Première Fois Suite
je vais vous livrer la suite de mes aventures avec madama CLAIRE , qui vous l'avez vu m'a proprement déniaisé .
je vous rappele , chers lecteurs les moments forts de mon existence a cette époque , les années 1950, mes 18ans , ma macrogénitosomie,et les aventures qui me sont arrivées à cause de cela.
après cette première entrevue avec Claire , vous vous en doutez nous n'allions pas en rester la.
nous ne faisions plus nos ébats chez elle, trop dangereux et pour moi je n'était pas à mon aise.
Claire nous a dégoté un petit hôtel bien tranquille , pas trop regardant sur l'âge de la clientèle , j'avais 18 ans , et la majorité à l'époque était de 21 ans.
nous avons continué nos relations , toujours placé sur le sexe , plus question de faire attention.
notre première relation fut une vraie partie de trou du cul, sauvage , les autres idem, mais nous primes le temps de discuter , de mieuxs se connaitre.
je lui demandais , tu as un mari, cela ne te suffit pas , elle me répondit.
,il me saute deux ou trois fois par mois le matin , sa petite bite , je la sens à peine, cela dure quelques instants et il se dégage pour éjaculer sur mon ventre.
elle me dit , j'ai toujours aimé la bite, la vrai.
je lui dis tu as la réputation d'avoir eu de nombreux amants, elle ne me répondit pas , je la poussais dans ses derniers retranchement , tu as eu quatres gosses.
elle me répondit, les premières années de mon mariage , c'était mieux (elle était marié depuis 20 ans).
je lui portait la dernière estocade, avec tous tes partenaires , est ce que tu est certaine de ne pas avoir de " coup étranger".
cette expression , à cette époque désignait l'apparition d'un batard .
elle me répondit sur le ton de la gaité
comment peut-on savoir?
pour interrompre cette conversation gènante , je l'avoue pour elle , elle passa l'attaque mais d'une autre manière , elle se saisit de ma queue , avec sa savante langue elle eu vite faite de la faire monter.
je la pris d'une autre manière , sur le coté , j'enfilais mon sexe , je le ressortais , je lui le passais sur le clitoris , je la réenfilais , je m'enfoncait a fond , je m'arrétait , elle recommençait le mouvement, et cela finissait toujours par une giclée phénoménale,
sa chatte était inondée de sperme.
pendant ce temps , elle n'avait pas perdu ses bonnes habitudes , elle hurlait de plaisir , et me débitait à mon égard ses mots grossiers qui je m'en rend compte me portait à l'excitation extrème.
j'avais l'impression que ma bite déja de taille , grossissais a vue d'oeil.
notre relation continua pendant deux ou trois mois , je commençait , non pas à me lasser, mais à prendre peur, tout se sais tôt ou tard.
surtout que ce qui devait arriver arriva , Claire me dit un jour , je suis enceinte.
ca ne peu ètre que toi.
que vas tu faire.
je vais le faire avaler à mon mari, et on va se décider pour un avortement.
a l'époque l' IVG n'existait pas, il y avait des "faiseuse d'anges" et Claire je l'ai compris avait des connaissances.
cela aussi me fit comprendre la rouerie du sexe sois disant faible
ce qui interrompu nos relations pendant quelque temps.
je n'en fut nullement faché, cette histoire pourtant merveilleuse pour un gamin comme moi commencait à me peser.
et un jour , Claire me dit , on remet ça, je ne dit pas non.
une fois à l'hôtel ,elle me dit , on va changer de tactique, dorénavant on va faire l'amour comme les riches.
je lui demandait comment, et bien tu vas m'enculer , comme ca on ne feras pas de mouflons me répondit elle avec son assurance habituelle.
je n'avais jamais fait cela , tu feras attention avec ta grosse bite me dit elle.
elle avait tout prévu ,vaseline codex , elle s'enduisit largement l'anus, tout en me suçant voracement.
on y va tu es prêt , elle se mit en position levrette , ecarta largement son trou du cul, je pense q'elle connaissait la combine.
ma queue était mouillée de sa salive , je me pointais à l'entrée , vas y doucement me dit elle.
la tête de mon noeud rentra et par petites secousses je m'introduis en elle, a chaque poussée , elle me répondit par des cris , je ne sais si c'était de la douleur ou du plaisir.
enfin je fus bien installé au plus profond , moins quand même que dans une chatte bien mouillée.
Claire prenait son pied de belles manières , elle se masturbait le clitoris en même temps , poussait ses cris habituels , rien ne la changeait des autres rapports que nous avions eu.
je démarrait moi aussi , je lui empoignais les fesses à deux mains, poussais encore plus fort et j'arrivais à loger mes 25cm , ce qui fut fait avec un hurlement de douleur, je crois de la part de ma partenaire.
la vie reprenait son cours , va et vient , vision plaisante de mon mandrin entre les deux lobes de ses fesses, je ne ma souciais plus d'elle, j'enfoncais dur dur , jusqu'au moment ou je lachais mon sperme dans ce nouvel habitacle , nouveau pour moi, mais j'en suis certain déja bien essayé par ma charmante complice.
je restais un moment plaqué contre elle , comme pour reprendre mon souffle, puis me retirait.
elle s'écroula sur la lit , se coucha sur le coté,et ses injures habituelles , vieux cochon je viens encore de te dépuceler, tu vois comme c'est bon me dit elle dans un souffle, tu devrait me remercier.
il se produisit la chose, le pretexte qui mit fin à notre liaison , elle commenca à faire de petits pets , comme le font les femme qui sont prisent en levrette , mais dans la chatte , ou il se fait un phénomène de pompe à vélo.
je pense que mes lecteurs comprendront , ca a du leurs arriver.
mais ca n'était pas fini , les pets continuaient, et hop elle s'épandit de tous ses intestins sur le lit.
alors la ca m'a coupé la chique , comme on disait de mon temps.
les draps était plein d'excréments et tout cela dans cet hôtel où on était si bien, et où j'en suis sûr maintenant ma chaleureuse copine avais ses habitudes.
je suis rentré chez moi ,la laissant se dépatouiller toute seule , j'ai su qu'elle aussi , elle n'a jamais osé y retourner.
voila la fin de notre courte liaison , mon apprentissage était terminé , je pouvais voler de mes prpres ailes.
je vais terminer mon bavardage, j'ai une pensée pour Claire aujourd'hui décédé,
quand elle est arrivéau paradis , suivant les mots de Bernard Pivot , elle pourra dire au Seigneur en réponse à ses questions .
j'ai fait du bien à moi et aux autres.
je ne sais si le Seigneur lui demandera de quelle manière.
ma vie n'était pas finie , ma grosse bite prenait de l'assurance , elle m'a servie et déservie, vous le saurez dans un prochain numéro.
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