Ma Copine Me Surprend En Train De Me Faire Sauter (Suite)

La vie continue comme avant. Je travaille un peu au café, sert les clients, remplace ma mère à la caisse. Pour le mois d’août, j’ai trouvé un remplacement de caissière au supermarché. Ca permet de me faire de l’argent de poche. Mes parents ne se doutent de rien, on reste très discret. Mon amie nous sert d’alibi, elle vient me chercher, on part ensemble. Puis elle rejoint son copain, la plupart du temps rentre chez elle avec lui. Elle peut baiser à son aise, ses parents travaillent. Depuis que je suis majeure, mes parents ne voient plus d’inconvénient à me laisser sortir le soir. Une condition cependant, je dois rentrer avant minuit. Quelques deux semaines après la perte de mon innocence, mon amie vient me chercher pour aller au cinéma voir un film en exclusivité. Dans notre ville, il y a un complexe de 10 cinoches. Mon copain, averti, nous rejoint. Il y a toujours des places dans ces salles, car elles sont peu fréquentées pendant la semaine. Nous choisissons toujours la dernière rangée et le coin le plus sombre. Il fait chaud. Je suis en jupe, un corsage, pas de culotte ni de soutien gorge.
Alors que mon copain m’embrasse, j’ouvre son jean, attaque le slip, met à l’air tout son attirail. Ma main coulisse lentement le long de la tige, agasse le gland. Il se met à bander ferme. Abandonnant ma bouche, il déboutonne mon corsage. Mes seins sont libres, sa bouche s’intéresse à mes tétons qui s’érigent immédiatement. Une main caresse ma poitrine qui durcit, l’autre s’insinue sous ma jupe, remonte le long de ma cuisse. J’écarte les jambes, je mouille déjà, sa main atteint mon sexe. Il s’aperçoit que je n’ai pas de culotte, entrouvre mes lèvres, m’enfonce directement un puis deux doigts dans le vagin, les fait coulisser pendant que son pouce appuie et énerve mon clito. Je suis ouverte, ne tient plus sur mon siège. Je regarde mon amie. Elle ne s’ennuie pas, penchée sur son copain elle lui taille une pipe. Je quitte mon fauteuil discrètement, me positionne dos devant lui, remonte ma jupe, me penche en avant, écarte les jambes, passe une main entre, saisit sa bite à la base et la met sur mon trou déjà bien ouvert par ses doigts.

J’ai encore en tête les dimensions de son gland et j’ai peur d’avoir mal quand il va s’introduire en moi. Je me laisse descendre doucement. Le gland dilate et passe facilement l’entrée, je n’ai pas mal, le reste de la queue disparaît. Je suis assise sur ses genoux, embrochée par sa bite qui bute au fond de moi. Il me prend sous les fesses, m’aide à monter et descendre sur son pieu, donne des coups de rein, va de plus en plus profondément en moi. Je contracte les muscles du vagin pour mieux le sentir, il me comble le ventre. La pine coulisse librement dans mon antre bien lubrifié. Je crois perdre la tête quand il décharge, pour un peu j’allais crier. Ma copine, elle, est assise sur son mec et se donne à fond, en silence. Je la regarde se démener sur la bite de son copain. Je reste empalée jusqu’à ce que la queue diminue de volume et commence à ressortir. Je prends des kleenex dans mon sac, me soulève doucement, en place un sur ma vulve pour récupérer le foutre qui coule. Je ne veux pas salir ma jupe. Lui s’essuie pénis et couilles, replace le tout dans le slip, referme le jean. Je me rassois sur mon fauteuil et regarde le reste du film. Mon amie a fini, elle aussi, de baiser, s’intéresse au film. Son copain, assis à côté de moi, ne manque pas de toupet. Soudain, il passe sa main sous ma jupe, la plaque sur ma chatte collante. Je la saisis et l’enlève. Il me murmure à l’oreille : j’aimerais te baiser. Je ne réponds pas, il n’en est pas question, j’ai ce qu’il me faut. Ma copine n’a rien vu, tant mieux. En sortant du cinéma, je rentre dans les toilettes pour me débarrasser des kleenex.
