La Vie De Chantier

Je m'appel(le) Dominique , j'ai 24 ans je suis blond(e) je mesure 1,6Om pour 56 kg je travail sur les chantiers dans la climatisation depuis que je suis sorti(e) de l'école a 16 ans , j'ai appris a faire un peu de tout de par mon métier : un peu de maçonnerie , d'électricité de menuiserie etc... tout ça pour vous dire que depuis pas mal de temps déjà je suis souvent en déplacement a travers toute la France , donc je passe mon temps dans les hôtels , pas des palaces loin s'en faut , juste des hôtels style for.... 1 , première cl.... pour ne cité qu'eux , mais pas tout seul enfin quant je dis pas tout seul c'est chacun sa chambre car je travail en équipe avec un homme qui m'a appris tout se que je sais aujourd'hui . Cet homme c'est Abdul un sénégalais de 40 ans très grand très fort mais extrêmement professionnel et d'une gentillesse absolue.

Voila il fallait que je plante le décor pour vous faire comprendre que mon existence a été bouleversée par rapport a mon style de vie, agréable par certain coté, la découverte de la France les restaurants etc..., mais pas pour une vie de couple du fait de l'éloignement perpétuel, enfin je ne vais pas me plaindre car je n'aurais jamais connu le bonheur comme je le connais a l'heure actuel.

Ma vie se déroulait tout simplement entre mon travail et ma passion que je vivais en secret, et oui j'ai un secret c'est celui de me travestir, celui de passer le plus de temps en femme pour assouvir ma passion pour la lingerie féminine. Je passais mes week-end a me parer de bas, de porte-jarretelles, de guêpière, de robe, de jupe, à mettre des escarpins, des bottes, des mules à hauts talons sans oublier le maquillage pour ressembler le plus possible à une femme et bien sur a couvrir ma tête d'une perruque, blonde, brune, rousse dont je possède plusieurs modèles de chaque.
Depuis quelques mois j'emmenais dans mes bagages de quoi me changer dans le nid douillet de ma chambre après ma dure journée de travail, tout comme une nuisette qui m'allait à ravir pour passer la nuit sous laquelle je me parais d'un porte-jarretelles et d'une paire de bas ainsi que d'une perruque blonde a cheveux court coupé au carré.

C'est comme ça qu'une nuit à deux heures du matin je fus réveillée ainsi que tout l'hôtel par l'alarme incendie, prise de panique comme la majorité des occupants je me suis retrouvée dans le couloir afin de me mettre à l'abri des flammes en suivant le flots des gens, une fois dehors alors que je respirais de soulagement de ne pas avoir été coincée par le feu vu que ma chambre était au 2eme étage, c'est alors que je me suis rendue compte de ma situation plutôt cocasse. J'étais prête à me faufiler dans un trou de souris tellement j'avais soudain honte de ma tenue aux yeux de tous ces gens car je n'étais pas maquillée dans ces moments là. Certain ne faisait pas attention a moi pensant surtout a leurs affaires mais d'autres apparemment moins terre à terre comme moi me mataient de la tête aux pieds. Mon sexe très petit ne se voyait pas trop car je croisais les jambes en le coinçant entre mes cuisses mais personnes ne m'a fait de réflexion. Quant tout à coup j'ai aperçu Abdul du haut de son mètre quatre vingt dix qui regardait tout autour de lui sûrement pour me chercher, lui aussi fus réveillé en plein sommeil mais il a eu le temps de passer un peignoir. Ses yeux se sont posés plusieurs fois sur moi, plus pour l'image que je donnais que de m'avoir reconnu, mais a force de faire le tour des clients de l'hôtel, il a fini par se rapprocher de moi ne m'ayant toujours pas trouvé .

La dessus le patron de l'hôtel demande un peu de silence pour annoncer que tout vas bien, qu'il n'y a pas d'incendie et que le signal d'alarme a été actionner par un client indélicat qui n'était pas dans son état normal (ah l'alcool). Donc, une heure après tout le monde reprend lentement le chemin de sa chambre, j'espère bien échapper à Abdul afin de ne pas être reconnue.
J'arrive à l'étage, personne, j'ouvre ma porte et au moment de la refermer un pied se glisse entre elle et le chambranle c'est alors qu'Abdul se faufile dans la chambre : " Alors comme ça tu me laisses m'inquiéter pour toi en ne me donnant pas de nouvelles, sans me faire un signe quand je suis passer près de toi et plusieurs fois en plus " ! M’a-t-il dis.
J'étais pétrifiée, je reculais pour me réfugier dans mon lit pour couvrir mon corps mais en fait j'y suis tombé à la renverse. Il est resté debout près du lit, il m'a dis "Alors comme ça tu aimes t'habiller en femme? Tu est drôlement bien comme ça, je ne t'avais pas reconnu et pourtant je t'ai regardé de la tête aux pieds car tu m'excitais, enfin ce que je voyais… Mais maintenant que je te vois de plus près et que je sais que c'est toi, j'en suis encore plus excité ".

