Jocelyne 5 (Partie 1)
En me raccompagnant à mon domicile et avant de me quitter après cette folle soirée en compagnie de Jean-Pierre, Bertrand avait cru bon de me préciser :
"Surtout n'oublie pas d'aller raconter à Guy comment tu t'es conduite en petite salope
."
Je laissais passer le samedi et allais le voir le dimanche. De toute façon j'avais promis de lui consacrer ma semaine. Donc j'irais aussi le mercredi en suivant pour son "petit repassage". Je me fit belle et décidais que cette fois je serais nue, entièrement nue comme si je voulais qu'il sache que j'étais totalement offerte. Un manteau et hop, je traversais la rue, impatiente de me retrouver avec mon amant. Enfin c'est ainsi que je le considérais bien qu'il fut en fait plutôt une sorte d'initiateur immoral. Je sonnais, ôtais mon manteau et fit irruption juste avec mes chaussures dans son salon ou il m'attendait. Après m'avoir salué, il me dit :
"J'ai appris que tu t'étais conduite en véritable salope, viens vite me raconter tout cela !"
Bertrand avait déjà fait son rapport
. Monsieur Guy était friand de mes récits et je devais les lui conter dans le moindre détail, en y ajoutant ce que je ressentais. Cela l'excitait
. Il me masturba pendant mon histoire et en attendis la fin pour me faire jouir. Je le suçais ensuite avec ferveur. Nous visionnâmes ensuite un DVD porno. Décidemment les actrices étaient de super pro
vu la taille de ce qu'elles se faisaient enfiler. Bertrand aurait juste fait l'affaire
.
Il m'offrit ensuite le vibromasseur qu'il m'avait promis. En fait, il m'en offrit deux, dont l'un que j'emmenais chez moi pour "me faire la conversation toute seule" en semaine. Deux belles bêtes figurant des sexes masculins dans les moindres particularités, vibrations en plus. Evidemment, je dus en inaugurer un
jusqu'à l'orgasme
. Il n'était que moyennement en forme et je le laissais se reposer. Il était vrai que sa santé connaissait des hauts et des bas. Mais à l'entendre dire, les relations que nous développions lui étaient salutaires.
Je revins le mercredi. Il semblait plus gaillard. Après mon repassage et alors que je me dirigeais vers les toilettes (ou désormais depuis l'autre jour, je laissais la porte ouverte lui permettant de me reluquer) il m'arrêta. Il eut une nouvelle exigence. A partir de ce jour je devais uriner devant lui, dans un grand saladier de verre, accroupie dans son salon et si possible les cuisses bien écartées. Un peu confuse je m'exécutais quand même
. Pourvu que ses penchants n'aillent pas plus loin. Quand bien même
je n'étais pas du tout sûre de lui refuser quoique ce soit. Nous visionnâmes ensuite un film. Enfin si l'on peut appeler cela ainsi. C'était un film amateur gravé sur CD. Cette fois pas d'histoire, aucun scénario prétexte aux scènes érotiques. Ce n'était que du hard très hard. D'abord une femme seule puis avec un, puis deux et enfin trois partenaires qui s'ébattaient à qui mieux mieux. Solo, double, triple ils lui firent tout. Je me rendis compte que finalement je n'étais pas très loin d'avoir fait la même chose
restait le pas à franchir de se faire filmer
. C'était une autre histoire !
Ce film, pendant lequel nous avions échangé baisers et caresse nous avait bien enflammé. Nous montâmes dans sa chambre ou après un petit soixante neuf (Monsieur Guy avait toujours une langue aussi fabuleuse) il me posséda. Il ne me manqua que de très peu. La prochaine fois je l'exciterais tellement qu'il me ferait jouir, parole de Jocelyne ! Vu mes plans, ce fut une parfaite coïncidence lorsqu'il me demanda si je voulais venir déjeuner avec lui le dimanche midi et passer ensuite l'après midi avec lui. Minaudant, je lui demandais en qu'elle tenue il souhaitait que je fus. Il me laissa juge et s'en remis à mon bon goût
.
Décidée à aller jusqu'au bout et négligeant l'affluence des week-end, je pris rendez-vous chez moi coiffeur le samedi matin. Et j'en ressortis les cheveux éclaircis par des mèches alternant plusieurs nuances de blond. Pas mal
en vérité pas mal du tout
cela m'allait très bien.
