Jocelyne 5 (Partie 2)

Nouvelle semaine !.... courageusement, j'affrontais les regards de mes collègues avec ma nouvelle apparence. Finalement la fausse camaraderie ou vraie la méchanceté des mes collègues me rassérénèrent. L'agressivité dont firent preuves les femmes me confortèrent dans l'idée que j'avais réussi quelque chose de pas mal en changeant de un peu de couleur de cheveux. Comme une confirmation, je reçus pas mal de compliments masculins non dénués de sous entendus et de propositions à peines voilées. La semaine continua donc cours…mardi…mercredi… mercredi soir…. A peine étais-je rentrée que le téléphone sonna. C'était Bertrand :
"Dis-moi Jocelyne, as-tu quelque chose de prévu samedi ?"
"Non, non pas vraiment !"
"Alors si tu ne fais rien, viens chez moi vers quatorze heures, j'inviterais Jean-Pierre nous te ferons passer un après-midi comme tu n'en as jamais passé ! Un véritable après-midi de salope…. D'accord !"
Je souvenir du sandwich qu'ils m'avaient imposé était très présent et superflu de dire que je fus d'accord. Il ajouta :
"Fais toi belle, sexy, je te veux pute… et puis après tout… viens à poil sous un manteau, juste des bas pour nous exciter…. Et viens par le bus… ça te fera mouiller…."
Lorsqu'il me parlait ainsi, loin de me choquer, mon sang ne faisait qu'un tour et je devenais comme fascinée… et j'acceptais…tout. Il précisa encore :
"Tu m'as bien compris… pute… très pute…!!!"
Oh que oui j'avais compris…
Du coup le reste de la semaine passa assez vite. Sans nouvelles de Monsieur Guy, ni rien de remarquable. Ah si !... le jeudi j'allais acheter mes journaux. Je vous rappelle que Bertrand était le patron de la maison de presse et du magasin vidéo qui le jouxtait. Je m'arrangeais autant que je pouvais pour ne pas le rencontrer en public depuis le début de nos ébats. Le jeudi, il était assez souvent retenu par les affaires municipales. J'entrais donc dans la boutique choisie mes revues et passait à la caisse tenue, cette fois, par une jeune femme plutôt jolie.

J'allais payer lorsqu'elle me demanda :
"Excusez-moi, vous ne seriez pas madame D. ?
J'acquiesçais, interrogative.
"Attendez, je reviens !"
Elle passa dans l'arrière boutique et revint avec un jeune homme qui lui aussi tenait parfois la caisse de la maison de presse ou celle du magasin à coté. Ce devait être un couple et ils inter changeaient les postes. Lui aussi me demanda :
"Vous ne êtes bien madame D. ?.... Tenez Bertrand B. nous a demandé de vous remettre ceci…. Tout est réglé !"
En souriant il me tendit un petit sac. Toujours aussi surprise, je le pris et m'en allais. Arrivé chez moi, j'ouvris le petit paquet. Il y avait une petite carte de Bertrand :
"Guy m'as dit que tu avais aimé"
En fait ce n'était rien d'autre qu'une copie du CD porno que j'avais visionné chez Monsieur Guy et où j'avais crus reconnaître quelqu'un de la ville. A retardement, j'eu honte. Est-ce que les deux jeunes gens connaissaient le contenu du paquet…. Décidément Bertrand avait l'art de me mettre dans des situations difficile.
Le vendredi passa vite…je n'avais en tête que mon programme du samedi. Le matin me faire affolante puis me rendre chez Bertrand et y subir ses caprices… et ceux de Jean-Pierre qui lui aussi était un fameux luron.
Samedi… bon !... après avoir eu une pensée pour Monsieur Guy, j'utilisais la poire à lavement, puis après un bon bain je déjeunais peu et vite et m'assis devant mon ordinateur. Je me connectais sur mes sites préférés et tentais de sélectionner avec un regard d'homme deux ou trois stars blondes du porno ayant le style de celui que je devais adopter pour mon après-midi dissipé.
Ayant fait mon choix, j'adaptais leurs coiffures et leurs maquillages à ma personne. Me jaugeant dans le miroir, je fis une ou deux retouches et en définitive fus assez contente de moi. Aucun problème… Bertrand allait être satisfait, j'avais vraiment la tête de l'emploi. L'heure avançais je passais vite des bas résilles auto fixant.
