Gerard, Premiere Rencontre
Jai 36 ans, je nen ai pas lair, mais je suis pédé. Jaime les hommes, être et coucher avec. Jaime les odeurs de mâles actifs et le goût de la bite...
Cela fait maintenant six ans que cela dure. Je nai pas un physique extraordinaire : 1,67m pour 72 kg. Un peu de bide donc et des poignées damour. Châtain aux yeux bleus et poilu. Mais je plais quand même, et il marrive parfois de me faire draguer. Et si le mec me plaît et que je suis libre, je dis bingo. Je ne laisse que rarement passer une occasion. Javoue que je suis un mec facile : pas besoin dêtre amoureux un tant soit peu pour coucher. Mais hors ghetto, ce nest pas toujours facile de trouver un mec. Surtout depuis mon déménagement il y a trois ans. Je suis resté dans la même ville, mais jai perdu le contact avec mes potes davant. On se retrouvait régulièrement dans des soirées gays, ou en tout cas, entres gays. Les relations et rencontres ne manquaient donc pas.
Par lassitude, jai pris mes distances, rompus le contact. Pendant un temps, les relations se sont faites plus rares. Jusquau jour où je me suis décidé à passer une annonce sur Internet. Lannonce était simple : « mec 35 ans, passif, cherche actif pour plan, rencontre, relation
.. ». Cela ma valu plusieurs rencontres, plusieurs lapins aussi. Quand un mec me contactait, je lui répondais simplement que javais envie de me faire baiser. Je répondais aussi parfois à certaines annonces. Je ciblais de préférence des hommes de plus de quarante ans. Je les trouve plus séduisants, plus attirants, plus intéressants. Et au lit, sils sont actifs, ils savent sy prendre avec les passifs comme moi. Jai donc rencontré pas mal de mecs via Internet. Cétait parfois banal, parfois génial. Pendant deux ans, ma sexualité a dépendu dInternet. Ce que jaimais dans ce type de rencontres, cest leur côté furtif. Jaime bien les parties de baises furtives, celles où je me laisse baiser par un mec croisé dans un bar, sur Internet, sans rien savoir de lui.
Ces deux dernières années, deux rencontres mont marquées. La première, celle avec Gérard. Il y a deux ans de cela. Cela sest passé un vendredi soir. Je rentrais chez moi après le boulot en prenant le métro. Il était assez tard, vers 22h00 environ. Jétais fatigué, nous venions de terminer un lourd dossier assez important. Il y avait peu de monde dans le wagon. Japerçus néanmoins un homme plutôt séduisant. Dans la quarantaine, pas très grand, les cheveux grisonnant. Je jetais un il dans sa direction, dans lespoir dattirer son attention. Cest que je partagerais bien un moment avec lui. Je commençais à sentir ma queue frétiller dans mon pantalon rien quà chercher à deviner la taille de sa queue ! Je suis timide de nature, et déjà dans un endroit gay, je nose pas trop draguer un mec même si je sais pertinemment quil est au minimum bisexuel. Alors là, dans le métro, ce nétait même pas la peine de penser une seconde que je pourrais draguer un mec aussi attirant puisse t-il être. Et lui, attirant létait vraiment dans son costume cravate ! Cet homme me plaisait vraiment.
Il me fallait prendre une correspondance pour arriver chez moi. Lui aussi, et je lai senti me suivre dans les couloirs du métro jusquau quai suivant. Il sest assis près de moi une fois installé dans le second métro alors quil ne manquait pas de place. Jen étais légèrement troublé. Il a engagé la conversation. Il sappelait Gérard et était divorcé. Il fut surpris quand je lui ai annoncé que jétais célibataire et même pas en couple à mon age. Avant de nous quitter il ma laissé sa carte en me demandant de lappeler quand je voulais. En insistant bien sur le quand je voulais. « Si tu temmerdes, nhésite surtout pas.
