Tante Jeanne 03
Tante Jeanne 03
Une journée sexuellement bien remplie
Une fois seule, Jeanne entama une toilette intime poussée. Méticuleusement, à laide de son index et de son majeur réunis, elle entreprit dextraire de son vagin souillé, les reliquats de sperme que son neveu avait lâchés à profusion. Puis vêtue du pyjama que Maggy lui avait prêté pour la nuit elle rejoignit la chambre damis mis à sa disposition.
Couchée dans le noir, Jeanne songea à cette soirée quelle venait de passer avec son neveu et son épouse. Les sens enfin apaisés après lextraordinaire jouissance que Robert lui avait fait connaître, un sentiment de remords la saisit. Remords tout dabord vis-à-vis de son époux quelle venait de tromper pour la seconde fois en vingt-quatre heures, alors que le malheureux se trouvait alité à lhôpital. Remords également vis-à-vis de Maggy, la femme de son amant, même si celle-ci, au dire de Robert, refusait toutes relations sexuelles depuis le début de sa grossesse.
Puis ses pensées changèrent de cap comme cest souvent le cas chez beaucoup dêtres humains. Passant outre à ses repentances, elle se polarisa sur les problèmes de couple de son neveu et de son épouse. Vu lâge et lardeur de Robert, Maggy, songea-t-elle devait bien penser que ce dernier ne pouvait rester chaste pendant neuf mois ; et que lorsque le désir deviendrait par trop insistant il irait chercher ailleurs lapaisement de ses sens. Une autre constatation traversa lesprit de Jeanne. Maggy avait eu de la chance pensa-t-elle, que son époux ait trouvé cet exutoire sexuel avec sa propre tante. Le lien de parenté les unissant, ainsi que leur énorme différence dâge protégeait en quelque sorte Maggy dune rupture de son couple. Mais en même temps, Jeanne se rendait bien compte que, tenue de ces différences, la liaison quelle entretenait depuis vingt-quatre heures avec son neveu ne pourrait durer bien longtemps. Aussi rejetant loin delle ses remords, elle décida de profiter au maximum de cette opportunité que le destin lui offrait, comme un ultime cadeau.
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Ouvrant un il, Robert comprit immédiatement quau bas de son ventre, son sexe sétait également réveillé, et peut-être même avant lui. Chaque matin dailleurs, depuis que Maggy se refusait à lui dispenser le moindre soulagement sexuel, il se réveillait victime dune érection phénoménale. Portant une main compatissante à lencontre de son membre inutilement dressé il le flatta distraitement. Il nétait pas question quil demande une aide quelconque à son épouse, celle-ci depuis sa grossesse opposait systématiquement un refus à ses désirs. Même une simple masturbation lui était refusée. Maggy craignait que cette simple caresse ne lexcite de trop, et que dans son désir il ne veuille lui faire lamour, ce qui daprès elle pourrait faire nuire au bébé quelle portait. Au début de cette phobie, il avait pourtant réussi à convaincre son épouse de le branler de temps à autre. Mais affolée à lidée que ce simple attouchement ne lui suffise pas et quil en veuille plus, Maggy se pressait alors de conclure. Elle le masturbait alors avec une telle hâte, quelle le faisait décharger si rapidement, quil nen éprouvait pas un réel plaisir. Aussi de lui-même il avait cessé de quémander la moindre caresse à son épouse apeurée, préférant, lorsque le désir devenait trop pressant, se branler lui-même sous la douche lors de sa toilette matinale.
Pourtant, malgré ces déboires sexuels, Robert navait jamais songé à tromper sa femme, à aller chercher auprès dune autre, ce que son épouse lui refusait. Ce qui aurait été des plus naturel, vu létat dans lequel cette longue abstinence prolongée le mettait. Peut-être restait-il fidèle par amour, car il continuait à éprouver une immense passion pour son épouse, et surtout parce que loccasion ne sétait jamais vraiment présentée.
Et puis le destin avait voulu que cette occasion se présente en la personne de sa tante, lors de lhospitalisation de son oncle, le frère de son père
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Un bruit dans le couloir tira soudain Jeanne de son sommeil quelle avait toujours eu léger.
Jeanne sétira voluptueusement entre ses draps, émergeant lentement de sa torpeur. Étendue sur le dos, les bras repliés sous sa nuque, les jambes largement écartées, dans une position quelle affectionnait particulièrement, elle se remémora avec émoi la sensuelle soirée quelle avait passée la veille. Elle avait encore une fois, connu une jouissance extraordinaire. Son neveu avait de nouveau été un amant fabuleux, lui procurant orgasme sur orgasme, avant de se libérer lui-même à longs jets puissants. Il y avait bien longtemps que ses sens navaient été à pareille fête.