Comme nous passons par le centre commercial pour retourner chez nous, j’en profite pour acheter une boîte de préservatifs à la pharmacie.
Bizarrement, mes parents s’inquiètent de me voir toujours en compagnie d’une fille. Tantôt je vais chez elle, tantôt elle est chez moi, ça les intrigue.
Justement un après midi je suis avec elle, dans sa chambre. Il pleut, je suis en jean et tee-shirt, on n'a pas envie de sortir.
Je lui raconte mes aventures avec mon copain, les endroits insolites que nous utilisons pour baiser. Comme on est en été, je sorts en jupe, sans culotte, c’est plus pratique. Il me prend debout, par derrière les mains appuyées sur un mur, dans les toilettes d’un café, en levrette en haut d’un escalier (genoux sur une marche et coudes sur le palier), et même dans l’entrée d’un petit immeuble, derrière l’ascenseur. De son côté, elle a réussi à se faire sauter dans une cabine d’essayage. On s’amuse comme des folles, rions de nos exploits. On est toutes deux assises sur le pied du lit. Alors que rien ne le justifie dans nos attitudes, elle se penche sur moi, m’embrasse, cherche ma langue, passe une main sous mon tee-shirt, pelote mes seins pendant que l’autre dégrafe ma ceinture, ouvre mon jean. Surprise, je la repousse. Elle se lève brusquement, m’att aux chevilles, me bascule sur le lit, place mes jambes sur ses avant bras, tire sur le jean et la culotte. Je me suis retrouvée le cul à l’air avant de réaliser ce qui m’arrive, sans que je puisse résister ! Je cherche à me relever mais elle me maintient allongée, m’écarte les cuisses, se met à genoux entre elles. Je n’ai jamais exposé ainsi ma chatte à une femme. Elle écarte les poils, ouvre ma fente, pince mon bouton, passe son doigt entre mes nymphes, en enfonce deux quelle fait aller et venir dans mon vagin. Je mouille et ondule du bas ventre. Elle colle sa bouche sur mon sexe, aspire mon clito, mes petites lèvres, entre sa langue dans mon trou. Un flot de mouille s’en échappe. Je l’att par les cheveux mais au lieu de l’éloigner, applique plus fort sa bouche sur ma vulve. Elle se relève, me regarde. Anéantie, je reste dans cette position, cuisses écartées, sexe offert
Croyant que j’attends autre chose, elle ouvre son armoire. Elle en sort un énorme phallus en silicone couleur chair de 6 x 25, (c’est marqué sur la boite) avec, en plus de la tige, une paire de couilles pouvant servir de poignée. Rien à voir avec les dimensions de la bite de mon copain.
Comprenant qu’elle a l’intention de le faire entrer en moi, je proteste, referme les cuisses, me redresse. Elle m’aplatit sur le lit, m’écarte les jambes sans ménagement, s’agenouille de nouveau devant mon sexe. Elle ouvre mes lèvres, tient l’engin par la tige, place l’énorme gland devant mon orifice, pousse en le faisant tourner pour bien le mettre en place. Alors que je remue le bassin pour tenter de lui échapper, elle maintient le gland en position, pousse de plus en plus fort. L’entrée se dilate, elle me fait mal, je serre les dents, je vais crier, la supplie d’arrêter. Trop tard, le muscle s’est distendu, le gland vient de passer, est au fond de moi. Je mouille terriblement, j’ai chaud, ma respiration est haletante. D’une main elle m’appuie sur le bas ventre, de l’autre prend le gode par les couilles, le fait coulisser, le pousse le plus loin possible en moi, me défonce. Il est monstrueux, élargit ma gaine au point de me donner envie de pisser. Il est bien trop long, une grande partie ne peut pas entrer. Tout d’un coup je me cambre, creuse le ventre, relève les fesses, retombe, pantelante. Abandonnant le gode, elle se relève, s’assied à côté de moi, laisse le pal bloqué au fond de mon vagin. Je reprends lentement mes esprits, me redresse sur les coudes, constate qu’une partie de la hampe et les couilles dépassent largement entre mes cuisses ouvertes. Je retire doucement l’engin, elle me regarde faire en souriant. La partie qui était en moi est luisante de mouille. Je lui rends, elle part le laver, revient, le range dans sa boîte. On ne parle pas de ce qui vient de se passer. On parle de mes difficultés pour rencontrer mon copain en privé, elle me propose de faire une clé qu’elle me donnera. Quand elle n’est pas là, je peux venir. Elle part une semaine en vacances avec ses parents, sa chambre sera libre. J’accepte. Plus tard, rentrée chez moi, je repense à ce quelle m’a fait subir. Ayant assez peu d’expérience sexuelle par rapport à elle, je ne lui en veux pas de m’avoir imposée celle là.