Après une nuit maussade, ce fut le dimanche
le jour ou j'assècherais les burnes de Monsieur Guy
. Donc blonde, savamment maquillée, porte-jarretelles et bas résilles, talons aiguilles
très catin en somme, je me rendis chez mon hôte. En me découvrant il fut radieux. Il me trouva superbe et ses éloges me firent chaud au cur
et au minou. Il avait commandé un repas chez le traiteur et nous l'expédiâmes relativement vite. Ce n'était pas vraiment l'objectif du jour même si en terme de gastronomie j'allais sûrement être le plat de résistance de Monsieur Guy. Le bon vin nous avait légèrement grisés et les yeux brillants nous étions prêts. Monsieur Guy à me faire subir tous ses égarements pervers et moi à les endurer même les plus excessives. Je m'éclipsais à la salle d'eau pour me remaquiller, j'étais prête. Pour commencer, je dus lui refaire un démonstration de ce je savais faire avec le vibromasseur. Je m'installais bien en face de lui sur un fauteuil par dessus les accoudoirs duquel je passais les jambes. Du bout de l'instrument je me caressais le clitoris, puis je léchais l'engin et avec lenteur je me l'introduisis, mis la vibration en marche et me le fit aller et venir, le ressortant de temps à autre pour un petit coup de langue que je voulais le plus allumeur possible. Monsieur Guy avait retiré ses vêtements également et mon exhibition le faisait bander. Après le coté face, il souhaita que je lui fasse voir ce que je savais faire du coté pile. Le substitut de plastique était imposant, j'hésitais. Puis bravement je me mis en devoir d'abord de m'élargir puis de me l'enfoncer. "Qu'importe la peine, j'y arriverais" pensais-je. Tout d'un coup le sphincter céda et je le sentis glisser. Je ne pus réprimer un soupir d'aise constatant une fois encore que, manifestement, j'adorais avoir quelque chose enfoncé en cet endroit.
Rapidement, je voulus reprendre, si je puis dire, les choses en mains. Je me laissais tomber à ses pieds et l'embouchais. Immédiatement je la sentis grossir. Je la rentrais entièrement dans ma bouche pour la pomper, puis je léchais longuement, et la repris en serrant et desserrant mes lèvres, puis en faisant des longs va et vient. J'aspirais sa bite doucement en serrant mes joua, elle s'enfonça, délicatement... au fond de ma gorge et la gardais un moment ainsi. Je la laissais ensuite s'échapper. Puis du bout de ma langue je lui chatouillais l'extrémité du gland et son méat suintant, puis se fut le tour du dessous de sa queue. Je le regardais avec un regard plein de vice et lui susurrais :
" Je suis ta petite pute tant que tu voudra de moi..."
Il ne put rien répondre, sinon gémir, je venais de le reprendre contre ma luette. Tout en caressant ce beau pieu je m'intéressais ensuite à ses couilles qui se retrouvèrent bientôt l'une après l'autre dans ma bouche. Je les repris en main. Ma bouche était réservée à son membre qui perdait quelques gouttes sur ma langue. Si je voulais qu'il soit bientôt à nouveau disponible, il ne fallait l'épuiser. Je me mis à le polir. Il se mit à jurer et je fus engluée de sa sauce salée.
Tout réjouis il me félicita sur mes progrès en me rappelant qu'il avait, à juste titre, perçu mes excellentes dispositions pour les cochonneries. Cochonneries !... il en fut encore question. Après que j'eus fait mon petit pipi devant lui, j'eu interdiction de m'essuyer. Il m'envoya m'allonger sur la table de salle à manger pour s'en occuper lui même
avec sa langue ! J'étais cette fois très gênée, mais lui semblait y prendre tellement plaisir que je me laissai emporter. De sentir son souffle sur mes cuisses, sa langue sur mon clito et tout mon entrejambe je mouillais immédiatement. Je me mis à gémir et à me tortiller comme une vraie chienne pour mieux m'enfoncer sur sa langue....
Et là il eut cette remarque que je trouvais incongrue :
"Je suis sûr que tu n'as pas le derrière propre, je vais remédier"
Je croyais qu'il allait me lécher l'anus mais pas du tout. Il me dit
"Ne bouge pas !"
