Les Ephebes D'Athenes (Partie 1)

C’était le grand jour pour Démistos. Les Panathénées étant enfin achevées, lui et ses 2 amis, Iliosthène et Alcibias étaient enfin reconnus comme des jeunes adultes par la société athénienne. Tous trois âgés de plus de 16 ans, un an avant d’accomplir leur éphébie (service militaire sous l’Athènes antique), allaient être choisit par un éraste, un citoyen de la cité qui se chargerait de leur éducation civique, sociale…mais aussi sexuelle.
La pédérastie est en effet un passage obligé dans la vie de tout futur citoyen d’Athènes. Si par malheur, l’éphèbe n’était choisit par aucun éraste, sa famille en serait déshonorée à tout jamais. Démistos l’a bien compris, il fallait plaire. Pourtant, Démistos n’a pu s’empêcher de ressentir une grande appréhension, presque de la peur. La peur de tomber sur un mauvais éraste, un homme qui ne lui conviendrait pas.
L’homosexualité était très bien vue dans l’antiquité, à Athènes. Et la pédérastie était un fondement de la société, alors qu’aujourd’hui cela choquerait. Pourtant, les éphèbes (appelés aussi éromènes) n’étaient s en rien, tous rapports sexuels se faisaient par consentement mutuel.

Accompagnés par leur père, obligatoirement citoyen, les éphèbes sont disposés en ligne sur la place de l’Agora. Les futurs érastes ont été choisis depuis longtemps, et les plus importants et méritants ont la chance de choisir leur éphèbe avant les autres. Démistos et ses amis ont été soulagés d’avoir été choisit.
Iliosthène, le plus beau des 3 amis, selon Démistos, a été choisit par le fameux général Diomède, grande figure militaire. Alcibias a hérité d’un gros bonhomme, Brontos, vieil orfèvre. (Nous les retrouverons dans d’autres histoires).
Démistos pour sa part a eu la chance d’être choisit par l’un des plus beaux érastes qui soient: Lycrate.


Démistos lui a tout de suite plus. Le jeune éphèbe de 16 ans, à la peau bronzée par le soleil, est grand (1m75 pour 62 kg), légèrement musclé, brun aux yeux verts.

Lycrate est quant à lui, un grand homme (1m88 pour 86kg) de 38 ans, brun, les yeux noirs, mince (sans muscle), très bel homme. Démistos lui a un visage très commun.

Le courant passa immédiatement entre eux. Lycrate était généreux, gentil, il se montra un excellent éraste. Démistos, qui habitait chez lui pendant une année entière, comme le veut la tradition, appris tous les rudiments de la vie politique et sociale de la cité, Lycrate lui enseigna l’exercice du pouvoir, l’art de l’oral en public et tout ce qu’il faut savoir pour devenir un bon citoyen. Mais un soir d’été, il lui fit découvrir également la sexualité et l’art de procurer le plaisir par la chair.


Après une journée passée dehors avec son éraste, Démistos se détendait dans un bain parfumé au romarin. Lycrate entra, alors que Démistos était en train de se sécher dans des draps. Démistos se sentit gêné: il était nu devant son éraste, chose qui ne s’était jamais produite alors.
- Démistos, allons, je ne vais pas te manger, je sais ce que c’est qu’un corps d’homme. C’est un don des dieux. Le tien est splendide.
Le jeune éphèbe rougit à cette phrase. Il ressentit un sentiment étrange, il se sentait bien avec son éraste. Il enleva alors le tissu et montra sa nudité à Lycrate, qui fut émerveillé.
- Dès le premier jour, ta beauté m’a éblouit.
- Merci Lycrate. Tu es également un bel homme.
- Il est temps que je t’enseigne l’art des plaisirs, Démistos, les plaisirs de la chair. Tout bon citoyen se doit d’honorer Aphrodite et Priape comme il se doit. Enfin si tu le veux bien.
Démistos restait sans voix. Il s’était préparé à cela. Il savait un peu comment on faisait l’amour, lui et ses amis avaient déjà épiés des couples dans la nature ou avaient surpris des serviteurs peu discrets.
- Oui je suis prêt Lycrate. Il m’attarde de les découvrir.
- Ton sexe s’est-il déjà dressé vers le ciel et devenu aussi dur que la pierre, Démistos?
L’éphèbe réfléchit et se souvint que cela lui arrivais souvent, surtout les matins ou devant de beaux corps.