Je ne crois pas qu’un jour je rencontrerais un mec qui me dilatera autant que ce gode !
Mon amie, comme moi, a trouvé du travail, une place de vendeuse remplaçante. Elle n’a pas les mêmes horaires. Les miens sont décalés, soit le matin, l’après midi, ou jusqu’à 8 h le soir. J’ai sa clé. Je l’appelle, elle n’est pas là. J’ai envie de baiser, téléphone à mon copain. En arrivant chez elle, on entre, referme la porte à clé, allons directement dans sa chambre. Tout de suite on se retrouve à poil. Il me bascule sur le lit, se met au-dessus de moi, commence par me brouter le gazon. Sa queue, dressée, me frôle la bouche. Je l’ouvre, engloutit le gland. Ca a un drôle de goût ! Je caresse les couilles, sa verge est au fond de ma gorge. Je manque d’. Je ne veux pas qu’il se vide dans ma bouche. Je tourne la tête, prend la bite en main, le branle. De son côté il aspire mon clito, passe sa langue entre mes nymphes, la glisse dans l’entrée du vagin, y enfile deux doigts qu’il fait coulisser. Je mouille abondamment, le repousse, il se relève la queue dressée. Je m’assois sur le lit, prend une capote dans mon sac, saisit sa bite et l’équipe. Je me mets à genoux, appuyée sur les coudes, cul relevé, cuisses écartées, sexe exposé. Il se place derrière moi, me prend aux hanches, appuie sa queue sur la fente qui s’ouvre sous la poussée, m’enfile d’un coup sec. Il est en train de me limer lorsque la porte s’ouvre et que ma copine entre. Elle a tout de suite jugée la situation, se fout à poil vite fait, s’étend sur le lit à côté de moi, cuisses ouvertes et sexe offert. Obnubilé par cette vision, il sort de moi, se met sur elle, relève ses jambes, écarte les poils, et, en deux coups de rein, lui enfonce sa queue jusqu’aux couilles. Elle pousse un cri, se met à gémir, accompagne les coups de butoir qu’il lui administre. Frustrée, je m’écroule à plat ventre, jambes serrées, reins cambrés. Après quelques va et vient bien appuyés, il l’abandonne, revient sur moi, écarte mes fesses, s’encastre dans mon vagin. Il me burine hardiment, sort, m’empale de nouveau, j’en ai le souffle coupé tellement l’assaut est fulgurant. Il décharge, s’écroule, m’écrase de tout son poids. Je le repousse, il bascule entre ma copine et moi. Elle se met à genoux, lui enlève le préservatif remplit de foutre, le jette au pied du lit, embouche le gland et le pompe. Le temps passe, il se rhabille, nous embrasse, s’en va.