Arrivé chez moi, jai ressorti sa carte et me suis branlé comme un malade. Cet homme, Gérard, avait un charme fou et le peu de temps que nous avons passé ensembles ont suffit pour quil mhypnotise. Je naffiche pas mon homosexualité, mais ne la refoule pas. Le sourire que je lui avais envoyé au moment où il avait sa main sur ma cuisse devait lui en dire long. Et en rentrant chez moi, javais une très nette envie de cet homme. Comme rarement jai désiré un homme !
Jai pris une douche, avalé un plat de pâtes vite fait. Javais en mangeant sa carte sous les yeux. Je mourrais denvie de lappeler ; mais nosais pas. Habituellement, quand jai la chance de me faire draguer par un homme ou seulement de rencontrer un homme qui me plaît, ça doit se faire de suite. Sinon, je passe à autre chose. Mais là, cétait différent. Loccasion était trop belle, je ne pouvais la louper. Jai pris mon téléphone et ai composé son numéro.
- Gérard ?
- Oui ?
- Cest Christophe. Tu mas donné ton tel tout à lheure dans le métro
- Ah oui. Déjà rentré ?
- Oui. Toi aussi on dirait.
- Oui. Tu es seul ?
- Oui.
- Moi aussi. Alors tu temmerdes déjà ?
- Oui. Je viens de manger, je nai pas sommeil.
Sensuivit une discussion banale. Mais il semblait enchanté de mon appel. Puis, est devenue plus « sérieuse ».
- Alors comment ça se fait que tu vis encore seul à ton âge ?
- Disons que je nai pas trouvé ma moitié. Et puis, ça me permet de rester libre.
- Cest important dêtre libre.
- Oui.
- Comme ça tu peux draguer qui tu veux !
- Exactement.
- Dis moi, je peux te poser une question indiscrète ?
- Oui, vas-y.
- Tu es gay ?
- Oui.
Jai répondu à sa question sans hésitation aucune.
- Depuis mon divorce, je ne baise quasiment quavec des mecs.
- Par souvenir pour ta femme ou par plaisir ?
- Par plaisir
. Rien ne vaut le cul dun mec pour que je prenne mon pied. Et ton cul a lair pas mal.
- Merci
.
- De rien
. Jétais au début de lexcitation quand je marchais derrière toi tout à lheure.
- Cest flatteur.
- Cest la vérité. Avec des fesses pareil, tu as du ten prendre des coups dans le cul ?
- Quelques-unes un oui, répondis-je en souriant.
- Et tu aimes ça ?
- Oui.
- Dis le moi avec tes mots à toi que tu aimes ça. Que tu aimes les mecs !
Jai hésité un bref instant, pensant sur le coup quil se contenterait dun dialogue au téléphone. Mais je lui ai répondu sans gêne :
- Jaime les mecs, jaime les odeurs de mâles actifs et le goût de la bite. Me faire défoncer les fesses ; recevoir un coup de bite dans le cul.
- Moi je suis un homme. 46 ans, poilu, viril actif qui cherche un mec plus jeune pour méclater sexuellement. Je reçois sans tabous.
- On devrait pouvoir sentendre. Jai envie de toi.
- Tu habites où ?
- Dans le 12ème. Tu viens ?
- Non, cest toi qui viens. Je suis à Nation.
- Jatt un taxi et jarrive.
- Ok. Ramène tes fesses. Je tattends. Tu ne vas pas tennuyer, je vais bien moccuper de toi.
Sur ce, il me file son adresse. Excité comme une puce, jenfile un jean assez moulant, juste ce quil faut, avec un string dessous. Jétais complètement sous le charme de cet homme qui semblait sûr de lui. Dans le taxi, lexcitation montait. Ce nétait pas la première fois que je me rendais chez un mec pour me faire sauter. Mais, là, lhomme en question, Gérard, me montait au cerveau. Javais eu envie de lui dès que je lavais vu dans le métro. Et comme lui ne semblai pas en reste ! Je navais aucune idée de ce qui mattendait, mais je comptais bien en profiter. Et me sentais prêt à moffrir à lui.