Un léger craquement devant la porte de sa chambre alerta soudain Jeanne. Le cur battant elle espéra la visite de Robert, prête quelle était à lui ouvrir ses bras, et surtout ses cuisses. Mais un bruit de dialogue lui apprit que Maggy était elle aussi levée. Déçue, elle se consola en se disant que la journée ne faisait que commencer, et quelle aurait bien loccasion de se retrouver seule avec son jeune amant. Nespérant alors plus rien, elle séjecta du lit. Boutonnant la veste du pyjama, trop étroite pour son opulente poitrine, elle descendit rejoindre ses hôtes.
À la cuisine où elle pénétra, Maggy et Robert sactivaient chacun de leur côté à préparer le petit déjeuner. Maggy, qui surveillait la cafetière, était vêtue dune nuisette décolletée en carré, retenue par deux larges bretelles de dentelle. Par moment, suivant les mouvements queffectuait la jeune femme, le dôme laiteux dun de ses seins apparaissait. La nuisette de soie laissait deviner par transparence les deux larges aréoles foncées des lourdes mamelles gonflées. Robert, de son côté était en pyjama de soie bleu ciel.
-- Bonjour mes chéris ! Déjà debout Maggy ? Tu devrais faire attention
dans ton état
-- Ne vous inquiétez pas Tantine, je me reposerai lorsque vous irez chercher Tonton.
-- Justement à ce sujet, jaimerai quavant daller à lhôpital, je puisse passer à la maison pour changer de vêtement.
-- Mais bien sur. Vous partirez lorsque vous le désirerez.
-- Ca membête de vous créer tout ce tracas
-- Ne vous inquiétez pas de ça, Robert se fera un plaisir de vous conduire
Vous savez bien combien il vous aime
« Bien plus que tu ne peux te limaginer », songea Jeanne.
Alors que Jeanne sentretenait avec son épouse, Robert ne put sempêcher de fixer avec concupiscence la merveilleuse croupe de sa tante, mise en valeur par le pantalon de pyjama trop étroit.
Déjà lorsque Jeanne avait fait son apparition à lentrée de la cuisine, Robert avait eu son attention attirée par les imposantes bosses qui déformaient la veste de pyjama prêtée par Maggy. La plantureuse poitrine, quaucun soutien-gorge ne maintenait, ballottait dune manière fort sensuelle à chaque mouvement de leur propriétaire.
Laissant la future mère à la préparation du café, Jeanne se retourna alors vers son neveu à qui elle tendit son visage pour un baiser matinal.
Saisissant naturellement sa tante par les hanches, Robert jeta un rapide coup dil en direction de son épouse. Celle-ci occupée à surveiller la cafetière où leau doucement commençait à mijoter leur tournait le dos, indifférente à ce qui se passait derrière elle. Profitant alors de la situation, Robert remonta rapidement les doigts de sa main droite jusquà la lourde poitrine quil palpa fiévreusement, éprouvant un plaisir intense à sentir la masse charnue du sein gonflé sécraser mollement sous sa paume. Immédiatement il sentit son membre se gonfler à lintérieur de son pantalon de pyjama.
-- Tu as bien dormi, Tantine demanda-t-il avec un sourire complice ?
-- Oui, jétais vraiment fatiguée, murmura Jeanne sur le même ton alors quun frisson érotique la parcourait.
Pressant voluptueusement la volumineuse mamelle de sa main droite, Robert glissa sournoisement la gauche sur une fesse ferme et souple en même temps.
Comprenant à lattitude de son neveu que Maggy ne sintéressait pas à eux, et ne pouvait deviner ce qui se passait dans son dos, Jeanne osa un geste quelle ne se serait jamais permise quelques jours auparavant. Sans se soucier de la présence de la future mère, elle lança une main conquérante en direction du bas-ventre de son neveu et amant. Ses doigts trouvèrent immédiatement ce quils étaient venus chercher ; une raideur dune dureté incroyable que le fin tissu du pyjama ne parvenait pas à protéger, ni à camoufler vraiment. Les sens soudain en ébullition elle pressa fermement le sexe masculin en érection, amorçant même une rapide masturbation.
Surpris par cette soudaine initiative à laquelle il ne sattendait pas, Robert nen demeura pas moins ravi. Jamais il naurait imaginé pareille audace de la part de sa tante, même si celle-ci lavait fort étonnée par ses ardeurs amoureuses deux jours plus tôt. Elle quil avait toujours connue si réservée, si effacée même, se conduisait depuis quelle lui avait cédé une première fois, en amante passionnée.