C’est la première fois que je vois mon amie nue. Elle s’est de nouveau étendue sur le dos, jambes repliées, cuisses largement ouvertes et sexe offert, me dévoile son intimité. Comparé aux miens, ses seins sont un peu plus volumineux, les tétons plus gros. Son pubis est recouvert d’une toison noire très fournie allant jusqu’à dissimuler la fente, même cuisses écartées. Elle me demande de prendre le gode dans l’armoire. Je refuse car je ne veux plus sentir cet objet monstrueux en moi, il m’avait fait trop mal en entrant. Non, elle le veut pour elle, la prestation de mon copain a été trop brève. Je vais le chercher, m’installe entre ses cuisses. Tenant le phallus par les couilles, j’écarte les lèvres poilues, la vulve est trempée. Je l’appuie sur le trou encore un peu distendu, le fait tourner pour le lubrifier avec sa mouille, et sans m’arrêter, lui enfile ce pieu d’une seule traite. Elle se cambre, sa respiration s’accélère, pousse un cri rauque lorsqu’il se bloque au fond du vagin. Elle vient de baiser, mais je suis étonnée de la facilité avec laquelle il est entré. Je l’active, le pousse à fond, elle gémit de plus en plus fort, cambre les reins. Je ne parviens pas à le faire disparaître en elle jusqu’aux couilles, comme pour moi il s’avère beaucoup trop long. Je l’enfonce, le ressort, le trou reste ouvert, le rentre direct. Il coulisse facilement, va jusqu’au fond de sa gaine. Je l’actionne jusqu’à ce qu’elle demande grâce, prête à défaillir. Je laisse ce pal planté en elle, dépassant largement hors des lèvres qui lui font une couronne de poils noirs. J’admire le tableau. C’est beau une bite dans un con ! Je ne lui en veux pas de s’être fait prendre par mon copain. J’ai eu ce que je voulais, grâce à elle, une bonne baise, pas à la sauvette comme cela arrive depuis un certain temps. Je me rhabille. Elle n’a pas bougé, le gode est toujours planté. Je me penche sur elle, et en l’embrassant pour lui dire au revoir, prend les couilles et pousse de nouveau à fond ce pieu qui l’emmanche. Elle sursaute, fait : Ha ! J’ai l’impression de me venger de ce qu’elle m’a fait subir le jour où elle me l’a enfilé ! Elle sourit, étend les jambes, les resserre, le garde au chaud ! Je parts alors qu’il est encore en elle. En rentrant chez moi, je pense à ce qui vient de se passer. Son copain voulait me baiser, mais c’est le mien qui a baisé sa copine. La vie est bizarre quand même.
Un jour, je rentre du boulot, dépose mon sac sur la table de la cuisine, monte dans ma chambre pour me changer, prendre une douche. J’ai l’intention de ressortir. Ma mère, par mégarde, le fait tomber. Le contenu se répand sur le carrelage. Elle ramasse et, manque de chance, tombe sur la boîte de préservatifs, l’ouvre. Il en reste 3 sur 12. Aïe ! Elle monte dans ma chambre, furieuse, ouvre la porte, me trouve en petite tenue. Elle me montre la boîte de capotes :
- Qu’est ce que ça veut dire ? Et ça fait longtemps ? Tu aurais pu me mettre au courant ! J’ai l’air de quoi ?
- Hé oui, c’est comme ça, j’ai un copain, on baise, je prends des précautions ! Je ne vais pas te demander l’autorisation à chaque fois que j’ai envie de me faire sauter ! Je suis majeure, quand même ! Ca lui cloue le bec !
- Je ne veux pas le voir ici, c’est comprit ! Qu’est ce tu comptes faire ? Te marier ?
- Pas question, je ne suis pas prête à m’engager pour la vie avec un mec !
Furieuse elle décide de prendre rendez vous chez le gynéco, et comble de l’affaire, tient à m’y accompagner. Je suis sur la table d’examen. Le pauvre, il ne peut que constater la défaite de ma virginité. Constate que c’est déjà ancien. Il vérifie le bon état du vagin, parois élastiques, muqueuse bien lubrifiée, parfait état de marche, m’introduit son spéculum, fait un frottis. Normalement pas de problème, matériel neuf !
On revient dans le bureau, confirme le « désastre » à ma mère, son ancienneté, me donne la pilule, ce qui n’exclu pas l’emploi de préservatifs.
J’ai droit à une leçon de morale, éviter les changements de partenaires, toujours se couvrir parce qu’on n’est jamais sûr de l’autre à 100% .Elle a menacé de tout dire à mon père. Mais ne l’a sûrement pas fait, lui ne m’en a pas parlé. Affaire classée !
Si ce récit vous intéresse il y a une suite…

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