Voilà !.... j'étais en tenue…. Je passais mon manteau et partis. Je n'avais pas mesuré l'audace qu'il me faudrait pour effec le trajet dans les transports en commun. J'avais eu beau mettre de grosses lunettes de soleil, il n'en demeurait pas moins vrai que les gens, enfin surtout les hommes me dévisagent avec insistance. Je serrais frileusement mon manteau contre moi mais je ne pouvais empêcher mes formes arrondies de tressaillir à chaque cahot du bus. Je me polarisais sur mes mamelles pensant que tout le monde se rendait compte de ma quasi nudité. Cela finit par me rendre d'abord un fébrile, état avant coureur que je connaissais bien, puis insensiblement je commençais à devenir excitée. Bertrand avait eu raison, ma "promenade" en bus me faisait mouiller…. Je me sentais devenir dingue. Pour un peu j'aurais souhaité que le bus fût rempli d'hommes, qu'ils m'arrachèrent mon manteau et me prennent sauvagement sur les banquettes. En descendant du bus j'étais dans tous mes états. Pour faire la trajet du l'arrêt de bus au domicile de Bertrand, il me fallut marcher. Je le fis avec quelques maladresses sous des regards équivoques. Mes talons hauts n'étaient pas fait pour la marche à pied…. Il n'aurait plus manqué que je me fasse une entorse… quelles têtes auraient fait les infirmiers…. Enfin je m'engouffrais dans son immeuble. Personne n'attendait l'ascenseur, ouf !...je retirais mes lunettes. Plus qu'une épreuve : son pallier… il avait fait réunir deux appartements, mais les deux autres portes étaient susceptibles de pouvoir s'ouvrir. Le cœur battant je sonnais. Il mit longtemps, le détestable personnage, pour m'ouvrir…. Enfin la porte s'ouvrit. Contrairement à ce que je m'attendais, il ne me pria pas d'entrer. Il me fit signe d'ouvrir mon manteau, sans doute pour vérifier si ses consignes avaient été respectées. Toujours avec la peur que s'ouvrent des portes, je me déboutonnais et ouvrit mon manteau en grand. Il eut une moue satisfaite et me demanda de lui donner mon vêtement.
Après un regard par dessus mon épaule, je le lui donnais. Il me fit poireauter ainsi un instant, que je jugeais fort long et terriblement angoissant, le cul nu mais avec les seins dont les pointes tendues trahissaient mon état. Quand il jugea que j'avais assez mariné dans mon appréhension il me fit entrer et enferma mon manteau dans une penderie qu'il verrouilla. Il me prit par la taille et me fit entrer au salon. Jean-Pierre n'était pas encore arrivé. Il me demanda comment s'était passé mon trajet tout en me caressant les fesses.
Il prit ensuite un air faussement embarrassé, comme si la mémoire lui manquait subitement pour me demander :
"Ah !... je ne sais plus si je t'ai dis…. Jean-Pierre… il m'a dit qu'il viendrait avec des copains…."
Je crus que mon cœur allait s'arrêter de battre et je me mis à bafouiller. Bertrand me regarda avec un air démoniaque en disant :
"J'espère que cela ne te dérange pas…. Si cela ne te conviens pas tu peux toujours t'en aller avant leur arrivée…."
En prononçant ces paroles, il me montra du bout des doigts la clef de sa penderie. Visiblement il ne comptait pas en user pour me rendre mes effets. Donc même si je l'avais voulu, à part nue avec mon sac à main, il m'était impossible d'échapper à mon destin. Un peu effarouchée par cette perspective, je répondis en balbutiant quelque peu que j'allais essayer de faire de mon mieux. Il rétorqua :
"Soit sans inquiétude… avec la paire de miche que tu as… il n'y aura pas de problème ! "
Et il ajouta passant la main dans la raie qui séparait mes deux hémisphères :
"Tu sais… elle vont beaucoup servir…."
Il se mit à me prendre un sein dans son autre main et à m'embrasser dans le cou comme pour me rassurer.
"Tu es très belle… j'aime infiniment quand tu fait pute comme cela. Je suis sûr qu'ils vont aussi apprécier….".
Je n'allais pas tarder à m'en apercevoir puisqu'à cet instant, la sonnette retentit. Bertrand m'abandonna pour aller ouvrir.
En quelques fractions de seconde mes pensées s'entrechoquèrent : que savaient-il de moi… et puis d'abord combien seraient-il… allais-je leur plaire… s'attendaient-il à me trouver dans cette tenue…etc.… J'entendis des bruits de conversations dans l'entrée. A ma grande terreur ils se rapprochèrent. Bertrand s'effaça pour laisser passer, tout d'abord Jean-Pierre, puis deux hommes. Les trois arrivants me jetèrent des regards écarquillés. Les présentations furent vite faites puisque Jean-Pierre se borna à dire :
"Voici Jocelyne… la salope dont je vous ais parlé !"
C'était franc et direct… peut être pas très galant, mais avec une telle entrée en matière je me doutais qu'ils n'allaient pas faire dans la dentelle. Je fus immédiatement entourée. Bertrand me ramena les bras au dessus de la tête comme s'il voulait offrir mon corps sans défense. Qu'aurais-je bien pu faire contre quatre hommes décidés. Des mains se posèrent instantanément sur moi pendant que mes futurs partenaires se débraguettaient pour être plus à leur aise. Une main plus hardie remontait lentement le long de sa cuisse et le la courbe de ma fesse. L'homme empauma les deux globes, les malaxant. Un autre gaillard avait saisi mes seins, s'en emparant et commençant à rouler entre deux doigts mes tétons. Jean-Pierre parcourut en de lentes caresses mon entrejambe que je lui ouvrais. Il se redressa vivement, il porta sa main à ses narines, humant mes sécrétions révélatrices pendant que je sentais mes mamelons darder sous les rudes caresses.
