La Petite Reine

mon amant m'ayant mise a defi de raconter une de nos aventures,je m'execute avec empressement,le lot à gagner n'etant pas de consolation mais de gourmandise.

je m'appelle Val,je suis une grande brune aux yeux bleus et aux seins avantageux (95C).J'ai connu Tony lors d'une "pause" sur une aire d'autoroute que nous frequentions regulierement lui et moi.
Depuis nous sommes devenus amants et réalisons nos fantasmes les plus fous ensemble ou separement,toujours dans un esprit de jeu voire de defi.

Ce jour là,alors que nous venions de depasser un groupe de 4 cyclistes occupés à discuter,Tony me fit remarquer que la plupart des cuissards etant equipés d'une peau de chamois,les rois de la petite reine ne portaient rien dessous.
"Comme moi",lui dis-je en riant.
"Il me semble que nous allons tomber en panne...du moins,toi" me repondit-il.
Nos escapades etaient toujours portées sur le sexe et il n'eut donc pas besoin de me faire un dessin; J'en fretillais d'avance.
"Gares- toi,un peu plus loin,il y a un chemin qui penetre dans la forêt;Tu devrais largement avoir le temps de te "preparer" pendant que je te desserre les causses de la batterie" me dit-il.

La chaleur printaniere m'avait offert le plaisir de mettre une jupe longue mais legere et assez transparente,qui ne laissait guere de doute sur mon absence de dessous.
Quant à mon chemisier de dentelle noire,il avait été judicieusement déboutonné pour qu'il laisse augurer ce qu'il ne montrait pas encore.

Je me mis en place,capot de la voiture ouvert,et Tony alla se cacher plus loin dans la forêt.
Nos 4 cyclistes ne tarderent pas à arriver et ....à me depasser sans s'arreter!!!
Je fus particulierement déçue mais Tony me fit signe de rester en place et d'attendre.
Il connaissait si bien les hommes!
Deux minutes aprés,les 4 hommes revenaient dans leur tenue de cosmonautes: casque au lignes futuristes,lunettes de beach-soccer americain,et combinaison ultra-moulante,peu esthetique mais si excitante.

Je ne les avais pas encore bien détaillés ,pourtant quelquechose me semblait etrange,sans toutefois trop savoir ce dont il s'agissait.
Le premier,un grand gaillard d'environ 1m90 quitta ses lunettes et dans un sourire à blancheur quasi publicitaire me demanda si "on" pouvait m'aider.
Nooooooon,m'aider moi?
Je n'attendais que ça.
Je me penchais donc sur le moteur,face à lui,lui offrant un splendide aperçu sur mon décolleté,ou plutôt sur mes seins,puisque la vue proposée ne cachait rien de mes tetons.
Un deuxieme cycliste vint à mes cotés ;Il ne pouvait pas avoir manqué de remarquer mon cul nu sous ma jupe.
"Vous êtes plutôt loin de la ville et il ne passe guere de monde ici".
-Oui,je sais.Vous pouvez faire quelquechose pour moi?
-Peut être...
-Peut être?
-Peut être mais faut voir si vous pouvez faire quelquechose pour moi"dit il en se reculant legerement,exhibant une splendide bosse sous son cuissard.
Loin de lui montrer une quelconque gêne,je lui affirmais que ses amis seraient probablement jaloux.
"Qu'à cela ne tienne" me retorqua-t-il,"puisque c'est si aimablement proposé".

J'etais de plus en plus excitée mais un etrange sentiment me parcourait toujours et toujours avec la même impossibilité d'en connaître la raison.
C'est à ce moment là que je sentis un corps se coller contre mes fesses,des mains passer sous mon chemisier pour me pincer et tortiller les tetons.
La douceur et la finesse de ces mains,l'habileté employée me firent trés vite transformer mon entrejambe en une petite fontaine au doux nectar.
"tu aimes ça,dis donc!" me chuchota une voix presque inaudible.
"Allons dans les bois,en esperant que cette cochonne n'allume pas un incendie;elle a le feu au cul!!" lança le quatrieme.

Oui,j'avais le feu au cul,aux levres,aux mains,partout ,comme tout le temps d'ailleurs.
Sitôt arrivés dans la clairiere,je me jettais à genoux et commençais à mordiller le sexe du premier venu à travers son cuissard.
Son sexe grossit instantanément et un peu démesurément.Il etait de trés belle taille et j'avais hâte de m'en servier autrement.
"Attaque-toi aux autres de la même maniere pendant que je me fous à poil" m'ordonna-t-il.
Ci-fait!
Le second,un frêle,cycliste quasi caricatural,sec aux mollets musclés et rasés,se présenta;je plongeais ma tête entre ses cuisses et mesurait de mes dents son "gabarit sexuel".Zezette de cycliste,ne puis-je m'empecher de penser,fidele à son proprietaire:longue,fine mais musclée.
Il tarda un peu à bander,ce qui me donna le sentiment que je ne m'y etais pas bien prise;La suite me donna à penser que la raison etait autre.
Le troisieme se presenta,un profil similaire:moyen,épilé,sec mais musclé.Son sexe,lui en etait l'opposé:petit mais large et poilu (sa toison faisant un bruit caracteristique à travers sa combinaison).Il eut une erection assez rapide.
Je n'avais toujours pas résolu cette enigmatique gêne qui se tenait dans un coin de ma tête quand se presenta le quatrieme.
La réponse me fût dés lors evidente:le quatrieme etait en fait UNE quatrieme.La vue de son entrejambe non déformée en etait la preuve la plus claire.

