Ma Colocataire Endormie
Ça faisait un an et demi que je partageais mon appartement avec Louise une infirmière qui travaillait de nuit. Résultat on ne faisait quasiment que se croiser, ce qui était bien pratique pour moi.
Louise était ronde avec un joli minois, elle était aussi très timide. Bien souvent lorsque je me levais pour aller en cours elle dormait, aidée par des somnifères. Je passais devant sa chambre et de temps en temps jaimais regarder par la porte entrouverte. Elle dormait nue et jaimais mater ses grosses fesses ou sa poitrine généreuse. Ce matin là, je rentrais dune nuit bien arrosée, elle était déjà rentrée et dormait. Comme toujours je jetais un coup dil dans sa chambre. Elle dormait sur le ventre, une jambe passée dessus les draps. Encore une fois très excité de la surprendre ainsi jentrais en silence dans la chambre et tirais sur le drap. Je passais la main sur ses grosses fesses.
« Je la touche un peu et je vais dormir » me dis-je.
Je passais un doigt sur la raie de ses fesses et descendais plus bas. Je savais, pour lavoir souvent vue nue que la sage Louise ne sépilait pas. Le bout de mes doigts entra en contact avec une petite chatte bien poilue. Dans son sommeil elle bougea et écarta un peu plus les jambes. Jen profitais pour écarter un peu plus ses lèvres charnues et jouais avec son clito. Elle commença à mouiller. Encore plus excité par ce constat joubliais ma résolution et introduit mon majeur en elle, surpris je constatais que malgré son âge la belle était encore vierge. Ce qui ne mempêcha pas de la travailler de mes doigts. Elle poussa un long gémissement. Enhardis je minstallais à genou entre ses jambes, de mes deux mains jécartais ses globes et de ma langue je suivais sa raie jusquà son petit trou. Je lembrassais amoureusement avant de le lécher du plat de la langue, une fois, deux fois, ainsi de suite jusquà ce quil soit bien mouillé par ma salive. Je commençais à lattaquer du bout de la langue, du mieux que je pouvais, lillet souvrait timidement.
Je me redressais et sorti mon braquemart de mon pantalon. Jenfilais un préservatif et mallongea sur elle. Je frottais ma queue entre ses jambes, contre sa chatte. Quand jestimais quelle était bien lubrifiée je présentais mon gland à lentrée de son petit trou. A ma grande surprise il entra dès la première poussée. Lentement je poussais jusquà menfoncer complètement. Elle commença à sagiter sous moi, bougeant son cul contre mon ventre. Je nosais plus bouger, était-elle réveillée?
Elle nouvrait pourtant pas les yeux. Etre dans le gros cul dune belle endormie, cest, croyez moi un vrai bonheur. Pourtant au bout dun moment sans bouger je sentais quil fallait que je finisse ce que javais commencé. Je pistonnais donc lentement tendis que dans son sommeil Louise gémissait. Je jouis très vite, elle aussi je crois.
Un fois mes esprits retrouvais-je me retirais rapidement et tirais le drap en déposant un baisé sur sa tempe.
« Merci Louise ».
Dans laprès-midi, Louise mapporta le café au lit et ne me parla pas de lévènement de la nuit. Seulement en quittant ma chambre elle sarrêta et dit en se retournant.
« La prochaine fois que tu rentre après moi, passe me réveiller jaime savoir que tu es bien rentré » Et elle me fit un clin dil.
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