"Alors on mouille ? .... Allez ma belle tu vas t’occuper de nous… montres à mes copains la bonne salope que tu peux être .... Fait leur voir ce que tu sais faire avec ta bouche ... Donnes nous du plaisir !"
Je m'emparais de la verge du type qui me pelotait les seins et je me penchais en avant pour l'emboucher. Dans cette position, il était évident que j'offrais un postérieur sans défense à l'autre. Il en profita pour concentrer son attention et ses attouchements sur ma raie et mon petit trou qu'il commença à détendre. Jean-Pierre, lui avait choisi de me doigter le vagin et pour ne pas être en reste Bertrand avait pris possession de mes lolos. L'homme derrière moi avait introduit deux doigts dans mon fondement et en vantait la souplesse. Comme un bonimenteur de foire, Bertrand précisa "qu'il fallait qu'ils en profite", "que j'étais un folle du cul" et "que tous m'enculeraient au moins une fois". Ces propos déchaînèrent l'enthousiasme…. Je fus mise à genoux et les quatre pines m'entourèrent. Comme une folle, je me mis à sucer, branler, lécher ou gober tout ce qui passait à ma portée. Les hommes aimaient…. Parfois il me prenaient la tête pour me baiser la bouche m'imposant leur rythme ou m'enfoncer leur bite dans le gosier. Parfois, pire encore, il prenaient par les cheveux et me forçaient à engloutir deux queues à la fois. Que j'aimais cela avoir la bouche remplie par de beaux sexes ! J'affectionnais vraiment d'avoir un pénis frémissant dans chaque main et les attirer dans ma bouche que je faisais pulpeuse pour lécher simultanément les deux glands même s'ils forçaient la commissure de mes lèvres et s’installaient en force sur ma langue. Celui qui avait l'air d'apprécier mon derrière vint s'agenouiller dans mon dos et repris son exploration anale, cette fois bien profondément et en investissant également ma chatte pendant que j'avais un sexe en bouche et un dans chaque main. Bertrand lui proposa :
"Encules-la si tu veux tu en meurs d'envie !"
Devant cette invitation, il ne résista pas et me poussant sur le dos me fit mettre à quatre pattes. Du pouce et de l'index, il maintint ma rosette ouverte et y laissa tomber un peu de salive. Il présenta son membre à l'ouverture de mes reins et commença à y peser. Je songeais que c'était la première fois que je me faisais sodomiser sans avoir été baisée auparavant. La capitulation de mon sphincter fut rapide, la pine de mon assaillant suivit de toute sa longueur le gland qui se frayait un chemin entre mes muqueuses. Quand il débuta ses vas et vient, les autres braquemarts se rapprochèrent de mon visage comme pour m'inciter à poursuivre mes jeux buccaux. L'autre remuait, me pistonnant avec ampleur. Mes fesses s'écartaient pour offrir une entière liberté de manœuvre. Ma gaine s'était parfaitement adaptée à sa verge et mes reins s'accordaient au rythme auquel il me soumettait en me pilonnant d'amples coups de bite. Il allait et venait au plus profond de mon tunnel. Je savourais intensément cette impression de plénitude qui me remplissait toute de ses puissants mouvements et surtout sous les yeux des autres qui attendaient leur tour. Très excité, il ne put résister bien longtemps à cette fournaise dans laquelle il coulissait et c'est avec un grognement non retenu qu'il se vida avec abondance au fond de ma croupe. Comme s'il voulait prolonger un peu cet instant il laissa sa verge diminuer un peu de volume avant de se retirer.
Prestement, je fus attirée vers la table du salon sur laquelle, je fus allongée jambes écartées. Jean-Pierre se plaça entre elles et m'enfila d'un seul coup de rein tant ma chatte était ruisselante. Bertrand et le dernier homme se placèrent de chaque coté de mon visage avec l'évidente envie que je leur suce le sexe à tour de rôle. Je le fis avec un plaisir incontestable les réunissant même juste qu dessus de ma bouche pour leur lécher simultanément le dessous du gland. Je m'occupais de leurs queues, ils s'occupaient de mes gros seins… c'était un bon deal !
Jean-Pierre me tenait par les chevilles ouvrant mes jambes autant qu'il le pouvant et me possédait à grands coups de pieu. Contrairement à tout à l'heure, cette fois petit à petit je sentis que j'allais jouir. La bite allait et venait en moi frottant au passage sur mes babines enfiévrées. J'en voulais encore plus, je voulais m’empaler sur cette trique. Presque involontairement, sentais mon bassin se cambrer, ma chatte s’embraser et se dilater pour mieux accueillir son chibre. Je jouais des hanches, le serrant de toute la force de mes muscles intimes. Quand le sentis incapable de se contenir plus longtemps, je ma laissais aller à ma propre jouissance tandis il giclait à gros bouillons au coeur de ma fournaise tétanisée.