Arrivé en bas de son immeuble, je sonne à linterphone et il me guide jusquà sa porte.
- Bonjour
.
- Vas y rentre. Ne fais pas ta timide. Fous toi à poil. Tu es venu pour ça non ?
- Oui.
Je me fous à poil, ne gardant que mon string. Quand il la vu, il ma demandé de le garder en disant que « ça, cest bien le signe dune salope ». Je me suis approché de lui. Aussitôt, il matt par les fesses, les tâtent et me les malaxe et joue avec la ficelle de mon string entre mes fesses. Je me sens alors comme un jeune puceau qui va se faire ramoner pour la première fois.
- Ça remonte à quand ta dernière fois ?
- Deux semaines environ
.
- Cétait bien ?
- Banal
.
- Ok
Tu me plais toi aussi. Ta gueule et ton corps mexcitent. Mais je te préviens : cest moi qui prends les choses en main. Ok ?
- Daccord.
- Avant que je te déchire le fion, tu vas me pomper. Tu vas me montrer ce que tu sais faire.
Je suis tombé à genoux, à ses pieds. Jai posé mes mains contre ses cuisses, posé mes lèvres contre son gros paquet déjà en érection. Jai mordillé sa bosse à travers son caleçon, lui caressant en même temps le haut des cuisses. Ny tenant plus, jai sortis le morceau. Et là, mes craintes sur son âge se sont envolées : un queue de vingt centimètres, déjà bien raide et bien épaisse, dans les 6 centimètres de diamètre. Un beau gland bien dégagé, et des couilles bien velues comme je les aime ! Un braquemart, que dis-je, une vraie matraque, un démonte cul comme on en rencontre rarement.
Après deux ou trois coups de langue sur son gland, je me suis enfourné sa bite raide et dure comme un esquimau. Sa bite chaude et dure memplit la bouche, me la distend. Il me laisse faire, je le sens se caler au fond du canapé en lançant un « - Oui
Voilà
Comme ça ! Hum
». Je prends soin, malgré sa queue énorme, de le pomper à fond de gorge. A ma surprise, jarrive à en avaler un bon morceau. Je reprends de temps à autre ma respiration en lui léchant les couilles, avant de repartir de plus belle. Ma bouche shabitue à sa queue. Je bande à fond dans mon string qui mécrase la bite. Je le pompe comme ça jusquà ce quil me jouisse à pleine bouche. Jai tout avalé, jadore le foutre, et Gérard était généreux de ce point de côté-là, à limage de sa queue.
Après lui avoir bien essuyé le gland, je me relève et viens masseoir sur lui. Il en a profité pour me retirer mon string.
- Tu suces à merveille !
- Merci
. Tu me plais tellement
. Jai tellement envie de toi
.
- Toi aussi tu me plait ! Jespère que ton petit cul est aussi bon que ta bouche.
- Tu me diras ça. Jai envie de te donner un maximum de plaisirs.
- Jy compte bien. Et pour ça, tu dois être une véritable salope. Ma salope.
Il voulait que je sois sa salope, sa chienne
. Jallais lêtre. Je ne me sentais pas pouvoir lui refuser quoique ce soit. Je ne le connais pas, il pourrait être mon père, mais je lécoute. Plus que sa queue, cétait cet homme que je désirais, il mhypnotisait et bientôt il allait me posséder comme jamais un homme ne ma possédé. Alors je lui réponds :
- Je suis ta salope. Tant que tu voudras de moi.
