C'Est À Mon Tour Maintenant !

Après avoir raconté les mésaventures de jeunesse de ma meilleure amie, je reprends celles qui me concernent.
C’est l’année du bac, je tiens à l’avoir. Malgré tout on continue les promenades en ville ou dans le centre commercial, lorsqu’il nous reste du temps libre. On va de temps en temps au complexe cinéma, dans la salle on s’installe toujours au dernier rang, à l’écart, car nous avons besoin de nous caresser. On prend nos précautions pour s’essuyer et éviter de se tâcher si un accident arrive de nouveau. J’ai des Kleenex en réserve !
Mon copain et moi avons eu notre bac. Ma copine est au repêchage en septembre. Son dépucelage date de 2 ans, elle a toujours le même copain. Ses parents travaillent et ne sont pas là dans la semaine, elle peut en profiter. Elle ne manque pas de me raconter ses parties de jambes en l’air, rien que pour m’exciter et me mettre mal à l’aise.
A la maison comme au lycée, je me comporte comme une jeune fille bien sage. Bien que je sois majeure maintenant, mes parents ne veulent pas que j’amène un garçon dans ma chambre. Contrairement à ceux de mon amie, eux sont toujours présents. Un café tabac en banlieue, ce n’est pas très lucratif. Ils ont quand même un jour de fermeture dans la semaine, et peu de vacances. Pour mes parents, je suis avec mon amie, et comme quelque fois elle me raccompagne, ils n’y voient que du bleu ! . En ce moment je rencontre mon copain tous les après midi. On ne peut pas aller chez lui, seul son père travaille, sa mère reste à la maison. Nos contacts physiques sont très restreints, juste des branlettes juteuses, nos corps réclament toujours plus, mais que faire. Pas question de prendre une chambre, on n'en a pas les moyens, et on risque d’être vu par une âme charitable qui ne manquera pas d’avertir nos parents
La chance a fini par nous sourire. Ses parents sont partis en week.end, le laissant seul car il a refusé de les accompagner. Le samedi après midi, il me téléphone, me demande de le rejoindre.