Lorsque quarante-huit heures plus tôt elle était devenue sa maîtresse, elle sétait soumise à ses désirs, du fait de lénorme choc émotionnel quelle avait ressenti lors de lhospitalisation de son époux. Elle avait à cet instant-là, un énorme besoin de tendresse, de quelquun avec qui elle puisse communier, sur qui elle puisse sépancher, quelquun qui laide à refaire surface. Robert sétait trouvé là au bon moment. Si ce navait été lui, saurait pu être nimporte qui, pourvu que cette personne ait su se montrer attentionnée et bienveillante.
Ce que Robert par contre ne pouvait savoir, cest que grâce à lui ou à cause de lui, Jeanne, après les extraordinaires jouissances quelle avait connues, avait ressenti au fond delle-même un changement notoire : comme si un barrage psychique sétait soudainement brisé, libérant des désirs trop longtemps refoulés. Ces prodigieux orgasmes dune phénoménale intensité, quelle avait connus, lavaient laissée complètement stupéfaite ; lavaient sexuellement décoincée. Quarante ans déducation judéo-chrétienne avaient fondu comme bulles au soleil, donnant naissance à une femme subitement libérée de ses contraintes bourgeoises. Une nouvelle femme qui se sentait le besoin de profiter de la vie, de rattr tout ce quelle avait perdu pendant ces longues années
-- Ça y est ! Cest bon. Tout le monde à table !
Lappel de Maggy sépara les deux amants. Force fut à Jeanne de lâcher limposante virilité quelle serrait passionnément.
Chacun se plaça autour de la table de cuisine, face à son bol. Tout en dégustant un croissant réchauffé au four micro-ondes, Robert tenta, comme il lavait fait la veille, daller frôler à laide de son pied, le sexe de sa tante. Mais létroitesse de la table de cuisine lempêcha de mener à bien ses manoeuvres érotiques. Tout ce quil réussit, pour prouver à sa tante combien il avait envie delle, ce fut de lui caresser le mollet de son pied nu. Ce simple attouchement, pourtant bien bénin, réussit cependant à combler Jeanne de bonheur.
Le petit déjeuner avalé, notre trio se reforma comme la veille : Maggy sattela à la vaisselle, Jeanne lessuya et Robert se chargea de la ranger. Devant le peu de couverts utilisés, la cuisine fut propre en peu de temps. Alors se posa la question de savoir qui allait utiliser la salle deau en premier. Ce fut Maggy qui décida, objectant que Robert, du fait de sa séance de rasage serait le plus long, il se devait sy rendre en premier. Comme Robert, obéissant se levait pour se rendre à la salle deau, Jeanne proposa à Maggy :
-- Nous pourrions ranger ma chambre pendant ce temps.
Tous trois quittèrent la cuisine lun derrière lautre pour se rendre à létage. En tête, Maggy gravit péniblement les marches de bois, soutenant son gros ventre de ses mains. Derrière elle, Jeanne suivait lentement, précédant Robert. Fermant la marche, celui-ci pouvait suivre intéressé les balancements sensuels des fesses épanouies de sa tante. Cette croupe charnue, qui ondulait dune façon terriblement érotique à quelques centimètres de son visage, le ravissait sexuellement. Face à ce spectacle exceptionnellement affriolant, il ne put se contenir. Sans hésiter, il tendit ses deux mains, pour crocheter ses doigts dans les masses élastiques, que le pantalon de soie moulait de façon presque indécente. Avec un plaisir évident, il malaxa les fesses aux chairs molles.
Jeanne, qui avait prévu cette attaque de ses arrières, sourit tendrement en sentant les doigts de son pervers neveu lui pincer sournoisement les fesses. Stoppant momentanément sa progression, elle cambra exagérément ses reins, offrant avec un certain plaisir son derrière aux palpations de son jeune amant. Mais alors quelle allait reprendre son escalade, elle sentit une des mains se glisser entre ses cuisses. Les doigts impatients vinrent frôler sa longue fente, avant de tenter de sy enfoncer malgré le tissu du pyjama. Une bouffée de désir monopolisa de nouveau ses entrailles.
Jamais, songea Jeanne, elle navait été autant soumise à sa libido. Avant quelle ne cède aux désirs lubriques de son pervers neveu, quarante-huit heures plus tôt, ses sens la laissaient en paix entre chaque rapport conjugal. Rapports qui se produisaient en général toutes les deux semaines. Avec le temps, le désir sétait peu à peu émoussé entre Pierre et elle, remplacé par une douce affection, comme cest le cas dans nombre de vieux couples. Or Robert lui avait fait connaître des orgasmes quelle navait jamais éprouvés avec son époux. Jamais Pierre navait réussi à la faire planer dans cette espèce dinconscience irréelle, comme lavait fait Robert. Depuis quelle avait découvert que la jouissance pouvait être si violente et si merveilleuse à la fois, sa sensualité sétait bizarrement intensifiée.