N'ayant aucune limite sexuelle à mes plaisirs,je me delectais d'avance de pouvoir goûter à cette chatte à travers son cuissard.Sa fente n'etant pas masquée par une peau de chamois,j'y enfonçais vivement ma langue,devorant rapidement à pleine bouche cette "cerise sur le gateau".

De là où il etait,Tony n'avait certainement pas encore vu que mes cyclistes etaient accompagnés d'une femme.
J'en etais là de mes pensées,lorsqu'une large main attrapa mes cheveux derriere la nuque pour les diriger vers un autre objectif,et quel objectif!!
La queue du "barraqué" etait plus impressionante encore que ce que je l avais imaginé.Un format hors normes qu'il m'enfourna partiellement dans la bouche.
Je commençais tout juste à gober cet enorme gland que je sentis une langue me fouiller trés agréablement l'anus.le deuxieme entrait donc en action et de fort belle maniere.
Sa langue tournait dans tous les sens et semblait une sorte de petit doigt tant son habileté etait grande.Je ne tardais pas à avoir un premier orgasme que je manifestait bruyamment malgré l'importance de la bite qui envahissait ma bouche.

Les sorties de ces 4 cyclistes etaient sans aucun doute organisées pour une pause baise,car Karine (nom de LA cycliste) sortit de la sacoche de son vélo,preservatifs,gel,et même un gode,ce qui ne manqua pas de me surprendre du fait que trois queues auraient dû lui suffire.

Karine,donc,s'approcha de moi et me demanda si je pratiquais la sodomie;J'avoue prendre un plaisir incroyable à cette pratqiue anale,parfois plus qu'avec des positions vaginales.mes yeux gourmands lui donnerent la réponse.
"Dans ce cas,ceci va t'être nécéssaire,parce que Jean,c'est pas une bite de collegien qu'il a" me dit-elle en riant et en me montrant un tube de gel.
Elle le fit passer à Pascal,qui termina pour lors de me lecher le trou du cul.
"Elle en aura besoin,c'est sûr,mais elle doit pas se taper des collegiens non plus "rectifia-t-il.
"Voyons ça...De l'air,Pascal ! laisse passer les specialistes" lui intima Karine.
Oulalaaaa,ma cochonne! Tu peux pas pretendre qu'on t'a jamais ramoné le cul,ma salope!"
j'ai toujours aimé les mots crus pendant l'amour mais assénés par une autre femme,l'excitation montait en moi encore plus vite,plus haut,plus fort. Vive le baron de Coubertin!
Karine commença à me doigter l'anus tout d'abord en me caressant la rondelle avec ce froid gel aqueux.Pascal et Al (son prénom etait alfonso) eux,alternaient dans ma bouche,leur si differentes bites.
Je me laissais déshabiller par Jean tout en continuant à sucer ces deux membres.
Karine etait veritablement une experte et elle le tarda pas à enfouir trois doigts dans mon cul qui commençait serieusement à aimer ça.Je sentais le gel me dégouliner de partout;Il faut dire qu'elle en avait un peu abusé mais ça ne serait pas du luxe.
Jean s'allongea et je fus soulevée de terre par les deux autres lascars qui me presenterent au dessus de l'imposant membre de leur ami.Karine assura la manoeuvre en dirigeant ce baton de berger vers mon trou du cul en rut.
Ils me reposerent sans menagement,ce qui eut pour effet de me faire empaler à fond sur le pieu,poussant un cri bestial et strident !!
Je crus un instant que j'allais m'evanouir tant la douleur avait fait place au plaisir;La tête me tournait et il me semblait qu'ils m'avaient lachée par erreur sur une branche d'arbre qui m'avait transpercé.
Tandis que Karine engueulait ses deux comperes de leur maladresse,Jean me maintenait.Un eclair de lucidité,me ramena à la peur que Tony ne sorte de sa planque et mette fin à tout ce jeu barbare mais si jouissif.
"Ca va" calmais-je tout le monde.
"Ca va aller"
Je remontais alors sur toute la longueur de la bite de Jean,doutant encore une fois de la réalité de ce qui me penetrait l'anus.
Je redescendis ensuite lentement jusqu'au fond dans un râle de plaisir inqualifiable.
Les deux autres se firent pardonner en s'occupant chacun de mes tetons,si gros et si sensibles.J'adore qu'on s'en occupe car je les ai trés sensibles au point qu'une langue habile doublée de pincements puissants peuvent à eux seuls me faire jouir.
Je commençais à me sentir trés bien entre mes deux suceurs et mon pieu XXXL,quand Karine eut l'excellente idée de me pincer le clito en ne le relachant plus que pour me permettre de jouir pleinement d'un trés puissant orgasme,et surtout de lui gicler une bonne dose de mon suc de femelle.
L'aprés midi se poursuivit sur de multiples autres plaisirs et positions que je vous raconterait dans une prochaine "confession" avec une surprise de taille pour moi.