Le Metro Aux Heures De Pointe
A Paris, vers 18 heures, je prends le métro pour rentrer chez moi. Comme d'habitude, il faut pousser pour pouvoir rentrer dans le compartiment. Heureusement, à la station suivante, il y a une correspondance importante et beaucoup de monde descend. Dès que le compartiment se vide, je file vers le fond et j'ai la chance de me retrouver adossé à la vitre opposée à la porte d'entrée. Un monde fou monte en vitesse et, tous se retournent pour faire face à la porte pour faciliter leur sortie future. Nous sommes en juillet et la chaleur est étouffante.
Une jeune femme d'une trentaine d'année vient se placer devant moi, de dos. Elle est très légèrement vêtue, compte tenue de la chaleur : une robe légère, un chemisier et, je suppose, un soutien-gorge et une culotte. Les gens montent toujours et elle finit par me toucher. Elle n'a pas le temps de changer de place et se trouve exactement devant moi. Les gens poussent toujours. Je sens son dos un peu moite, contre ma poitrine, l'odeur de ses cheveux et un léger parfum bien agréable. Mais surtout, je sens ses fesses qui appuient fortement contre mon bas-ventre. Elle aurait voulu le faire exprès, elle n'y serait pas parvenue aussi bien.La chaleur de son cul était merveilleux. Je me suis mis à bander très fort. Avec le mouvement de la rame et les secousses, mon sexe peu à peu, trouvait sa place. Comme il était bien vertical, il s'insérait bien entre les fesses.Elle devait avoir un string ou pas de culotte du tout car j'avais l'impression d'avoir un cul tout nu contre ma bite. La femme s'est, bien sûr, aperçue que je bandais et sa réaction me le confirma
Elle s'est mise à contracter et décontracter ses muscles fessiers. A devenir fou ! Tantôt elle se contractait très lentement et j'avais la sensation qu'elle me branlait avec le cul. L'instant d'après elle ondulait de la croupe. Linstant plus tard elle recommençait ses contractions mais très rapidement. Javais l'impression de recevoir des décharges électriques.
Elle est descendue à une station et, pendant que la rame redémarrait, nos regards se sont croisés. Elle m'a fait un beau sourire et un petit signe de la main.
Merci mademoiselle (ou madame), vous m'avez bien fait jouir !
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