- Oui. En public c’est très gênant. Au début je ne savais pas quoi faire. Et depuis peu, je me caresse la verge pour faire cesser cela.
- Très bien. Tu as de l’esprit. Et est-ce qu’un liquide blanc en est sorti parfois?
- Oui! Après quelques caresses, je me sens bizarre et une semence étrange en ressort. Je trouvais ça très dégoûtant mais ça faisait plutôt du bien…
- Tous les citoyens, les hommes font ça. C’est très bien ce que tu as fait. Et ce qui en est sorti c’est la semence mâle. Le cadeau des dieux qui fait que nous pouvons procréer. Tu es un vrai homme Démistos.
Celui-ci se sentit alors fier de lui. Et il sentit soudain son sexe prendre de la vigueur. En parler l’excitait à un haut point.
- Oh mais quel beau sexe! Il est aussi grand que le mien. Dis-moi, tu aimerais que je te le caresse?
- Oui Lycrate. Je n’attends que ça.

Lycrate enleva ses vêtements et se montra nu à son éphèbe, subjugué par son corps et son sexe. Il fit asseoir Démistos sur son lit et lui prit la bite en main, et commença une belle branle, lente. Au contact des doigts de son éraste, Démistos ressentit un plaisir immense.
- Oh Lycrate, c’est délicieux. Je ressens…du plaisir. Ne t’arrête pas c’est bon.
- Je suis content que ça te plaise.
Les 16cm de Démistos étaient tout gonflés. Il ne tint pas longtemps et éjacula comme jamais dans un cri de plaisir intense. Le foutre gicla sur son torse et sur le bras de son éraste.
- On dirait que tu as aimé, et les dieux ont été généreux avec toi, tu as beaucoup de semence.
Et Lycrate lécha et avala tout le sperme de Démistos.
- Mais que fais-tu, demanda celui-ci.
- Ne t’inquiète pas, c’est très bon. Ça donne de la vigueur. Tu veux goûter?
Et il donna son doigt plein de foutre, à l’éphèbe qui le suça.
- Oui ça a un drôle de goût mais ce n’est pas mauvais.
Démistos remarqua que le pénis de son éraste commençait à prendre de belles proportions.

- Lycrate, je peux te toucher le sexe? Pour te donner du plaisir.
- Mais bien sûr Démistos, n’hésite pas.

Le jeune homme toucha les 17cm de son amant. C’était la première fois qu’il touchait le sexe d’un autre homme. Et il adorait ça. Il imita ce que Lycrate avait fait avec lui. Et il prenait un malin plaisir à le caresser ainsi. Lycrate était dans état second.
- Oh… oui Démistos tu es très doué. Ça fait un bien fou.
Excité, la bite de Démistos repris toute sa vigueur. Après plusieurs minutes, Lycrate lui fit arrêter la branle.
- Ne me fait pas cracher tout de suite. On a le temps. Je vais t’enseigner autre chose. Il n’y a pas que la main qui donne du plaisir. La bouche c’est encore mieux…
Et il se jeta sur le sexe bien dressé de son éphèbe et le prit dans sa bouche. Il tournait sa langue autour du gros gland de Démistos, jouait avec, et s’amusait à faire des va-et-vient. Le jeune homme ne pouvait s’empêcher de retenir des râles de plaisir. Cette sensation était intense; sentir la chaleur de cette boucher autour de son pénis le mettait en extase. Et son éraste lui caressait les boules en même temps. Il ne tient pas très longtemps et jouit dans la bouche de Lycrate, qui avala tout le foutre.
- Ton sexe est vraiment bon Démistos. L’un des meilleurs auxquels j’ai pu goûter. Viens mon garçon, essaye.

Et Démistos très excité, s’avança vers la bite de Lycrate et la prit en bouche. Le goût lui plu immédiatement. C’était excellent. Il fit la même chose que son maître: il suçait avec délice, jouait avec le gland, sa langue parcourant la hampe, le frein, les testicules. Il caressa les bourses de son éraste qui lâchait des soupirs de plaisir. Il avalait toute la bite, qui vint jusqu’au fond de sa gorge. C’est alors que Lycrate, n’en pouvant plus, éjacula dans la bouche de son éromènes Surpris, il avala tout, avec difficulté, mais cela n’était pas sa chose préférée.

-Oh Démistos, c’était parfait. Tu apprends vite.
Tu es le meilleur éphèbe que j’ai jamais eu.
- Merci Lycrate. Ton sexe était exquis.
Et Ils s’embrassèrent longuement, allongés sur le lit. Ils s’endormirent dans les bras, l’un de l’autre…

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