Je n'eus pas beaucoup de répit, les deux derniers ne l'entendais pas ainsi… il me fallut promptement reprendre mes activités. Je m'acharnais sur les deux tiges, les branlant bien à fonds, pressant leurs couilles, pompant, suçant jusqu'à ce que, en ahanant de satisfaction ils vident en jets épais que je dus, bien sûr ingurgiter après avoir eu la langue et la luette tapissée de cette sauce gluante qui finit par s’écouler dans ma gorge. Perfectionniste, je toilettais consciencieusement les deux pines visqueuse avalant jusqu’à la dernière goutte de sperme tiède.
A peine le temps d'un rafraîchissement que déjà des mains recommençaient à m'entreprendre et à réveiller mon désir. Ayant tous éjaculé une fois je pressentais que les rapports allaient être plus long. Ce n'était pas pour me déplaire, loin de là. S'allongeant à même le sol, celui qui m'avait sodomisée tout à l'heure me sollicita afin de venir le chevaucher. Sans attendre je m'embrochais sur son dard dressé. Je fus vite entourée par les autres qui me prièrent instamment, en terme grossier (de nouveau le "suce salope" retentit…) de rendre hommage à leurs virilités avec ma bouche. Je les vis venir quand j'entendis l'un d'eux parler de "trou libre"… Jean-Pierre se dévoua et pour la deuxième fois, je fus prise en sandwich. Ce fut aussi fabuleux que la première fois… plus peut être car cette fois je goûtais pleinement sans crainte cette double possession. Une chose est sure, je n'avais pas affaire à des débutant. Leur rythme s'accorda vite pour faire gémir. De temps à autre le sexe de Bertrand ou celui du dernier homme venait mes plaintes en se plantant résolument entre les lèvres gourmandes. Pendant que je me faisais allègrement tirer, mes partenaires continuaient à proférer des insanités. Vantant ma participation, ils regrettèrent de ne pas être plus nombreux pour me baiser et m'enculer à la chaîne. Je m'imaginait assez bien entrain de subir des assauts virils, comme en ce moment, avec en plus d'autres hommes qui attendraient impatiemment leur tours et qui très excités voudraient me plier sans pitié à leurs exigences.
Je râlais de plaisir pendant que Jean-Pierre se saisissait de mes fesses et s´enfonçais dans mon derrière de toute sa longueur. Il m'arrachait un petit cri de douleur lorsque son sexe ressortit se frayait sans ménagement un chemin dans mon cul. L'autre pénétrait ma fente de coups brusques en me serrant par les hanches. Ils le possédaient sans ménagement, me pelotant vigoureusement les nibards tout en me limant. Tout le monde pouvait se rendre compte que j'aimais cela, sentir des bites me labourer sauvagement. Jean-Pierre dont je sentais les couilles cogner contre moi à chacun de ses assauts se déchaîna à m'en faire crier. Il me mordit le lobe de l'oreille en disant :
"Jouis, jouis ma salope, jouis ma belle…."
Puis il tira ma tête en arrière me forçant à relâcher la bite que je suçais et demanda :
"Tu aimes ? Tu aimes ça, dis voir, sale pute te faire bourrer le fion ?"
"Oui," répondit-je "Oui j'aime çaaaa… c'est boooonnn"
L'autre fit écho :
"Et la chatte, hein ? Tu aimes aussi ? Oh putain ......"
Je crois que le fait qu'il m'obligent à exprimer mon délire me poussa à l'orgasme et coincée entre les deux mâle je m'époumonais :
"Vite ! Baisez moi vite !... plus vite…. Pousse ! Plus fort dans mon cul de salope…! Arrrrrrgh Oui ! Comme ça ! Oh oui ! Foutez-moi ! Fourres-moi! Comme une chienne ! Oui !... Encule-moi…comme une salope ! Je n´en peux plus ! Je veux jouir ! Fourre-moi ! Fourrez-moi ... Je jouis ... C´est bon, je jouis ... ahhhhhhh ... Ouiiiiiiiiii…. Aaaaaahhhhhh …."
Comme s'ils voulaient me briser il reprirent leur folle et délicieuse cadence.... Comme dans mes fantasmes, je les sentis enfler ensemble. Un double spasme les secoua, ils ne se préoccupaient plus de moi. Il ne pensaient qu'à se libérer de leur foutre en me pinant comme des forcenés.... je sentis leur semence fuser pratiquement en même temps, cela me procura presque encore un orgasme. Quand leurs sucs se furent entièrement déversés ils quittèrent mes orifices un peu malmenés.
Croisant le regard de Bertrand j'y vis deux choses. Premièrement il semblait assez content de moi. Il est vrai que ne négligeait rien pour me conduire en parfaite cochonne. Deuxièmement… j'y vis qu'à son tour il souhaitait prendre du bon temps (et je supposais que son acolyte également) et que j'allais encore y passer. Il me fit relever, s'assit confortablement sur la banquette me fit lui tourner le dos et écarter mes jambes. Faisant passer les siennes entre les miennes, il m'attira en arrière par les hanches en ordonnant :
"Ecarte tes miches et vient emmancher ton joli petit cul sur ma bite !"