Lorsquils parvinrent à létage où se trouvaient les chambres et la salle deau, le groupe se divisa. Robert se dirigea en direction de la salle de bain. La vulve en émoi, Jeanne suivit Maggy à lintérieur de la chambre où elle avait passé la nuit. A peine entrée, la future mère se laissa tomber sur le lit en portant ses mains à son ventre avec un petit gémissement.
-- Ça ne va pas, sinquiéta Jeanne ?
-- Ce nest rien
Je ne sais pas sil est pressé de sortir, mais depuis quelques jours il narrête pas de me donner des coups de pieds.
Quelque peu inquiète, Jeanne, qui navait connu ni les joies, ni les douleurs de lement, vint sasseoir à sur le lit, aux côtés de la jeune femme.
-- Tenez ! Sentez !
Retroussant sa chemise de nuit, Maggy sempara de la main de Jeanne et la posa sur son ventre nu parcouru de légers spasmes. Surprise par linitiative de la jeune femme, Jeanne ne put sempêcher de contempler ce ventre pansu à lintérieur duquel une nouvelle vie avait pris naissance. Son regard accrocha la légère toison blonde qui se détachait en fines bouclettes au bas du pubis. Un frémissement sous sa paume la ramena brutalement à la réalité. Le ftus venait de se révéler à elle, alors que Maggy poussait de nouveau un petit gémissement.
Soudainement émue et attendrie, Jeanne caressa doucement le ventre rond en tachant de réconforter Maggy qui grimaçait :
-- Là, ce nest rien
Encore un peu de patience
Ton calvaire va bientôt prendre fin
-- Vivement que ce soit terminé, gémit Maggy
Je ne peux plus supporter ce gros ventre
Jen ai vraiment marre
Tendrement, comprenant quelle se devait de réconforter la future mère, Jeanne laissa courir sa main sur la peau tendue du ventre frémissant, dun geste maternel.
-- Tu retrouveras vite ta taille de jeune fille.
Mollement allongée, se détendant au maximum, afin de tenter de calmer les soubresauts du ftus à lintérieur de son ventre, Maggy fut surprise de ressentit un étrange bien-être sous le frôlement de la main légère de Jeanne. Etonnée, elle dut savouer que les frémissements qui continuaient dagiter son épiderme nétaient plus dus aux mouvements désordonnés du bébé. Sous les légères caresses que la tante de son mari dispensait à son ventre gonflé, un savoureux plaisir lenvahissait insidieusement. Depuis quelques jours ses sens, quelle sétait e à ignorer depuis plusieurs mois, sétaient soudainement rappelés à elle. Un sournois désir lui irradiait par moment les entrailles. Et cela se produisait nimporte où et à nimporte quel moment. Sans quelle ne puisse le contrôler, elle sentait sa vulve shumidifier abondamment, trempant copieusement lentrejambe de sa culotte. Labstinence sexuelle quelle sétait imposée depuis six mois commençait réellement à la perturber. Il lui arrivait de plus en plus souvent davoir des rêves érotiques qui la réveillaient au milieu de la nuit, le corps moite de désir et la vulve palpitante. Dans ces moments-là, il lui fallait toute sa volonté pour sempêcher de chevaucher son époux endormi à ses côtés. Bien souvent, pour retrouver un certain calme, elle faisait appel à ses doigts, pour apaiser le brasier qui lui consumait le vagin, retrouvant ses habitudes de collégienne.
La peur, irraisonnée que tout accouplement ne vienne mettre en danger lévolution de cette vie qui prenait forme dans son ventre, lavait à refuser tout rapport conjugal à son époux.
Jeanne éprouvait un certain plaisir sensuel à caresser ce ventre que la grossesse distendait. Sans vraiment sen rendre compte, elle laissa sa main accomplir des cercles de plus en plus grands sur la peau veloutée. Or à un moment, alors que ses doigts ségaraient par mégarde dans la toison bouclée, qui ornait le pubis dilaté, un brusque tressaillement de Maggy la surprit. Elle immobilisa sa main alors quun gémissement séchappait de la gorge de la jeune femme.