J’appelle mon amie pour la mettre au courant, lui demande de ne pas me trahir. Elle a comprit, pas la peine de lui faire un dessin ! Je dis que je vais chez elle, comme il fait beau, on a l’intention d’aller se balader. Mon cœur bat la chamade, je suis nerveuse, je ne suis jamais allé chez lui. Il vient à ma rencontre. En arrivant, on va directement dans sa chambre.
A peine entrés, il m’embrasse, cherche ma langue avec avidité, nos mains caressent le sexe de l’autre. Rien que cela nous excite terriblement. Il essaye de me déshabiller, mais je ne veux pas qu’il me voit nue. Je le repousse et lui demande de se retourner, ce qu’il fait de mauvaise grâce
Dos à dos, nous quittons nos vêtements. Je ne porte pas de soutient gorge, mes seins ( 85 C ) n’en ont pas besoin Je garde ma culotte, vire la couette, m’allonge sur le lit. Lui garde son slip et vient me rejoindre. C’est un lit d’une place, on est serrés l’un contre l’autre. On est heureux de sentir la chaleur de nos corps. Je suis sur le dos, lui sur le côté, recommence à m’embrasser, ses mains se baladent sur moi. Il se redresse, s’empare de mes seins, pétrit, malaxe, fait tourner un doigt sur les aréoles, tire sur les mamelons, suce, aspire. Il m’embrasse un peu partout, sa main est dans ma culotte, mon clitoris se redresse, durcit, émerge des poils. Il emprisonne ma vulve, j’écarte un peu les cuisses, une sensation de bien être se répand dans tout mon corps. Moi-même je saisis sa verge dans le slip, la caresse tout au long, énerve le bout du gland. Je sens qu’elle devient de plus en plus dure. Il descend du lit, enlève son slip. Sa bite est droite, longue, le gland, d’un rouge violacé, nettement plus gros que la hampe, me paraît énorme. Tout d’un coup, l’image de la verge de mon père me revient en mémoire, j’ai peur d’avoir un tel engin en moi. La panique ! Il remonte sur le lit, je soulève les fesses, il retire ma culotte. Un geste de pudeur, je mets la main sur ma toison, il la retire. C’est la première fois que je lui expose ma chatte et que je vois sa bite en plein jour.
Il est au bout du lit, m’écarte les cuisses, se met à genoux entre elles, replie mes jambes, mes pieds sont sur le lit. Il caresse ma toison, ouvre ma fente masquée par les poils, passe sa langue au fond, caresse mes nymphes, revient sur mon petit bouton, l’aspire, le fait sortir de sa gaine. Ma respiration s’accélère, mon sexe est trempé. Je m’offre à lui, creuse le ventre, cambre les reins. Il est au-dessus de moi, je prends sa queue derrière le gland, presse le méat sur mon clitoris. Je n’ai pas le temps de la guider dans ma fente, la tension est trop grande. Il se redresse et, dans un soubresaut, décharge sur ma chatte, sur mon ventre, un jet atteint ma poitrine.
Vexé, il retombe à côté de moi et reste comme ça, passif. On est déçu, mais c’est la première fois pour nous deux et on manque d’expérience
On reste longtemps l’un contre l’autre, sans bouger. On est en été, et à rester immobiles, la fenêtre ouverte, je sens un peu de fraîcheur sur moi. Il se lève, récupère la couette, la met sur moi, se glisse dessous. On est bien. Il me réchauffe. On s’endort.
Je me réveille, apaisée, je change de position et me mets sur le ventre. Il a joui, moi je ne suis pas satisfaite. Des pensées contradictoires m’assaillent. J’ai envie de sa bite en moi, mais la taille du gland et la longueur de la hampe m’effrayent. Je sais que je vais avoir mal.
Il est collé contre moi, je remue un peu. Dans la position que j’occupe, bras le long du corps, ses couilles sont à portée de ma main. Je les caresse délicatement, sa bite est molle, pendante. Je la prends, la serre, la réchauffe, astique le bout du gland avec mon pouce. Soudain il réagit, me fait des bisous dans le cou, sur le dos. Un doigt longe ma colonne vertébrale, descend jusqu’à la raie des fesses, glisse sur mon anus, s’y attarde. Instinctivement j’écarte un peu les cuisses, son doigt descend sur ma fente, appuie sur le clito, le titille. Je branle sa queue pour lui faire reprendre un peu de vigueur. Il fait des petits mouvements d’avant en arrière, la fait coulisser dans ma main.
Peu à peu il a une nouvelle érection. Je suis de nouveau excitée, mouille, me met sur le dos, le branle avec vigueur, il est raide. J’ai gagné. Il enlève la couette, se place entre mes cuisses, les écarte et les remonte sans ménagement. Je mouille terriblement, une vraie fontaine, mon sexe est de nouveau à sa merci. Il ouvre les lèvres, pince le clito, prend sa bite et la glisse dans la fente, se bloque sur l’entrée du vagin. Je cambre les reins, remonte et remue les fesses pour bien amener le gland en contact avec mon orifice. Il pousse doucement, l’entrée se dilate, s’ouvre. Il accentue la pression, le muscle cède, le gland déchire l’hymen, entre en moi. Je pousse un cri, j’ai mal, j’en ai les larmes aux yeux, j’ai chaud, je tremble. La queue poursuit son chemin, glisse, me dilate, remplit ma gaine, arrive au fond de mon antre. Il commence à me pilonner doucement. Sa bite va de plus en plus loin, m’étire, me comble. Elle y entre en entier, je sens ses couilles battre sur mon cul. Je mouille abondamment. A chaque coup de bite, l’entrée, irritée, me fait de plus en plus mal. Surtout quand il la sort pour la rentrer de nouveau. Ca me brûle. Lui ne se pose pas de questions. Il est tout à son action, ne s’occupe pas de mes gémissements, me burine de plus en plus vite, de plus en plus fort, s’acharne. Il pousse un grognement, se bloque au fond de ma gaine. Je contracte mon vagin pour bien serrer sa verge. Il décharge en plusieurs jets, je sens son foutre inonder mon ventre. Une sensation de chaleur, jusque là inconnue, m’envahit, remonte dans tout mon corps. Il transpire, s’aplatit sur moi, reste un long moment sans bouger. Sa queue ramollit, ressort doucement, retombe. Ca y est, je suis une femme ! Mais à quel prix. Il y a si longtemps que j’ai envie de sentir sa queue dans mon ventre. Dans quelques jours j’aurais mes règles. Ca va me donner le temps de cicatriser. Le foutre coule de mon sexe qui se referme, colle mes poils, mouille mon cul. J’ai besoin d’une douche.
On va ensemble dans la salle de bain. On se met sous la douche, chacun de nous savonnant l’autre, on est bien. On s’embrasse, on se caresse, sa bite se redresse, je l’asticote. Pour un peu il me l’enfilerait de nouveau. Quelle santé ! Il me retourne, colle sa bite contre mon sexe. Je le repousse, sorts de la douche, j’en ai eu assez pour aujourd’hui. On retourne dans la chambre, le drap est taché de foutre, de sang, de cyprine, un vrai carnage ! Toujours à poil, on change le drap, refaisons le lit. Nos vêtements sont dispersés, on se rhabille. J’appelle ma copine, elle est chez elle, m’attend pour me raccompagner à la maison. On se quitte. Ses parents rentrent demain et il doit remettre tout en ordre pour effacer les traces de nos exploits.
Mon amie est là. Je lui raconte comment ça s’est passé. Elle aussi a eu mal mais maintenant, quand elle baise, n’y pense plus. C’est injuste, eux les mecs, n’ont pas ce problème. Elle se souvient de son dépucelage. Pour elle, son copain ne s’est occupé que de son plaisir. Elle me raccompagne. Au passage, ma mère me demande ce que nous avons fait durant l’après midi. Pour elle, on est allé se promener au parc des Buttes.
Après la fin de mes règles, j’ai voulu connaître l’état de mon trou. D’abord je me fais mouiller en astiquant mon clito, puis je glisse un doigt dans l’entrée du vagin, le fait tourner. Je n’ai pas mal. Par curiosité, j’en introduis deux, les fait entrer et sortir. J’ai chaud, je mouille terrible, c’est bon, une sensation de bien être m’envahit. Je sens que j’ai besoin d’une queue, les plaisirs solitaires ne me suffisent plus. Je vais téléphoner à mon copain. Il faut qu’il me la mette !
Un point noir subsiste. Mes parents, comme les siens d’ailleurs, ne veulent pas de copain ou copine chez eux, dans nos chambres respectives. Nous sommes pourtant majeurs, mais on doit se plier à la règle. Difficile à contourner, les miens ne s’absentent ensemble que très rarement à cause du tabac, et pour lui, sa mère ne travaille pas, reste à la maison pour élever sa petite sœur.


Si ce récit vous a plut, il y a une suite à venir !

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