Docile et impatiente d'être à nouveau leur jouet, j'écartais mes fesses à deux mains et mis mon anus béant des précédentes pénétrations au contact du gland qui allait me perforer. De faire cela sous l'œil des trois autres m'excita encore plus. Jean-Pierre fit remarquer :
" Et en plus, elle aime ça s'exhiber devant nous !"
Bertrand plaça ses mains sous mes aisselles pour m'aider à m'empaler de façon progressive. Lorsque mon boyau culier eu pratiquement avalé la colonne de chair, il cessa de me soutenir. Mécaniquement mon corps s'affaissa m'arrachant un cri qui se poursuivi quand il me pesa sur les épaules. Jamais il ne me l'avait mise aussi loin j'eus m'impression d'être ouverte en deux. La douleur s'estompa vite, ce n'était pas la première fois qu'il m'enculait mais quand même….
Il me prit par taille et me fit faire des allées et venues au long de la queue prenant bien soin de toujours me l'enfiler bien à fonds. Je voyais devant moi l'autre qui s'énervait. Bertrand mit fin à son attente. Me prenant par les seins il m'attira en arrière. Se présentant devant moi, l'autre me fit relever et ouvrir les jambes. Prenant sa verge en main, il s'avança avec l'excellente idée de me la fourrer par devant. Ce fut un peu plus ardu que prévu, la place lui manquait. Il est vrai que c'était la première fois que j'étais prise en double avec Bertrand dans le rôle de l'enculeur. Il finit quand même par arriver à loger confortablement son pénis en moi et les deux mâles commencèrent à me laminer alternativement. En même temps il me couvraient de baisers fougueux et je faisais tout pour leur faciliter les accès à mon entre jambe en ondulant des hanches, lorsqu´ils cessaient de m´embrasser. Sans retenue, ils cognaient tout au fond de moi, ne me libérant la bouche de leur langue que pour me permettre de me lamenter, gémir, grogner de satisfaction. Je commençais à fatiguer, je le sentais et pourtant j'en voulais…j'en voulais encore plus…. Donc je les encourageais :
"Plus fort ! Oui ! Comme ça! Oh ! C´est bon ! Oui ! Plus fort ! Fourre-moi la chatte ! Plus fort Bertrand…éclate moi le cul…. ! Oh ! C´est bon… putain que c'est booonnnn…."
Ainsi aiguillonnés ils se firent plus brutaux comme pour me posséder et m'asservir davantage. Je ne demandais que cela…. Ce fut un instant mémorable celui d'une triple jouissance. Mes deux amants en sueur ahanaient rageusement en me foutant rudement. Trempée de sueur également je beuglais mon orgasme sans fin. Cette séance nous laissa tous trois pantelant et essoufflés. Nous primes un temps de repos pour nous désaltérer en discutant… en discutant, sexe bien entendu. Au bout d'un moment celui qui venait de me prendre (en compagnie de Bertrand) et qui visiblement aimait bien ma chatte me dit :
"Tu sais j'ai encore envie de te baiser… regarde !"
De fait, oui je pus constater qu'il bandait encore. Devant mon manque d'enthousiasme il me précisa :
"Tu vas avoir droit à quelque chose de particulier que tu n'as jamais fait !"
Piquée par la curiosité, et encouragée par les autre, je me préparais à baiser encore une fois.
Il se plaça sur le canapé et me fit signe de venir sur lui. Je pris son membre et le guide pour trouver l´entrée de mon vagin puis me laissais descendre à fond. Il resta immobile, c´est donc moi qui me chargeais d´effec les mouvements pendant qu'il se contentait de me palper les fesses. Je vis l'autre copain de Jean-Pierre se lever. Visiblement il allait venir se placer derrière moi. Je ne voyais pas très bien ce qu'il y avait de particulier dans cette démarcher. J'allais encore me faire pendre en double… non pas que je sois blasée (Oh que non !) mais ce n'était plus une nouveauté. Celui que je chevauchais m'étreignit fermement en passant ses bras autour de mes reins. Je sentis sa verge faire marche arrière. Alors que je m'attendais à sentir l'autre venir me remplir l'anus. Je réalisais que la bite s'était logée contre l'autre comme s'il avait glissé. C'est alors que je réalisais que, abuté contre l'autre il se mettait à pousser pour lui aussi me pénétrer la chatte. Il escomptaient me pénétrer le vagin à deux en même temps. Je leur criais d'arrêter. Ils n'étaient pas équipés comme des ânes, mais ils étaient quand même pas mal montés et j'avais peur d'être déchirée. Bertrand les incita à poursuivre:
"Allez les gars ! Allez y… mettez lui à fond vos deux bite à cette salope…. Faites la bramer ! Et toi Jocelyne détend-toi tu à intérêt…. De toute façon tu vas y passer…. C'est moi qui leur ai demandé de te faire ça…. Alors laisse-toi niquer tranquillement sans faire d'histoire !"