Étonnée par ce sursaut auquel elle ne sattendait pas, Jeanne interrogea Maggy du regard. Ce quelle découvrit alors la stupéfia : la bouche entrouverte sur une respiration accélérée, Maggy la fixait dun air implorant, les yeux brillant étrangement. Stupéfaite par ce que ce regard exprimait, Jeanne ressentit un étrange frisson la parcourir. Le souvenir de ce que lui avait avoué Robert deux jours plus tôt au sujet de son épouse lui revint en mémoire. Si comme lui avait annoncé son neveu, Maggy se refusait à lui depuis le début de sa grossesse, la jeune femme nen était pas moins victime de ses sens. Jeanne était suffisamment avertie de ce genre de besoin, pour lavoir elle-même maintes fois subi. Tout dans lexpression du visage de la future mère, révélait que celle-ci était prête à céder à sa libido enfiévrée, quelle implorait même une délivrance. Et que cétait à elle, parce quelle était une femme, quelle faisait appel.
Doucement, le cur battant à cent à lheure, Jeanne entreprit alors dagiter ses doigts dans la toison dorée. Les yeux fixés sur le ventre incroyablement arrondi, elle singénia à démêler les bouclettes blondes, griffant mesurément la peau sensible du pubis. Ce ventre fabuleusement déformé par la grossesse lattirait particulièrement, elle que le destin avait privé de cette épreuve.
Seule la respiration saccadée de Maggy troublait le silence de la chambre. Les yeux clos afin de mieux se concentrer sur le plaisir quelle espérait, la jeune femme soffrait sans aucune pudeur. Frémissante dimpatience, elle attendait un apaisement de ses sens, espérant que la tante de son mari puisse apaiser son malaise sexuel. Il y avait trop longtemps quelle se privait de jouissance : même si lorsque cela devenait trop difficile à supporter, elle calmait le feu qui lui consumait le vagin, dun doigt impatient. Mais ce matin, dès son réveil, elle sétait rendue compte quelle ne pourrait résister à cet impérieux désir qui sétait propagé dans ses entrailles. Toutes ses résolutions avaient été balayées, dissoutes, par ses sens exacerbés. Le désir, quelle se forçait à ignorer depuis un certain temps, sétait soudainement amplifié, prenant le dessus sur sa volonté.
De plus en plus troublée par les frôlements des doigts de Jeanne sur son pubis, Maggy ne put retenir un gémissement dimpatiente sexuel. Dans un sursaut surexcité, elle lança son bas-ventre gonflé au-devant de cette main si douce qui laffolait.
Le regard fixé sur la toison blonde quelle ébouriffait distraitement, Jeanne se remémora avec mélancolie ses soirées passées au pensionnat dirigé par des surs où en compagnie de filles de son âge, elle avait découvert là ses premiers émois sexuels.
« Chaque soir, après que la sur surveillante ait fait son tour dans la chambrée et éteint les lumières, certains lits se vidaient de leurs occupantes. Celles-ci, furtivement se glissaient dans le lit voisin. Là, à labri des draps, cétait des baisers et des caresses, qui sans apporter une véritable jouissance aux jeunes filles, apaisaient quand même leurs jeunes sens en plein éveil
Jeanne se souviendrait toujours de cette fille, de deux ans son aînée, qui un jour lavait entraînée à lintérieur de la buanderie, déserte à cette heure. Elle lavait poussé sur un tas de linge, à labri dune haute corbeille... Jeanne ne sétait pas défendue lorsque la fille lui avait retiré sa culotte de coton, toute excitée quelle était. Mais quand ladolescente avait plongé, son visage entre ses cuisses pour lui lécher la fente, elle avait été prise de panique. Son sexe était un endroit tabou, lui avait-on constamment répété. Mais très vite, elle avait été bien obligée de reconnaître quune langue prodiguait beaucoup plus de plaisir que les doigts qui lavaient jusque-là caressée. À quatorze ans, elle avait connu sa première vraie jouissance
Quelques semaines plus tard, son initiatrice sétait fait surprendre dans le lit dune soeur. Les deux coupables avaient alors disparu du couvent. Personne navait jamais su ce quelles étaient devenues
»
Un brusque sursaut de Maggy ramena Jeanne à la réalité. Sa main avait insidieusement glissé du pubis, où elle caressait tendrement la légère fourrure dorée, jusquà lentrecuisse moite de la future mère. ; ce qui avait déclenché ce tressaillement chez Maggy. Prenant conscience de ce que la jeune femme attendait de sa part, Jeanne se décida alors dassumer ce rôle de sexologue.
