Une Boulotte Qui Se Transforme En Belle Plante Apres Avoir Marche Vers Saint Jacques
Une belle plante
Il marrive souvent de la croiser dans les couloirs de la fac de lettres, les yeux dans le vague. Elle est brune, 25 ans environ, bien en chair avec une grosse poitrine qui attire immanquablement mon regard chaque fois que je la vois. Elle a des cheveux bruns mi-longs. Je crois quelle étudie les auteurs anglais. Elle se mêle peu aux autres.
Un jour, je la rencontre à la fin dun cours, lair un peu timide. Jen profite pour lui parler.
-Tu viens boire un pot ?
-Daccord dit-elle.
-Tu tappelles comment ?
-Christine.
Je la détaille un peu plus et découvre un beau minois plein de taches de rousseur. Elle a des yeux gris-vert et une belle peau mate.
Nous prenons tous deux un café.Brusquement, elle me demande :
-Tu ne trouves pas que jai trop de rondeurs ?
-Bah, un peu.
-Ca me dérange, jai limpression que les mecs me fuient à cause de mes kilos et ça me déprime.
Je comprends maintenant pourquoi elle a toujours un petit sourire triste. Je réponds:
-Tas combien en trop ? Elle hésite à répondre :
-Une bonne quinzaine.
Puis cest le silence. Je la sens très gênée par cet aveu. Je décide den savoir plus :
-Et alors ?
-Ben, les gars naiment que les nanas canons avec un petit cul étroit et des longs cheveux. Je nai aucune chance.
Je perçois une pointe de colère dans sa voix. Je lui explique :
-Tu sais, tu ne peux rien y faire. Regarde simplement ce quil y a de mieux en toi. Tu vois par exemple, ta poitrine, tes yeux.
-Tu crois ?
La situation commence à mintéresser. Je la regarde attentivement. Il y a dans son regard quelque chose qui mattire, jai envie de lui lancer un défi. Cest vrai quelle a de beaux seins. Je la caresserais bien, là tout de suite. Ouah.
-Alors, je lui dis.Tattends quoi ?
-Jai essayé plusieurs régimes sans succès et je suis vite essoufflée.
Je consulte ma montre et réalise quil est tard.
-Cest super, je ne pensais pas te revoir de sitôt après mes histoires dit-elle.
-Tu te fais des idées, je te trouve très sympa et craquante.
La soirée est très détendue. On parle de tout et de rien. Puis elle me parle de sa famille. Elle a deux frères plus âgés qui se sont souvent moqués delle à cause de ses rondeurs. Je sens que ça la beaucoup blessée et commence à lui expliquer ce quelle peut faire. Elle a à la fois quelque chose qui me touche et mexcite profondément. Jai très envie delle, je sens ma virilité sémouvoir mais je me retiens.Je ne veux rien précipiter.
-La première chose est de savoir pourquoi tu veux maigrir. Est-ce pour te sentir mieux ou pour les autres ? Ce que voient les autres de toi ne correspond en rien à ce que tu es vraiment. Tu dois comprendre que tu existes indépendamment de leur regard. Tu es toi, tout simplement.
Je marque un temps darrêt pour lui laisser le temps de digérer. Elle est très attentive.
-Tu sais, jai peut-être une solution pour toi. A ces mots, son regard brille :
-Ah oui et cest quoi ?
-Il sagirait de marcher régulièrement et de faire deux ou trois étapes du chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
-Mais tu rêves ou quoi ? Je nai aucun entraînement physique, aucun souffle. Je vais être épuisée.
-Il suffit simplement chaque jour de faire quelques km, de profiter du soleil, de se remplir la vue avec les paysages quon traversera. En un rien de temps tu fondras comme neige au soleil, tu auras un corps ferme avec des fesses denfer et une poitrine à damner un saint. Là jai limpression dêtre allé trop loin et deviens confus mais elle a un petit sourire et dit tout à coup « Chiche ».
Comme cest les vacances de Pâques on décide de partir et de commencer par létape le Puy jusquà Aumont-Aubrac.
Le premier jour est assez éprouvant mais le paysage est superbe.On avance lentement et chaque instant est bon pour regarder le balancement de ses hanches pleines et de son cul. La sueur coule entre ses seins, son visage est un peu rouge sous leffort mais elle ne bronche pas et continue bravement. On sarrête dans un gîte détape.Elle prend une douche et en sort toute fraîche. On part ensuite manger. A table je la félicite sincèrement, ses yeux sont brillants et elle dépose un baiser très doux près des lèvres. Je commence à méchauffer et je lui fais :
-Tu as été magnifique, je suis fier de toi.