Salaud… salaud…et salaud…. Il est vrai qu'il ne pouvait me faire cela que par comparse interposé vu taille de son sceptre. Il est également vrai que s'il m'en avait parlé avant j'aurais refusé cette pratique. De toute façon je ne pouvais pas faire autrement que de me laisser faire. Que voulez vous qu'une pauvre femme sans défense puisse opposer à quatre hommes vigoureux et déterminés. La question est : voulais-je sincèrement opposer quelque chose… pas sûr …! Le corps humains est quelque chose de formidable. Je réalisais que sous la double poussée ma fente s'élargissait lentement pour permettre l'intromission de ce double phallus.
Les deux étaient parvenus à se faufiler en moi. Ils étaient maintenant à deux dans ma chatte distendue!!! Ils entreprirent de me limer avec modération, me faisant monter et descendre sans marquer d'arrêts .... J'avais l'impression d'accomplir un exploit, jamais je n'avais été si ouverte… mais… quel pied !!! Sans doute pour m'occuper Bertrand et Jean-Pierre enjambèrent le dossier et m'enfournèrent à tour de rôle leur bite dans la bouche m'empêchant de manifester mon plaisir. Il me sembla qu'ils me baisaient depuis un temps fou quand ils décidèrent d'accélérer un peu la cadence. En définitive, je leur fis confiance, ils ne se montraient pas trop impatients et je me laissais aller sur la voie du septième ciel. Le plaisir vint doucement, lentement … mais sûrement ainsi que le leur. En expert, ils se maîtrisèrent parfaitement me laissant l'initiative. Ce qui fut surprenant c'est qu'au terme de notre jouissance, ce fut la double éjaculation qui fusa en moi. J'en criais de bonheur… je crois même que j'eus quelques fractions de seconde d'absence. Il me tinrent un moment ainsi, sans bouger, écrasée entre eux, le temps qu'ils débandent suffisamment pour effec un retrait prudent. Je restais ainsi un instant dolente après ce que je venais de subir. J'en avais presque oublié l'existence de Bertrand et Jean-Pierre. Ils se rappelèrent à mon bon souvenir… queue à la main. J'allais encore céder à leurs exigences…. Je fus obligée de me mettre en levrette sur le canapé. Bertrand décida de m'épargner le vagin (après ce qu'il venait d'endurer…) donc … mon derrière allait faire les frais de l'opération. Il écarta les bords de mon anus et logea facilement son gland en moi. Il me prit par la taille et m'attira à lui trouant encore une fois mon conduit anal. Je ne pus qu'émettre une plainte rauque que mit à profit Jean-Pierre pour me loger sa pine dans le gosier. Si tout à l'heure mes deux partenaires s'étaient montrés doux, il n'en fut pas de même pour les deux qui me malmenaient à présent. Jean-Pierre me baisait véritablement la bouche pendant que Bertrand me sodomisait impitoyablement et bien profondément. Ils voulurent changer d'activités et décidèrent de permuter d'orifice. Jocelyne vint m'enculer tandis que Bertrand proposa à ma bouche une verge indiscutablement assez souillée que je ne songeais même pas à repousser. Même dans l'état de fatigue ou je me trouvais j'éprouvais un plaisir cérébral intense à l'idée que je pouvais encore les exciter et qu'ils allaient me le montrer en me défonçant la rondelle. Ils s'amusèrent à changer de place plusieurs fois, variant les façons de me prendre. Mon cul était tellement ouvert que Bertrand put me mettre sa queue sans l'aide de ses mains pour le guider ou me tenir. J'étais trop fatiguée pour pouvoir encore jouir mais je m'offrais quand même du mieux que je le pouvais à leurs coups de boutoir pour qu'ils aient le plus de satisfaction possible. Une fois encore, Jean-Pierre me fit don de sa semence à mes intestins puis essuya le gland de sa pine dressée, encore gonflés et mouillée de sperme sur mes fesses et je sentis Bertrand frissonner puis tressauter dans ma bouche. Une abondante éjaculation le viderait généreusement de son trop plein de foutre dans ma bouche. J'eus du mal à garder cette queue dans ma bouche et du sperme s’échappa à la commissure des mes lèvres pulpeuses pendant qu'il me congratulait
"Tu suces comme une reine…. Oh ! oui OuiOhhhhhhh C´est bon ça ! Oh oui !".