Sur ce, il ma penché en arrière sur le canapé sallongeant sur moi. Il a posé ses lèvres contre les miennes, sa langue a lentrée de ma bouche et sest enroulée autour de la mienne. Un long baiser sen est suivi. Je lui caressai le bas du dos, les fesses, mes jambes lencerclaient. Jétais aux anges, me laissait complètement aller. Sa langue dans ma bouche autour de la mienne, son corps nu contre le mien, tout contribuait à me donner un maximum de sensations. Il a libéré ma bouche pour membrasser, me mordiller le cou. Une zone assez érogène chez moi, dautant quil me le mordillait franchement. Il est descendu à hauteur de mes tétons. Il sest levé, « ne bouge pas » et est revenu avec un rasoir et du à raser et il sest mis à me raser le torse ! Jen fus surpris, mais ne dis rien. Une fois sa besogne terminée, sans un mot, il est revenu sur moi, mécrasant de tout son poids.
- La prochaine fois, veille à avoir un torse nickel !
- Oui Chéri
.
Il a commencé à me lécher les tétons, les mordiller, les étirer. Je les ai très sensibles, je penchais la tête en arrière. Il y allait franchement, provoquant un raz de marée de sensations que je navais encore jamais ressentis. Etait-ce du plaisir ou de la douleur ? Les deux
? Je le laissais faire, ne pouvant nier le plaisir ressentis malgré la douleur. Je lui susurrais même des petits « oui » de satisfactions. Il a fini par lâcher mes seins pour une nouvelle pelle langoureuse. A ce moment là, jai compris que le temps passé avec Gérard ne ressemblerait à rien de ce que javais connu jusqualors. Javais bien saisi quil voulait que je sois sa pédale, sa pute, sa salope et jacceptais de lêtre. Après tout, être salope, je savais faire. Mais Gérard rajoutait quelque chose : il voulait me dominer, et il me dominait. Et ça aussi, jétais prêt à laccepter. Car plus quune envie de mec et de me faire mettre ce soir là, je désirais Gérard pleinement. Il me montait au cerveau, javais vraiment envie de me donner à lui. De mabandonner. Sa façon de membrasser me disait que lui aussi me désirait vraiment.
Il se leva, me demanda de le suivre et mentraîna dans les toilettes. Il me fit mettre à genoux et se saisit de sa queue, me demandant de ne pas bouger et la coince entre mes lèvres.
- Tu laimes ma queue hein ?
- Oui
. Répondis-je en caressant son gland avec ma langue.
Cest là que jai perdu le peu de dignité qui me restait. Dun coup je sens un léger chaud dans ma bouche. Il na pas jouis pourtant ! Javale ce quil me donne. Dun coup je toussote et marque un court moment un sentiment de révulsion. Mais quand je comprends quil me pisse dessus, je me contiens.
- Hum
tu aimes ça hein ?
Je suis tellement excité par cette situation assez humiliante, par ce jet chaud qui me coule dans la bouche, je lui dis oui de la tête. Je veux le faire jouir de tous ses membres. Sa queue ne bouge plus, elle reste immobile entre mes lèvres. Je laisse le liquide chaud coulé dans ma bouche. Je lavale tant bien que mal, sa pisse me coule aussi sur le visage et dans le cou telle une caresse. Cest humiliant, mais jaime ça. Je sens quil prend vraiment possession des opérations, et que je ne peux dire non. Jaime cette situation qui mexcite de plus en plus ! Je veux quil se serve de moi comme un jouet. Il continue à pisser comme si de rien nétait. Je suis excité comme rarement je ne lavais été auparavant. . Je suis dans une telle osmose que je suis prêt à tout accepter de lui, ses envies, ses fantasmes, ses délires
Je ne sais pas à quoi je pense, mais jadore sa queue. Une fois terminé, il me lance :
- Lave toi le visage et va tallonger sur mon lit.
Je me suis lavé, et ai pris la direction de sa chambre attenant au salon. Quand je suis arrivé au salon, il était devant son ordinateur. Mais jai pris place sur son lit sans un mot. Il ma fait attendre de très longues minutes avant darriver. Je lattendais impatiemment allongé sur son lit complètement à poil. Javais hâte quil me rejoigne, mais même trouvant le temps long, je nosais lappeler. Pourtant javais envie de lui crier « Quest ce que tu fous bordel ? » Mais je nosais pas. Je savais quil viendrait. Et quil menculerait. Jen avais tellement envie ! Je voulais le sentir en moi, lavoir près de moi
. Je navais rarement rencontré un mec avec un sexe du calibre de celui de Gérard. Mais cela ne me faisait pas peur. Bien au contraire.
