur lui, elle se cambra et moffrit son anus
pour la première fois elle était pris en double, elle avait mal, mais le plaisir était trop fort, elle voulait continuer.
Philippe avait un coup de hanche très habile et je me calais sur lui pour synchroniser mes mouvements.
Je malaxais ses seins, griffais son dos pour mieux entendre ses plaintes
elle me dit plus tard quelle aurait aimé une troisième queue dans la bouche !
Après un long moment, elle me demanda de sortir, Philippe la retourna à nouveau, Sylvie sabandonna complètement, étirant ses bras en arrière, offerte dans la plus totale impudeur
Marie qui était sortie pour prendre des croissants arriva à ce moment dans la chambre, elle uni ses mains à celles de Sylvie, lembrassa tendrement pendant que son époux poursuivait sa « besogne »
jaurais aimé le voir jouir en elle, sous les yeux de sa femme qui était habillée et qui nous regardait, moi le sexe à la main humide de la mouille de mon épouse et Philippe, ses jolies fesses sagitant en cadence, le sexe raide fiché dans le vagin de lamante.
Marie souriait de leur plaisir et jallais lembrasser
Je voulais jouir devant eux, Sylvie sassit en tailleur et nous branla, un sexe dans chaque main
moi à genoux devant elle, lui allonger sur le côté, regardant ses seins ballotants sous les mouvements rythmés.
Je lui dis de soccuper de la verge de son amant et je me manualisai avec vigueur, le plaisir montait, je les invitais à contempler mon orgasme
je lançais trois jets de foutre qui tombèrent en fine pluie sur ses seins, Philippe sétait penché pour regarder
. Puis se fut à son tour de venir.
Nous étions tous les quatre heureux, épanouis, complices, amoureux de nos compagnes, incroyablement détendus et en harmonie
.
Il nous reste encore tant à explorer !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!