Cette fois tout le monde parut épuisé et comme je jetais un coup d'œil sur ma montre je constatais que cela faisait environ quatre heures que je me faisais tirer sur toutes les coutures. Les hommes déclarèrent qu'ils avaient faim et proposèrent d'aller dîner. M'adressant un regard ironique, Bertrand leur indiqua je j'étais venue sans vêtements. Ils se posèrent la question du comment faire ! Plusieurs solutions furent évoquées m'emmener dîner nue, difficile… me laisser ici ligotée avec un énorme vibromasseur entre les fesses… peu galant, me laisser nue dans la voiture pendant qu'il iraient, eux, se restaurer… dangereux. Bertrand, avec un air d'en avoir deux nous informa qu'il avait peut-être une solution et nous proposa une petite douche avant de nous donner des précisions. Pendant que je soufflais un peu les hommes se douchèrent puis me laissèrent la place. Ouuuuhhh ! Je fus terrifiée par ma propre image… J'étais complètement décoiffée, le visage luisant de sueur, des cernes bistre apparaissaient sous les vestiges de mon beau maquillage. J'avais la bouche et le bas du visage souillé de sperme… des spermes qui avaient choisis cette voie. J'avais le corps pleins de marque rouges témoins de l'empressement de mes amants. Inutile, je pense de préciser que mes seins étaient écarlates. Vite j'examinais mon entrejambe. Je pus constater que j'aimais je n'avais été ouverte de la sorte… quand à mon anus…. Je me demandais combien de temps il allait mettre pour se refermer. Je me passais rapidement sous l'eau chaude qui me fit un bien immense après toute cette débauche… enfin propre….. Rapidement, je tentais de me redonner une apparence plus féminine en me recoiffant et me remaquillant légèrement. Lorsque je revins au salon les hommes étaient rhabillés. Je vis dans leurs yeux qu'une fois propre je pourrais à la rigueur leur plaire encore. Dans leur yeux sauf ceux de Bertrand qui me trouva insipide et me renvoya me maquiller comme je l'étais en arrivant. Il cru bon de préciser à ses acolyte qu'il m'avait demandé de me faire très salope. Il lui fut répondu par ses amis qu'ils s'en étaient rendus compte…. Je pris un peu plus de temps pour respecter la consigne qui m'avait été donnée. Les hommes ne s'impatientèrent pas. Je revins au salon toujours nue sur mes talons hauts et cette fois excessivement maquillée.
"J'ai pensé qu'il te faudrait un petit quelque chose pour te vêtir !" annonça Bertrand à la cantonade.
Et il me tendit quelque chose. En fait il s'agissait d'une robe. Enfin… on pouvait la classer dans cette appellation. Elle avait un dos nu qui me découvrait jusqu'aux reins. Le devant… deux bandes de tissus qui allaient en s'amenuisant pour ne former qu'une fine bretelle qui me passait sur la nuque. Faut-il que je vous précise que dans ces conditions la moitié de mes nichons étaient à l'air. Les aréoles en étaient même visibles. Je ne vous ai pas parlé de la longueur… allez !... mi-cuisse… au grand maximum… si jamais j'avais à m'asseoir…. La couleur ? Ha la couleur !.... Zèbre… oui zèbre… un imprimé qui imitait le pelage de cet animal. On était loin du bon goût. Mais je crois que ce n'était pas le but recherché, surtout que ce … vêtement me moulait indécemment comme s'il avait été choisi trop petit. Bertrand me confirma disant que s'était à dessein qu'il l'avait choisie de deux tailles en dessous de la mienne pour, dit-il, mettre mes formes en valeur… tu parles…. Il me dirigea vers un miroir sous les compliments égrillards des autres. Je compris vite pourquoi et j'en fus presque effrayée. L'image que je visualisais, mon image était sans conteste celle d'une prostituée… une pute…. Bertrand avait ce qui voulait. De plus j'allais devoir sortir en public dans cette tenue surtout que Bertrand refusa de me redonner mon manteau arguant qu'il y avait assez d'hommes pour me réchauffer le cas échéant. Nous partîmes donc dîner. Bertrand avait choisi l'auberge ou il m'avait déjà invitée, celle où de jolies femmes étaient là pour divertir les clients. Tout le long du trajet Jean-Pierre et l'un de ses amis n'arrêtèrent pas de me peloter les cuisses et de faire darder mes mamelons à travers le léger tissus qui les recouvraient à peine. L'entrée au restaurant et le repas furent un calvaire. Ma tenue fit converger tous les regards sur moi. Je devins toute rouge. Sentant des yeux braqués sur mes seins et mes fesses je dus traverser la salle pour aller m'installer avec mes compagnons. Bertrand discuta un peu avec le patron puis nous rejoint. J'avais remarqué aux regards tournés vers ma personne que je devais être au centre de la conversation. Je ne m'étais pas trompée et Bertrand me le confirma :
"J'ai discuté avec Hervé. Il m'a demandé si je pouvais de temps à autre t'envoyer ici pour te mettre à son service afin que tu distraies ses bons clients. Il a ajouté que tu avais tout pour cela et qu'il connaissait pas mal de grosses queues qui ne demanderaient pas mieux que de faire ta connaissance. Je lui ai répondu que j'en parlerais à Guy…. En attendant dînons !"
Je ne répondis pas à l'invite, je préférais rester prudente même si dans l'absolu cette expérience pouvait être tentante. A chaque fois qu'ils venaient nous servir les serveurs lorgnaient sur mes seins et mon dos. Ils purent aussi tout a loisir en reluquer davantage (eux et une bonne partie de la salle) puisque "ce cher Bertrand" me força (un tout petit peu) à relever ma robe jusqu'à la taille pour que je demeure cul nul sur mon siège et ce pour toute la durée de notre repas. J'en fus très, très gênée et pour deux raisons. D'abord par ce que, encore en cet instant, mon vagin et me rectum restituaient un peu que ce qui les avaient tapissé et des traces que j'allais laisser sur la chaise et ensuite à cause de tous les regards qui me mataient et me mettaient mal à l'aise. Mal à l'aise… mais aussi qui je doit le confesser recommençaient presque à me provoquer un début d'excitation malgré tout ce que j'avais enduré. D'ailleurs je m'aperçus que je n'étais pas la seule. Il me sembla, à cause peut être du bon repas et aussi du bon vin que les yeux de mes"tortionnaires" brillaient à nouveau de lueurs salaces. Une fois le dîner achevé et au moment de partir le dénommé Hervé nous raccompagna et avec des yeux qui nageaient dans le stupre me déclara d'un ton sans équivoque :
"J'espère vous revoir très, très bientôt… pour que nous fassions plus ample connaissance et que vous vous joigniez à nous de temps à autres…."