Il a fini par arriver en se frottant les mains.
- Je ne tai pas trop fais attendre ?
- Si un peu.... jai tellement envie dêtre près de toi...
- Toccupe.... cest moi qui décide quand tu me pompes et quand je t encule. Quand et comment. Ok ?
- Daccord.....
- Alors quest ce que tu attends pour te foutre en position pour que je puisse tengrosser ?
Sans un mot, je me retourne et me fous à quatre pattes sur son lit. Jécarte bien les cuisses et relève bien le cul. Jadore me retrouver dans cette situation un brin humiliante : être à quatre pattes, à poil prêt à me faire enculer par un mec. Surtout quand le mec en question va me prendre pour la première fois : comment va t-il sy prendre ?
Il a pris place sur le lit derrière moi. Il sest collé de suite à moi, prenant soin de bien appuyer sa queue toujours raide contre mes fesses. Il a posé ses mains sur mon dos et jai compris pourquoi il se frottait les mains en arrivant dans la chambre : il sétait enduit les mains dune huile.... Je frissonnais de plaisir rien quau toucher de ses mains sur ma peau.
- Tu la sens ma grosse queue qui va texploser ton petit cul de pédé mon mignon ?
- Oui, je la sens....
- Je vais te baiser au jus. Ok ?
- Daccord Chéri...
- Ça, cest une réponse de salope. Jaime.
- Je suis une salope. Ta salope.
Il ma massé légèrement le bas du dos, puis ses mains sont descendues jusquà mes fesses. Il me les a massées fermement quelques secondes. Puis dun coup, sans prévenir, jai senti un grand coup sabattre sur mes fesses. Puis deux. Je tressautais, mais ne protestais pas. Il me claquait les fesses, il a fini par madministrer une véritable fessée.
- Cest pour calmer ton impatience et te rappeler quici, cest moi qui décide.
Comme lorsquil sétait attaqué à mes seins tout à lheure, il minfligeait un nouveau supplice, contre mes fesses cette fois ci. Je ne bronchas toujours pas, le laissait faire. On mavait déjà claqué les fesses et jai toujours aimé ça. Mais, là, avec Gérard, cétait le cran au-dessus. Je grimaçais à chaque fois que sa main sabattait sur mes fesses en feu, la douleur était certaine. Mais une douleur qui laissait place au plaisir. Sensation étrange, mais réelle. Mais la encore, le plaisir lemportait sur la douleur. Plaisir de la sensation physique, celle de se recevoir ce contact sur mes fesses. Celle aussi dêtre soumis et dêtre considéré de la sorte. Il voulait que je sois sa pute, sa salope, sa chienne. Et ça mallait. Quand il arrête le supplice, ce fut pour pointer un doigt contre mon trou. Son doigt huilé est rentré sans sourciller. Il la bien fait vriller, puis il a rentré deux doigts.
- Tu as un sacré cul, tu me fais triquer !
- Merci.... Mon cul est à toi.... Je suis à toi.
Il ma doigté longuement, plaçant trois, puis quatre doigts dans mon cul. Javais le droit à une dilatation digne de ce nom. Il me massait carrément de lintérieur. Il a retiré ses doigts, et de la langue, il ma léché les poils du cul, du scrotum jusquau bas du dos. Rarement javais eu droit à une attention aussi sexy de la part dun de mes partenaires. Cest aussi pour ça que jai une très nette préférence pour les hommes plus âgés que moi. Ils savent plus que quiconque comment rendre fou les mecs bien passifs comme moi. Avec Gérard jétais servi !
- Tends moi ta chatte !