Se penchant sur ce sexe que la future mère lui offrait complaisamment, Jeanne fit délicatement glisser son pouce le long des lèvres sexuelles roses et luisantes de cyprine. Habilement, par petites touches précises, elle chercha à dénicher le clitoris qui se cachait encore dans les replis de la vulve. Très vite, sous les effleurements dont il était lobjet, le sensible bourgeon émergea dentre les commissures des grandes lèvres sexuelles : petit bouton de chair rose, magique berlingot, épicentre du plaisir féminin que Jeanne sactiva à agacer. Les soupirs de Maggy se firent aussitôt plus pressants.
Tout en frottant de son pouce le clitoris qui avait atteint sa taille maximale, Jeanne activa son majeur le long de la fente sexuelle de plus en plus humide. Sachant par expérience tout le plaisir que lon pouvait ressentir sous ce genre dattouchement, Jeanne fit naviguer son doigt, de la vulve palpitante à lanus resserré. Passant méthodiquement dun orifice à lautre, elle singénia à recueillir un peu de liqueur amoureuse à lorée de la vulve humide, pour ensuite en humecter lorifice anal.
Sous ces différents attouchements terriblement voluptueux que lui prodiguait sa tante par alliance, Maggy se sentit peu à peu submergée par un indicible langueur voluptueuse. Avec un gémissement étouffé, elle se cambra, péniblement du fait de son gros ventre, pour sabandonner alors sans retenues aux caresses de sa complice, lui offrant son sexe enflammé.
Se rendant compte combien ses effleurements sexuels affolaient Maggy, Jeanne qui depuis le matin éprouvait un certain désir, sappliqua alors à contenter la jeune épouse de son neveu.
Tout en continuant à agacer le clitoris extraordinairement dilaté de son pouce, elle positionna son majeur à lentrée de la longue fente ; brèche rose et luisante au milieu dune abondante toison dorée. Avec beaucoup de délicatesse, elle enfonça son doigt à lintérieur de la vulve moite dune liqueur onctueuse.
Nayant jamais eu de réelles relations homosexuelles, autres que celles pratiquées du temps de son adolescence, dans le secret des dortoirs du pensionnat, Jeanne sévertua à procurer à Maggy, ce plaisir auquel la jeune femme aspirait.
Sans cesser de lutiner le fabuleux bouton de chair, qui avait jailli de son abri dès les premiers attouchements, Jeanne agita son majeur à lintérieur de la chatte moelleuse. Comme son doigt, compte tenu de son diamètre, ne pouvait concurrencer un membre viril gonflé par le désir, elle remédia à cet handicap en ajoutant son index à son majeur. Maggy secrétait une telle abondance de cyprine que les deux doigts neurent aucune difficulté à se glisser dans la moule extrêmement élargie de la future mère. Alors, en un lent va-et-vient, Jeanne entreprit de pistonner le vagin torride de sa jeune partenaire largement offerte à ses attouchements, tachant de simuler les mouvements alternatifs dun membre viril lors dun accouplement.
À chaque pénétration au fond de la vulve accueillante, Jeanne prenait un plaisir évident à frotter de ses phalanges, les chaudes parois ruisselantes
Un râle sourd séchappant de la gorge de Maggy ne tarda pas à la récompenser de ses efforts. Subjuguée par cet encouragement diffus, Jeanne jeta un coup dil en direction du visage de sa partenaire. Ce quelle y découvrit laffola étrangement : Maggy, les mains pressant ses gros seins, la fixait avec un regard exalté. Jamais encore elle navait découvert une telle sensualité sur un visage féminin.
Les seins fiévreusement malaxés laissaient échapper des perles de lait, qui suintant des tétines érigées, sécoulaient le long des lourdes mamelles en sillons blanchâtres. Nayant pas eu la chance de connaître ce genre de bonheur lors de sa jeunesse, Jeanne éprouva soudain le désir impérieux de goûter à ce lait nutritif. Dun doigt curieux, elle recueillit, à même le mamelon tuméfié un peu de cette liqueur sirupeuse, quelle porta à sa bouche. La saveur quelle découvrit en léchant son index ne fit que renforcer son envie daller recueillir à même la source le divin nectar. Sans réfléchir à ce que son geste pouvait avoir détrange vis-à-vis de Maggy, elle se pencha alors sur lun des seins gonflés. Avec émoi elle aspira la large aréole brune et boursouflée, quelle pressa de ses lèvres pour en faire jaillir le chaud liquide nourricier. Ivre de luxure, elle sacharna sur le mamelon congestionné, le forçant à libérer sa sève onctueuse quelle avala avec une réelle gourmandise.
