Rencontre Avec Mon Futur Maître 2
Il me tenait par la taille fermement pour que je ne fuis pas et m'embrassait dans le cou pour que les passants pensent que nous étions un couple. Nous avancions vers la sortie mais je ne savais vers quel endroit il m'emmènerait, était-ce un hôtel de luxe, une cave crasseuse, un club libertin ou simplement dans son appartement ?
Il me susurrait des mots tantôt tendres tantôt obscènes : « tu es sexy avec ta robe moulante, j'aime tes formes magnifiques », « tu es une vraie petite salope à te laisser peloter comme ça, par un inconnu », « tu vas me laisser te soumettre comme une petite chienne ». Je répondais à ses mots par des « oui, monsieur », « merci monsieur ». Je n'avais pas le droit de poser de questions où il me punirait sévèrement, si j'étais docile, il me soumettrait avec fermeté mais douceur. Je prendrai du plaisir, il me le promettait mais je lui appartiendrai et serai esclave de ses désirs.
Nous marchâmes plusieurs minutes, la nuit était tombée et il s'arrêtait quelque fois pour me serrer contre lui et m'embrasser, enfonçant sa langue dans ma bouche. Je voyais alors à quel point il semblait vieux et ventripotent mais j'avais l'impression d'être une prostituée qui ne choisit pas son client. Ma fente toute lisse était trempée, mes tétons dressés.
Nous nous arrêtâmes dans une ruelle sombre, une impasse avec un recoin dans lequel nous nous enfonçâmes. A l'abri des regards, il m'embrassa et me pelota avec vigueur. Il remonta ma robe jusqu'à la taille, baissa ma culotte et me plaqua contre le mur. Il avait maintenant une vue sur mes fesses qu'il me demanda de cambrer. « Oui, monsieur ».
Murmurant des mots obscènes, il claqua soudainement mes fesses. Surprise, je me cambrai davantage pour montrer ma soumission. Il caressa mes fesses de ses mains caleuses puis mes lèvres gorgées de désir.
Leur chaleur moite l'invita à baisser sa braguette et à branler son membre déjà dur.
Je m'autorisa à avancer ma main vers sa hampe et d'un signe de tête, il accepta que je le caresse moi aussi.
Il enfonçait maintenant deux doigts dans mon vagin, ce qui me faisait gémir sans retenue. « Encore, monsieur ». « Branle ma bite petite chienne ».
De sa main libre, il entreprit de titiller mes tétons puis délaissant quelques instants ma chatte, me fit pivoter pour les lécher goulûment. J'aurais alors tout accepter de lui, tant ses caresses étaient délicieuses.
« Tu vas toi aussi te délecter d'un fruit juteux », « oui, monsieur, tout ce que vous voulez monsieur ».
Il sortit un sac plastique de son baise-en-ville et je me dis alors que son sac était particulièrement bien nommé. Il plia le sac en deux et le mit par terre.
Il tira mes cheveux en arrière et me dit au creux de l'oreille que j'étais son esclave sexuelle, que je ferais tout ce qu'il m'imposerait. Il appuya sur mon épaule pour que je me mette à genoux sur le sac plastique. Il enfonça alors sa queue dans ma bouche et mit un coup de rein pour la placer au fond de ma gorge. « Tu vas me sucer jusqu'à ne plus sentir ta langue, petite pute ».
Sa queue avait déjà un goût prononcé de sperme, il coulait sur ma langue. Dès qu'il me permit de reprendre mon souffle, je léchai son membre sur toute sa longueur. Il râlait maintenant de plaisir. Il me laissait le branler et le sucer dans le même temps. Sans oser encore le regarder tant mes actes me semblaient avilissants, je commençai à savourer ses boules.
Mon immoralité l'excitait tant qu'il commença à m'insulter avec violence et ses insultes firent monter dans mon ventre une chaleur que je connaissais bien.
« Espèce de salope, tu veux du foutre, je l'ai su dès que je t'ai vue », « dis-moi que tu vas avaler mon foutre comme celui de tous les hommes que je te présenterai ». Je dus dire à haute voix ce qu'il me demandait et avec une main me peloter les seins.
Dans un râle guttural, il souilla ma bouche de sa semence crémeuse et abondante, ce qui me conduisit à un orgasme profond et honteux.
Apaisé, il me dit gentiment d'ouvrir la bouche et de tirer la langue pour confirmer que son divin liquide s'y trouvait.
Il était maintenant mon maître, je sentais que cette séance de soumission n'était que la première d'une longue série.
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