Il alla vers la cuisine et revint quelques après minutes un appareil étrange à la main comme une grosse boule avec un tube au bout. En fait il s'agissait d'une grosse poire à lavement et il comptait m'en administrer un. Très embarrassée, je regimbais un peu. Il insista et
me fit descendre de la table et m'y poser le buste, fesses tournées vers lui. Avec précaution il introduisit la canule dans mon rectum. Après le vibromasseur cela me parut peu de chose. Il fit ensuite pression sur la poire et je sentis le liquide tiède m'envahir. L'impression de se sentir remplie était bizarre. Oui bizarre
mais pas désagréable du tout.
"En attendant, tu vas me branler entre tes gros nénés !"
Il était aussi un adepte de la branlette espagnole, ça je l'avais remarqué mais là cela me parut incongru. Interloquée je le fis quand même et compris. Je l'avais enserré entre les globes et comme je m'agitais, cela précipitait les choses dans mes intestins. Je voulus aller me soulager. Il m'en empêcha me retenant par les cheveux :
"Non
non
attends, ce sera meilleurs
allez !....branle
branle salope
."
Je poursuivis. N'en pouvant plus je le suppliais. Je n'avais qu'une peur me relâcher dans son salon. Il comprit que j'étais à bout et me libéra. C'est presque en courant que je gagnais les toilettes et
(passons les détails). Quand je revins, curieusement un peu fatiguée, il sembla tout guilleret et me tendis un seconde poire. Elle aussi était destinée à mon domicile. Il expliqua que je pourrais en faire usage si d'aventure je pensais que mon petit trou était susceptible de servir afin qu'il soit bien propre et qu'ainsi je puisse prendre en bouche, sans malaises, ce qu'il en ressortirait. Il pensait vraiment à tout
.
Nous eûmes ensuite notre séquence "porno", histoire de nous remettre en piste. Cette fois ci ce fut encore un CD dépourvu d'histoire. Le film était de meilleure qualité et on y voyait une belle femme blonde aux yeux bleus aux prises avec cinq hommes de couleurs bigrement montées. Cela me fit drôle
il me sembla que cette femme ne m'était pas inconnue. J'interrogeais Monsieur Guy, il fut évasif et me dit ne pas savoir de qui il s'agissait. Comme à l'accoutumée ce film lui avait été fourni par Bertrand. J'étais à ce moment là chaude comme la braise et je demandais à Monsieur Guy d'aller faire l'amour. Il fut d'accord
mais avant il avait un petit service à me demander. Je fus méfiante
. Il alla chercher un loup de velours noir qu'il me tendit. Je le pris et machinalement le passais. Il m'expliqua ensuite que l'aide-ménagère qui venait faire son ménage n'avait pas fait les carreaux de façon correcte et il me demanda si je ne voulais pas y remédier. Je compris l'utilité du loup car les seules fenêtres qui selon luis laissaient à désirer étaient celle qui donnaient sur la rue. Je faillis refuser, il était évident qu'un passant allait me voir
même masquée je pouvais peut être, être reconnue. Il insista, je cédais et tirais les rideaux. Franchement les carreaux étaient "nickel". Sa demande n'avait pour but que de me faire mettre à la fenêtre en petite tenue
quel salaud ! Mais j'adorais cette incroyable perversité et je me mis au travail prenant bien soin de faire ballotter mes nichons et remuer mes fesses. Ah il voulait que je l'excite ! Je fus un peu moins fière la seconde en suivant. Un groupe d'adolescent passa et bien sûr me remarqua en train de m'agiter en porte-jarretelles à la fenêtre. J'eus beau leur faire signe de déguerpir. Il restèrent un bon moment à me mater en faisant des gestes obscènes. Cet épisode ménager avait fait empiré mon état, Monsieur Guy, lui bandait comme un cerf. D'autorité, je me retournais, jetais mon masque et empoignait le fauteuil roulant pour le diriger vers le monte charge. Complice de cette emprise Monsieur Guy me laissa faire et nous nous retrouvâmes sur le lit. Il me fit mettre sur coté et lever une jambe. Il se glissa derrière moi et introduisit son membre dans ma chatte surchauffée et inondée. Oh que ça faisait du bien ! Il passa ses bras autour de moi, une de ses mains vrillant mes tétons et l'autre pinçant mon petit bouton. Il se mit à me baiser
vraiment à me baiser
à me baiser comme j'en avais envie
comme si son infirmité avait disparue. J'étais toute chaude. Monsieur Guy m'encouragea :
" Quelle belle garce et quel cul
. Vas-y remue le puisque tu aimes ça !"