Je ne savais pas quoi faire, je m'étais mise en chien de fusil pour cacher le maximum de mon corps, seulement mon cul était encore plus exposé et je voyais au regard d'Abdul que ses yeux étaient fixés dessus et qu'il n'étais pas insensible à ce qu'il voyait au vu de la bosse que faisait son peignoir. Il se rapprochât de moi en me disant de ne pas m'en faire que ce qu'il avait découvert me concernant resterait entre nous, sa main c'était posée sur ma cheville et lentement elle remontait sur mon mollet puis sur ma cuisse pour finir par arriver au dessus du revers de mes bas. Au contact direct de sa main j'ai eu la chair de poule, il me pris la main et me tira à lui, je me retrouvai assise au bord du lit alors que Abdul c'était remis debout devant moi, j'avais sous mes yeux ébahis une protubérance qui faisait que je ne pouvais pas détacher mon regard de cette tente formée par la bite d'Abdul. Ce dernier s'en aperçu et il écarta les pans de son peignoir laissant apparaître un monstre de chair gonflé de sang, battant au rythmes des pulsations, un membre comme jamais je n'en avais jamais vu. Et surtout aussi comme je n'en possédais pas car avec mes dix cm en érection pour deux de diamètre je faisais petit poucet.
Ma main était attirée par cette queue hors du commun, très longue, très grosse mais surtout avec un gland qui était comme une boule de billard posée sur une colonne, alors je l'ai prise à la base. A mon contact Abdul a poussé un gros soupir de contentement il a pris ma tête entre ses deux mains et la amenée vers son ventre.
Le gland déjà énorme paraissait encore plus gros d'aussi près il entra en contact avec mes lèvres, ma bouche c'est ouverte sous la pression pour laisser pénétrer cette boule de chair rouge prête à éclater. C'était tellement gros que cela distendait ma bouche. J'ai alors mis ma deuxième main sur la hampe pour empêcher quelle ne pénètre trop, mais il en restait suffisamment entre ma bouche et ma main pour me remplir le palais. Alors j'ai sorti ma langue pour lécher le gland et la hampe sur toute la longueur ainsi que sur le frein. Malgré que je ne soit pas habituée à avoir une bite dans la bouche, j'ai trouvé comment faire pour ne pas s’ tout en la suçant et en respirant. Abdul avait toujours ses mains sur ma tête, pas pour me forcer mais pour que je reste avec son gland dans la bouche au moment crucial de l'éjaculation qui arrivas après quelques minutes seulement de manipulation linguale. Le premier jet de sperme ma surprise par sa puissance qui a inondé ma bouche, j'ai eue un hoquet qui m'a obligée à avaler pour ne pas et j'ai bu les suivants plus par reflex que par goût car c'était la première fois que je buvais du sperme et je trouvais ça bon. Je continuais à le sucer pour le nettoyer des dernières goûtes de sperme jusqu'à se qu'il débande.

Mais je me trompais car sa queue restait bien raide et bien dure, en fait, je m'aperçu assez tôt qu'Abdul était très endurant et inépuisable car tout le reste de la nuit il m'a fait boire son sperme à quatre reprises sans compter les trois fois où il a déchargé dans mon cul. Il est parti sous la douche me laissant anéanti de bonheur et de plaisir mêlé, m'endormant quelques secondes après.

Une heure après seulement Abdul me tirait du sommeil en me caressant les fesses, aussitôt je les tendais vers lui en gémissant lui faisant comprendre que j'appréciais ses caresses mais une claque bien portée sur mon cul et sa voie retentit dans la chambre : " Allez petite salope il est l'heure de se lever pour allez au boulot ".
Aie aie aie la triste réalité revenait à grand pas, il continua à me dire : " Dans une demi heure en bas pour le petit déjeuner " et il sorti de ma chambre. J'ai eue du mal à me lever pour retrouver mon identité et ôter mes vêtements sans me rappeler la nuit de folie que je venais de vivre grâce a Abdul. La douche me fit un bien fou pour apaiser mes courbatures et les douleurs. J’ai eu du mal a finir ma journée de travail surtout qu'à partir de ce jour je suis devenue la maîtresse d'Abdul, enfin quand je dis sa maîtresse, je devrais dire sa poupée sexuelle, son esclave, son jouet, son vide couilles mais ça je vous le raconterais plus tard.
bisoussssssssss



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