Je répondis par un sourire entendu.
De retour à la voiture, je pus constater que je ne m'étais pas trompée sur les intentions des hommes. Ce fut vite fait, bien fait…. Je me retrouvais troussée jusqu'au nombril et les seins sortis de la robe. Mes lèvres s´entrouvrent pour de longs et langoureux baisers. Il introduisirent leur langues fougueuses pour de violents patins. Le fait que réponde à ces baisers les encouragea leurs souffles devirent court. Nos langues se mêlèrent, s´entremêlèrent dans des mélanges de salives. Je sentis mon corps frémir et mon vagin se lubrifier.
Il recommencèrent à me doigter la chatte et on seulement elle, mais des mains écartaient la raie de mes fesses pour que des doigts s´y glissent. Doucement l´un d´entre eux passa sur mon petit trou et commença de petits mouvements de va-et-vient sans trop ressortir mais s´enfonçant bien à chaque remontée dans mon cul. Finalement, ils se débraguettèrent pour que je les branle. Non content, Jean-Pierre m'attira la tête vers son membre pour que je le suce. Ce fut peut après le tour de l'autre. Je me retrouvais donc en plein trajet entrain de sucer alternativement deux hommes pendant qu'ils me fouillaient. Je devais ressembler, comme sur Internet, à ces femmes qui débutaient leur rencontre ainsi, en se faisant entreprendre à l'arrière d'une voiture qui roulait, et qui la finissaient solidement emmanchée par deux ou trois gaillards bien montés. Et moi… comment allais-je finir ? Là j'avoue avoir eu un peu peur car le trajet passa "obligatoirement" par le quartier chaud de la ville, sans doute histoire que l'on m'y vit dans mes activités buccales. Peur, car un des hommes, avisant des professionnelles sur le trottoir, proposa que l'on m'y fasse descendre pour voir si "je pouvais michetonner une peu". Bertrand refusa répliquant que je n'étais pas encore prête. L'autre ami de Jean-Pierre eut une idée qui, elle, fut retenue par les trois autres. Il émis le souhait de satisfaire une de ses envies du moment à savoir : enculer une jolie salope. Cette idée fut retenue immédiatement et pour deux raisons. L'une car cet homme habitait à deux pas d'où nous nous trouvions et l'autre puisque, comme le déclara Jean-Pierre "que question salope, ils avaient ce qu'il fallait sous la main…". Et moi ? Et mon avis ? Et mon derrière ? Il n'en fut pas question…. De toute façon je vous l'ai dit, je désirais aller jusqu'au bout de ces aventures érotiques. Et puis le repas m'avait un peu revigoré et ce trajet, malgré ma fatigue m'avait énormément émoustillée. La voiture fut garée en catastrophe et je fus extirpée du véhicule sans avoir pu me rajuster. Mains aux fesses, mains entre les cuisses, les lolos à l'air je fut entraînée chez ce type. Sans plus attendre je fus mise à quatre patte sur la moquette et à tout seigneur tout honneur il se plaça derrière moi pour m'enculer sans prendre la peine de me retirer ma robe. Il est vrai qu'elle ne constituait pas un obstacle d'importance. Durant le voyage, en plus de tout ce qu'il avait vu défiler tout l'après midi, mon anus avait été si inlassablement tripoté qu'il n'offrit aucune résistance à la pine qui le perfora. Une autre fut tendue à mes lèvres et la sarabande reprit de plus belle. Ils m'enculèrent tous les quatre à la suite, se faisant sucer pendant et surtout après coup pour se faire nettoyer par bouche lascive qui ne rechigna aucunement à cette tâche discutable. J'eus quand même deux ou trois orgasmes à ce petit jeu plus rien… j'avais trop donné. Eux aussi s'en état fini de leur virilité triomphante. Bertrand me félicita, je pouvais être fière, contrat rempli… je leur avais vidé des couilles… et de quelle façon ! Ils me raccompagnèrent ensuite. Enfin presque… puisqu'il me laissèrent sadiquement au bout de ma rue et que je dus parcourir, toujours dans la crainte d'être aperçue, les deux ou trois cent mètres qui me séparaient de mon domicile dans mon unique vêtement de pute d'un soir….
Enfin d'un soir… sûrement pas car Bertrand décréta que je devrais la porter le jeudi suivant et nous irions chez Monsieur Guy lui conter mes fredaines….

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