Un Pari Entre Amis (Suite)

Je lui demandais où se trouvait la salle de bain, histoire de faire un brin de toilette et de remettre mes idées en place. Aussi tôt après je le rejoignais dans la cuisine, il m'attira à lui et caressa mes seins à travers ma robe.
"Déboutonne la jusqu'au nombril" me dit-il dans un souffle.
Je m'exécutais et il passa ses mains sous ma robe, soupesant ma poitrine en passant ses pouces sur mes tétons.
"Exactement comme je les imaginais, vu comment il réagissent tu dois être super sensible à cet endroit".
Il les dégagea de sous ma robe et sans lâcher le droit il se mit à téter le gauche, alternant les sucions et les pincements, il finit par l'aspirer le plus possible, mordant dans ma chair si fine. Il continuait à pétrir le droit, presque brutalement. Les deux sensations me firent tourner la tête et je me tenais à ses épaules. Il poussa un grognement de victoire. Quittant un moment mon sein il entreprit de me mordiller le cou.
"Je savais que ça te plairait".
La main qui pétrissait mon autre sein descendit jusqu'entre mes jambes. Il frottait ses doigts joints contre ma chatte. Il repris sa tétée au moment où son majeur s'activa sur mon clito. De la pulpe du doigt il le massait en cercle, le faisant durcir. Une fois bien dur il passa son ongle dessus, ce qui me fit sursauter. J'avais l'impression qu'une pointe partait de mon sexe jusqu'à ma poitrine de plus en plus dure et tendue elle aussi. Mes jambes commençaient à faiblir et mon ventre réclamait à être rempli.
Tendis il griffait mon sexe il mordait de plus en plus mon téton, tirant dessus.
Soudain je n'en puis plus, dans un souffle saccadé je lui réclamais qu'il me fasse l'amour.
Il pinça fort mon clito et tira sur mon téton.
"Redis le moi.
-Denis, prends moi, j'en peux plus"
Il planta trois doigts dans ma fente trempée.
"Répète!
-Denis, Denis, prends moi"
Je pleurais presque en le suppliant. D'un coup sec il tira sur ma robe, et me poussa ventre sur la table.

Le contact froid du formica me fit frissonner. D'une main il me maintint dans cette position tendis que quatre doigts me pistonnait. Mes jambes étaient prises de secousses.
"Non Denis, ta bite, je veux ta bite".
Il ne se fit plus prier et la rentra enfin, je me sentais pleine, je la sentais taper au fond de moi, il ne fallut pas plus de deux va et viens pour que je jouisse, hurlant à m'en arracher la gorge. Il se retira encore dur et entreprit de me masser le clito avec son gland. Il avait été rendu tellement sensible qu'il était presque douloureux, pourtant je jouis une seconde fois, toute aussi bruyante. Il me pénétra encore une fois et finalement nous jouîmes en même temps. Chancelante je me relevais et allais me blottir dans ses bras...