Sous cette succion, à laquelle elle ne sattendait pas, Maggy ressentit une nouvelle onde de plaisir lui parcourir le corps. Dès quelle avait commencé à allaiter, elle sétait refusée à ce que Robert ne vienne se désaltérer à ses outres de chair copieusement gonflées. Or, Jeanne, lui faisait découvrir combien une bouche aspirant ses mamelons pouvait lui apporter du plaisir. Un sourd gémissement lui échappa. Dans un geste déjà maternel, elle referma sa main sur la nuque de sa sensuelle parente, lui pressant le visage sur son sein, comme elle laurait fait avec un nourrisson affamé.
Comprenant que cette pression sur son cou était en fait un encouragement à continuer ses cajoleries sensuelles, Jeanne accentua sa prestation érotique. Sans pour autant cesser de titiller dun doigt expert le clitoris enflé, elle singénia à sucer alternativement les tétons ruisselants de lait, pressant les mamelons afin de les faire dégorger de leur liqueur chaude et nourrissante. Goulûment elle sabreuva ainsi aux deux seins gonflés, passant alternativement de lun à lautre.
Sous les différents attouchements, terriblement affolants, que lui dispensait la tante de son mari, Maggy ne tarda pas à ressentir dans tout son corps, les prémices dune jouissance proche. Des ondes voluptueuses, de plus en plus intenses, lui irradiaient le bas-ventre, tandis que des torrents de laves bouillonnantes séchappaient de son sexe habilement fouillé. Incapable de résister à cet afflux de plaisir, la jeune femme se laissa emporter par les vagues successives, qui naissant au plus profond de ses entrailles venaient mourir au creux de sa poitrine. Cette houle érotique se faisant de plus en plus impétueuse au fil des secondes, Maggy sabandonna à ce raz de marée sexuel. Ivre de plaisir, elle se sentit brusquement emporter dans un tourbillon dune sensualité extrême. Tout ce qui lentourait disparut au profit dune immense lueur, tandis que dans sa poitrine son cur cessait de battre un court instant avant de semballer soudainement. Malgré son ventre proéminent, ses reins se creusèrent dans un spasme impulsif. Un orgasme dune violence démesuré lemporta dans un tourbillon phénoménal, la pétrifia arc-boutée sur sa couche. Les doigts crochetés dans la chevelure de sa sensuelle partenaire, occupée à lui mordiller les tétons, Maggy dut faire un incroyable effort pour le cri de jouissance quelle sentait monter au plus profond de sa gorge.
Pendant plusieurs minutes, la jeune femme demeura le corps arqué, reposant uniquement sur la nuque et les talons, les cuisses tétanisées enserrant cette main qui lavait si bien amenée à la jouissance. Puis dun coup, comme une baudruche se dégonflant subitement, elle retomba sur le dos, anéantie, le souffle précipité.
Émue par ce spectacle, Jeanne contempla affectueusement sa jeune complice, tout en retirant délicatement ses doigts de la vulve encore palpitante :
-- Ça va mieux ma chérie, murmura-t-elle en essuyant tendrement la sueur érotique qui trempait le front de la jeune femme ?...
-- Cétait merveilleux, murmura doucement Maggy
Il y a longtemps
Bien quayant compris ce à quoi, la future mère faisait allusion, Jeanne décida de pousser cette dernière à plus de confidences :
-- Comment, tu veux dire quavec Robert tu néprouves plus de plaisir ?
-- C'est-à-dire que
Il ne ta rien dit, tenta de murmurer Maggy
-- Qui ?... Robert ?... Non... Quest-ce quil aurait dû me dire ?
-- Eh bien, voila
je
enfin, nous
Devant les difficultés que semblait éprouver Maggy à se confesser, Jeanne tenta de laider :
-- Est-ce si dure à dire ?... Tu sais si tu ne veux rien me dire, je comprendrais
-- Si, si... Eh bien, voila...Mais vous me promettez de garder ça pour vous
-- Je te le promet, se parjura Jeanne.
-- Robert ne ma pas touché depuis quelques mois déjà, lança précipitamment Maggy, comme pressée de se libérer dun secret.
-- Tu veux dire que Robert ne ta pas fait lamour depuis plusieurs mois ?
Jeanne éprouva un plaisir pervers à insister sur le problème du couple, dont elle nignorait rien.
-- C'est-à-dire, tantine que cest plutôt moi qui lui refuse de me toucher
Jai tellement peur
que lorsquil me
pénètre, il fasse du mal au bébé
Comprenant alors les craintes, irraisonnées, de la future mère, Jeanne décida de rassurer cette dernière :
-- Tu nas pas à tinquiéter ainsi, ma chérie
Ton bébé ne risque rien
Dailleurs, si cela peut te rassurer, il existe certaines positions où tu peux faire lamour sans risque pour ton bébé
Par exemple
la position de la levrette
Tu connais ?