Je m'offrais du mieux que je pus, remuais sérieusement des hanches et commençais à gémir
" Dis le
! Dis le que tu es une pute
"
Décidément
lui aussi
. Je murmurais
"Je suis une pute !'
"Plus fort !"
"Je suis une pute ! Je suis TA pute
. Oh ! C´est bon... Ahhh "
C'est alors que le rêve se fit réalité. Ma vie prit un tour radicalement différent de ce qu'elle avait connu jusqu'alors. Rien ne serait plus pareil, je sentais monter en moi la jouissance suprême. Folle de désir je criais :
" Oui... Baise-moi à fond. Vas-y. Je veux te
vous sentir au fond de moi. Vas-y ! Allez-y oooohh Monsieur Guy Oui, ta grosse bite... Hummmm... défoncez-moi, déchirez-moi... Hummmmmmm... C´est boooon.... je jouiiiiiiiiiiis
."
Je tremblais de plaisir, haletante et jouis en criant pendant qu'il continuait à aller et venir en me traitant de roulure, de salope et j'en passe
.
Et
.d'un coup il se cabra et les mains crispées sur mes seins il éjacula puissamment en jets d'une force
. Il cria lui aussi en déversant son foutre au fond ma chatte. FORMIDABLE !... tout bonnement cela avait été formidable
. Mon but était atteint Monsieur Guy m'avait fait jouir
et bien jouir. De son côté cela n'avait pas été mal non plus. Le sperme distillé goutte après goutte de mon sexe encore béant, je tardais à reprendre mon souffle.
Monsieur Guy me confia qu'il ne se rappelait plus depuis combien temps il n'avait pas jouit de telle manière. En plaisantant je lui réaffirmais mon désir d'être une infirmière dévouée. Je luis proposait même de me déguiser en infirmière lors de ma prochaine visite. Il refusa arguant qu'il préférait les actrices de porno. Ça je le savais
et lui promis de faire pute la prochaine fois. "Chiche" fut sa réponse. Prenant alors conscience que, suintant de ma craquette une traînée visqueuse me maculait la cuisse, cette constatation me rappela à la réalité. J'étalais le sperme sur ma cuisse et je voulus prendre la direction des WC. Même assouvi Monsieur Guy avait toujours des idée lubrique en tête. Il me dit de me retenir et nous redescendîmes au salon où il me pria à nouveau d'uriner dans le saladier. Cette fois-ci, ce ne fut pas lui qui me nettoya de sa langue. Je dus m'essuyer de mes doigts et les lécher savourant ce cocktail curieux d'urine et de cyprine mélangées.
Nous parlâmes encore un moment et nous tombâmes d'accord. Nous étions très heureux de nos relations réciproques. Il m'ordonna d'avouer "que j'étais une petite bourgeoise vicieuse en train de découvrir sa vrai nature" à savoir jouir docilement en étant un peu e de jouer un rôle humiliant de pute. Je le fis sans peine en lui indiquant que j'avais bien compris qu'il était l'instigateur de toutes les perversions que Bertrand m'imposait et qu'il me faisait subir par procuration. Que c'était lui le plus vicieux des deux et que c'est pour cela que je voulais le satisfaire en tout alors j'étais franchement daccord pour être débauchée, prêtée, offerte et tout ce qu'il pourrait imaginer. Là j'avais peut-être fait une erreur puisque saisissant la balle au bond il me prévint :
"Ouh !... mais si tu m'accorde se genre de permission
. Je vais en profiter
oui !.... je vais en profiter
largement
. Tu en est consciente ?"
Par bravade je répondis "Oui". En vérité je n'en menais pas large. Après un ultime baiser je regagnais mon "chez moi" que je trouvais un peu tristounet après ce bel après-midi. Comble de désagréments, nous n'avions même parlé de nous revoir.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!