Il y en a à qui ces mots ne plaisent pas. Moi, cest tout le contraire. Ça me rend fou ! Je relève bien le cul, écarte les cuisses. Mon fion lubrifié est une cible pour sa queue. Il pointe son gland contre ma rosace, une main plantée dans mes fesses douloureuses. Son gland a violé lentré de mon cul sans sourciller. Il a donné un premier coup de rein faisant rentrer sa queue en moi. Il a commencé par une pénétration, sensuelle, ses mains dans mes fesses. Quand sa queue a commencé à coulisser dans mon cul, là, il a planté ses doigts dans les hanches et donné un coup sec et violent. Je nai pu mempêcher de pousser un cri, en même temps que je comprenais que cette fois sa bite était vraiment dans mon cul. Il sest mis a menculer comme un forcené pendant de très longues minutes, ses râles de plaisirs se mêlaient à mes couinements. Je me suis retenu pour ne pas hurler comme une chienne en chaleur. Putain, je sens maintenant toute sa queue enfourrée dans mon cul, mon pauvre petit anus. Je me resserre au maximum comme pour l. Je me déhanche pour le cajoler. Et toi... lui, continuait de progresser, il continue ses coups de hanches, qui se font de plus en plus violent. Ce furent de véritables coups de boutoirs. Je sens son bassin contre mes fesses, tout mon corps est agité sous tes coups répétés. Sa bite bat la cadence entre mes cuisses. Mon intimité anale me brûle, je suis déchiré, distendu, écartelé par sa chair conquérante. Ses "Han !" De bûcheron qui accompagnaient chacun de ses coups de rein accompagnaient mes couinements à peine dissimulés. Gérard fait parti de ces mecs endurant. De fait, je ne sais combien de temps à durer cette sodomie. Mais cela ma paru durer une éternité ! Il na ralenti la cadence que pour me gicler au fond de mes entrailles. Le plaisir en fut indescriptible : il n y a rien de tel quune baise au jus ! Quand il se retire, je mécroule sur le lit, épuisé. Mais Gérard, haletant, me remet à quatre pattes et se mets à me bouffer le cul. Sa langue me pénètre carrément mon trou béant et gluant et me procure de nouveau un plaisir incommensurable. Il fini par venir sallonger près de moi et on se pelle nos corps collés lun contre lautre.
- Tu es vraiment une sacrée salope, jadore ça !
- Jadore comment tu me baises. Alors, je suis ta salope. Et jaime être ta salope.
- Parfait.
Quelques minutes plus tard, nous avons fini par prendre une douche. Sous la douche, Gérard ma à lui tailler une nouvelle pipe. Son attitude était toujours autoritaire : il ma à me mettre à genoux et ma foutu sa queue dans ma bouche. Je lai pompé docilement jusquà recueillir toute sa semence au fond de ma gorge. Nous avons ensuite mangé un morceau vite fait.
Il était trois heures du matin, mais Gérard en voulait encore. Il sest planté devant moi et ma fait mallonger sur le dos sur la table du salon. Il en voulait encore, et je navais rien contre ! Quand il a pris place entre mes cuisses, jai instinctivement écarté et relevé les cuisses quil ma aidé à poser sur ses épaules. Il ma attiré vers lui en me tenant par les hanches et en rien de temps, je me suis retrouvé empalé sur sa queue dun coup sec. Je me suis de nouveau offert à lui. Il ma limé furieusement en me regardant. Je magrippais comme je pouvais, ne pouvant cette fois réprimer mes couinements de femelle. Il sest arrêté un moment pour se pencher sur moi. Je lai enlacé et il ma embrassé. Javais sa grosse queue au fond de mon cul, mes cuisses serrées contre ses fesses et sa langue se tortillait autour de la mienne. Nous ne faisions plus quun. Il se redressa et se remis à me niquer de plus belle. Au moment où il allait jouir, il a retiré sa queue de mon cul et ma attrapé fermement pour mallonger sur le sol. Il est venu sasseoir sur mon torse mécrasant de tout son poids. Il a pointé son gland au niveau de ma bouche et sest branlé vigoureusement. En un rien de temps, son jus minonda les lèvres, le visage, la gorge. Coulée de crème onctueuse et abondante que jai avalé avec ferveur. Après lui avoir bien essuyé la queue, il a laissé son gland au-dessus de ma bouche.
