Suite De Mes Ebats (5)

Depuis que ma mère sait que j’ai un copain, je me sens un peu plus libre pour sortir. Elle ne me demande plus où je vais, ma copine ne me sert plus de prétexte. Je suis soulagée. Mais j’ai toujours le même problème. Lorsque c’est possible, je vais chez elle, j’ai toujours sa clé. Un jour j’appelle chez elle. Elle est avec son copain et nous invite à les rejoindre. Quand on arrive, ils sont en train de regarder un film porno apporté par son copain. On se retrouve à quatre dans l’appartement. Ses parents sont partis pour quelques jours, la laissant seule. Tout ce beau monde s’installe dans le séjour. Elle sert des jus de fruit pour nous, des bières pour les garçons. On commente le film, le trouve peu réaliste, ce n’est que du cinoche, des images de culs rasés. Pas intéressant.
Pour regarder ce film, on s’est installés sur le canapé, qui est assez grand pour que l’on puisse tenir à 4 facilement. Elle et son copain Mat, (Mathieu) puis moi et le mien, Steve. Il fait chaud, le film que nous venons de regarder et la promiscuité n’arrangent pas les choses, pourtant les fenêtres sont ouvertes. Mat, qui m’a déjà fait des propositions lorsque Steve m’a baisé quand on était au cinoche, mine de rien, pose sa main dans mon entrejambes, appuie. Je le repousse, enlève sa main, lui dit de s’occuper plutôt de Mélanie.
Conseil suivi, il ouvre le jean de ma copine et passe une main dedans, mais l’autre revient de nouveau se loger sur mon sexe, le serre. Je me lève et me prépare à partir et dis à Steve que, s’ils ont envie de baiser, on ferait mieux de les laisser seuls. Mélanie vient justement de sortir la queue de Mat. Elle est raide, il bande dur. Je suis debout devant lui, regarde l’engin qui est de bonne taille. Il m’att par un bras, tire d’un coup sec Je me retrouve de nouveau assise. D’une main il me prend derrière la nuque, guide ma bouche vers sa queue. Je cherche à le repousser, mais Mélanie appuie sur ma tête, j’ai sa bite dans la bouche.

