A La Plage

Non loin des Sables d'Olonne, nous avons passé un charmant été dans une maison exposée plein sud dans une pinède. Nous avions invités un couple d’amis pour nous distraire de l'habituel farniente du mois d'août. Avec la complicité de mon amie Béatrice, nous avions décidé de nous amuser et de sortir de leur torpeur nos maris très calmes l'après-midi en raison de la chaleur caniculaire.Le lendemain de notre arrivée, nous décidâmes d'aller à la plage distante d'une centaine de mètres par une chemin sableux traversant les dunes. Nos deux hommes, Sébastien et Marc, mon mari, nous suivaient lentement bardés des serviettes et parasols. Ils reluquaient probablement nos croupes modestement couvertes de strings colorés. Nos hauts étaient couverts d'un tissu léger couvrant le bas de nos poitrines.

Nous choisîmes un emplacement à proximité de la lisière de la dune d'où nous pouvions avoir une vue sur la plage naturiste et sur l'océan bleu-vert à marée montante. Nous ôtâmes nos strings et nous allongeâmes nues cote à cote pendant que nos maris s'asseyaient à nos pieds en scrutant l'horizon. Puis ils nous informèrent vouloir marcher le long de la plage, ce qui n'était qu'un aveu déguisé pour zieuter de plus près les corps féminins exposés intégralement au soleil. Peu après leur départ, un beau jeune homme brun aux attributs généreux, sortit de la dune et nous proposa de nous enduire de crème solaire. Sans pudeur, Béatrice lui répondit positivement si bien que notre homme se plaça à genoux entre ses jambes écartées, versa la crème blanche sur le dos et les cuisses et commença à la masser progressivement de la nuque aux pieds. Je ne retournais sur le dos en soulevant mon buste sur mes avant-bras pour regarder à la fois le massage et nos hommes au loin. De ses paumes, le jeune homme faisait des massages circulaires sur le haut des cuisses que semblaient apprécier Béatrice.

En déridant les fesses, le masseur pouvait distinguer les deux orifices humides de mon amie sur lesquels ses doigts se faisaient plus pressants.

Il enfonça son pouce dans l'anus et fit tourner son index dans la chatte provoquant ainsi quelques soupirs prononcés de Béatrice. Son regard croisa le mien et il se plaça à genoux entre mes cuisses repliées. Son membre bandait par l'excitation du massage. Sans se soucier du voisinage, il me pénétra en soulevant mes jambes par dessus ses épaules. Il alternait des va-et-vient lents et rapides, technique que j'apprécie chez un inconnu. Ses couilles battaient contre mon fessier tandis que je lui mordillai sa poitrine en surveillant d'un oeil nos hommes qui poursuivaient leur promenade le long du rivage. Il se retira et éjacula sur mon nombril ; puis il fit pénétrer sous ma peau son sperme, véritable crème de jouvence et repartit subitement en nous souriant.

Béatrice me proposa de l'accompagner prendre un bain. En rejoignant l'océan, nous vîmes quelques tendres attouchements entre des couples esseulés. Les vagues de la marée montante fouettaient et revivifiaient nos corps. Face à face avec nos chevelures mouillées, nous sautions ensemble quand les vagues arrivaient à notre hauteur. Nous nous embrassions en goûtant réciproquement l'eau salée sur nos lèvres. Puis nous rejoignîmes nos hommes sur la plage en secouant nos cheveux en leur direction. Un bref regard sur leurs membres nous révéla leur excitation provenant du spectacle des corps nus sous leurs yeux. " Allez- vous baigner comme nous" leur dit Béatrice "cela vous fera du bien" ajouta-t-elle. Sans resquiller, ils se dirigèrent vers l'océan d'un pas accéléré tant le sable était chaud sous leurs pieds.

Assises, les bras tendus en arrière nous les regardions s'éloigner en dissertant sur leur morphologie. Un petit vent séchait agréablement nos poitrines et nos chevelures qui tombaient sur nos dos. Nous vîmes se rapprocher sur la plage, un vendeur de glaces qui hélait les touristes pour signaler son passage. Béatrice leva le bras pour indiquer son intérêt et le vendeur fut vite près de nous ouvrant sa glacière pleine de bâtonnets de glaces à l'eau et au chocolat. "Quel parfum souhaitez-vous, jolies demoiselles ?" nous dit-il ? Mon amie lui répondit " A la pistache ? Et toi que prendras-tu ajouta-t-elle en me faisant un clin d'œil ? "Je fixai mon regard sur le slip du vendeur et rétorquai "Un bâton au chocolat". Il sourit et me remit un Magum ; nous réglâmes et il s'en alla.

Alors que nous dégustions nos glaces, un célibataire s'installa près de nous. Il s'allongea sur le ventre à même le sable à 3 m de nous, souleva sa tête et regarda nos entres jambes. Ce voyeur impromptu nous amusait et pour rendre sa vue plus intéressante nous replions de temps à autres nos genoux sur nos poitrines. Béatrice me dit qu'il devait bander avec une queue plantée dans le sable. Pour exciter encore davantage notre voyeur, nous ouvrions nos chattes avec nos doigts lui offrant ainsi une vision profonde. Mais trop timide, il n'osait nous parler aussi resta-t-il ébahi et prit la poudre d'escampette quand nos maris revinrent du bain. Je demandai à Sébastien et Marc, s'ils avaient fait des conquêtes durant leur ballade précédente. Mon mari nous expliqua avoir rencontré un couple de hollandais qui recherchait un club pour s'amuser cette nuit. A toutes fins utiles, il les avait invité à prendre l'apéritif vers 20h00 à la maison pour faire plus ample connaissance….