- Ouvre la bouche, jai envie de pisser ma salope.
Jai gardé ma bouche ouverte et il sest mis à me pisser dedans me prenant pour un urinoir. Javalais autant que possible sa pisse. Je me sentais humilié, rabaissé, mais ça mexcitait et jaimais cette situation. Quand il eu fini de se soulage, il sest assis de tout son poids sur mon torse et ma giflé le visage avec sa queue. Il a fini par se relever pour me demander daller faire un brin de toilette. Lui, est allé se coucher. Il dormait quand je lai rejoint. Je me suis glissé dans son lit et me suis lové contre lui pour mendormir immédiatement.
Il ma demandé de le pomper sitôt réveillés. Jai pris place entre ses cuisses et me suis occupé de sa queue avec ferveur pendant quil me coinçait la tête avec ses cuisses. Nous avons pris une douche, pris un petit déjeuner. Il ma expliqué quil avait à faire ce week-end et que je ne pourrais rester avec lui. Je lui ai laissé mon numéro de téléphone à sa demande.
- Quas tu penser de cette nuit passée avec moi ?
- Géniale. Jai rarement ressentis autant de plaisir. Et rarement jouis autant.
- Ça prouve que tu es une bonne salope. Et jaime les salopes de ton genre. Ta gueule me plaît, ton corps mexcite. Bref, tu me plais.
- Si je veux rebaiser avec toi, cest moi qui tappelle. Ok ?
- Daccord.
- Si je tappelle, tu ne devras pas refuser, sinon, je serais très déçu.
- Je ne pense pas que je refuserais de te revoir.
- Très bien ! Et si on rebaise ensemble, tu devras rester aussi salope que cette nuit. Je taime bien, mais il ne faudra pas me décevoir !
- Je ferais en sorte de ne jamais te décevoir.
- Si tu restes aussi docile, ce sera parfait !
- Je ferais tout pour continuer de moffrir à toi sans retenues.
- Tu as tout compris.
Sans me rendre compte, avec cette discussion, nous venions de poser les bases et le cadre de notre relation à venir. Nous nous sommes embrassés et habillés. Jai du le pomper une dernière fois avant de partir. Nous sommes partis de chez lui ensemble. En bas de son immeuble nous avons croisés un de ses voisins. Pendant que Gérard échangeait quelques mots avec lui, celui-ci me dévisageait des pieds à la tête. En repartant, Gérard me dit :
- Il sait que tu es une bonne tapette.
- Ah oui ?
- Oui. Il sait quun mec qui repart de chez moi au matin, cest que cest une pédale. Ce que tu es non ?
- Ce que je suis. Oui.
Nous avons pris un café ensembles sur une terrasse. Nous avons discutés de tout et de rien. Avant de nous quitter, il ma demandé mes horaires de travails. Je suis donc rentré chez moi, lodeur de sa queue et de son foutre plein la bouche. Le fion bien dilaté, béant et gluant. La raie bien humide, je sentais encore son foutre dans mes entrailles.
Javais passé une nuit fabuleuse. Avec un mec qui mavait attiré dès que je lai vu dans ce métro. Et je voulais remettre ça au plus vite. Javais déjà ressentis cette sensation de manque, cette sensation que dêtre en chaleur et davoir envie dun mec. De nimporte quel mec pour assouvir mon désir de sexe. Mais là, cest de Gérard dont javais envie. Envie dêtre avec lui, de parler avec lui, de me donner à lui. Ce nétait pas que sexuel, cétait un peu plus que ça. Jespérais donc quil me rappellerait. Et vite. En attendant, je me suis couché. Comblé et exténué.
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