Voyant ça, Steve se lève, sort son service trois pièces, présente sa pine à Mélanie qui l’embouche. Ca m’échauffe, il tient ma tête à deux mains, me force à avaler sa queue en entier. Je m’étouffe, sens que je mouille, pourtant je ne suis pas venue pour baiser. Ma copine se lève, prend Steve par la queue et l’emmène en le tirant comme ça, couilles à l’air, dans sa chambre, me plantant là, à la merci de son copain. Je me demande si tout ça n’était pas prévu ? Je n’aime pas sucer, mais il me tient toujours la tête et dirige les opérations. Je suis prise au piège. Il me redresse, et avant que je réagisse, se lève, m’att par les pieds, me culbute sur le canapé. Je me débats, il me coince, parvient à ouvrir mon jean, le tire par la ceinture en me soulevant les fesses, le retire. Je me retrouve en string. Il plonge entre mes jambes, écarte le bout de tissus et les poils qui couvrent ma fente, pince le clito. Je bondis, creuse le ventre, remonte le cul, gémis, un doigt puis deux s’agitent dans mon vagin. C’est plus qu’il n’en faut pour m’ouvrir. Ma vulve est trempée, il me boit à la source. C’est parti, le piège se referme ! J’ai envie de sentir sa bite en moi. Je lui dis de prendre une capote dans mon sac. Il se fout à poil vite fait, enfile la capote. Je ne tiens plus, je l’att par la bite, la tire vers mon trou, un seul coup de rein suffit pour l’engloutir. Je contracte le vagin, le serre, il me burine, me pilonne, ses assauts me font presque défaillir. Il me défonce, je transpire, halète, l’accompagne. Il sort de moi, me redresse, vire tee-shirt et string, me voilà nue. Il s’adosse à l’accoudoir, me tire vers lui. Je lui tourne le dos, me mets à califourchon au-dessus de son vit, le saisis derrière le gland, le guide, descends dessus. Il s’enfonce, m’embroche jusqu’aux couilles. Je monte et descends sur la tige, m’encastre à fond, perds la tête.
Alors que je suis tout à mon action, Steve revient seul, à poil, bite pendante. Je ne sais pas où est Mélanie, peut être sous la douche, comme moi elle a dû transpirer.
Quand elle baise, elle se donne à fond. Il s’approche, me regarde, je tends la main, lui att les couilles, le tire vers moi. Le pénis est mou, je le prends en main, dégage le gland, astique la hampe. Grâce à cette caresse son sexe reprend vigueur doucement. Il l’approche de ma bouche, je me penche, l’absorbe. J’ai oublié qu’il est enduit de foutre, c’est dégueulasse, mais maintenant que j’ai commencé, je m’oblige à continuer de le sucer. Ca y est, il bande, sa bite est raide et droite, il prend une capote dans mon sac et s’équipe. Je veux changer de partenaire, essaye de quitter la verge qui m‘emmanche. Mat arrête de me limer, pénis enfoncé jusqu’aux couilles. Il m’att par les épaules, m’incline en arrière, m’agrippe par les seins, me bloque dos sur lui, cuisses ouvertes, genoux sur le lit, je ne peux plus bouger. Steve monte sur le canapé, m’enjambe. Je veux me dégager, proteste, je me doute de ce qui va m’arriver, remue le cul, essaye de me libérer de la verge de Mat. Mais Steve est déjà allongé sur moi. Il tient sa bite bien en main, derrière le gland, la glisse sur le clito puis dans la fente. Je mouille terriblement, crie, essaie de le repousser. Il appuie de plus en plus fort sur l’entrée du vagin, contre la queue déjà en place L’entrée, e, se dilate, s’ouvre, il enlève sa main, le gland glisse le long de l’autre queue, entre en moi. Je pousse un cri, ça me fait mal, j’ai chaud, j’ai l’impression de subir encore le gode monstrueux de ma copine. Steve donne un coup de rein, les voilà tous les deux au fond de ma gaine, encastrés jusqu’aux couilles. Attirée par mes cris, Mélanie arrive, regarde la scène, sourit de voir les deux mecs me pilonner en cadence. De plus, Mat me malaxe les seins, agasse, tire sur les tétons Je couine de plus en plus fort, ma respiration est haletante. Je contracte les muscles du vagin, c’est bon de sentir leurs pines, elles me comblent le ventre. Leurs bites coulissent facilement, l’entrée, distendue ne me fait plus mal, au contraire. Ils se bloquent au fond, déchargent l’un après l’autre.
Chaque soubresaut, suivi d’un jet de foutre, produit en moi une sorte de décharge électrique qui me fait chavirer. Je crie encore et encore, malgré les capotes je sens la chaleur du foutre qui les remplit. Je me cambre, ressens quelque chose d’inouï, crois perdre la tête tellement c’est puissant. Je retombe, anéantie, me sens défaillir, suis ailleurs, très loin, sur un nuage. C’est ça un orgasme ? Steve ne bouge plus, sa queue ramollie et se retire doucement, il se lève, vire la capote, me donne sa bite à sucer. Je suis sur une autre planète, je m’exécute, j’ai du foutre sur la langue, au fond de la gorge, je n’aime pas le goût, je recrache. Jamais je n’aurais crû qu’il soit possible que j’en arrive là. Avoir deux bites ensemble dans le même trou. La verge de Mat diminue, sort lentement de mon sexe, je la quitte, suis debout, me rhabille, tient à peine sur mes jambes. J’ai besoin d’air, de réfléchir à ce qui vient de se passer. Prise en sandwich par deux mecs ! Mélanie ôte la capote de son mec toujours étendu sur le canapé, se met à genoux entre ses jambes, cul en l’air, le prend en bouche, le pompe. Mon copain s’approche d’elle, écarte ses lèvres, lui enfile deux puis trois doigts dans le vagin, les active. Elle remue le cul, grogne, a l’air d’apprécier, arrête de sucer, replonge de nouveau. Je suis la seule à être rhabillée. Ils sont toujours à poil. Je fais un signe de la main pour leur dire au revoir et rentre chez moi, seule, les plantant là. Ils vont peut-être continuer la baise, mais, personnellement, j’ai eu ma dose, assez pour aujourd’hui.
Cette semaine je travaille l’après midi, donc calme plat. Mélanie m’a appelé. Elle m’a avoué s’être arrangée avec son copain, il voulait absolument me baiser. Et comme elle avait envie de se faire sauter par Steve, elle a profité de l’occasion. Mais les deux simultanément dans moi, ce n’était pas prévu.
Bien sûr, au début je n’étais pas consentante. Je n’étais pas venue dans l’intention de baiser. Mais Mat m’a échauffé, j’ai eu envie de lui.
Je n’avais pas joui lorsque Steve est réapparu. Ensuite, vu la tournure des évènements, j’avais surtout peur de ce qui allait m’arriver. Mais en fin de compte je ne leur en veux pas de m’avoir e à ce point. Je n’avais jamais ressenti, jusqu’à ce jour, cette jouissance extraordinaire procurée par ces deux bites en moi ! J’ai pris mon pied ! Et quel pied ! Par contre je ne crois pas que je recommencerais cette expérience. Si le résultat final est sensationnel, l’introduction de la deuxième bite n’est pas agréable, loin s’en faut !
Si ce récit vous intéresse, il y a une suite…

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