-- Ah non !... Je ne suis pas une chienne !... Cest bon pour les animaux !...
Jeanne demeura sans voix devant ce refus outré. Que pouvait-elle répondre à de pareils arguments.
-- Tu nas pas peur que Robert aille chercher auprès dune autre femme ce que tu lui refuses, tenta-t-elle de plaider.
-- Bien sur que jy pense, pleurnicha Maggy
Mais je ne peux me résoudre à ce quil me fasse lamour
La peur est trop forte
-- Tu pourrais peut-être accepter quil te prenne autrement
Nous avons un autre orifice qui peut se prêter à une pénétration
-- Oh, sexclama Maggy !... Vous voulez dire que je dois accepter que Robert menfonce son membre dans le
le
-- Eh oui ! Dans le cul !... Nayons pas peur des mots
Tu sais cela se fait couramment
Robert na jamais essayé ?
-- Heu
Si une fois, mais
je nai pas voulu
Tante, il est monté comme un mulet votre cher neveu
Il maurait déchiré
Jeanne ne put sempêcher de songer avec émoi au membre fabuleux de son neveu. Il est vrai quelle-même avait été extrêmement ahurie lorsquelle avait découvert limposante verge qui se dressait au bas du ventre de son neveu. Un moment même, elle avait craint que le long dard de chair ne puisse pénétrer entièrement dans son vagin.
-- Tu sais, tenta-t-elle de convaincre, ton petit trou est extrêmement élastique
Je ne connais pas le volume du membre de ton mari, mentit-elle, mais bien lubrifiée je suis certaine que tu naurais pas trop mal à laccepter
Et tu ne peux pas imaginer comme cest extraordinaire de ce coté là
-- Vous voulez dire que lon peut éprouver du plaisir de ce coté là ?... Vous
Vous avez déjà fait lamour comme ça ?...
-- Bien sur, plusieurs fois
Et je peux tassurer que jy ai toujours pris énormément de plaisir
Cest différent dune pénétration normale, mais cest vraiment sublime
Devant lair septique de Maggy, Jeanne décida de prouver ses affirmations. Comme sa main, après la jouissance de la jeune femme, était restée posée sur le bas-ventre de celle-ci, elle glissa doucement ses doigts le long de la fente sexuelle trempée. Frottant son majeur à la chaude liqueur qui suintait encore de la chatte béante, elle en posa ensuite lextrémité copieusement humidifiée contre la rosace fripée de lanus. Délicatement, avec beaucoup de douceur elle caressa la corolle quelle sentit frémir sous sa phalange.
Comprenant que sa sensuelle partenaire désirait lui faire connaître cette pénétration quelque peu spéciale, et à laquelle elle sétait toujours refusée, Maggy sabandonna toute, curieuse. Relâchant au maximum ses muscles fessiers, ainsi que son anus, elle polarisa toute son attention sur les sensations quallait lui apporter cette découverte. Sans trop démoi, elle sentit tout dabord un des doigts de Jeanne forcer louverture de son orifice secondaire pour sy agiter doucement. Attentive à ce que pouvait lui apporter cette nouvelle pénétration, Maggy dut reconnaître que le massage des parois de ses intestins par ce doigt indiscret lui procurait un certain bien être. Rassurée par ce début, par ma fois, prometteur, la jeune femme sabandonna alors complètement aux attouchements de son initiatrice.
Les deux mains refermées sur ses volumineux seins gonflés, elle ferma les yeux afin de mieux savourer ce plaisir diffus qui se répandait dans ses entrailles. Les secondes sécoulèrent dans un silence religieux.
Le bruit soudain de la porte de la salle deau ramena brusquement les deux complices à la réalité. Jeanne retira vivement son doigt du cul accueillant et se redressa rapidement. Tendant la main à Maggy qui du fait de son gros ventre éprouvait un certain mal à se relever, elle laida à reprendre une position plus correcte.
Maggy eut juste le temps de rabattre sa nuisette sur ses cuisses avant que Robert fasse son apparition dans la chambre :
-- Voila, cest terminé pour moi, lança-t-il à la cantonade
Au suivant !
-- Allez-y Tante, décida Maggy... Moi jirais lorsque vous serez partis
Récupérant ses vêtements de la veille, Jeanne se dirigea en direction de la salle de bain, abandonnant les deux époux.
*
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« A suivre »
** Lire « Tante Jeanne 1 et 2 »
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Merci.
Fulvia69 @neuf.fr
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