Un Pari Entre Amis
J'ai toujours travaillé dans des milieux d'hommes, ce qui fait que je suis habituée à leurs allusions graveleuses et à leurs discussions cul, ça ne m'a jamais choquée, d'ailleurs je n'ai jamais été la dernière à en rajouter une couche, toujours bonne . De la dernière entreprise où j'ai travaillé plusieurs mois, j'ai gardé quelques contacts, dont Denis.
J'ai 24 ans et lui 28, nous étions les plus jeunes de notre équipe ce qui a fait qu'on s'est trouvé rapidement des atomes crochus. Quand j'ai quitté l'entreprise on a continué à discuter sur MSN. C'est là que ça a commencé. Une discussion sur nos habitudes vestimentaires. Il m'avait vanné en prétendant que jamais je n'oserais me promener sans sous-vêtements. Piquée au vif je lui avait dit que je pouvais le faire sans problème. Durant une semaine il n'avait de cesse de me taquiner avec cette histoire. Je lui ai donc proposé de vérifier le samedi même.
L'affaire était conclue, je devais juste aller boire un verre avec lui, uniquement vêtu d'une robe.
Ce jour là je portais une robe boutonnée sur le devant, juste au dessus du genou. Rien de bien provoquant. En me voyant Denis a rigolé, il m'a fait la bise et en a profité pour me murmurer à l'oreille "je suis sur que tu ne l'as pas fait!
-Tu crois, vérifie par toi même"
Je prenais sa main et la posais sur ma fesse.
- Tu ne vois pas la trace d'un élastique.
-Hum et si tu portais un string? Me répondit-il en remontant lentement sa main sur mes fesses.
Nous étions collé l'un à l'autre à ce moment là et je dois avouer que sa main sur ma fesse, son corps tout près du mien et sa voix qui murmurait me troublaient beaucoup.
Finalement nous sommes entrés dans un petit café et installés au fond de la salle. Il attendit que notre commande soit servie pour se pencher sur la table et demandé tout bas:
- Tu ne veux pas déboutonner un petit peu que je vérifie si tu as un soutien-gorge ou pas?
Je ne lui répondis pas.
-Tu m'as bien eu. Je ne pensais pas que tu oserais le faire.
-Je suis une fille surprenante, répondis-je avec un clin d'oeil.
-Grrr je n'aime pas perdre! Il faut que je me venge"
Doucement il pris ma main dans la sienne et commença à la caresser. La retournant il en griffa un peu la paume.
-Tu vois le problème dans cette tenue, c'est que si j'arrive à te faire mouiller, ça va se voir...
Il avait l'air détaché et gardait son regard fixé sur sa main qui jouait avec la mienne. Pendant ce temps je retenais mon souffle. Soudain je me rendais compte que s'il n'était pas d'une beauté à couper le souffle, il y avait quelque chose de magnétique chez lui, sa voix grave et basse à cet instant précis, ses épaules larges et musclées, son côté brut de travailleurs manuel. Je n'osais pas répondre, il continuait en caressant doucement l'intérieur de mon bras, là où c'est si sensible.
-J'aimerai bien voir ce qu'il y a sous ta robe...
-Mais tu sais que je ne porte rien!
-Oui je sais, justement. J'aimerai qu'on ne soit qu'à deux et que tu déboutonnes plus ta robe. Je caresserais tes seins et puis je sucerais bien le gauche, c'est le plus gros non?
Je ne répondais pas, hypnotisée par ses doigts sur mon bras.
-Quand on bossais ensemble j'aimais bien mater ta poitrine bouger quand tu t'activais sur la chaîne. J'imaginais qu'elle bougeais pendant que je de prenais en levrette. Et ton cul, si tu savais comme il me fait bander. Je suis sur que tu as de jolies fesses toutes douces à caresser et accueillantes comme il faut. Oui je te mordillerai bien les tétons en travaillant ta chatte, jusqu'à ce que tu me demandes de te prendre. Je te rendrais folle. Je t'assure. Et puis je te retournerai sur la table et je te prendrais."
Il releva la tête. Il sourit en me voyant rouge tomate, incapable de lui répondre, incapable de le quitter des yeux.
"Je t'excite, pas vrai? Viens on va chez moi. Ne t'inquiète pas, je resterai derrière toi, on ne verra rien."
Je ne me souviens plus comment on s'est retrouvé devant l'ascenseur de son immeuble. En attendant qu'il s'ouvre il se colla derrière moi, un main sur mon ventre et l'autre me pétrissant un sein. Il embrassait mon cou en collant son bas-ventre contre mes fesses.
"Tu sens comme je bande? Tu vois je ne te mentais pas"
Nous sommes entrés toujours collés dans l'ascenseur. Je ne pu me retenir de gémir longuement.
"On est presque arrivé, ne t'inquiète pas ça ne sera pas bien long.
-Tu savais ce que tu faisais, hein ?"
Il passa sans main sous ma robe avant de répondre.
"Oui et j'ai pas eu tort, tu es toute trempée."
Nous arrivâmes enfin devant la porte de son appart'. A peine la porte fermée il me plaqua contre celle-ci en écartant mes cuisses d'un genou. D'une main il dégrafa son pantalon.
"Je ne peux plus attendre"
Pour toute réponse je passais une jambe autour de sa taille. Par chance nous faisons la même taille. Il s'enfonça d'un coup sec en moi, jusqu'à la garde. Je ne pu retenir un cri qu'il étouffa de sa bouche.
"Excuse moi ma douce, excuse moi"
Il resta un long moment sans bouger et se fit pardonner par un long et doux baiser. Il ne tarda pourtant pas à me besogner sans quitter mes lèvres. Il pilonna profondément, à chaque coup de boutoir j'avais l'impression qu'il me coulait à cette porte. Il ne tarda pas à jouir.
Nous restâmes un moment contre cette porte, il pesait de tout son poids contre moi mais je n'osais faire un geste.
"Tu n'as pas joui."
Je secouais la tête. Il eut un large sourire.
"Ce n'est qu'une question de minutes...."
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