Le soir elle seffondre sur le lit et sendort comme une masse. Chaque jour je lencourage car les étapes sont parfois longues. Le septième jour lorsquelle sallonge sur le lit après une dure journée, je lui propose de masser tous ses muscles endoloris en particulier ses jambes. Elle accepte avec reconnaissance. Elle se déshabille et reste en petite tenue.Je découvre alors des dessous en coton blanc très simples qui cachent à peine ses seins et son Mont de Venus qui transparaît à travers le tissu. Elle a un cul bien dessiné malgré son ampleur et des rondeurs bien proportionnées. Une bouffée de chaleur monte en moi. Jai la trique.Lenvie me prends de la sauter sur le champ, tellement elle est désirable mais je sens quil faut y aller doucement, rien ne presse.
On va dans un resto très classe pour fêter notre exploit. Je regarde Christine dans les yeux, elle est magnifique.
Je lui dis plein dadmiration :
-Tu te rends compte que tu as fait plus de 200 km à pied et que tu y croyais à peine !
-Oui cest vrai et chaque jour je me suis sentie mieux, plus légère. Aujourdhui ça a été le summum.
-Alors à ta santé lui dis-je en levant mon verre et à nous deux.
Je la regarde intensément. Elle a mis une tenue légère qui met en valeur son teint mat accentué par la marche au soleil. Japerçois ses seins qui pointent sous le tissu délicat de sa robe et forment une vallée prometteuse quand elle se penche en avant. Jen ai leau à la bouche. Elle me fixe dun air moqueur :
-Alors, je vois quon a encore de lappétit malgré le délicieux repas. Dans ce cas on va passer au dessert, quen penses-tu ? Et on commande un assortiment de sorbets aux fruits exotiques agrémenté dune petite liqueur.
On rentre à lhôtel le cur, léger lesprit un peu brumeux.
Christine se retire à la salle de bain en disant quelle est très fatiguée et quelle souhaite se coucher sans autre, à ma grande déception. Javais quelque espoir. Je me glisse donc sous les draps et massoupis bientôt.
Tout à coup, dans mon demi-sommeil, je vois une masse sombre sapprocher doucement et me chuchoter à loreille : « Tu ne pensais tout de même pas que la fête était terminée ? »
Jouvre alors davantage les yeux et aperçois sa silhouette à la lueur des bougies disposées tout autour du lit.Je découvre son corps mince et musclé recouvert de superbes dessous en satin gris qui soulignent sa beauté.Jen ai le souffle coupé.Elle me dit dans le creux de loreille : « Jai perdu une dizaine de kilos et je me sens très en beauté grâce à toi.Tu as été merveilleux de patience. A moi de te récompenser comme il se doit. Laisse-toi faire ». Linstant est unique, je vais pouvoir partager quelque chose de précieux avec elle. Jen ai la gorge sèche. Elle commence par membrasser avec une douceur infinie qui me fait chavirer. Sa bouche sent la vanille et me donne un avant-goût de ce que sera son nid damour, chaud et humide. Je sens mon sexe durcir. Elle caresse ensuite mes épaules, mon torse puis le dos pour finir par un massage du dos. Je suis aux anges et ferme les yeux. Je me retourne sur le dos pour la regarder. Elle passe deux doigts dans mon boxer et le fait glisser très lentement sur mes hanches créant une onde de plaisir dans les reins et les fesses qui accentue mon érection. Cette lenteur est à la fois exaspérante, insoutenable et en même temps dune rare volupté. Elle me regarde légèrement moqueuse, tout en souriant. Son charme me fait craquer. Jattire sa tête sur ma queue quelle aspire dans sa bouche. Aussitôt, elle menveloppe de sa langue chaude et ferme. Tout mon bassin est en fusion. Je prends ses seins magnifiques dans mes mains, les caresses avec un plaisir infini tant jai attendu ce moment. Je les suce inlassablement lui arrachant des cris de bonheur. Puis, au bord de lorgasme, je me retire de sa bouche et plonge entre ses cuisses pour la lécher longuement, sentir son odeur de femelle qui souvre mordiller ses petites lèvres gonflées dexcitation. A chaque instant elle mouille davantage. Je mets un doigt dans son petit con serré et mimprègne de son humidité. Je nen peux plus. Mon jus va jaillir. Tout à coup elle place ses cuisses sur mes épaules, me plante la queue dans sa moule en feu en me regardant amoureusement et lâche : « Abandonne-toi, mon chéri, jattends ce moment depuis que je tai croisé. Chaque soir, je me suis touchée la moule et fais plaisir en pensant à toi. Alors vas-y maintenant, cest trop bon, je ne peux plus attendre, jouis en moi». Brusquement une immense vague de plaisir monte de mes entrailles, le long du dos jusquen haut et explose dans ma tête. Je vois un immense lotus sortir de mon crâne tandis que son vagin se contracte en même temps autour de ma queue et que Christine crie de plaisir. On perd conscience pour émerger enfin un long moment plus tard, dans une félicité qui semble infinie. Le sommeil finit par semparer de nous et la nuit fait son apparition avec les bougies qui séteignent.
Je suis prêt pour faire tout le chemin de Saint-Jacques .1500km depuis le Puy !
Le 5 mai 2007 Malaufre
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